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Duchesse et catin

Chapitre 4

Baisée par le frère et la sœur.

Divers
J’étais sidérée, choquée, consternée. Je me fis répéter plusieurs fois ce qui venait de se passer et il fallut qu’il me formule explicitement ce que j’avais compris pour que je l’admette enfin.
— Vous voulez vraiment dire qu’il m’avait attachée pour permettre au chien de me... de me...— Oui. C’est ce qu’il allait faire.— Mais... il l’a déjà... fait ?— Deux ou trois fois avec des filles du village qui auraient fait n’importe quoi pour être au lit avec lui.— Mais c’est monstrueux... et il a dit que votre sœur le... fait... aussi ?— Oui, mais c’est différent.— Mais en quoi est-ce différent ? C’est tout simplement... hors nature !— Des femmes le font... Au moyen-âge, on les brûlait pour cela.— Mais aujourd’hui... c’est incompréhensible ; c’est... rien ne justifie pareille dépravation...— Vous savez, quand on a un mari brutal qui rentre ivre, qui vous bat... et qui ne vous apporte aucun... aucune tendresse, on se console comme on peut. Les chiens ne parlent pas et il n’y a pas de risque à faire cela avec eux. Et puis... certaines aiment cela. Ce sont des mâles très vigoureux... C’est ce que dit ma sœur.— Taisez-vous, taisez-vous, c’est horrible. Quand je pense que j’ai failli... Quelle horreur ! Je devrais faire arrêter votre frère pour cela, le faire condamner à la prison, au bagne.— Il ne vous a pas forcée...— Vous le défendez !— Non... non, bien sûr.— Et votre sœur ! Quel être déviant, abominable ! Je ne veux plus les voir, jamais, ni l’un, ni l’autre ! Ils devraient quitter le domaine.— Mais pour cela, il faudrait en parler au duc... et vous m’avez promis...— Je sais ce que j’ai promis... Je n’ai qu’une parole, mais croyez bien que je le regrette.
J’eus envie de vomir. J’étais tellement scandalisée que je ne pensais même plus à faire l’amour avec le beau garçon qui conduisait à côté de moi.
Jack proposa de me laisser sur le perron, mais il faisait très noir et je ne voulais pas sonner une domestique de peur qu’elle ne remarque quoi que ce soit. Je demandais donc qu’on aille se garer et qu’il me raccompagne.
J’en profitais pour découvrir l’escalier dérobé, partant de la chapelle, qui permettait d’arriver dans la chambre de mon mari.

La femme était nue, assise dans un fauteuil au coin du feu. Elle se leva et j’eus immédiatement en tête l’image de cette femme magnifique s’accouplant avec un chien puis avec mon mari. C’était dégoûtant.
— Sa grâce s’est endormie, dit-elle. Elle demande que vous alliez vous reposer.— Hors de ma vue ! dis-je tout bas, pour ne pas réveiller mon mari, mais avec énergie.— Sa grâce demande que je vous serve de suivante ce soir et que je vous aide à prendre un bain et à vous coucher.— Je ne veux pas vous voir ! Je me débrouillerai toute seule.
Et je quittai la pièce, filai dans ma chambre, et m’appuyai sur le montant de la cheminée, pleurant tout ce que je pouvais. J’avais espéré un moment que son frère me suivrait, mais je l’avais vu distinctement se diriger vers le dressing-room de mon mari où une méridienne lui servirait sûrement de couche.
Quelques instants après, Megan entra.
— Partez.— Sa grâce m’a donné l’ordre de vous assister ce soir.— Et bien moi, je vous donne l’ordre contraire.
Elle passa dans mon dos pour aller dans la salle de bain et j’entendis l’eau couler. Puis elle revint.
— Jack m’a dit pourquoi vous êtes en colère.— Je ne veux pas aborder ce sujet. Sortez maintenant ou j’appelle.— Vous ne voulez pas m’entendre ? Que je me justifie ?— C’est injustifiable.— Comme la violence des hommes... ce sont des prédateurs, pires que des bêtes. Moi, j’ai souvent été leur victime, surtout pendant que mes frères étaient à la guerre. Ils vous prennent comme des proies sans se soucier de vous, de vos cris... ils vous utilisent pour satisfaire leurs besoins et vous méprisent. Vous êtes bienheureuse si un homme ne vous a jamais fait violence...
Il y avait un tel accent de douleur dans sa voix, une telle fragilité qui démentait son allure farouche et rebelle que j’en fus émue. Je la laissai poursuivre.
