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Duchesse et catin

Chapitre 5

Sodomie, godemichés et désirs inavouables.

Divers
Ainsi passait ma vie. Les journées étaient un peu longues. Je surveillai les travaux de la piscine, je regardais si tel salon n’avait pas besoin d’être redécoré, je visitais des hobereaux de la région, mais le soir, je retrouvai mes amants. Mon mari avait repris goût à la vie sexuelle et il appréciait les pipes de Megan qui restaient supérieures aux miennes malgré ses leçons efficaces et les efforts que je consentais.
Jack et sa sœur venaient presque tous les jours et repartaient au petit matin pour n’être pas vus du personnel.
Le plus souvent, mon mari jouissait en premier et il n’était alors pas rare qu’ils nous laissent finir tous les trois. Parfois, quand ses exigences sexuelles avaient obligé Jack à éjaculer d’abord, il fallait attendre plus tard dans la nuit pour qu’il reprenne des forces ou tôt le matin avant leur départ. Auquel cas, je prétextais toujours une migraine pour me lever plus tard, ayant beaucoup veillé.
Quand le frère et la sœur ne venaient pas, nous copulions quand même, le duc et moi. Je savais maintenant comment l’exciter et, s’il était moins endurant que Jack, il était suffisamment attentif à mon propre plaisir pour que j’y trouvasse mon compte. Il parvenait à me donner des orgasmes.Bref, j’étais heureuse. Que nous fassions l’amour à deux, trois ou quatre, c’était toujours très bien.
Megan m’avait aussi convaincu des plaisirs de la sodomie. La première expérience avec son frère ne m’avait pas laissé un souvenir aussi intéressant que la pénétration vaginale. Je me rappelais en fait surtout la douleur de la déchirure au début. Et j’avais plus attribué le plaisir ressenti in fine aux caresses linguales qu’à la performance du vit de Jack.
Au départ, j’avais été rebutée par l’idée de recommencer, mais Megan m’en avait vite révélé les avantages. Comme j’étais peu enthousiaste, elle avait pris l’initiative de demander à son frère de l’enculer devant moi. Elle avait insisté pour que j’y assiste de près et, à quatre pattes au-dessus de mon visage, pendant qu’elle me mangeait la chatte, j’avais assisté à ce jeu nouveau qui semblait lui procurer infiniment de plaisir. J’avais participé en léchant les couilles de mon amant et même, après son éjaculation, la rondelle de ma nouvelle amie couverte de sperme.
— Vous verrez, plus vous le ferez, plus ce sera facile... et tous les hommes aiment cela... sans compter que c’est un excellent contraceptif...
Ils m’avaient donc persuadé d’y revenir. Comment résister à des arguments quand on est à cheval sur la queue de son ami, avec une femme qui vous suce les tétons, tout en vous chatouillant le clitoris ? On m’avait arraché la promesse de réessayer.
Pour ce faire, Megan avait déployé les grands moyens.
— Des cadeaux pour vous !— Des cadeaux... pour moi ?— Oui Madame.— Qu’est-ce que c’est ?
Elle déposa une grande boîte richement sculptée, apparemment fort ancienne, en bois d’ébène.

