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Drôle de psychanalyse

Chapitre 2

Lesbienne
Je me fis toute belle pour cette soirée particulière. Je mis mes dessous « spécial rencard ». Un soutien-gorge noir en dentelle qui rehaussait mes seins et un tanga noir épousant à la perfection la forme de mes fesses. Malgré les images qui traversaient mon esprit, je savais qu’il y avait très, très peu de chance pour que je me retrouve en sous-vêtement devant ma psy. J’hésitai devant ma penderie, ne sachant quoi mettre. Elle m’avait prévenue que ce serait quelque chose de décontracté, je voulais quand même être belle. Je choisis mon jean slim noir avec mon tee-shirt kaki : simple, basique et élégant. Je me coiffai et me maquillai puis partis chercher ma petite amie pour la soirée. Nous avions convenu que je viendrais la chercher afin que nous puissions discuter de certains détails dans la voiture.
Je ne fus pas longue à arriver devant chez elle. Elle vivait dans une jolie maison, un peu éloignée du centre-ville. Je lui envoyai un message pour lui prévenir de mon arrivée et sortis de la voiture. Elle arriva rapidement et je fus conquise par la simplicité de ses vêtements, qui portés sur elle, la rendait très attirante. Elle portait une robe fluide de couleur aubergine. Elle portait des escarpins, ce qui faisait qu’elle était un peu plus grande que moi. Elle avait fait une tresse avec ses cheveux bruns et s’était maquillée de sorte à faire ressortir ses yeux et ses lèvres. Je ne pouvais que me remémorer la douceur de celles-ci et leurs goûts légèrement sucrés. J’avais très envie de réitérer l’expérience. Elle fut enfin devant moi. Le temps qu’elle descende les escaliers, j’avais eu tout le loisir de détailler sa tenue et ainsi remarquer la nudité de ses jambes. Elle ne savait pas trop comment me saluer et décida donc de me faire la bise.
Je voyais bien qu’elle était gênée et stressée, pourtant elle me souriait chaleureusement. Je lui ouvris la portière, puis contournai la voiture et pris la direction du restaurant. Je gardais difficilement mon calme, plusieurs images me traversèrent l’esprit et pas très catholique si vous voyez ce que je veux dire...
Dans l’habitacle de la voiture, le silence primait. Aucune de nous n’osait parler. N’y tenant plus, je cédai.
— Alors on fait comment ce soir ? — Déjà, ce serait bien que l’on s’appelle par notre prénom. Moi c’est Lucile avec un seul L.— Lucile avec un seul L, répétai-je. Bon bah moi vous savez. Ah et ce serait peut-être bien de se tutoyer. — Oui c’est vrai... Que vous... Que veux-tu savoir d’autre ? — Ton âge, ce que tu aimes, des petites choses afin de ne pas paraître idiote pendant le repas. — J’ai 28 ans. J’aime lire, faire du shopping, sortir avec des amis, regarder des films et des séries... Rien de bien extraordinaire... — Bon comme tu le sais déjà, j’ai 23 ans et j’aime lire, écrire, cuisiner et faire du shopping entre autres.
Nous arrivions bien trop vite sur le parking. Et je ne savais plus trop si c’était une bonne idée. J’avais peur qu’on nous grille. Elle aussi n’en menait pas large. Je lui dis qu’on allait réussir, essayant à la fois de me rassurer et de la rassurer. Je la pris par la taille et entrons dans le restaurant. L’avoir contre moi me chamboulait. Mon esprit devenait brumeux. Elle se crispa quand elle vit son amie. Je la serrai un peu plus contre moi, et lui murmurai que tout allait bien se passer. Je humai par la même occasion son parfum fleuri.
— Tu sens divinement bon, lui susurrai-je.
Cette phrase fit empourprer ses joues.
— Embrasse-moi, murmura-t-elle.
Je tournai immédiatement la tête dans sa direction, très étonnée, puis m’exécutai. Nous l’avions déjà fait après tout. Le baiser fut rapide, trop rapide à mon goût.
Son amie nous salua et nous nous installâmes l’une contre l’autre. Pendant que nous prenions l’apéritif, je posai ma main au niveau de son genou nu. Il fallait bien que j’en profite un peu. Elle sursauta lorsque ma main entra en contact avec sa peau. Je caressai sa peau douce puis remontai légèrement jusqu’au milieu de sa cuisse. Je serrai et desserrai ma prise. Puis je m’excusai et me rendis aux toilettes. J’avais chaud, mon cœur battait à tout rompre. La porte s’ouvrit et je découvris ma psy. Elle était énervée. J’en profitais trop selon elle. Je m’apprêtais à m’excuser quand elle m’embrassa avec sauvagerie. Ses bras passèrent autour de mon cou tandis que mes mains se placèrent presque automatiquement sur ses fesses, les palpant et les massant. Je la portai pour la faire asseoir sur le meuble du lavabo. Mon visage s’enfuit dans son cou et je lui déposai de délicats bisous au niveau de sa jugulaire.
Elle entoura ses jambes autour de ma taille pour que nos deux corps soient encore plus près. Sous l’effet de mes bisous dans son cou, son corps ondulait, ses mains agrippaient mon dos, j’entendais de légers soupirs sortir de sa bouche entrouverte. Je devenais fiévreuse. Avec beaucoup de volonté, je me détachai légèrement d’elle.
— Ta pote ne va pas trouver bizarre qu’on mette autant de temps ? m’inquiétai-je tout à coup.— Tais-toi ! M’ordonna-t-elle en m’attirant à nouveau contre elle, avide de mes baisers.

