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Rééducation religieuse

Chapitre 8

Etrange rencontre

Orgie / Partouze
Fiers d’avoir donné un si puissant orgasme à la belle brune, ses deux acolytes redoublèrent d’effort. Lorsqu’ils furent trop épuisés par l’inconfort de la position, ils s’installèrent à même le sol, Axelle allongée sur son enculeur, jambes relevées pour que son baiseur, à genoux entre les cuisses de la coquine, puisse la limer comme un dément.   Ce bonheur semblait n’avoir jamais de fin, Axelle jouissait encore et encore, les queues en elle paraissaient infatigables. Soudain, des doigts fins lui attrapèrent la joue. Axelle ouvrit les yeux : Rosalie était au-dessus d’elle, le regard pétillant. La rouquine écarta légèrement les lèvres, un filet blanc s’en échappa. La brune s’empressa d’ouvrir grand la bouche pour récupérer le foutre que son amie lui crachait directement dans le gosier. Avant qu’elle n’ait eu le temps d’avaler, Rosalie lui roulait une énorme pelle.   Axelle passa une main derrière la tête de la rouquine, s’abandonna complètement à ce baiser. Tout en se faisant limer par devant et derrière, elle dévorait les lèvres douces et charnues de Rosalie, enroulait sa langue autour de celle voluptueuse de la rousse, échangeait avec son amie le sperme qui passait d’une bouche à l’autre au gré des embrassades.   Rosalie commença à bouger de manière saccadée tout en gémissant dans la bouche d’Axelle. Elle aussi se faisait baiser pendant ce temps.   — Putain, fit une voix masculine, elles sont tellement chaudes ces salopes.  Oui, songea Axelle en embrassant Rosalie avec encore plus de passion, elle était une salope et bon sang qu’elle aimait ça ! La vie aurait tellement moins d’attrait sans le sexe, sans le bonheur de se faire prendre en double par deux gars qu’elle n’avait qu’aperçu avant, sans la queue d’Adam fourrée dans tous ses trous, sans tous ces orgasmes. Que les autres la traitent de salope s’ils voulaient, elle s’en foutait. Le plaisir qu’elle prenait valait toutes les insultes et elle plaignait sincèrement tous ces trous du cul coincés qui passaient à côté de ça.   — Je tiens plus les mecs, lança le gars sous Axelle, je viens.  — Vas-y, répliqua celui qui s’occupait de Rosalie, refais-lui le cul à cette pute.  — Ah putain c’est trop bon ! Haaaaan !  Le jeune homme donna quelques derniers coups de piston et se cambra sous l’effet de la jouissance. Les puissantes contractions de son imposant pénis, les giclées de foutre chaud dans le rectum de la brune - aussi nombreuses qu’abondantes - propulsèrent Axelle vers un ultime orgasme dévastateur. Les deux apogées simultanées provoquèrent une réaction en chaîne.   Si abrutie par le plaisir qu’elle en délaissa la bouche de Rosalie, Axelle sentit une queue s’escrimer en elle puis se retirer. Dans le brouillard, elle distingua la chevelure flamboyante de son amie disparaître, remplacée par un pénis luisant. Elle eut tout juste le temps de fermer les yeux avant que le sperme ne lui éclabousse le visage puis les seins lorsque l’éjaculateur y dirigea sa lance.   Lorsqu’elle trouva la force de rouvrir les yeux, les apprentis prêtres avaient quitté les lieux. Rosalie, assise à même le sol, en appui sur les coudes, reprenait son souffle. Ses joues poupines, ses boucles rousses et ses gros seins laiteux étaient maculés de jus d’homme. Voyant qu’Axelle était revenue à elle, elle lui adressa un joli rire.   — On fait vraiment la paire hein ?
