- Histoire érotique écrite par Allinone
- Histoire vraie
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Chapitre 4, le cas de Julie
Je n’avais pas bien compris le lien qu’il y avait entre Julie, la mère de mon ami Stéphane, et ma mère Catherine.
Je décidai de me rendre chez Julie, 3 étages plus bas, pour obtenir des réponses. Je suspectais aussi que ma mère avait une nature de soumise. Ses DVD et objets intimes en témoignaient. Julie pourra peut-être m’éclairer.
Je sonne à la porte de Julie.
Tiens voilà notre de Johan.
Moi qui voulais jouer la colère, j’étais déstabilisé, j’avais oublié comme cette femme de près de 50 ans, bien charpentée, grande et avec un léger embonpoint était pulpeuse.
Bonjour Julie. Je peux rentrer ? Tu as pu finir la coupe de la carpette ?
Ecoute non, mon fils ne veut pas m’aider, Jean mon mari est constamment en province et j’ai tout laissé en l’état depuis ton départ.
OK, va chercher la lame, on va finir le travail ensemble avant une petite discussion.
En entrant, je laissai la porte du palier ouverte.
À mon grand étonnement, le ton autoritaire que j’avais pris eut son effet. Julie se précipita dans la cuisine pour y chercher une règle et la lame. Je m’accroupis sur le sol, Julie me rejoignit dans cette position. Elle avait une tenue neutre cette fois, de ménagère de plus de 50 ans, mais il y avait toujours cette vulgarité bestiale et troublante qui émanait d’elle.
Je pris un ton agacé. "Vous avez voulu me piéger la dernière fois, vous croyiez vraiment que j’étais Gay ? »
Ecoute, nous ne t’avons jamais vu avec une fille ta mère et moi, ni Stéphane d’ailleurs. Stéphane prétendait que tu étais uniquement attiré par les femmes mûres alors on a voulu vérifier. C’était important pour ta mère.
Vérifier en me piégeant... pas très joli, il suffisait de me demander.
Je considère que vous m’êtes toutes les deux redevables, surtout toi Julie qui a mis en scène ce piège.
Mais c’était aussi l’affaire de ta mère, répondit-elle.
Ma mère n’est pas une meneuse, je doute qu’elle ait même eu l’idée de ce stratagème, je pense que c’est toi.
Pas de réponse. J’étais maintenant réellement furieux et je comptais bien profiter de mon avantage. Sans transition, d’une voix autoritaire le lui ordonnai:
Ouvre tes cuisses.
Je répète, ouvre tes cuisses.
En réalité, je ne savais même pas pourquoi j’intimai cet ordre. Plus pour satisfaire ma curiosité et jauger mon autorité que par stratégie. Est-ce que cela marchera ?
À mon grand étonnement, elle obéit. Elle aurait pu me mettre une claque, me renvoyer, m’engueuler, me remettre à ma place et ben non... elle s’est exécutée. À près de 50 ans, voici que Julie obéit aux ordres d’un presque homme de 20 ans.
La voici accroupie, ouverte. Position instable, mais quel spectacle, je me délectais et jubilais de mon nouveau pouvoir.
Relève ta jupe comme tu l’avais fait la dernière fois, tu te souviens ?
À mon très grand étonnement, elle s’exécuta. Un collant grisâtre, aux mailles écorchées, enserrait une culotte de couleur chair. Son collant, trop serré, poussait un petit bourrelet de chair au niveau de ses hanches. Son buste, ses fruits lourds, étaient comme emballés dans son chandail gris. Ses longs cheveux noirs tombaient sur les côtés de sa poitrine arrogante. Elle exhalait une sensualité bestiale. Un parfum âcre. Mon gland coincé, pressé entre mon caleçon et mon ventre, me faisait mal. Je dus précipitamment me relever pour que mon membre puisse se redresser dans mon pantalon et soulager la douleur. Elle suivit du regard la bosse qui se formait, bouche entrouverte, le souffle court.
