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L'éducation libertine de ma nièce.

Chapitre 1

Première nuit saphique ...

Lesbienne
En ouvrant mon ordinateur ce matin, je découvre avec surprise le mail de ma nièce Océane, la fille de mon frère ainé, que je n’ai pas vue depuis le début de la pandémie de Covid. Elle m’écrit :« Chère tatie, chère Hélène, je suis en formation à Paris pendant une semaine du lundi 14 au vendredi 17 novembre. La formation, organisée par l’UNIIC (Union Nationale des Industries de l’Imprimerie et de la Communication) se déroule à l’Espace Champerret de 09h00 à 17h00.Comme je sais que tu habites dans le 17ème arrondissement, pas très loin de la porte de Champerret, je me dis que tu pourrais peut-être m’héberger pendant mon séjour parisien. Ce serait l’occasion de rattraper le temps perdu car je reconnais ne pas avoir été très présente ces deux dernières années. Si tu ne peux pas, j’espère que nous pourrons au moins passer une soirée ensemble.Je t’embrasse bien fort.Océane  ».
Sur le coup, je suis tentée de répondre que c’est impossible. Même si j’adore Océane, que je voyais régulièrement lorsqu’elle était plus jeune et qu’elle habitait en région parisienne avant de rejoindre la Bretagne avec son mari, j’ai mes habitudes de quinquagénaire divorcée vivant seule dans mon petit appartement parisien. Oui, avec l’âge, on n’aime pas trop devoir modifier son train-train routinier, même si j’ai encore une vie très active.Mais après réflexion, je me dis que cela me changera un peu et une semaine c’est vite passé. Je lui réponds donc« Chère Océane,Même si mon appartement n’est pas très grand et le canapé-lit encore moins, c’est avec un grand plaisir que je t’hébergerai pendant ton séjour parisien. Tu peux bien sûr arriver dès le dimanche soir, de manière à être sur place pour commencer le lundi matin à 09h00.Si tu as des envies particulières pour nos soirées parisiennes entre filles (cinémas, musées, restaurants, …), dis-le-moi.Si tu me donnes l’horaire de ton train, j’irai te récupérer à la gare Montparnasse. Je ne voudrais pas que tu te perdes dès le premier jour !Je t’embrasse et te dis à très bientôt.Hélène ».
Le dimanche soir vers 20h30, à la gare Montparnasse, je suis au bout du quai 3 à attendre le train en provenance de Bretagne. Des voyageurs de tous âges, chargée de valises, défilent devant moi tandis que je les scanne rapidement du regard pour repérer ma nièce dans ce flot ininterrompu de visages. Bien évidemment, comme Océane est une jolie métisse asiatique de 35 ans, je ne devrais pas avoir trop de mal à l’identifier même si je ne l’ai pas vue depuis plus de deux ans. Soudain, je vois une jolie frimousse pain d’épice parée d’une chevelure frisée abondante, c’est elle ! Elle me reconnait en même temps et nous nous jetons dans les bras l’une de l’autre.Quelques minutes plus tard, nous voici dans le bus 94 qui nous ramène vers chez moi. Océane ne cesse de regarder à droite et à gauche, c’est beau Paris la nuit ! C’est bien différent des côtes bretonnes qu’elle a sous les yeux à longueur d’année.Arrivées chez moi avenue de Villiers, nous partageons un rapide dîner puis nous papotons un bon moment. Elle me parle notamment de sa vie de couple, avec Daniel qui a quinze de plus qu’elle et leur fils qui est maintenant au collège. A mots couverts, elle me fait comprendre que son mari la néglige un peu car trop passionné par son emploi de chef d’entreprise d’une grosse société de construction. Il est près d’une heure du matin quand elle se glisse dans le lit de fortune installé sur le canapé.
