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L'éducation de maman

Chapitre 1

Le déclencheur

Inceste
Chapitre 1, le déclencheur Mon père est mort d’un accident de voiture, j’avais à peine 3 ans. Elevé par ma grand-mère chez elle, celle-ci m’inscrivit vers mes 10 ans au club d’aviron à trois-cents mètres de sa maison. A part cette odeur d’œufs pourris qui flottait sur le canal, j’adorais ce sport. Vers mes 13 ans, à la suite d’une dispute entre ma grand-mère et ma mère, celle-ci me mit en internat. J’avais une passion, c’étaient les maths. En travaillant par moi-même j’avais une sacrée avance sur le programme tandis que weekends et les vacances se passaient en grande partie au club d’avirons. Mon BAC S et une bourse en poche et il faut le dire, largement aidé par ma grand-mère, je me suis inscrit à 18 ans à une prépa maths-physique à Lille. Toujours en internat sans savoir trop ce que je voulais faire plus tard. Peu de sorties, je passais mes vacances, soit en stage d’aviron, soit à travailler pour gagner un peu d’argent. Les filles de mon âge ne m’intéressaient pas. Je les trouvais superficielles, sans sensualité, sans aspérité donc sans féminité. Je rejetais toutes leurs approches même au cours des soirées très bien arrosées. Las, déçues, elles colportaient que j’étais homosexuel, ce qui m’arrangeait très bien. En réalité, je fantasmais sur les femmes matures, en bas de soie, en jupes, féminines, parfumées, sensuelles, mystérieuses et parfois soumises. Bref, je plongeais avec délectation dans tous les clichés de la féminité.  Lors de visites chez mes copains étudiants, je ne manquais jamais une occasion de discuter avec leurs mères et de me montrer excessivement serviable et poli. Il me revenait alors souvent que j’étais beau et très gentil ce qui avait le don de me replonger dans mes fantasmes et masturbations. Un samedi matin, dans ma dix-neuvième année, un mois avant les concours, alors que j’étais chez ma mère pour le weekend, celle-ci me demanda de me rendre chez mon copain d’enfance, Stéphane qui habitait trois étages plus bas. Étrange vu que la veille il m’avait dit qu’il avait un entraînement de foot le matin. Intrigué, je descendis quand même. Bizarrement, sa mère, Julie, m’attendait déjà sur le pas de la porte.  La quarantaine, brune, grande, un peu massive, la poitrine lourde sous son chemisier elle avait de belles jambes épaisses gainées de soie, des talons hauts et une jupe de cuir. Maquillée légèrement vulgaire, mais tellement excitante.  Dans l’émotion, je bafouillais quelques mots incompréhensibles.
— Ça va Johan ?Allez entre, tu attendras Stéphane chez nous. Et puis comme tu es là, aide-moi à couper la moquette que je suis en train de poser.  Couper une moquette ?... Ben voyons. Je n’y connais rien en moquette, mais docilement, toujours dans l’esprit de rendre service à la femme mature, je m’agenouillai à côté d’elle.  Julie était à quelques centimètres de moi, la jupe relevée au-dessus de ses genoux qui découvrait le début de ses cuisses légèrement entrouvertes. Son parfum suave m’envoûtait. Mon pouls s’accélérait. 
Elle me tendit une lame. Il va donc falloir que je coupe vraiment une moquette... D’un geste que je voulais faire paraître comme professionnel, je commençai à couper juste aux plis que la carpette faisait avec le mur. Un moment, sous la pression, la lame se cassa nette et un petit bout s’envola.  À genoux, nous la cherchâmes. Au bout de quelques minutes, Julie s’accroupit sur ses talons et releva d’un geste brusque sa jupe jusqu’en haut des cuisses soi-disant pour vérifier si le morceau n’avait pas atterri sur ses genoux.  Elle tint sa jupe relevée une bonne dizaine de secondes. Sa peau laiteuse au-dessus des agrafes de ses bas m’hypnotisait. Toute première fois que je voyais le haut des cuisses d’une femme pour de vrai. J’étais pétrifié et mes joues étaient chaudes et probablement rouges. Je crois qu’elle attendait un geste de ma part, mais tout mon corps, sauf mon sexe, était paralysé. Je le sentais comprimé par mon pantalon. Mon regard restait fixé sur ses cuisses.  C’est alors que la sonnette de l’appartement retentit, maman était à la porte. Il fallait que je monte tout de suite pour le dîner. Je commençais à monter les escaliers puis en entendant les deux mères se parler, je m’arrêtai. — Alors Julie, dit ma mère, tu crois qu’il est homo ? — Non, je ne pense pas. Je pense avoir vu une petite déformation de son pantalon et il était visiblement très ému, enfin je crois. — Embrasse-moi, Julie, pour ce petit cadeau — Quel cadeau ?  répliqua Julie, il ne m’a même pas touchée ! Ça aurait dissipé tous nos doutes et je te l’avoue ce petit jeu était excitant— Du calme, Julie, tu parles de mon fils là !  Elles se mirent à rire fortement puis je crus distinguer un long baiser.C’était donc un piège. Furieux je montai les escaliers sans faire de bruit pour aller dans ma chambre.  Quelques minutes plus tard, ma mère toqua à ma porte.  — Qu’est-ce que tu veux ? Je n’avais vraiment pas envie de lui parler— Johan, qu’est-ce qui te prend ? Viens manger ! — Laisse-moi tranquille, je n’ai pas faim.  Enfin seul, excité, furieux, frustré, je me masturbai accroupi sur mes talons en pensant à Julie dans cette même position, à ses jambes, à ses cuisses et au baiser supposé avec ma mère. En quelques secondes mon sperme atterrit en plusieurs longues giclées sur le parquet en chêne.  Par expérience, il fallait que je me dépêche de nettoyer pour éviter les traces. C’est à ce moment que ma mère ouvrit la porte. Moi à genoux, pantalon sur les talons, ma verge mouillée et encore un peu gonflée, en train de frotter le parquet avec une serviette. Elle me regarda sans rien dire, aucune émotion, elle m’arracha la serviette des mains, et ses deux genoux dans mon sperme, les fesses cambrées devant moi, termina de sécher le parquet.  Honteux et en colère, je ne pus résister, je me levai et en passant à côté de ma mère, je lui mis une claque lourde sur ses fesses, je voulais la punir, puis je me précipitai vers la salle de bain commune où je pus enfin m’enfermer. — Tu sais Johan, Julie est une très bonne amie, rien de plus. Merde !... J’ai oublié. Le repas est en train de cramer. Et je l’entendis se précipiter vers la cuisine. Aucun mot sur la fessée, rien sur le piège qu’elles m’avaient tendu, rien sur ma masturbation, sur ma honte, le seul embarras exprimé concernait le long baiser que j’avais effectivement deviné. Je rentrai dans ma chambre et coinçai la porte avec une chaise. J’étais totalement perturbé, je me remémorais toutes les scènes érotiques que j’avais vécues en moins d’une heure, les cuisses laiteuses de Julie, la croupe cambrée de maman, ma jouissance, ma honte, mon excitation, leur baiser et la fessée. Tout se mélangeait. Il me fallut une bonne heure pour me calmer. "Allez, Johan, ressaisis-toi" me dis-je, ce n’est vraiment pas le moment de flancher un mois avant les concours.
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