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L'éducation de ma jeune épouse ...

Chapitre 1

Comme faire d'une jeune vierge une épouse bien docile.

Avec plusieurs hommes
De mon point de vue d’autrice, cette histoire n’est que pure fiction. Mais du point de vue d’un lecteur du site et de sa jeune épouse, qui se reconnaîtront sans nul doute et que je remercie infiniment pour leurs confidences, il s’agit bien là d’une histoire vraie.

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Je m’appelle Bernard et je vis à Bruxelles. J’ai 60 ans et suis aujourd’hui pensionné après avoir exercé avec bonheur pendant de longues années le métier de professeur d’économie. Ayant hérité de mes parents, je vis de mes rentes et la vie est belle. Elle est d’autant plus belle que je suis un jeune marié et que mon épouse Elodie n’a que 22 ans. Je n’aurais jamais dû croiser son chemin mais, comme dit le proverbe, il n’y a que les montagnes qui ne se rencontrent pas.

Notre histoire commune a commencé en 2018 lorsque je décide de postuler une place d’enseignant chercheur à l’ULB (Université Libre de Bruxelles). Malheureusement, je me fais souffler le poste par André, un collègue d’enseignement mais néanmoins concurrent pour l’occasion. Bon perdant, j’accepte tout de même son invitation au cocktail qu’il donne avec son épouse Simone pour fêter sa nomination. Parmi les personnes présentes à la soirée, je remarque une superbe jeune fille aux longs cheveux blonds. Elle a un visage ovale et souriant, des yeux verts avec des reflets turquoise. Elle doit faire un mètre soixante, 85B de poitrine, un ventre plat et de jolies fesses. L’idéal féminin de tout homme mature un peu porté sur le sexe, comme moi !

Même si je ne suis pas désagréable à regarder et entretient la forme en pratiquant du sport et en surveillant mon alimentation, je n’ai rien d’extraordinaire. Pourtant, sans que je sache pourquoi, cette jeune étudiante au visage d’ange et aux yeux rieurs passe son temps à papoter avec le vieux prof que je suis et je sens qu’elle s’accroche à moi. Qu’elle n’est pas ma surprise quand, au cours de la soirée, mon collègue André, organisateur du cocktail, se dirige vers nous et me dit

-    Bonsoir Bernard, je vois que tu as fait la connaissance de ma fille Elodie.

Puis, se tournant vers sa fille, il poursuit

-    Elodie, c’est à Bernard que j’ai soufflé le poste qu’il convoitait également. J’ai été meilleur que lui sur ce coup là, mais maintenant c’est du passé !

Je ne savais pas à ce moment-là que l’avenir allait me procurer l’occasion de prendre une délicieuse revanche !


Bien vite j’ai revu Elodie et j’ai pu la séduire ; bien vite j’ai découvert qu’elle était vierge et ne connaissait rien aux plaisirs de la chair. Je l’ai donc initié progressivement et, au fil de nos rencontres, l’innocente nymphe s’est transformée en une gourmande coquine. Il m’a fallu de nombreuses rencontres pour lui apprendre à me faire de bonnes fellations et ne surtout pas me mordiller de ses dents. Je lui ai expliqué comment se servir de sa langue pour jouer et exciter le gland, comment bien serrer ses lèvres autour ma hampe et enfin comment téter et aspirer ma bite pour me faire cracher tout mon jus. Au début bien sûr, le goût de mon sperme l’a un peu écœuré et elle se dépêchait de tout recracher. Mais leçon après leçon, en la forçant parfois, elle a enfin su apprécier toute la saveur et toute l’onctuosité de mon foutre ; aujourd’hui elle avale tout avec délectation. J’ai dû aussi lui apprendre à varier les positions pour qu’elle comprenne que chacune d’entre elle présente ses avantages. La missionnaire est bien sûr la plus confortable pour la femme car c’est l’homme qui fait tout le travail. Je lui ai ensuite enseigné l’andromaque, le contraire de la missionnaire, pour que ce soit elle qui ait l’initiative. A chaque nouvelle découverte- allongé, debout, face à face ou autrement - je lui ai démontré, preuves à l’appui bien évidemment, comment elle pouvait atteindre l’orgasme en se donnant à moi corps et âme. Si je suis un excellent professeur, je dois avouer qu’elle est une élève appliquée, voire très douée.Une fois sa bouche et sa chatte conquises, j’ai souhaité lui enseigner les bienfaits de la sodomie. Avec douceur au début puis un peu plus fougueusement par la suite et parfois même à la hussarde lorsque nécessaire, je lui ai appris à ce que cet orifice soit aussi à ma disposition chaque fois que je le souhaite. Elle a un cul d’enfer et en y accédant, j’ai atteint le paradis. Oui, son ravissant petit cul est vite devenu un lieu d’enchantement où j’aime m’aventurer ; pour son plus grand plaisir à elle aussi ! De fil en aiguille, nous sommes tombés amoureux l’un de l’autre et, alors qu’elle avait tout juste 20 ans, nous avons annoncé notre mariage à ses parents. Son père André a frisé l’attaque cardiaque ; quelle superbe vengeance !