A 7h00 du matin, nous nous retrouvons pour un petit déjeuner rapidement dressé dans ma kitchenette. Océane me dit-    Ton canapé n’est vraiment pas terrible, j’ai l’impression d’avoir dormi sur un banc Je lui fais un grand sourire et je lui propose-    Si tu veux, tu pourras dormir avec moi les nuits prochaines. Sinon je vais voir avec une voisine qui a une chambre de bonne au 7ème étage. Il n’y a pas d’ascenseur mais au moins tu feras de bonnes nuits.Elle termine sa tartine beurre-confiture et me répond-    Oh non, je suis venue pour passer du temps avec toi. J’accepte ton lit ! Cela me rappellera quand j’étais petite et que je partageais le lit de ma sœur. On n’arrêtait pas de papoter une fois la lumière éteinte.
Nous partons en même temps de l’appartement, elle vers son stage porte de Champerret à deux pas d’ici et moi vers le boulevard Haussmann où je suis DRH aux Galeries Lafayette. -    A ce soir tatie !me lance-t-elle avec un grand sourire et un petit signe de la main lorsque nous nous retrouvons l’une en face de l’autre, chacune sur notre quai mais dans des directions opposées, à la station de métro.
Nous voilà de retour à l’appartement, dîner rapide pendant lequel Océane me raconte son quotidien d’épouse délaissée et de maman surbookée. A peine rentrée chez elle après son travail de responsable commerciale dans une grosse imprimerie locale, elle doit superviser les devoirs scolaires de son fils puis préparer le dîner.Son mari rentre souvent après 21h00, fatigué par de nombreux déplacements entre ses différents chantiers et se met aussitôt au lit une fois son dîner avalé. Il déroge tout de même à cette règle lorsqu’il y a soirée foot à la télévision. Avec la coupe du monde au Qatar qui approche, autant dire qu’il va passer ses soirées dans le salon !Je suis déjà au lit lorsqu’Océane revient de la salle de bain. Je ne peux m’empêcher de rire en la voyant. Je lui demande-    C’est la chemise de nuit de ta grand-mère que tu portes ? Ou bien tu t’es trompée de valise dans le train ?Elle me répond -    C’est Daniel ! Il dit que les sous-vêtements et le linge de nuit en coton ; il n’y a pas mieux pour la peau !Je suis sidérée et je lui rétorque-    Tu ne portes que des soutiens-gorges et des petites culottes « Petit Bateau » ! C’est un vrai remède contre le plaisir et ce n’est pas si doux que cela !Je me lève d’un bond, me dirige vers ma commode et en sort l’une de mes nuisettes Aubade en satin blanc. Je lui dis-    Tiens, enfile ça ! Tu vas voir la différence !Elle retire sa vieille chemise de nuit et j’avoue que je la regarde faire. Elle a de superbes seins, un bon 90C à vue d’œil ; pas un kilo de trop et un ventre plat ; de superbes fesses ; c’est vraiment un beau petit lot ! Ma nuisette lui va comme un gant. Elle me dit-    Oh comme c’est doux !
