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Drôle de jeu

Chapitre 2

Voyeur / Exhibition
Intrigué par la scène peu habituelle dont il venait malgré lui d’être le témoin, Fabrice avait à coeur de percer le mystère que sa mère et sa soeur souhaitaient lui cacher et surtout savoir pourquoi il devait l’ignorer. Il prit donc le parti de surveiller Solange et Julie de loin.
En début de soirée, pendant le souper, Solange avait demandé à son fils comment s’était passée sa journée. Le jeune homme avait répondu évasivement que comme tous les vendredis, il avait trouvé la journée longue.
Peu après le repas, vers 20h, alors que Fabrice regardait un épisode pré-enregistré de sa série préférée, sa mère vint lui annoncer qu’elle et Julie sortaient.
— Mon chéri, Julie et moi sommes de sortie ce soir. J’irai boire un verre avec une collègue de travail et Julie a été invitée à une soirée chez des amies. Nous allons sûrement rentrer tard donc nous prendrons nos clés pour que tu puisses aller te coucher sans te soucier de devoir nous ouvrir. À demain.— À demain, amusez-vous bien !
Solange et Julie sortirent de la maison mais ce qu’elles ignoraient était que Fabrice avait découvert leur secret et qu’il était bien déterminé à en savoir plus. Le jeune homme attendit donc que sa mère et sa soeur se fussent suffisamment éloignées de la maison pour sortir à son tour et fermer la porte derrière lui.
Il repéra rapidement les deux femmes et les suivit à bonne distance. Après cinq minutes de filature, Fabrice vit Solange et Julie pousser le portillon d’une villa et entrer dans le jardin. Le jeune homme demeura en retrait et put distinguer l’homme qu’il avait vu avec les deux femmes quelques heures auparavant s’avancer vers elles et les accueillir d’un baiser sur les lèvres. Au risque d’être repéré, Fabrice avança jusqu’à la haie encadrant le portillon et se dissimula derrière la végétation afin d’entendre ce qui se disait entre les trois protagonistes de ce rendez-vous dont les raisons lui paraissaient encore bien obscures.
— J’espère que vous avez repris des forces, mes jolies parce que je compte bien vous épuiser comme vous m’avez épuisé tout à l’heure.— Ne vous inquiétez pas : ma fille et moi sommes les meilleures dans le domaine et nous agissons comme telles.— Quelle modestie ! Eh bien, nous verrons bien si ce que vous dites est vrai. Des femmes, j’en ai connu dans ma vie et je peux vous dire qu’il y avait du niveau. Assez parlé, maintenant ! Montons dans la chambre et montrez-moi ce que vous savez faire au lit !— Le lit, c’est plutôt pour les petits bourgeois. Ce que nous aimons, ma mère et moi, c’est copuler à l’air libre, sentir le vent nous rafraîchir la moule déjà bien réchauffée par le soleil.— Ce ne serait pas très prudent, jeune fille. Nous pourrions choquer des âmes sensibles. — Je ne vois pas de quoi vous parlez. Personne ne passe jamais par ici, vos voisins sont tous en vacances pendant tout le mois et la haie est assez haute pour nous cacher des regards indiscrets.— Bon, très bien, comme vous voulez !
Solange et Julie entraînèrent leur partenaire derrière la façade de la maison tandis que Fabrice les suivait de loin et se cachait dans la haie, les yeux rivés sur le jardin qui allait être le théâtre d’ébats qu’il supposait torrides.
L’homme d’âge mûr s’installa sur une chaise longue et baissa tranquillement la braguette de son pantalon pendant que Solange et Julie se dévêtaient. L’homme ayant conservé son caleçon, les deux femmes, à présent nues, s’approchèrent de lui en souriant.
— Votre verge doit avoir bien chaud dans ce caleçon avec ce soleil. Ne souhaitez-vous pas lui faire prendre un peu l’air ? Si c’est oui, j’ai bien hâte de voir de quel calibre il s’agit.— Essayez de deviner, jeune fille.
Alors que Julie lui baissait son caleçon, l’homme lui attrapa la main.