  — Ouais, deux vraies salopes, répondit la brune.   Elle s’étira et ajouta :   — Ah putain, quel pied.  — T’aimes à ce point la prendre dans les fesses ?  — Je préfère dans la chatte mais ça reste super bon. Faut vraiment que tu essayes.  Rosalie eut un petit rire, mi- gêné mi- coquin.   — J’avoue que te voir t’éclater comme ça, ça me donne envie de tester.  — Et maintenant tu m’as vue couverte de foutre, y a plus qu’à trouver un mec pour te lécher la chatte.  Rosalie éclata de rire.   — P’tain, t’as de la mémoire salope.  — Toujours quand il s’agit de te dépuceler du cul.  Les filles restèrent un moment à se regarder. Nues, transpirantes, le visage et les seins couverts de sperme, les cuisses dégoulinantes de mouille et de foutre, elles étaient enfin repues de stupre. Pour l’instant du moins car, Axelle en prenait doucement conscience, la « thérapie » avait sur elles exactement l’effet inverse de celui escompté : au lieu de les dégoûter, elle aiguisait encore plus leur libido. La seule chose qui les empêchait désormais de baiser du matin au soir, c’était leur corps et ses limites.   Comme pour appuyer ces pensées, la porte s’ouvrit et deux silhouettes vêtues de robes de bure pénétrèrent dans la pièce.   — Vous voyez frère Didier, je vous avais bien dit que j’avais entendu des voix nubiles.  Frère Didier devait avoir une cinquantaine d’années. Petit et sec, les joues creusées et le crâne dégarni, la peau grise, il conservait un regard émeraude pétillant de malice. Il tourna la tête vers son acolyte.   — En effet frère Kamel, je n’aurais pas dû douter de votre ouïe légendaire qui nous mène à une splendide découverte.  Frère Kamel était plus jeune que son comparse. Véritable colosse de près de deux mètres de haut, aux cheveux courts et crépus zébrés de blanc, il arborait une imposante bedaine et une barbe soigneusement taillée. Ses yeux bleus contrastaient avec sa peau sombre et avaient quelque chose d’hypnotique.   — Désolées mes frères, fit Rosalie avec un sourire coquin, nous ne sommes pas très présentables.  — Au contraire mademoiselle, répondit frère Didier, vous vous présentez sous votre meilleur jour. Exhibant les superbes atouts dont le Seigneur vous a dotées, dégoulinantes d’amour. Allégories de la beauté et de la simplicité de la nature. Vous ne sauriez être plus présentables.  Axelle, qui s’était redressée sur son séant à l’entrée des deux moines, haussa les épaules.   — Ça fait beaucoup de jolies phrases pour dire que vous voulez nous baiser.  Elle fut traversée par un rire intérieur. Tout son corps lui faisait mal, son anus et son vagin brûlaient et pourtant… Pourtant elle sentait son minou qui se lubrifiait encore, son jus s’extraire de sa vulve pour préparer un nouveau rapport. Elle souffrait mais sa faim de sexe ne saurait être satisfaite. Elle en voulait encore, elle voulait sentir une queue bien dure en elle.   — Oh oui, fit frère Didier d’un air pensif, nous allons vous baiser, ça ne fait aucun doute. Mais ni en ce lieu, ni en ce jour ma chère.  — Quoi ? Mais pourquoi ?  — Ne soyez pas si impatiente mademoiselle Rodrigues, la rabroua frère Kamel avec douceur. Profitez tant que vous pouvez. Ce n’est pour l’instant que l’échauffement, vous risquez fort de ne pas être si « réceptive » lorsque nous entrerons dans la danse.  — Ça serait mal nous connaître, les défia Rosalie.  — C’est que nous verrons, mesdemoiselles. Mais ne soyez pas trop présomptueuses : plus l’ego s’élève et plus dure sera la chute.  — Pffff, souffla la rousse en se passant une langue coquine sur les lèvres. Pour l’instant, c’est vous deux que j’aimerai voir durs.  — Cela viendra bientôt, mademoiselle Brett, répondit frère Didier. Croyez bien que nous sommes tous très impatients, trop peut-être. J’espère qu’en souvenir de ce jour et de cette envie que vous exprimez vous me laisserez la primeur.  — Quoi, vous voulez être le premier moine à me baiser ?  — Oh non ma chère. Je veux être le premier moine à vous défoncer le trou du cul.  Axelle retint de justesse un grand éclat de rire. Le contraste entre les belles phrases ampoulées et la vulgarité des derniers mots était saisissant. Rosalie d’ailleurs en écartait des yeux ronds comme des soucoupes. Elle finit par se reprendre et lâcher :  — Okay mais à une condition.  — Je vous écoute très chère, répondit frère Didier d’un ton mielleux.  — Je veux que frère Kamel gicle dans la bouche d’Axelle. Maintenant.  — Je vous l’ai dit mademoiselle : nous ne vous toucherons pas aujourd’hui.  — Pas besoin qu’il la touche, il a qu’à se branler et se finir dans sa bouche.  Les deux hommes se regardèrent et échangèrent un signe de tête. De son côté, Axelle s’installa à genoux et ramena ses cheveux en arrière. Passée la surprise de la proposition de Rosalie, l’excitation l’avait emportée et le déluge entre ses cuisses témoignait de son envie d’aider son amie à se faire sodomiser. Sans compter que se retrouver dans cette posture soumise, objet de convoitise et de luxure, serait aussi nouveau que désirable. Les seules fois où elle avait vu un homme se masturber devant elle, c’était à la fin d’une baise pour éjaculer sur elle ; elle n’avait encore jamais assisté à l’acte en entier.   Frère Kamel s’approcha d’elle et releva sa robe de bure sur ses parties. Il bandait déjà dur. Son sexe était sans doute dans la moyenne, peut-être légèrement au-dessus, mais paraissait minuscule sur un homme aussi imposant. Plus qu’à une grosse queue, il ressemblait à un petit kiki et Axelle dû se faire violence pour ne pas sourire à cette idée.   Son hilarité rentrée disparut cependant bien vite devant le cœur que mettait le moine à l’ouvrage. Sa main allait et venait à toute vitesse sur sa bite, hypnotisant la belle brune qui ne pouvait détacher le regard de ce spectacle magnifiquement décadent. Après une minute ou une heure, Kamel attrapa Axelle par la nuque et lui fourra son gland violacé entre les lèvres. Là, avec un grognement guttural, il se libéra ; la jeune femme le fixa dans les yeux, avec son plus beau regard de biche, durant tout le temps qu’il lui expédia sur la langue son foutre salé, épais et abondant. Puis, sans rompre le contact visuel, elle déglutit exagérément pour bien lui montrer quelle chienne docile elle était.   — Merci, dit-elle alors, c’était délicieux.  — Merci à vous, mademoiselle Rodrigues, répondit frère Kamel en se rajustant. C’était un moment… intéressant. J’espère que la prochaine fois vous me rendrez la pareille.  — Avec plaisir ! s’enthousiasma la brune.  — Eh bien mesdemoiselles, fit frère Didier, puisque nos marchés sont conclus nous allons vous laisser. Que le Seigneur vous bénisse, vous et vos délicieuses petites chattes qu’il nous tarde de prendre.  — Vous pouvez le faire maintenant, répondit Rosalie en caressant ostensiblement la sienne. Un p’tit coup vite fait, personne le saura.  — Croyez bien que j’apprécie votre offre, mademoiselle Brett, et qu’il me coûte de la décliner. Je compterai les jours qui me séparent de celui où je connaîtrai l’étreinte de votre petite rondelle. En attendant, allez dans la paix du Seigneur.  Les deux moines s’en furent, laissant les filles perplexes et frustrées. Axelle se rappela alors de frère Raphaël qui ne se gênait pas pour la sauter sans attendre. Elle avait peut-être là un coup à jouer.   Après quelques minutes à récupérer en silence de leurs ébats, le duo se rhabilla et se rendit en cours. Épuisée, Axelle dormait à moitié en écoutant distraitement le père André parler théologie, vertu, chasteté… Toujours dans un état second, elle se laissa prendre par deux apprentis pendant le temps libre qui suivait. Son corps réagissait seul, son sexe se lubrifiait, elle bougeait légèrement. Non qu’elle n’avait pas envie de sexe, elle était simplement trop fatiguée pour se comporter autrement qu’en poupée de chiffon et recevoir sagement leur queue en elle et leur sperme sur le visage. Elle ne revint à elle qu’à l’entrée de la chapelle, lorsque Mère Rosenblum se planta devant elle, les poings sur les hanches.   — Allez vous nettoyer mademoiselle Rodrigues, tonna la nonne. Il est hors de question que vous entriez dans un lieu sacré couverte de… foutre.  Elle avait craché le dernier mot comme si c’était du poison.   Axelle la regarda dans les yeux. Cette femme représentait tout ce qu’elle détestait à cet instant. Cette raison fut suffisante pour que les mots dépassent les lèvres de la jeune femme :   — Faut aussi que je me lave le cul ou pas ? Parce que ça coule pas mal et je voudrais pas « souiller » les bancs.  Les yeux de la religieuse étincelèrent de colère, Axelle ravala immédiatement sa salive et son arrogance.   — Nous avons été trop gentils avec vous, mademoiselle Rodrigues.  Chaque syllabe était implacablement articulée, un frisson glacé remonta l’échine d’Axelle. Puis le couperet.   — Il est temps que je m’occupe de votre cas.
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