La chambre est plongée dans le noir et nous continuons à papoter comme deux pensionnaires d’internat. Soudain Océane me demande-    Dis-moi Hélène, les hommes ne te manquent pas ?Je réfléchis deux secondes avant de lui répondre-    J’ai divorcé il y a déjà huit ans et je suis très bien toute seule…et après un petit silence j’ajoute-    Mais ce n’est pas pour autant que je vis comme une nonne ! Océane semble ne pas trop comprendre et poursuit ses questions-    C’est-à-dire ? Tu as un petit copain ?Je me rapproche d’elle sous la couette, je pose la main sur son ventre, l’attire à moi et lui dit à l’oreille-    Je fais des rencontres avec des hommes ….. et parfois même des femmes. Et à chaque fois, c’est délicieusement bon !Elle me répond avec un peu de tristesse dans la voix-    Moi mon mari me délaisse. Sa maîtresse c’est son travail ! Cela doit bien faire un mois qu’il ne m’a pas touché et que je n’ai pas joui.Je sens son corps contre le mien, sa chaleur contre la mienne. Ma main glisse sur son ventre jusqu’à son entrejambe. Je sens la moiteur de son sexe à travers le fin tissu de la nuisette. Elle sursaute un peu mais ne dit rien. Je lui dis-    Laisse-toi aller chérie ! Tu vas voir comme c’est bon …
Je viens sur elle et je lui dévore la bouche, elle ne se refuse pas. Je l’incite à jouer de nos langues, elle réagit à merveille. En même temps, je défais les trois ou quatre cordons qui ferment le devant de sa nuisette. Ma bouche descend et vient lui titiller les seins, ils durcissent sous ma langue. Océane commence à gémir-    Oh oui, que c’est bon ! Cela fait si longtemps que je n’ai pas connu ça !Ce sont maintenant mes doigts qui excitent ses tétons tandis que je continue à descendre jusqu’à son bas-ventre. Je n’ai même pas à la forcer, elle ouvre grand le compas de ses jambes pour que j’y enfouisse mon visage. Bien vite, j’embrasse goulument son sexe tout en y insérant lentement la langue.Je ne sais nullement si elle a déjà eu des expériences saphiques mais d’instinct elle pose ses deux mains derrière ma nuque pour me maintenir tout contre son sexe. Son ventre est parcouru d’ondes électriques et sa respiration se fait plus saccadée. Sa mouille se mélange à ma salive et je glisse mes mains sous ses fesses pour l’attirer encore plus près comme si je voulais me fondre en elle. Elle m’encourage de la voix-    Oh oui, encore ! Fais-moi jouir.
Sans changer de position, j’arrive à étendre le bras et je m’empare de l’un des sex-toys rangés dans le tiroir du chevet. J’en lèche l’extrémité pour bien l’humidifier puis je presse sur le bouton qui en commande les vibrations. Tout en jouant de ma langue sur son clito, je glisse lentement le gode dans son sexe tout trempé. Aussitôt, elle se raidit comme si elle venait d’être frappée par la foudre. Mais rapidement elle reprend ses esprits et la voici qui ondule du bassin pour accompagner les mouvements du sexe factice dont je viens d’accélérer la vitesse.Océane n’est maintenant plus qu’un corps pantelant livré au plaisir. Elle gémit, elle se tortille, elle jouit et s’abandonne à la vague de plaisir qui monte en elle. Je change de position sans lâcher le sex-toy. Placée comme je suis maintenant sur son côté droit, je peux lui mordiller les seins tout en tenant fermement le jouet qui continue de vibrer en elle. Je le fais aller et venir comme un vrai sexe le ferait. Soudain, Océane s’écrie-    Oh oui, n’arrête pas ! Je viens !Elle pousse un long râle de femelle comblée, referme le compas de ses jambes, se recroqueville et s’immobilise en tentant de reprendre sa respiration. Tandis qu’elle récupère de ce violent orgasme, je glisse le sex-toy dans mon sexe. Excitée comme je suis, je jouis aussitôt.
Quelques minutes plus tard, notre lit a retrouvé son calme. Je dis à Océane que j’ai tout particulièrement apprécié ce petit câlin propice à l’endormissement. Elle me répond qu’elle y a pris beaucoup de plaisir.Nous discutons encore un peu puis Océane me dit qu’elle a maintenant besoin de dormir. Je l’embrasse sur les lèvres et lui dit-    Demain dès que tu sors de ton stage, je t’emmène à Pigalle pour t’acheter une lingerie plus appropriée à une aussi jeune et jolie femme que toi.Elle me répond-    On fait comme tu veux. Je te fais confiance.C’est bien qu’elle m’accorde toute sa confiance car, pendant cette courte semaine parisienne, j’ai bien l’intention de faire l’éducation libertine de ma jeune nièce …
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