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Duchesse et catin

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
J’ignore quelle heure il pouvait être quand je me réveillai. Il faisait encore nuit. J’étais couchée sur le côté et le bras solide et poilu de l’homme retombait sur moi par-dessus le mien, son torse touchant mon dos. Il respirait lentement alors que mon mari ronflait paisiblement.
J’avais envie de cet homme que je sentais contre moi, mais je n’osai le réveiller. J’avais envie. J’avais aimé ce que nous avions fait la veille au soir. Etait-ce bien ? Etait-ce mal ? C’était en tout cas agréable... plus qu’agréable. C’était bon, si bon. Comment avais-je pu vivre sans connaître cela ? Et je voulais recommencer.
Je me demandai si je pouvais saisir son sexe, m’en approcher. J’en étais si proche puisque nous étions quasiment collés l’un à l’autre. Je bougeai donc pour aborder son corps et coller mes fesses contre son sexe. Je n’eus pas à me mouvoir beaucoup. D’un petit coup de hanche, je me trouvai contre lui et sentis l’objet de mon désir, l’énorme protubérance de chair chaude. Il était gros et dur... très gros et très dur... Les hommes étaient-ils toujours comme cela pendant leur sommeil ?
Je profitai de l’occasion pour m’y frotter un peu.
— Tu en as envie ?— Oh... Je vous ai réveillé ?— Non... On a mieux à faire que de dormir quand on est au pieu avec une déesse. Y a un bon moment que je suis là à te frôler... Tu me fais bander dur.
Je ne sus quoi répondre.
— Tu la veux ma queue ?— Faut-il... faut-il toujours que ce soit si... si cru... si direct.— Apprenez à connaître les hommes ; ils font la cour avec de grandes manières, mais au lit... Soulève ta jambe droite, je vais te la foutre.
Je fis ce qu’il demandait et il guida sa verge dans mon vagin encore hypersensible.Il me pénétra avec lenteur en poussant son vit jusqu’au bout.
— Tu la sens, là ? Tu la sens ?— Oui ! soufflai-je, dans un murmure de plaisir.— Tu aimes ma grosse bite ?— Oui... dis-je encore plus bas.
— Prends-la ma queue, prends là! J’vais t’l’enfoncer jusqu’aux couilles.
Très vite, l’euphorie me submergea. A chaque coup de queue, je poussais un petit cri et je faisais des efforts pour me contrôler et ne pas en émettre de plus puissants.
— Moins fort... nous allons réveiller mon mari.— Tant mieux ! Plus il te fécondera, plus il sera content...
Je suis là pour l’aider à t’engrosser, mais pas l’engrosser à ta place... et cela me va très bien. Pas toi ?— C’est... j’ai... j’ai un peu honte.— Laisse cela. Laisse libre cours à ton plaisir.— Oh oui, dis-je oui !
Et pour joindre l’acte à la parole, je me dégageai et m’allongeai. J’ouvris grand les jambes.
— Viens !
Il s’approcha, me glissa deux doigts dans la chatte et se mit à me manger les seins.
Il bougeait ses doigts avec célérité les faisant entrer et sortir, les tournant et retournant dans l’orifice, tout en me dévorant les tétons comme un affamé. Je lui caressai les cheveux frénétiquement;
— Prends ma bite entre tes nichons ! A genoux, dans la ruelle.
Je fis ce qu’il demandait.
— Suce, d’abord, bouffe-là à fond jusqu’à la garde... Avale le zob jusqu’à en vomir et écrase-le entre tes deux gros nibards... OUAIS... comme ça... pas si vite... Laisse traîner ta langue sur le gland... Appuie bien... Rebouffe... Bouge ta tête pour tourner autour de la bite... Comme ça...— Il faudrait peut-être demander le concours de votre sœur, Hornyman. Elle est experte tailleuse de pipe.— Oh... Monsieur, vous m’avez fait peur... Je vous ai réveillé... dis-je avec le même sentiment de culpabilité que si l’on m’avait prise, quand j’étais petite, la main dans le pot de confiture.— Le jeu en vaut la chandelle... Sacredieu... On s’amuse bien ici... Mais ne vous arrêtez pas, Madame, sucez, sucez vigoureusement... Seulement, changez de queue. Prenez-la mienne. Hornyman, puisque la duchesse est à genoux, enfilez-la donc, par-derrière, et allez-y sans retenue. Je sens que je vais encore bander. J’ai hâte de la féconder.
