Sur le chemin du retour, Fabrice s’enquit du résultat du court-métrage que Solange et Julie devaient réaliser. — Alors, vous avez réussi à tout filmer ?— Oui, et le résultat est au-delà de nos espérances. Vous baisiez tellement bien, Mélanie et toi, que Maman et moi, nous avons dû poser un trépied pour pouvoir nous masturber.— C’est vraiment Mélanie et moi qui vous avons mis dans cet état ou c’est le fait de voir ma "belle bite d’étalon", comme tu dis, en action ?— J’avoue que de voir ta belle bite d’étalon labourer les trous de ta Mélanie m’a laissée plutôt jalouse.— Et toi, Maman, tu n’étais pas jalouse ?— Non, j’étais surtout fière de voir mon fils s’occuper aussi bien d’une belle jeune fille. Enfin, si, comme ta soeur, j’étais un peu jalouse de Mélanie.— Vous savez, ça peut s’arranger...— Non, non, non, petit pervers. Il te faudra te contenter des fellations que ta soeur et moi t’avons prodiguées hier soir.— Justement. Au point où en est, autant continuer. Et puis, on dit que par derrière, ça ne compte pas.— Nous n’avons pas besoin d’y être préparées. Nous avons déjà bien pris de ce côté-là il y a un moment.— 17 cm. Ce n’est pas très exceptionnel. Par contre, est-ce que vous avez déjà pris 22 cm par derrière ? Je ne pense pas.— C’est vrai que nous n’avons jamais pris très gros. Nous verrons mais en attendant, Julie et moi devons envoyer une demande d’évaluation et toi, n’oublie pas de mettre une note à Mélanie. Au vu de ce que tu lui as dit, elle serait très déçue que tu ne l’évalues pas.— On peut toujours faire ça pendant que vous cherchez à qui demander de vous évaluer. Ce serait une préparation bien agréable pour tout le monde.— Nous verrons. Le reste du trajet se déroula sans que Fabrice et les deux femmes ne s’échangeassent la moindre parole. À leur retour à la maison, Solange et ses enfants rangèrent leur matériel de réalisation. Fabrice monta dans sa chambre et se connecta au site afin de donner sa note à Mélanie tandis que Julie et sa mère demeuraient au salon, connectées sur le site grâce à l’ordinateur portable de la jeune femme. Les paroles qu’il avait échangé avec sa mère et sa soeur procurèrent à Fabrice une puissante érection. Le jeune homme se déshabilla et alla rejoindre Solange et Julie au salon. En le voyant arriver, Solange l’accueillit d’un ton faussement irrité. — Il ne me semble pas t’avoir dit oui, petit pervers. — Vous avez trouvé à qui demander de vous évaluer ? Si c’est oui, on pourrait jouer à un jeu : vous devrez essayer de rédiger votre demande d’évaluation pendant que je vous sodomiserai. Ça vous convient comme défi ?
— Oui, nous avons trouvé quelqu’un. Un homme dans la trentaine. Nous comptons lui donner rendez-vous ici, dans le jardin.— Parfait. Alors laquelle de vous veut s’essayer au jeu la première ?— Bon, puisque tu insistes, je vais commencer. Solange se dévêtit et se mit à quatre pattes devant l’ordinateur posé au sol. Fabrice s’accroupit derrière elle. — Un peu de lubrifiant, Maman ?— Non, sodomise-moi à sec. — Pas de problème. Tu es prête ?— En fait, lubrifie mon petit trou. Avec ta langue bien sûr. Ce sera le prix à payer si tu veux me prendre. Tu peux toujours renoncer si tu le souhaites.— Pas question de renoncer à un si beau cul. Fabrice écarta les fesses de sa mère pour mieux y mettre sa langue. Solange, excitée par la situation, encourageait son fils à poursuivre son oeuvre sous le regard concupiscent de Julie. Le jeune homme, tout heureux de pouvoir lécher et pénétrer le postérieur de sa génitrice, ne se fit pas prier pour accéder à cette requête. Estimant que ce petit échauffement avait assez duré, Solange commença à taper la demande d’évaluation, signe qu’attendait Fabrice pour commencer à la sodomiser. Il enfonça lentement sa verge dans l’orifice de sa mère mais celle-ci l’interrompit net. — Mets-la moi d’un seul coup. Fabrice se retira et fit pénétrer d’une seule poussée son sexe dans le postérieur de Solange. Le jeune homme la pilonna puissamment, l’empêchant de se concentrer sur sa rédaction. En effet, Solange était bien trop occupée à savourer le plaisir que lui procuraient les vigoureux coups de queue de son fils pour s’atteler à la rédaction de sa demande d’évaluation. — Oh oui, c’est bien comme ça ! Oui, continue comme ça, mon enfant ! Pilonne-moi bien le cul. Ah ! Fabrice, excité par les paroles de sa mère, accéléra son mouvement jusqu’à ce que Solange demande à sa fille de la remplacer, admettant sa défaite. Julie prit donc la place de sa mère devant l’écran. Soucieux de l’égalité de traitement entre les deux femmes, Fabrice passa sa langue sur le petit orifice de sa soeur en y laissant un peu de salive jusqu’à ce que la jeune femme se sentît prête à relever son défi . Comme il l’avait fait avec Solange, le jeune homme enfonça d’un seul coup sa verge entre les globes jumeaux de Julie et se mit à la pilonner avec force. La jeune femme tenta tant bien que mal de rédiger la demande d’évaluation mais les puissants coups de queue de son frère l’empêchaient de réfléchir et, comme sa mère, s’abandonna au plaisir intense