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Drôle de jeu

Chapitre 3

Inceste
Le lendemain, à la suite d’une nuit bien étrange, Fabrice se leva pour prendre son petit-déjeuner. Il salua sa mère et sa soeur qui étaient en train de papoter. En mangeant sa tartine accompagnée d’une tasse de café, il leur demanda comment s’était passé leur soirée de la veille, quand bien même il connaissait déjà la réponse à cette question.
— Vous avez passé une bonne soirée hier soir ?— Oui, oui, c’était sympa. On a discuté, on a ri. Ça m’a fait du bien de revoir ma collègue.— Et toi, Julie ?— C’était sympa aussi. À part le fait que je devais sans arrêt écouter les divagations amoureuses de ma copine. Et toi, tu as fait quoi ici tout seul ?— Rien de spécial. J’ai regardé un peu la télé et je suis allé dormir.
Sur cet échange de banalités, Fabrice finit son petit-déjeuner et après s’être habillé, prit le parti de sortir prendre l’air. Sans rien dire, il ouvrit la porte.
— Où est-ce que tu vas ?— Faire un tour.
Sans plus de précisions, le jeune homme referma la porte derrière lui et marcha pendant près d’une heure, l’esprit embrumé par les scènes qu’il avait surprise la veille et les indices dont il disposait. À ce stade, il lui était tout simplement impossible de renoncer à percer à jour ce mystère mais il ignorait tout de la façon dont il aborderait le sujet avec Solange et Julie.
Lassé d’errer dans les rues sans but précis, Fabrice rentra chez lui se reposer. À son arrivée, Solange l’accosta.
— Alors, tu ne veux toujours pas me dire où tu es allé ?— Je te l’ai dit : je suis allé faire un tour. — Tu es juste allé faire un tour ou tu es allé voir quelqu’un de peu recommandable ou que sais-je encore comme cachotterie ?
Le dernier mot de sa mère donna à Fabrice une occasion inespérée de trouver réponse à ses questions.
— J’ai juste éprouvé le besoin de prendre l’air mais en parlant de cachotteries, Julie et toi n’êtes pas mal dans le domaine. — Qu’est-ce que tu me chantes, Fabrice ?
— Tu comprendras assez vite. J’aimerais vous parler à Julie et toi.— Bon, très bien.
Solange appela sa fille et les trois membres de la famille se réunirent dans le salon.
— Alors, Fabrice, de quoi est-ce que tu veux nous parler ?— C’est à propos d’hier. Je sais ce que vous avez vraiment fait hier après-midi et hier soir.
Il sortit son téléphone de sa poche et leur montra le cliché plus qu’explicite qu’il avait pris de la scène entre le mystérieux homme et les deux femmes.
— Quand est-ce que vous comptiez me parler de ces hommes que vous voyez ? Et ce n’est pas tout : hier après-midi, je vous ai vues arriver avec deux hommes et tu leur as dit, Maman, que je ne devais rien savoir. Je vous ai donc suivis, vous et les deux types, jusqu’à la cave et c’est comme ça que j’ai su pour votre rendez-vous d’hier soir. Et hier soir, j’ai entendu le type vous dire qu’il vous mettrait une bonne note, que vous étiez les meilleures candidates qu’il ait eues. De quoi est-ce qu’il s’agit ?
Solange et Julie se regardèrent, résignées.
— Il y a quelques semaines, ta soeur et moi avons vu un site sur lequel était proposé un concours. Dans ce jeu, il y a des femmes, seules ou en duo comme Julie et moi et des hommes qui font office de jury. Il y a trois millions à gagner pour la meilleure femme seule et le meilleur duo. C’est pour ça que tu nous as vues, ta soeur et moi avec ces hommes. Nous ne voulions pas que tu le saches par peur de te choquer.— Bon, d’accord. Je comprends un peu mieux vos raisons mais ce n’est pas dangereux ? Enfin, s’il n’y a pas d’anonymat... — Si, si, l’anonymat est garanti. Les candidates et les membres du jury s’inscrivent au concours sous des pseudonymes.— Et il dure jusqu’à quand ce concours ?— Jusqu’à la fin du mois. Maintenant que tu sais ce qui se passe, tu peux t’inscrire en tant que membre du jury pour avoir quelques jolies filles dans ton lit si tu le souhaites. Ce sera notre aventure familiale et si nous gagnons, nous partagerons l’argent en trois parts égales. Qu’est-ce que tu en dis ?
La sincérité de sa mère touchèrent beaucoup Fabrice et à présent qu’il était rassuré, il ne pouvait pas lui refuser grand-chose. Il supprima la photo de son téléphone et d’un ton enjoué, accepta la proposition de Solange.
— Bon, soyons fous. Je m’inscris. — Chouette !
Julie alla chercher son ordinateur portable et dirigea son frère sur la page d’accueil du site dont Solange avait parlé. Une fois les formalités liées à l’activation de son compte réglées, Fabrice se déconnecta et éteignit l’ordinateur.
— Te voilà un membre du jury, petit frère !
Sur ces mots, la jeune femme caressa l’entrejambe de son cadet à travers son pantalon.