Je me mis donc à sucer la verge molle de mon époux, pendant que mon amant, il fallait bien l’appeler ainsi, me sautait vigoureusement. Mais là encore, malgré une application sincère, je ne produisis pas les effets escomptés par le vieil homme.
— Mettez-la debout, Hornyman, penchée sur mon sexe; et continuez de la prendre par-derrière, jambes écartées. Montez-la comme un étalon saillit une jument... et essayez de lui pincer les seins.— Bien Monsieur.
Le garde-chasse me saisit par les hanches et me releva. Il fit pression sur mes cuisses pour que j’écarte les jambes comme il le souhaitait. Penchée sur mon mari, je continuai d’essayer de le faire bander.
— Aidez-vous de votre main ! supplia ce dernier.
Alors, pendant que je pompai le dard flasque en essayant de le masturber en même temps, la main sur la hampe, la langue sur le gland, Hornyman me lécha la chatte et le trou du cul, puis il se leva et me prit sauvagement.
Comme il était plus grand que moi, il dut fléchir les genoux pour me pénétrer à son aise. De temps en temps, pourtant, il se redressait droit sur ses jambes les tendant à mort, se mettant même sur la pointe des pieds, ce qui me projetait violemment en avant et m’arrachait un cri quand la bite tapait tout au fond, me forçant à abandonner la queue de mon mari un instant.

Celle-ci gonfla enfin, stimulée sans doute davantage par la performance de mon baiseur que par mes actions bucco-linguales. Mais enfin cela m’aida, plus elle était grosse, plus il m’était facile de la branler et de la sucer en même temps sans que les deux gestes se gênent trop, c’est-à-dire en laissant plus d’amplitude au mouvement de branlette.
— Ah, c’est bon, c’est bon... oui. Faites demi-tour. Empalez-vous sur mon vit et faites ce que vous voulez de votre amant.
Je me relevai, fis demi-tour, et avec l’aide d’Hornyman, présentai mon dos à l’homme qui attendait allongé intégralement sur le lit. Il maintint sa bite en l’air par une forte pression de la main et je vins m’empaler lentement sur le membre.
— Bougez, dansez, montez et descendez, remuez-vous dans tous les sens. C’est vous qui avez la maîtrise de la situation Madame.— Je vais faire de mon mieux.
C’était une précaution oratoire, car pour une débutante, il était difficile de se trémousser sur le sexe d’un homme en maintenant celui d’un autre entre ses seins, car Hornyman était monté sur le matelas et me présentait sa bite... Il cracha à plusieurs reprises entre mes nichons pour mieux faire coulisser son membre et cela ne me dégoûta même pas, tellement j’étais submergée par l’invasion du stupre. Et je mis donc plus d’ardeur, car le plaisir montait, enflait, se développait et débordait et, cette fois, je jouis bruyamment.Mon mari y trouva son compte :
— Elle progresse Hornyman, elle progresse. Elle est douée pour la chose, n’est-ce pas?
— Oui, Monsieur, pour peu qu’elle soit bien préparée, elle y prend goût.
Je trouvai curieux qu’ils parlent de moi ainsi en ma présence, comme si j’avais été simple spectatrice, sans me demander ce que j’en pense. Mais il n’était pas convenable qu’ils m’en parlent et me sollicitent mon avis. Oui, j’aimais cela. Jamais je n’avais connu quelque chose de si fort. Bien sûr, je préférais la vaillance du jeune homme, mais le sexe raidi de mon époux n’était pas non plus désagréable et, bien qu’il ne manifestât pas la même vigueur ni la même endurance, je commençai à croire que je pouvais tirer parti, somme toute agréable de ce charmant vieillard et de son entrejambe.
Là-dessus, ses doigts décharnés se crispèrent sur mes hanches, il se tendit de tout son corps et expulsa son sperme en râlant de plaisir.Quand Hornyman eut constaté que mon mari avait joui, il se dépêcha de finir et il se masturba pour juter encore entre mes seins.
— C’est bien... C’est bien... Regagnez votre couche Madame et reposez-vous, le jour viendra bientôt... Revenez demain soir... et vous aussi Hornyman.
Bien Monsieur.
— Pouvez-vous amener votre sœur ? Elle conseillera Madame.— Hélas, Votre Grâce, elle est chez des parents pour quelques jours.— Bien, bien, nous ne perdons rien à attendre... Mais je souhaite que très vite, la duchesse puisse se débrouiller seule.— Vous n’aurez pas à attendre longtemps, Milord... Madame est douée.— Bien, bien... Disposez maintenant, je suis las.— Bonsoir Milord... Milady.
Et il sortit.