Elodie a aujourd’hui 22 ans ; elle a abandonné ses études car mes revenus suffisent à nous assurer un train de vie confortable. Chaque jour, je m’émerveille de voir combien ma jeune et jolie épouse est avide de découvrir les choses du sexe et se prête de bonne grâce à toutes les nouveautés que je lui propose.

Depuis de nombreuses années j’aime écrire des histoires érotiques, voire pornographique, et j’ai donc bien vite commencé à fantasmer sur des scénarios torrides et pervers dont ma bien-aimée est toujours l’héroïne. Mais de la fiction, j’ai fini par passer à la réalité !

L’avoir pour moi seul ne me suffit plus ; je vais lui faire découvrir la pluralité. Cela a commencé lors de soirées avec du « beau monde ». Avec ses airs de jolie jeune fille de bonne famille, Elodie attire immanquablement le regard des hommes murs et je lui ai donc demandé de séduire quelques vieux copains. Intelligente et de bonne conversation, séduisante et un tantinet provocante, Elodie parvient facilement à ses fins. Si son père la voyait se faire prendre par tous ces vieux mâles, nul doute qu’il serait prêt à me donner le poste que je visais à l’université. Il ne peut pas imaginer combien sa charmante fille est belle à quatre pattes sur la moquette, embrochée par deux belles queues qui la besognent en cadence. – l’une dans la bouche et l’autre dans la chatte ou le cul. Cela est un peu surréaliste de voir une aussi jeune femme aux prises avec deux ou trois vieux pervers mais c’est diablement excitant. Au petit matin, elle git comme une poupée désarticulée mais on lit sur son visage tout le plaisir qu’elle a eu à tenir son rôle d’épouse bien docile. Elle a du sperme dans les cheveux et sur le visage, son maquillage est dans un triste état, ses orifices sont encore tout béants mais elle n’en est que plus belle. Si la luxure a un visage, nul doute qu’il a celui d’Elodie !

Plus je l’entraîne dans le vice et la perversion, plus elle me suit sans la moindre hésitation. De rencontre coquine en soirée cochonne, je ne sais plus très bien si c’est moi qui lui ouvre la voie ou bien si c’est elle qui me pousse en avant. En m’épousant, la petite étudiante vierge est devenue une jeune femme épanouie aux yeux de tous. Mais en privé, j’en ai fait une femelle docile qui sait être une vraie salope accro à la bite lorsque je l’exige.

Un soir, alors que nous sommes au restaurant, un nouveau pas va être franchi dans l’éducation d’Elodie. A notre droite, un homme dîne seul à sa table ; c’est un arabe, la cinquantaine, ni beau ni moche. Régulièrement, il jette un œil à Elodie ; ses yeux noirs la scannent de la tête aux pieds. Ce regard de convoitise, je le connais bien car c’est celui de tous les hommes murs qui voient en Elodie la source de jouvence capable de leur rendre la fougue et l’endurance de leur vingt ans. Ma jeune épouse a ses longs cheveux tressés et attachés en deux couettes qui accentuent son look de « petite fille bien sage ». Son chemisier en satin blanc dessine parfaitement sa poitrine bien ferme. La nappe de la table n’est pas assez longue pour dissimuler sa mini-jupe noire qui laisse apparaître par moments les larges jarretières de ses bas de soie grise.

Oui, dans les yeux de cet arabe, je lis à livre ouvert le désir qu’il ressent devant ma si jeune et si désirable épouse. Mais dans ces yeux noirs et brillants, je devine aussi l’envie du vieux goujat qui rêve de faire de cette femme-enfant une vulgaire salope dédiée à ses besoins les plus lubriques.

En quelques mots discrets, j’explique à Elodie ce que j’attends d’elle. Quelques instants plus tard, la voici qui lance des regards furtifs à notre voisin, lui adresse quelques jolis sourires et ne se gêne pas pour croiser et décroiser les jambes de manière à lui montrer le haut de ses cuisses.

