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L'éducation de maman

Chapitre 3

Inceste
Chapitre 3, la connivence

La réussite des concours publiée, j’avais obtenu un bon classement. Je courus l’annoncer à maman, à son travail. Je savais où se trouvait son bureau, dans un petit bâtiment à côté du supermarché bio au premier étage. En chemin, je me demandais pourquoi lui annoncer ma réussite au concours, mais je devais bien la partager avec quelqu’un.

Assise à son bureau, je l’observais à travers la vitre de la porte de son bureau, elle avait une paire de lunettes sur le nez. Encore une découverte pour moi... décidément je ne savais vraiment rien d’elle. Ces lunettes lui donnaient un air distingué, austère et sexy. Je toque et j’ouvre.
— Ca y est maman, j’ai réussi et j’ai été bien classé.
Un grand sourire illumine son visage.
— Bravo mon chéri, viens embrasser ta mère.
Je m’approchai, ah... l’odeur de maman, son parfum enivrant... on s’est enlacé debout, à ma surprise ma verge était tendue collée contre son ventre, elle ne me repoussa pas. On s’embrassa sur les joues, elle pleurait de joie. De grosses larmes coulaient sur ses joues. Je ne l’avais jamais vue dans cet état.
— Je suis fière de toi Johan. Fêtons ça ce soir à notre petit restaurant marocain habituel. Ca te va ?
Notre restaurant habituel ? Quel restaurant habituel ? Nous n’y sommes allés qu’une seule fois il y a plus d’un an...

Un collègue de maman passa la tête par la porte, il nous vit enlacés et demanda à ma mère si j’étais son ami.
— Mais non Jean-Marc, c’est mon fils, il vient de réussir brillamment le concours des écoles d’ingénieurs.— Bravo jeune homme, je vois que ta maman t’a prodigué une excellente éducation.
— Quelle école pourras-tu choisir ?
Ca y est, la question à mille euros...
— Ecole du porno Monsieur.
Je ne sais pas pourquoi j’ai donné cette réponse débile, probablement pour écourter cette intrusion.
— Il a de l’humour ton fils.— Non pas du tout Monsieur, c’est une carrière que j’envisage très sérieusement, j’ai quelques prédispositions. N’est-ce pas maman ?
Elle rougit et il s’esclaffa en quittant le bureau.
— Fais attention Johan, c’est mon supérieur. — A ce soir maman, j’ouvris mes bras pour la libérer.
Le soir venu, après une longue marche à pied pour atteindre le restaurant, je rejoignis ma mère déjà attablée. Un petit restaurant marocain avec un excellent tajine aux citrons confits et gingembre agrémenté d’un petit rosé bien frappé. Il faisait très chaud. Ma mère s’était changée. Maquillée, un beau rouge à lèvres rouge vif, une jupe crayon noire qui galbait sa croupe, un chemisier échancré qui laissait entrevoir son soutien-gorge noir, des bas noirs et son unique paire de chaussures talons hauts. Elle a toujours fait dix ans de moins et encore ce soir elle aurait pu passer pour une amie à peine plus vieille que moi. Quant à moi, toujours pareil, jeans, tennis, polo noir que j’avais déjà mis la veille, relax quoi. J’aurais pu me vieillir avec un costume et chemise blanche, mais je n’en avais pas...
— Alors Johan, je suppose que tu es heureux ? — Heureux, oui, je le suis doublement. — Comment ça ? Doublement ? s’exclama-t-elle.— Ben le concours et le bonheur de partager ton intimité. J’apprends enfin à te connaître. A ce propos, j’ai mis la serviette dans le panier, dis-je gentiment et avec un sourire.
Nullement décontenancée, ma mère me répondit :
— Tu as bien fait Johan, j’ai déjà mis une autre serviette plus douce. J’aime quand tu t’intéresses à moi, cela égaye mes jours de solitude, mais sache que je n’irai pas plus loin. Pas d’équivoque ou de faux espoirs. Je suis ta mère.
J’ai failli répondre "si peu", mais je me suis abstenu dans l’intérêt de continuer cette soirée paisiblement.

Elle rajouta, « J’ai cru comprendre de Julie que tu aimes les femmes mûres ? »

Pour éviter de répondre à cette question directe et embarrassante, je me suis installé sur la banquette à côté d’elle en déplaçant mes couverts. Je sentais la bosse d’une de ses jarretelles qui faisait pression sur le côté de ma jambe. Son parfum était encore plus enivrant. En mettant la serviette sur mes genoux, j’ai lentement remonté ma main le long de sa cuisse. Sans réaction de sa part. Je bandais douloureusement, mal assis sur cette banquette. Ces petits moments de transgression, où mon cœur battait la chamade, pimentaient la vie.