Mon mari m’embrassa affectueusement.
— Allez, Madame, allez. Reposez-vous maintenant.
Je regagnai donc ma chambre. Il y faisait plus frais. Je remis moi-même quelques bûches et m’endormis.
La journée fut consacrée à quelques activités mondaines avec les derniers invités qui nous quittèrent l’un après l’autre. On me félicita pour ma gaieté, surtout mes parents qui en furent surpris, et chacun y vit sans doute que le duc avait fait son devoir avec bonheur. Je surpris même à ce sujet quelques propos de couloirs dans la domesticité tenus bas entre rires et gloussements.
— Je te l’assure, c’est Albert qui me l’a dit, il le tenait de Davis. La couche de Monsieur était maculée de sang et d’autres taches...— Oh ! Que dites-vous là ?— La vérité !— Alors, Milord peut encore ?— Il a toujours eu une solide santé. Madame va lui redonner le goût de vivre, j’en suis sûr. Avez-vous vu comme il avait l’air réjoui ce matin ?— Et Madame, l’avez-vous vue ?— Non, mais je sais qu’elle n’a pas dormi toute la nuit dans son lit. Il était à peine défait. Et elle a l’air... contentée... paraît-il ?
Je me montrai alors. Les femmes rougirent jusqu’aux oreilles et plongèrent dans une révérence très marquée. Je fis comme si je n’avais rien entendu et leur adressai quelques banalités.
Après le dîner que nous prîmes en tête à tête avec le duc, je passai la soirée à découvrir la vaste bibliothèque; moyen de tromper mon ennui avant le soir.
Mon mari me demanda si je souhaitais avoir une dame de compagnie ou quelqu’un de ma parenté pour me tenir compagnie au long des journées... Je lui répondis que j’y réfléchirais. Là-dessus, il me dit se retirer dans ses appartements. Je ne tardai pas à l’y retrouver. Hornyman était là. Et il me fit à nouveau l’amour, le temps d’émoustiller mon mari qui y retrouva sa belle ardeur.
La troisième nuit fut semblable aux deux premières, mais, la suivante, je me retrouvai seule avec mon mari. J’eus toutes les peines du monde à le faire bander et, quand enfin j’y parvins, il éjacula sans avoir le temps de me pénétrer.
Hornyman me manqua... beaucoup.
Le lendemain, j’interrogeai donc ma femme de chambre :
— Quand verrai-je toute la domesticité d’après vous ?— Mais toute la domesticité a été présentée à Madame.— Vraiment... pourtant, le duc parlait l’autre jour de son garde-chasse.— Oh ! Les Hornyman... Non... Il n’est pas convenable qu’ils aient l’honneur d’approcher Votre Grâce !— Les Hornyman, qui sont-ils ?— De mauvais sujets Madame, très mauvais... mais très attachés au duc qui le leur rend bien, ce que peu de gens comprennent. On trouve Sa Grâce, trop indulgente avec eux... Il faut dire qu’ils avaient sauvé le fils de Monsieur le Duc sur la Somme...
Et elle m’expliqua tout. Hornyman l’aîné, et Hornyman le jeune s’étaient engagés, bien que mineurs, dans le régiment où servait le fils du duc qui les avait protégés de la haine des habitants avant la Grande Guerre ; leur mère, très belle, ayant souvent été accusée de sorcellerie. Le père était artisan, mais il était mort jeune et la population avait saccagé leur domicile en accusant la mère des pires maux. Il faut dire qu’elle avait fait bien des jalouses et bien des déçus à cause de sa grande beauté et de sa complaisance sélective à l’égard du sexe fort. Le duc les avait pris sous sa protection dans un cottage du côté de Dickhill. Au retour de la guerre, il leur avait donné la garde de ses chasses. Ils n’obéissaient qu’au duc, ne respectaient que le duc.Ils étaient très beaux et les hommes du village s’en plaignaient, alors même qu’ils convoitaient leur sœur dont les mœurs étaient très libres et qui passait pour avoir hérité des dons de sa mère.
J’en savais assez désormais. Je me dis que peut-être je devais mettre moins d’ardeur avec mon mari pour qu’il rappelle Hornyman.
Mais avant tout, je souhaitais le revoir. Je prétextai donc une sortie pour aller visiter le pasteur pour pouvoir essayer de trouver le cottage de Dickhill. Le comte d’Estring; mon excentrique parrain m’avait, fort heureusement, appris à conduire. Je pris donc une voiture, refusant catégoriquement le chauffeur et tout chaperon, et partis à l’aventure.
A suivre
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