— Julie, qu’est-ce tu fais ?!— Tu nous as bien vues nues alors il serait plus équitable que tu nous montres à ton tour ce que tu caches sous tes vêtements, n’est-ce pas, Maman ?— Ta soeur a raison, Fabrice. N’oublie pas que tu as vu quelque chose que tu n’étais pas sensé voir. Laisse donc Julie te déshabiller.— Vous deux, vous étiez en train de vous amuser. Moi, je serais juste exhibé. Ce n’est pas très juste non plus.— Il y a du vrai dans ce que tu dis. Ta soeur et moi nous mettrons nues aussi.
Sur ces mots, Solange commença à se déshabiller et lorsqu’elle eut finit d’effeuiller son frère, Julie l’imita. Voir les deux femmes avec lesquelles il vivait en tenue d’Eve si proches de lui procura rapidement au jeune homme une puissante érection.
— Oh mon dieu ! Tu vois ce que je vois, Maman ? La queue de ton fils est immense. Elle doit faire au moins vingt centimètres.— C’est vrai qu’elle est plutôt grosse mais ne surenchérissons pas. Je dirais dix-huit centimètres.— Je vais aller chercher une règle. Contrairement au type, elle ne pourra pas mentir.
La jeune femme courut dans sa chambre pour se munir de l’instrument et revint quelques secondes plus tard, la règle à la main. Julie prit bien soin de caler le zéro de la règle contre la base du sexe de Fabrice et à la vue du résultat, émit un sifflement d’admiration.
— J’avais raison, Maman. Vingt-deux centimètres ! C’est donc moi qui aurai la première le plaisir de sucer cette belle bite d’étalon.
La jeune femme entoura de ses doigts la verge de son frère dont elle décalotta le gland violacé avant de la gober à pleine bouche. Solange s’assit aux côtés de Fabrice et lui donna quelques baisers dans le cou. Séduit par les caresses des deux femmes, le jeune homme émit un soupir de satisfaction et entreprit de malaxer les seins de sa mère dont il amenait de temps en temps les tétons à sa bouche pour les suçoter. Ses mains se firent de plus en plus exploratrices jusqu’à caresser le sexe suintant de cyprine de Solange qui gloussa de délectation.
— Tu es un petit profiteur, toi ! Tu sens ce liquide sur tes doigts ? Il est bon, je t’assure. Tu veux y goûter ?
Sur ces mots, Solange mouilla deux doigts et les porta à sa bouche pour les lécher avec gourmandise.
— Oui, Maman, je veux goûter à ton jus d’amour.
Solange posa un pied sur le canapé et approcha doucement le visage de son fils de son calice. Fabrice se donna à coeur joie de laper le délicieux breuvage qui coulait à flots de la vulve qui lui avait donné naissance.
— Julie, viens prendre ma place. Ton frère lèche divinement bien. Laisse-moi le sucer.
Les deux femmes échangèrent leurs places. Tandis que Solange prodiguait une fellation experte à son fils, Julie avait adopté la posture que sa mère avait quelques instants auparavant.
— Non, pas tout de suite, Julie. Je veux d’abord te sucer les seins.
La jeune femme accéda à la requête de Fabrice et celui-ci embrassa langoureusement la poitrine offerte de sa soeur tout en lui caressant lascivement le sexe. Julie se prêta au jeu quelques instants puis, comme Solange l’avait fait quelques minutes avant elle, posa un pied sur le canapé et attira le visage de son frère vers sa moule.
Le jeune homme ne se fit à nouveau pas prier pour boire le nectar que sa soeur lui offrait en abondance.
— Tu as raison, Maman : Fabrice me lèche très bien la chatte.
Ce compliment de Julie sur ses talents excita davantage le jeune garçon qui sentit son sexe palpiter dans la bouche de sa mère, signe d’une jouissance imminente. Solange retira l’engin de Fabrice de sa bouche et entreprit de le masturber.
— Il va bientôt jouir. Viens avec moi goûter au jus d’amour de ton frère.
Julie joignit sa main à celle de Solange et les deux femmes, la bouche ouverte dans l’attente de la semence de Fabrice continuèrent de le masturber en complimentant sa verge.
Suite à un énième compliment de sa mère sur son sexe, le jeune homme éjacula dans les bouches avides de Solange et Julie qui déglutirent avec gourmandise.
Lorsqu’ils eurent retrouvé leur souffle, les trois protagonistes de cette scène incestueuses discutèrent du concours.
— Maintenant que tu es membre du jury, tu pourrais nous mettre une note. — Vous avez raison, les filles.
Fabrice se connecta à nouveau au site et sur les indications de Solange et Julie, attribua la note maximale à leur pseudo commun.
— Maintenant, surveille bien ta messagerie : certaines candidates pourraient essayer de te contacter. — J’y songerai. Si elles font toutes ça aussi bien que vous, je suis preneur.— Et ta soeur et moi continuerons de tous les séduire. Ensuite, à nous les millions !
Forts de leur union dans le concours, Solange et ses enfants se revêtirent et passèrent le reste de la journée à se détendre paisiblement en attendant un éventuel rendez-vous avec les millions.
[ à suivre ]
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