Le serveur, voyant que je m’étais déplacé, me demanda si c’était pour la vue, ce à quoi j’ai répondu :
— Non, c’est pour le toucher.
Il n’a visiblement pas compris. Ma mère m’a regardé bouche bée.

Le repas s’est déroulé dans une bonne ambiance, nous qui nous étions très peu parlé en dix-huit ans avions subitement plein de choses à nous raconter. Ma mère, aidée par le vin, riait de tout, même de mes mots d’humour ratés. Elle était un public conquis et surtout très enivré.
— Bien entendu je suis ton fils. Mais rien ne nous empêche de pimenter notre existence en nous découvrant. Oui, les femmes mûres me motivent infiniment plus que les filles de mon âge. Une manière de combler un vide sans doute.
Elle ne releva pas la remarque. Je ne sais d’ailleurs pas si elle m’écoutait encore, car visiblement le vin commençait à faire son office. Elle paya l’addition et je commandai un Uber qui arriva en quelques minutes.
— Vous voilà arrivés, passez une excellente nuit ensemble, dit le chauffeur d’un air plein de sous-entendus.
Ma mère se précipita dans la salle de bain en laissant la porte grande ouverte. Tiens, encore quelque chose de nouveau. De ma chambre, je pus l’observer d’un certain angle. Son chemisier par terre, sa jupe à ses pieds, en jarretelles et hauts talons, assise en train d’uriner. Elle était visiblement dans un état second. Elle savait pertinemment que je la regardais, mais feignait de m’ignorer. Bizarrement cette scène m’excitait. Entendre le son de son urine sous pression qui frappait la cuvette était nouveau et très excitant. Elle se leva et se tourna finalement vers moi, pour que je la regarde. Bien campée sur ses talons, ses belles jambes légèrement écartées, les mains sur ses hanches, seins arrogants, je pouvais apercevoir quelques gouttes sur son sexe épilé. Elle prit la nouvelle serviette et se frotta consciencieusement l’entrejambe puis se dirigea, toujours avec la serviette, vers sa chambre dont elle laissa la porte légèrement entrouverte.

Elle avait visiblement trop bu, plus aucune barrière morale. Je l’observais par l’ouverture de la porte. Elle était sur son lit, les jambes gainées de soie écartées, les yeux fermés, elle se caressait doucement ses lèvres humides, une main sur son sexe. Je pense qu’elle savait pertinemment que j’étais là. Au bout de quelques minutes, l’alcool aidant, elle s’endormit comme une masse. Elle semblait sereine, reposée et rassurée. Je lui retirai ses chaussures et mis le drap sur elle. Un petit peu frustré, je la contemplais, elle était encore plus belle et plus provocante que dans mes fantasmes. Très excité, je ne pouvais rester dans cet état. Je n’étais plus qu’un sexe. J’ai pris la serviette qu’elle avait apportée dans sa chambre et me suis masturbé dedans. Un peu calmé, je m’allongeai contre elle, je la pris dans mes bras, en cuillère, mon sexe encore mouillé au contact de son cul. Impossible de dormir, je rebandais. Vers 2 heures du matin, je suis finalement retourné dans mon lit.

Je laissai la porte de ma chambre ouverte, à quoi bon maintenant la fermer... Au petit matin je vis ma mère entrer dans la salle de bain. De mon lit, je penchai ma tête pour essayer de l’apercevoir, mais impossible. Oh frustration. Tant pis.

Avant de partir travailler, elle vint dans ma chambre, je gardais les yeux fermés, elle déposa un baiser sur mon front en me disant :
— Je sais que tu m’as vue hier soir dans la salle de bain.
Elégamment, elle ne mentionna rien d’autre, je serais mort foudroyé de honte. Elle quitta la pièce et j’entendis la porte de l’appartement se fermer.

Stéphane, mon copain, étant parti en stage de foot après avoir raté son BAC, je décidai d’aller rendre une petite visite à sa mère, Julie. J’avais un compte à régler avec elle. Décidément, je m’enhardissais d’heure en heure... après près de 8 ans en internat, toute mon adolescence, j’avais du temps à rattraper et j’étais aussi pressé qu’excité.
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