qu’ils lui procuraient. — Oui, Fabrice, j’adore ta belle bite d’étalon ! Vas-y, petit frère, baise-moi bien le cul ! Les encouragements de sa soeur excitèrent Fabrice qui accéléra son mouvement jusqu’à sentir la jouissance venir inexorablement. — Ah ! Je vais jouir ! Maman ! Mets-toi à côté de Julie ! Ayant une idée de ce que son fils désirait, Solange obtempéra sans discuter et le jeune homme se retira de l’orifice de sa soeur pour éjaculer sur les fessiers offerts des deux femmes. Lorsqu’ils se furent remis de leurs orgasmes, les trois protagonistes établirent leur plan pour la suite des opérations. — Bon, maintenant, vous n’avez plus aucune raison d’être jalouses de Mélanie. — Tu as eu une superbe idée, mon enfant. Ta belle bite d’étalon nous a bien rempli le cul. Maintenant, va préparer les caméras et place-les de façon à ce qu’elles couvrent toute la zone. Pendant ce temps, Julie et moi allons finir de rédiger notre demande d’évaluation. — Ça marche mais d’abord, j’aimerais vous proposer quelque chose, un petit jeu entre nous : afin qu’aucun de nous ne se sente jaloux, je propose que vous me suciez après chaque rendez-vous et moi, je vous sodomiserai à chaque fois que je verrai une fille. Ça vous va ?— C’est ton jour, décidément ! C’est d’accord. Tu pourras même nous enculer à sec.— Non, ça m’a plu de vous lécher le cul. Je vous lècherai avant de vous sodomiser. — Comme tu veux. En riant, les trois membres de la famille allèrent vaquer à leurs tâches respectives. Lorsqu’il eut installé les caméras et vérifié leur état de fonctionnement, Fabrice alla faire son rapport à Solange et Julie. — Tout fonctionne à merveille. Et vous, de votre côté ? Il va venir, votre juge ?— Oui, il vient de nous répondre. Il devrait arriver dans peu de temps. Prépare-toi à tout filmer. Le jeune homme remonta dans sa chambre afin de pouvoir filmer depuis la fenêtre donnant sur le jardin sans être repéré. Un quart d’heure plus tard, Fabrice vit Solange et Julie escorter leur juge dans le jardin. Il alluma les caméras et se prépara à savourer le spectacle. — Bienvenue dans notre univers, beau jeune homme. Ce soir, vous aurez le privilège de rassasier votre insatiable appétit sexuel avec ma fille et moi.— Tout le plaisir est pour moi, Mesdames. Solange et Julie effeuillèrent lentement leur partenaire avant de se dévêtir à leur tour. — C’est une queue très impressionnante que vous avez là. Je sens que nous allons tous prendre énormément de plaisir. Sur ces mots, Solange s’agenouilla devant l’homme et goba son sexe jusqu’à la garde tandis que Julie l’embrassait avec science à pleine bouche. Les mains de son partenaire se baladèrent sur le corps de la jeune femme. Elles remontèrent d’abord de ses hanches jusqu’à ses seins qu’elles malaxèrent avec frénésie puis elles redescendirent au niveau du fessier qu’elles caressèrent avec douceur tout en lui donnant quelques petites tapes coquines. Les deux femmes échangèrent ensuite leurs places et, s’estimant suffisamment échauffé par ces agréables préliminaires, l’homme leur demanda de s’allonger sur le gazon. Solange et sa fille obtempérèrent sans piper mot et leur partenaire commença par enfoncer son sexe dans celui de Julie qu’il baisa avec vigueur jusqu’à lui arracher un cri de plaisir. Ce fut ensuite au tour de Solange d’être pénétrée. Comme pour sa fille, il ne fallut que peu de temps pour que les coups de queue de l’homme ne lui soutirent un gémissement de délectation. Le juge s’amusa ainsi à passer d’un sexe à l’autre jusqu’à en être lassé. Il leur demanda donc de se mettre à quatre pattes de manière à lui exposer leurs splendides fessiers. Soucieuses de faire bonne impression, Solange et sa fille accédèrent à la requête. Fabrice, de son côté, ne put s’empêcher de sourire en constatant que l’homme désirait leur faire la même chose que lui peu de temps auparavant. Il se félicita d’avoir eu l’idée de les préparer. La verge de l’homme commença cette par s’enfoncer dans le petit trou de Solange. Le juge pilonna puissamment l’orifice de la mère avant de passer à celui de la fille auquel il réserva le même traitement. L’homme passa ainsi d’un postérieur à l’autre jusqu’à jouir dans les bouches des deux femmes auxquelles il avait préalablement ordonné de s’agenouiller devant lui, la bouche ouverte. Satisfait, le juge invita Solange et Julie à s’assoir près de lui. À ce moment-là, Fabrice jugea bon de couper les caméras. — Vous avez été très accueillantes, dans tous les sens du terme et très ouvertes. Vous m’avez montré les deux qualités que je recherche le plus chez une femme. Ça a donc été un privilège pour moi de vous avoir rencontrées. Passez une bonne soirée et à une prochaine fois. L’homme se rhabilla et fit la bise aux deux femmes avant de s’en aller. Fabrice se sentait un peu à l’étroit dans son boxer et savourait déjà les soins que Solange et Julie lui prodigueraient. De plus, depuis qu’il avait rejoint les membres du jury, le jeune homme avait largement ouvert son horizon sexuel et il était impatient d’avoir une nouvelle candidate à évaluer. [ à suivre ]