— Non, non, non. Contentez-vous de la caresser à travers le caleçon. Celle qui aura l’estimation la plus proche de la réalité aura le plaisir d’être sodomisée la première. — Challenge intéressant. Voyons laquelle de nous deux se connait le mieux en bites, Maman. — Tu vas très vite apprendre que tu ne peux pas me coller dans ce domaine. Vas-y, je te laisse commencer.
Julie posa sa main sur la verge tendue de l’homme mûr et la caressa doucement afin de s’assurer de la rigidité maximale de l’organe. Après quelques allez-retours, la jeune femme posa son estimation.
— Je dirais quinze centimètres, pas plus.
Solange s’essaya à son tour à l’exercice et après quelques caresses, décida de surenchérir.
— Moi, je dirais dix-huit centimètres.
L’homme baissa son caleçon, dévoilant au regard des deux femmes une verge de taille respectable. Il la caressa d’un doigt de haut en bas puis de bas en haut.
— Vous avez eu raison, Solange : vous êtes incollable dans le domaines des bites. Votre estimation a été la plus proche : vous avez estimé la taille de mon sexe à dix-huit centimètres et votre fille à quinze. La taille correspondant à la réalité est dix-sept centimètres.
Solange adressa un sourire victorieux à sa Julie et s’assit sur la verge de son partenaire, la faisant pénétrer jusqu’à la garde dans son magnifique fessier.
Tandis que sa mère se faisait sodomiser à sec sous les yeux excités de sa soeur, Fabrice ressentit à nouveau cette violente tentation de se masturber. Solange et Julie étaient belles et il le savait. Tous ses amis lui disaient à quel point il avait de la chance de les avoir pour mère et soeur, qu’elles étaient la mère et la soeur qu’ils rêvaient tous d’avoir. Le jeune homme se prit même à imaginer leur excitation s’ils voyaient la scène qui se jouait sous ses yeux. Tout à coup, un sursaut de conscience vint remettre les idées du jeune homme en place. Il était venu pour en savoir plus et si ce qu’il voyait ne lui apprenait rien, il s’adresserait directement aux deux femmes. Cependant, il savait que pour aborder le sujet, il lui fallait une porte d’entrée. Il se saisit donc de son téléphone et prit des clichés plus qu’explicites de la scène. Il voulait des réponses et il les aurait.
Pendant que Fabrice rangeait son téléphone dans sa poche, sur ordre de l’homme, Julie avait plaqué le visage de sa mère contre son sexe et Solange se délectait de lécher la magnifique moule de sa fille tout en sentant les coups de butoir de son partenaire lui distendre le cul.
Sur injonction de l’homme, la mère et la fille échangèrent leurs places. Déjà bien chauffé par les coups de queue qu’il avait donnés dans le postérieur de Solange, celui de Julie ne tarda pas à lui faire ressentir une éjaculation imminente. Il souleva la jeune femme et commanda à Solange et Julie de frotter leurs sexes contre le sien.
— Frottez-vous jusqu’à ce que je jouisse sur vos moules !
Les deux femmes n’eurent pas besoin de se plier à l’exercice bien longtemps pour voir jaillir trois jets de sperme du gland de leur partenaire.
— Eh bien, mes jolies, vous ne m’avez pas menti ! Vous êtes les meilleures candidates que j’ai eues jusqu’à présent. Vous aurez une bonne note de ma part, c’est sûr.
Solange et Julie sourirent à l’homme d’âge mûr et l’embrassèrent sur les lèvres avant de se rhabiller. Fabrice, de son côté, était stupéfait par ce qu’il venait d’entendre. Candidates... Note... S’agissait-il d’un jeu ? Si tel était le cas, il s’agissait d’un drôle de jeu. Le jeune homme sortit discrètement de sa cachette et s’empressa de regagner la demeure familiale afin de ne pas éveiller les soupçons des deux femmes. Il avait à présent un indice sérieux pour percer le mystère de Solange et Julie. Il ne lui restait plus qu’à les interroger.
[ à suivre ]
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