Tout en l’embrassant, ma main droite vint à la rencontre de fin tissu, dernier rempart avant son intimité. Pas le temps pour les préliminaires. C’était un besoin urgent. Une envie irrépressible. Mes doigts passèrent outre son sous-vêtement. Sa grotte y était chaude et humide. Il ne m’en fallait pas plus pour me laisser aller, jouer avec son clitoris de mon pouce pendant que deux de mes doigts la pénétrèrent. Elle se cambra, me serrant encore plus contre elle. Mon visage se retrouva littéralement dans sa poitrine. Mes va-et-vient se firent plus rapides, plus en profondeur. Mon bassin suivait les mouvements de ma main. C’était un délice de voir son corps réagir autant sous mes caresses et de voir son visage défiguré par le plaisir. Elle ne fut pas longue à jouir. Mes oreilles écoutaient la douce musique de ses gémissements.
Elle retrouva la terre ferme, réajusta sa robe et sa coiffure puis nous retournâmes à notre table. Son amie n’était pas dupe, elle se doutait bien de ce que nous avions fait dans les toilettes pendant 5 minutes. Mais elle ne dit rien. Et après cette petite escapade, il était bien plus simple de jouer au faux couple. Le dîner se passa à merveille. Par moments, Lucile caressait ma cuisse ou mon dos. J’avais très envie que le repas se termine et de retrouver le doux corps de ma partenaire pour la soirée. La jeune brune semblait également impatiente de quitter le restaurant.
— Ah bah tu vois ! Je savais bien que vous alliez bien vous entendre, affirma l’amie de Lucile. — Oui tu as raison, depuis on ne se quitte plus, dit la brune. — Et au lit, ça doit être quelque chose... Vous ne pouvez même pas vous retenir le temps d’une soirée au restaurant.
Nos joues s’empourprèrent à l’annonce de cette petite pique. Heureusement que son amie était très compréhensive et une fois notre plat terminé, elle demanda directement l’addition pour « nous laisser faire nos petits batifolages ».
Une fois dans la voiture, nous nous embrassions avec folie, nos deux corps étaient en ébullition. Ma main caressa sa cuisse et remonta vers son intimité. Elle cessa de respirer, attendant la suite, mais j’étais d’humeur joueuse. Et j’arrêtai ma main en si bon chemin. Elle gémit de frustration. Puis je la raccompagnai jusqu’à chez elle.
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