Richard, Duc de Sioulot dût quitter son château quelques semaines, convoqué à Paris par le Roi, pour discuter d’une affaire importante.A son retour, il eût la désagréable surprise d’apprendre que Claire, son épouse adorée et en qui il avait toute confiance l’avait trompé presque tous les jours avec Hubert son intendant. Il fit mine de prendre les choses avec légèreté et laissa passer quelques semaines, attendant le moment opportun pour asséner sa vengeance.Il s’éloignait souvent, s’inventant des prétextes, tel que visiter ses métayers, honorer l’évêque de la ville voisine, chasser…Son valet avait reçu une mission: surveiller secrètement la Duchesse et le prévenir en faisant fumer blanc la cheminée de sa chambre si les amants se retrouvaient. Mois d’un mois après son retour, Richard vit le signal. Il faut dire qu’il restait toujours à portée de vue, ruminant son amertume et préparant sa vengeance. Il rentra au château à bride abattue, se rua dans les appartements de sa femme et surprit les amants en pleine action.Il les séquestra, les dissimulant dans la partie secrète du château. Là, je dois donner quelques précisions sur l’architecture du château de Sioulot.Au début, vers l’an mille la falaise de calcaire fut creusée en habitation troglodyte. Le passage des voyageurs se développant dans le vallon, le seigneur du moment s’y installa dans le but de collecter un péage et il fit agrandir le "palais".Le grand-père de Richard, héritant de la terre, fit construire un château moderne à flanc de montagne, situé à moins de deux cent mètres de la falaise. Un tunnel reliait le château et les vingt cinq "chambres" du palais souterrain. Il emmena Claire et son amant, et les enferma dans des pièces séparées. Il revint le lendemain, accompagné de son médecin, du forgeron et de deux servantes de toute confiance. La menace d’une mort très lente, devrait suffire à gagner leur loyauté. Il s’occupa d’abord de Claire, sa tendre épouse, qui était, il faut le dire d’une très grande beauté. Une taille fine, de beaux seins fermes et des proportions de rêve, elle ne faisait pas ses trente trois ans.Sans ménagement, ils l’attachèrent en croix sur une table. Le médecin sortit de sa trousse différentes fioles et instruments.Il nettoya soigneusement le sexe de la Duchesse avec un chiffon imbibé, puis, à l’aide d’une grosse aiguille, fit cinq trous autour de son vagin, et un à chaque téton. Le forgeron plaça un gros anneau dans chaque plaie, les refermant à la pince, accompagné des hurlements de la Duchesse.Le médecin versa encore beaucoup du contenu de sa fiole sur le sexe sanglant, ce qui fit redoubler les cris de Claire.Ils la laissèrent ainsi, se rendant dans le cachot de l’intendant.
Ils l’attachèrent de la même manière et firent aussi cinq trous garnis d’anneaux à la base de son vit et à ses tétons. Deux fois par jour on venait leur donner de la soupe et nettoyer leurs souillures, puis le médecin les examinait. A la fin de la semaine, ils furent détachés, mais restèrent enfermés dans leur cellule. Au bout du mois, on put constater que le médecin connaissait son affaire, les plaies étaient propres et cicatrisées. Richard les fit emmener dans une grande pièce, luxueusement meublée et décorée, très lumineuse, bien qu’elle soit située au coeur de la roche de la falaise. Le forgeron entreprit de retirer les anneaux des deux amants.Par dessus leurs larmes, Richard leur dit: " Puisque vous aimez tant que ça le sexe de l’autre, vous allez en profiter jusqu’à la fin de vos jours!"Alors les servantes s’employèrent à exciter l’intendant, puis tout le monde s’y mettant on le fit pénétrer la Duchesse. Le forgeron remit les anneaux en place, liant leurs sexes et leurs poitrines, les faisant copuler pour l’éternité. Quatre fois par jour, Hubert pissait dans le ventre de sa concubine, et autant de fois la Duchesse trempait les couilles de son compagnon.Tous les soirs les servantes faisaient leur toilette, rinçant le vagin de la Duchesse à l’aide d’un clystère glissé le long du membre d’Hubert, ce qui ne manquait pas de l’exciter, malgré l’horreur de la situation.Et tous les soirs, Richard venait sodomiser les amants, une fois Claire en premier, l’autre fois Hubert. Et tous les soirs, les amants involontaires finissaient par jouir, les servantes les y aidant par leurs caresses savantes.Avant la fin de l’été, Claire fut enceinte. Cela n’attendrit pas Richard pour autant. Rien ne changea jusqu’à ce que Claire perde les eaux. Ce jour là, Richard les fit installer sur la table et enlever les anneaux de leur tétons afin qu’Hubert puisse se tenir debout.Il s’installa confortablement dans un fauteuil, attendant que Claire accouche.Les contractions de Claire furent tellement violentes que leurs sexes se déchirèrent. Quelques anneaux restèrent sur l’intendant, au milieu de lambeaux sanglants et quelques uns sur les ruines de la chatte de Claire.Richard les sodomisa à nouveau et leur fit subir toutes les horreurs qui traversèrent son esprit affolé. Cela dura toute la nuit. Au matin, il jeta leurs dépouilles au bas de la falaise. Le lendemain, le château brûla. L’incendie dura tout le jour et toute la nuit. Au petit matin, il s’effondra avec une partie de la falaise.On ne connut jamais la cause de l’incendie, car il n’y eut aucun survivant.