Et elle me raconta de telles horreurs que je la suppliai finalement de cesser.
— Il n’y a que les chiens qui vous apportent une vraie affection. Ils ne calculent rien eux... Aucun homme ne les vaut... Sauf mes frères et le duc qui l’ont fait avec... une forme de respect... et surtout avec mon consentement... Il a bien fallu que je les console à leur retour de guerre, que je calme leurs blessures, surtout celles de l’âme.— Car en plus, vous êtes la maîtresse de vos frères ! Répugnant. (En fait, j’étais un peu jalouse de partager les faveurs de son frère).— C’est plus simple évidemment dans la haute. Vos mâles ont des bonnes qu’ils peuvent engrosser sans qu’elles puissent se plaindre et que l’on met à la rue quand cela arrive. Chez les pauvres, la promiscuité et la misère provoquent l’inceste. La bête masculine saute sur son jouet ; tant pis si c’est sa sœur ou sa fille. On n’a pas de bonnes pour se livrer à ses passions ; les hommes ont des brutes. Ils vous regardent comme un objet avec lequel tout est permis. Les chiens m’apportent plus de tendresse qu’un soudard ou un mâle aviné!— Mais vos frères !— Ils étaient si abîmés quand ils sont rentrés de la guerre je vous dis... et moi, j’ai des besoins... comme vous.— Ah non ! Je ne veux aucune comparaison de vous à moi. Je vous interdis !— Pourtant vous aimez l’amour aussi. Personne ne vous a forcée, mais vous êtes mariée depuis quelques jours et vous avez déjà eu trois hommes dans votre lit... il ne semble pas que vous ayez beaucoup résisté en face de Job.— J’ignorais quel monstre il est.
J’étais abattue.
— Allez, venez. L’eau est chaude, elle vous détendra.
Je n’avais plus la force de protester. J’obéis.
— Rhabillez-vous, vous êtes d’une indécence !— Une belle femme n’est jamais indécente nue et cela m’évitera de mouiller mes vêtements quand je vais vous aider.— Je me passerai de vous.— Venez... ne faites pas l’enfant.
Je la suivis. Elle m’aida à me dévêtir et j’entrai dans l’eau chaude. C’était délicieux. Je reposai ma tête sur le rebord et commençai à somnoler. Megan prit bientôt l’éponge et commença à me laver dans le cou, sur les joues. Elle était d’une très grande douceur et ma colère diminuait contre elle.
Puis, l’éponge glissa entre mes seins.
— Si vous voulez bien vous levez que j’essuie votre dos.
Je le fis.
Elle me frotta lentement, le dos, puis les fesses. Comme elle était un peu loin, elle entra dans l’eau, puis continua cette séance de massage-ablution.
Ce n’était pas la première fois que je me faisais laver par une domestique, mais je dus reconnaître qu’elle était experte. Elle y allait lentement et avec une infinie douceur. Je me demandais comment une femme de mœurs si perdues et à l’abord si dures pouvait faire montrer de tant de délicatesse.
Je me laissais aller à son contact si confortable, dans la tiédeur de l’eau et son doux clapotis. Ma colère s’évanouit.
— Mon frère vous a meurtrie. On voit encore la marque de ses ongles sur votre peau.— Ah ! fis-je, ne sachant quoi dire d’autre.— Vous avez aimé cela ?— Je... je ne m’en suis pas réellement rendu compte... répondis-je, honteuse.— Oui... bien sûr... il peut être brutal... mais il sait quand l’être pour que l’on s’abandonne à ses coups comme à un délice. Il faudra faire attention. Il utilise parfois la cravache. Cela laisse des marques sur les fesses et les seins.— Je ne le reverrai pas, répondis-je brutalement.
Elle sentit ma colère remonter et se tut. Elle se concentra alors sur ses gestes, précis et délicats sur mon corps. Elle me frotta doucement au creux des reins.
Puis, l’éponge remonta sur mes épaules, puis elle repassa sur les seins, essorant le liquide pour qu’il dévale jusqu’à mon nombril. Elle descendit enfin jusqu’au sexe. Elle passa sur le pubis, puis entra entre les cuisses et appuya plus fortement.
Le geste était équivoque, entre le soin et la caresse. C’était si doux. Je fermais les yeux, à nouveau soumise et domptée par tant de tendresse et, il faut l’avouer, par un début d’excitation. J’aurais tellement aimé que son frère Jack mît la main, là, où elle l’avait placée ! L’éponge tomba et il n’y eut plus que la main, un moment inerte, posée sur le sexe puis elle inséra un doigt, au moment où elle me déposa un bisou sur le téton gauche.