Garde ta jupe relevée.
Il n’y a rien de plus efficace pour soutirer des informations que de mettre la personne dans un état d’insécurité et d’inconfort.
« Tu as déjà eu des relations sexuelles avec ma mère ?
« Oui »
J’accusais le coup. Pas de honte, même pas d’embarras, simplement de la jalousie. J’étais jaloux de ma mère.
Souvent ?
Non quelques fois, quand elle déprime, quand elle a besoin d’affection ou qu’elle a un besoin, elle descend alors gratter à ma porte. C’est elle qui demande, jamais moi et toujours chez moi.
Combien c’est quelques fois ?
2 à 3 fois par mois. C’est toujours elle qui demande, je l’ai renvoyée quelques fois pour des raisons diverses. Je ne veux pas qu’elle devienne maîtresse de mon emploi du temps.
Ah oui, quand même...2 à 3 fois par mois. Donc si je comprends bien, vous êtes en quelque sorte dans un rapport de domination ? Elle demande et tu disposes ?
De domination ? Non pas du tout. À ce propos, elle m’a parlé un jour d’un DVD qu’elle avait vu et qui l’avait profondément troublée. Elle voulait reproduire la même relation entre nous. Mais je n’avais ni le goût, ni la patience, ni l’énergie. Je pense que je l’ai déçue.
Tu veux parler du film The Duke of Burgundy’ ?
Ouais quelque chose comme ça, possible.
La prochaine fois qu’elle se présente chez toi, tu m’en avertiras immédiatement par SMS, compris ?
Pendant toute cette conversation, elle tint sa jupe relevée. Je me régalais de la vue de ses cuisses fortes dans ce collant vulgaire. J’imaginais sa vulve humide, ouverte et collée à sa culotte. J’aurais voulu passer ma main entre ses cuisses collées. Problème... comment allais-je terminer ce questionnement ? Je n’avais préparé aucun scénario.
La règle pour guider la lame du cutter était toujours là sur le sol.
Debout, enlève ta jupe, tourne-toi.
Je n’en revenais pas de mon pouvoir. Elle laissa tomber sa jupe sur le sol.
Écarte légèrement les jambes, penche-toi vers l’avant.
La porte du palier était toujours ouverte. Les gens qui rentraient ou sortaient de l’immeuble auraient pu apercevoir Julie dans l’enfilade des couloirs.
Je pris la règle de bois et lui donnai un coup sec, mais contenu sur la croupe. Elle laissa échapper un petit cri. J’attendis quelques secondes, un deuxième sur les cuisses puis de nouveau sur ses fesses. Sans brutalité, calmement. Voilà les prémices de sa punition.
Toujours de dos, je plongeai ensuite ma main dans sa culotte. Je frôlais son petit trou et atteignis sa vulve. Elle eut un sursaut brusque, mais ne recula pas.
J’atteignis son sexe mouillé. Je goûtai mes doigts, délicieux, je humai son odeur mêlée à son parfum. Décidemment, les choses s’accéléraient très fort, 2 fois en 2 jours qu’une femme mature m’obéissait et semblait prendre du plaisir.
À court d’imagination, je décidai d’interrompre cette petite session. Comme avec ma mère, je ne désirais pas aller plus loin ni trop vite. Je restais puceau en goûtant la perversité de l’attente qui décuple le désir et les fantasmes, pour elles comme pour moi.
Je dois partir maintenant.
Je la laissai, la culotte baissée, exposée. Elle se frottait les fesses striées de 2 lignes rouges.
Encore une chose, cet après-midi, arrange-toi pour mettre une serviette, mouillée de tes sécrétions intimes et de ton odeur, dans la boîte aux lettres de maman. Avant 18 heures.
Pour quoi faire ? Quel est l’intérêt ?
Obéis !
J’entendis des bruits de pas dans l’entrée du bâtiment, j’en profitais pour déguerpir sans attendre la réponse. J’imaginais des gens découvrant Julie la culotte baissée.