L’arabe fait tomber sa serviette et se penche lentement pour la ramasser. Elodie en profite pour bien écarter les jambes de manière à lui laisser deviner le fin tissu blanc de son string, ultime rempart à son sexe que je sais déjà trempé d’excitation.

Puis la voici qui se lève et se dirige innocemment vers les toilettes situées au sous-sol de l’établissement. En passant près de la table de l’arabe, elle passe lentement sa langue sur ses lèvres et lui adresse une œillade des plus osées. Quelques secondes plus tard, après m’avoir fait discrètement un petit signe de tête, l’homme se lève et se dirige à son tour vers l’escalier qui mène au sous-sol.

Pour l’avoir bien éduquée, je sais qu’Elodie va l’attendre dans les toilettes pour hommes en se remaquillant devant le miroir. L’arabe arrive et, sans rien lui dire, se plaque tout contre elle. De ses grosses mains, il malaxe les petits seins de ma femme qui continue à se farder sans se soucier des clients qui pourraient les surprendre. L’homme s’enhardit, se débraguette et se frotte la queue contre la mini-jupe qui remonte et dévoile de superbes fesses. C’est à ce moment que ma femme se retourne, regarde droit l’arabe dans les yeux avant de se mettre à genoux devant lui. Elle embouche la queue circoncise et tète avec gourmandise cette bite inconnue qui grossit sous sa langue. Avec l’éducation donnée et l’expérience acquise, elle est capable de sucer des queues pendant des heures et des heures pour en extraire tout le jus jusqu’à la dernière goutte mais là ce n’est pas le but. Cet arabe veut juste tirer un coup vite fait bien fait, baiser cette petite salope comme elle le mérite et apaiser ses pulsions animales.

Voici donc Elodie qui se redresse et l’arabe la saisit par la taille. Il la soulève et lui pose les fesses sur le rebord du lavabo. Puis il se cale dans le compas des jambes, écarte le string et plonge sa queue dans la chatte de cette si accueillante petite salope. Il l’attire à lui et l’embrasse à pleine bouche. Il la fourrage goulument de sa langue et la besogne vigoureusement de sa bite ; c’est sa façon de lui signifier qu’elle est à lui et qu’il en prend possession. Ayant ainsi bien marqué son territoire, il se retire de la chatte humide, retourne Elodie, lui fait prendre appui de ses mains sur le lavabo et guide sa bite vers son petit œillet brun. Par jeu, ma délicieuse épouse va serrer les fesses pour refuser l’accès à sa croupe. Elle sait que cela va exciter l’arabe qui va lui donner quelques claques bien appuyées sur les fesses. Puis, d’un puissant coup de bassin, le gros gland violacé et turgescent se fraye un passage dans l’étroit boyau qu’il convoite. Pour ce vieil arabe, baiser cette jeune salope est certes un vrai plaisir mais l’enculer, çà c’est le vrai bonheur ! L’homme regarde donc sa bite qui va et vient ; il ralentit le rythme pour mieux savourer l’instant car ce n’est pas tous les jours qu’il peut enculer une aussi jeune et aussi belle femelle. Quelle extase de sentir l’œillet bien se serrer autour sa hampe ! C’est si bon qu’il se retire entièrement et réinvestit les lieux ; à chaque fois c’est un enchantement. Soudain, ses mains se crispent sur la taille d’Elodie, il pousse un long râle de bête sauvage et jouit à longs jets dans la croupe qui se tend en arrière pour mieux être ensemencée. L’homme se retire, réajuste son pantalon et quitte le sous-sol pour rejoindre sa table au niveau supérieur. Elodie me rejoint quelques minutes plus tard, elle me tend un morceau de tissu qui s’avère être son string. Le tissu est tout poisseux et sent le foutre.

Avant de quitter le restaurant, j’invite l’arabe à se joindre à nous pour partager un café. L’homme me dit s’appeler Youssef et me félicite d’avoir une aussi jeune et charmante épouse. Au cours de la conversation, il m’avoue avoir particulièrement apprécié que je mette Elodie à sa disposition pour quelques instants et me déclare reconnaître là toute la sagesse d’un mari qui sait combien l’obéissance et la docilité de l’épouse sont les piliers d’une vie de couple harmonieuse. Je souscris bien sûr à son avis et lui explique en quelques mots que je veille à éduquer ainsi Elodie. Avec un grand sourire plein de sous-entendus, il me dit combien la bonne éducation de ma jeune épouse serait appréciée dans le quartier de Molenbeek-Saint Jean où il habite et a de nombreux amis. Il me donne son numéro de téléphone ; je lui dis que nous nous reverrons très probablement…
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