Je reculai.
— Que... que faites-vous ? balbutiai-je, finalement plus surprise que choquée.
Car je savais très bien ce qu’elle faisait.
— C’est tellement plus doux qu’un homme. Livrez-vous, abandonnez-vous... sans pénétration, sans violence, sans douleur ; que du plaisir.
Elle était d’une telle beauté, si sauvage, qui offrait un tel contraste avec sa délicatesse présente que je ne pus résister. Ses cheveux si noirs lui donnaient un air de puissance et de force qui me subjugua. Elle m’envoûtait. Alors je me laissai faire. Je m’abandonnai délicieusement à ses lèvres si douces sur mes seins et son doigt si tendre dans ma fente.
Bientôt, elle se rapprocha et se colla à moi, et l’étreinte se fit de plus en plus fort. Elle m’invita à sortir du bain, me sécha dans une serviette moelleuse et m’emmena vers le lit. Elle défit couverture et draps puis m’embrassa tendrement. Ses doigts effleuraient ma vulve et les poils de mon pubis. Ses baisers sur mes seins étaient légers comme le souffle d’une plume. Elle me touchait à peine comme si j’avais été une porcelaine précieuse et fragile qu’on craint de casser.
Puis, elle monta sur le lit et, me tenant par la main, m’attira à elle. Nous nous couchâmes l’une contre l’autre et elle continua à me couvrir de petits baisers et à me caresser très lentement le clitoris. C’était tellement différent de ce que faisait un homme. J’avais vraiment l’impression qu’elle recherchait affection et plaisir à partager alors que les hommes ne cherchaient qu’à satisfaire le leur même si cela m’en procurait beaucoup. Il n’y avait ni la même fougue, ni la même sécheresse des gestes, ni évidemment l’élan impétueux et violent de la pénétration.
Elle continua à m’embrasser tout en me chatouillant le clitoris avec une lenteur délibérée. Comme si elle avait eu un sixième sens, à chaque fois que je m’approchais de l’extase, elle cessait et me caressait les cuisses ou les seins du revers de la main et, le calme revenu, elle reprenait ses mouvements sur ma chatte ; je lui rendis ses baisers, mais rien de plus. Alors, elle prit ma main et l’amena dans son entrejambe humide. Je trouvai le contact de son con agréable, et pourquoi pas ? Ne dédaignais-je jamais de caresser le mien ? Je compris qu’il fallait que mes gestes se calquassent sur les siens et je lui rendis tout ce qu’elle me faisait. Alors, elle accepta de me laisser jouir une première fois.
Ceci étant fait, elle me laissa me reposer sur le dos et s’immisça entre mes cuisses pour me lécher la chatte. Comme j’écartai bien les jambes pour la laisser faire, elle se mit dans une autre position, sa jambe gauche par-dessus ma jambe droite et inversement, nos vulves ainsi collées l’une à l’autre. Alors, elle s’agita. La réunion de nos deux intimités fut délicieuse et elle jouit à son tour sauvagement en secouant violemment son bassin.
Elle vint s’allonger à mes côtés. Je crus comprendre qu’elle attendait que je prisse l’initiative. Alors, je m’étendis sur elle et la couvris de baisers, du front jusqu’aux chevilles, en m’appliquant à le faire avec autant de délicatesse qu’elle en avait usé avec moi.
Elle répondit à mes initiatives et nous reprîmes nos attouchements avec un peu plus de fougue cette fois. Nos baisers furent plus appuyés, nos langues se mélangèrent avec plus de vivacité, nos doigts entrèrent plus profondément et plus vite... et nous nous fîmes jouir encore une fois.
A ce moment, elle siffla en modulant les notes. Je me demandai ce que cela signifiait pour elle et je ne fus pas longue à comprendre. Jack entra, nu.
Sa sœur se mit sur le dos, bien au milieu du lit.
— Venez sur moi, dit-elle gentiment.
Je m’approchai alors.
— Non, dans l’autre sens, à quatre pattes, au-dessus de moi, pas comme cela ; non, juste ton sexe au-dessus de ma bouche, ton corps au-dessus du lit.
Je fis ce qu’elle demandait. Ainsi, elle avait juste sa tête sous mon sexe qu’elle se mit à lécher avec ardeur.
Jack monta alors sur le lit. Il se mit sur sa sœur et me mangea le trou du cul, j’adorais le frôlement de ses poils sur mes fesses pendant que sa langue s’agitait rapidement.
Très vite, ces deux-là me firent jouir. Je leur livrai mon cul sans défense, m’étendant de tout mon long sur le lit en ne maintenant que ma croupe en l’air.
Puis, Jack se redressa pour me doigter, et enfin, il me chevaucha en plaçant ses deux jambes de part et d’autre de mes fesses, en me surplombant. Il appelait cela le "bouledogue". La pression sur mon anus fut terrible malgré la petite préparation à laquelle il s’était livré. Je gémis lamentablement.
— Madame n’a pas encore l’habitude, mais avec le temps, cela lui viendra et elle n’en éprouvera que du plaisir, précisa Megan.— Continue de lécher Madame ! répliqua son frère.
L’idée que cette métaphore canine lui venait peut-être de ce que son frère faisait faire à ses chiens et ses maîtresses me traversa. Mais j’étais si absorbée par le plaisir, entièrement soumise à la magie du sexe, que je ne trouvai plus la force de m’en offusquer. L’idée s’évanouit. Seules, restèrent la queue de l’homme en moi et la langue de ma femme sur mon intimité ruisselante.
Elle continuait donc sa besogne qui me fit tant de bien que j’en oubliais vite la déchirure à laquelle son frère me soumettait. Il glissa jusqu’au fond, s’y cala en bougeant juste son corps, puis se retira presque entièrement pour me refoutre un coup sec et brutal m’arrachant un cri strident.
Puis, il recommença ainsi une dizaine de fois, ses coups étant toujours plus violents, mais mes cris à chaque fois plus faibles et, pour finir, je n’émis plus qu’une plainte quasiment discontinue, une petite mélodie de la joie. Alors il accéléra le rythme, se cramponnant à mes épaules.
La langue sur ma vulve et dans mon trou continuait son œuvre bénéfique. Le plaisir déferlait, augmentait, s’atténuait, reprenait de plus belle et ne me laissait aucun répit. J’étais cassée par les coups de bite.
Meg cessa de me lécher au moment où Jack se retira. Je l’entendis gémir, râler et crier finalement. Le liquide chaud se déversa sur ma vulve et sur les globes fessiers.
— Mets tes doigts et suce-les !
Je passai donc mes doigts sur le con humide et j’en rapportai une pleine charge sur les doigts que je me mis à déguster pendant que Megan avait repris la lèche.
Après avoir bien nettoyé tout le foutre, elle se dégagea, me fit rouler sur le dos et vint au-dessus de moi. J’avais la bouche pleine de sperme et la sienne était remplie de mouille et de jus d’homme. Nos lèvres se mêlèrent dans un baiser langoureux, salace, salé.
Jack avait assisté à cette dernière étreinte.
— Je vais vous laisser, dit-il.— Non, restez ! suppliai-je. J’avais encore envie de lui.— Non. Je vais me reposer encore dans la chambre de Monsieur, puis je partirai à l’aube. Megan va vous tenir compagnie... Elle y a droit... mais n’oublie pas de partir avant l’aube.— Ne t’inquiète pas.
Et elle resta allongée avec moi. Nous nous blottîmes l’une contre l’autre bien au chaud dans des gestes plus chastes, de très petites caresses sur la peau et de très délicats baisers.
Je finis par sombrer dans le sommeil, bercée de chaleur et de tendresse.
Il était déjà tard quand Caroline ouvrit les rideaux.
— Madame a-t-elle bien dormi ? Nous étions tous inquiets pour Madame.— Fort heureusement, on m’a retrouvée, mais je crains d’avoir abîmé la voiture.— J’espère que Madame ne nous refera plus de telles frayeurs.— Comptez-y. La prochaine fois, je partirai à cheval. Il saura bien retrouver l’écurie.— On dit que c’est Megan Honrydick qui a secouru Madame ?— On dit vrai. Elle n’est pas aussi terrible que ce que vous dites.— Ah ça ! Pour ce qui est d’être fidèle à la famille de Sa Grâce, personne n’y peut rien trouver à redire ; mais, il n’y a bien que Milord et vous que ces gens respectent. Pour le reste, si Madame le permet, ce sont des sauvages et des brutes, et il court tant de récits à leur compte qu’une femme comme il faut ne pourrait les entendre.
Je coupai là, la conversation me promettant bien de revoir ces "brutes", du moins Jack et sa sœur, le plus vite possible.
A suivre
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