Monsieur le duc m’en avait fait don. Ils vous reviennent. Ils ont appartenu, je crois, à l’une de ses aïeules, il y a bien 150 ans !
— J’ouvris le coffret.— Mais ce sont des...— Des olisbos, oui Madame.
Il y en avait plusieurs, de taille "normale" ou, plus nombreux, de fort gros format. La plupart étaient en bois, mais il y avait aussi des modèles en verre ou en ivoire. Deux portaient des couilles, les autres avaient le gland énorme et, sur certains, on avait pyrogravé des prénoms masculins.
— Mon Dieu, mais où vais-je les mettre ?— Mais ! Dans tous les trous !— Non... je veux dire où vais-je les cacher ? Si ma suivante les découvre...— Connaît-elle les placards secrets de vos appartements ?— Des placards secrets ?— Oui... Il y en a au moins trois... Où les femmes peuvent garder des lettres, des bijoux... tenez ! Celui-ci est assez vaste pour contenir la boîte. Jack vous montrera les autres... et vous aidera même à en chercher d’autres s’il y en a. Ces vieilles maisons en sont remplies. Alors, on essaie ?— Vous croyez ? dis-je en riant.— Avant, il faut que je vous montre comment bien faire votre toilette... intime. La sodomie requiert quelques préparatifs.
Je dois avouer que cet aspect des choses m’avait travaillé lors de la première fois qui, fort heureusement, m’avait trouvée suffisamment en état de subir les assauts de Jack sans craindre d’accident d’hygiène. Mais ce ne serait assurément que rarement le cas. Je fus assez godiche, plutôt mal à l’aise, mais Megan abordait ces questions avec un tel naturel que cela se fit en fin de compte le plus simplement du monde. Nous devenions de plus en plus complices elle et moi, et je commençais à m’y attacher vraiment.
Nous jouâmes longtemps avec la boîte à merveille destinée à remplir nos boîtes à bonheur. Nous y allâmes crescendo, enfonçant même les plus gros, en mettant dans chaque trou et même en nous faisant des doubles, le tout assorti de caresses, bisous et léchouilles.
Quand vint le moment d’enfiler le braquemart de Jack, je m’y préparai avec l’un de ces godes et il me pénétra si ce n’est sans peine, du moins sans douleur. Il me sodomisa pendant que sa sœur me godait. Je ne fus pas longue à devenir adepte de ces pratiques. Désormais, quand le duc me labourait la chatte, Jack me sodomisait si on le lui demandait.
Mon industrieux boute-en-train emporta même un imposant membre en bois foncé chez lui pour le ramener quelques jours plus tard fortement assujetti à une ceinture, ce qui permit à Megan de m’enconner ou m’enculer comme si elle avait été un homme et vice-versa. Mais je préférais de loin être foutue que foutre !
Ces afters me plaisaient de plus en plus et je m’appliquai chaque soir à faire jouir mon vieil époux le plus vite possible afin qu’il s’endorme paisiblement et me laisse en compagnie de Jack, de plus en plus souvent accompagné de sa sœur.
Je remarquai que, lorsqu’il baisait sa sœur, Jack se laissait aller à des propos orduriers qu’il ne tenait pas avec moi, la traitant de tous les noms possibles et imaginables qui servent à qualifier les femmes de mauvaise vie. Et puis il lui demandait sans cesse si sa queue était bonne et si elle la sentait bien. Bien sûr, j’en avais été choquée, d’ailleurs pas la première fois tellement j’étais excitée à ce moment-là, mais ensuite ces mots m’avaient paru déplacés. Le duc ne le faisait jamais. Megan, qui ne répondait pas à ces insultes, m’avait fait comprendre qu’un homme ne parlait jamais ainsi à sa femme, du moins dans certains milieux. On gardait ces propos pour une maîtresse... et encore, davantage pour une prostituée. Mais certains couples le faisaient et cela dénotait une grande complicité. Pour elle, c’était la preuve que Jack prenait du plaisir.
— Alors il ne prend pas de plaisir avec moi ?— Bien sûr que si... mais il n’ose pas vous parler comme à moi. Et il n’osera jamais.— Vous êtes sûre ?— Oui, vous l’impressionnez trop... A moins que vous ne preniez l’initiative en employant vous-même le vocabulaire adéquat pour l’encourager. Si vous lui parlez comme il me parle...— Ô ! Jamais je n’oserai !
Mais cela ne m’empêcha pas d’enrichir mon vocabulaire. Et, quand j’étais seule, je m’amusais parfois à employer tous les gros mots qualifiant toutes les parties intimes des hommes et des femmes.
Bref j’étais aux anges jusqu’au jour où je me fis la réflexion qu’il y avait bien longtemps que je n’avais pas vu mes règles. Les précédentes dataient des quelques jours avant mon mariage... et cela faisait plus d’un mois que j’avais convolé. Ce pouvait-il que ce vieux bandeur m’ait engrossée ? Car, évidemment, il ne pouvait être question que de lui, Jack ayant toujours scrupuleusement évité de me juter dans le vagin. Il n’avait d’ailleurs nul besoin de le faire vu qu’il était autorisé à me couvrir de sa semence partout ailleurs.
Je ne ressentais cependant aucun autre symptôme. J’en fis part à Megan qui m’affirma qu’il ne pouvait y avoir de doute. Mais pour plus de sécurité, il me fallait consulter.
Je prétextai une légère indisposition pour ne pas donner de fausses espérances à mon époux qui espérait tant un héritier.
Aucun doute, non vraiment aucun.
J’étais très heureuse, à la fois d’être mère et de donner satisfaction au duc qui n’était que bienveillance pour moi.
Mais j’aurais mieux fait de me taire.
Tellement préoccupé par la crainte que ma grossesse n’aille à son terme, mon mari m’interdit rigoureusement d’avoir des rapports sexuels.J’acceptais, pensant qu’il me serait facile et salutaire de pratiquer une certaine ascèse pendant quelques mois.
Mais au bout de quelques soirs, force me fut de constater que j’étais en manque, un manque que je domptais rapidement avec ma boîte magique. Qu’est-ce que j’étais heureuse de l’avoir !
Seulement, au bout de quelques soirs, j’en eus vite fait le tour. Ils étaient bons dans la chatte et le cul, mais n’avaient pas le goût incomparable d’un vrai sexe de chair, ni sa ferme douceur, ni l’odeur puissante des boules de Jack. Et puis une bite de bois, fut-elle de belle taille et mieux gaulée qu’un mec, ne vous palpe pas les seins, ne vous lèche pas la chatte et manque un peu de conversation.
J’essayai alors de convaincre mon mari d’autoriser Megan à me rejoindre. Mais même cela, il ne le voulut pas craignant qu’elle me fatigue trop.Les semaines passaient, mon ventre s’arrondissait, mes seins gonflaient, mais personne pour les téter !Cela ne pouvait plus durer. Mais je ne savais pas comment mon mari faisait pour avertir Jack et Megan quand on avait besoin de leurs services. Sans doute passait-il par son majordome. Mais moi, je ne pouvais pas.
J’en étais réduite à fantasmer, à errer dans le château pour épier les hommes qui s’y trouvaient. J’allais souvent aux écuries où les palefreniers travaillaient souvent en chemise, ce qui me permettait de deviner leur musculature. Bien souvent, j’eus envie de m’offrir à l’un d’eux.
Enfin mon mari dut se rendre quelques jours à Edimbourgh. Pour m’épargner la fatigue du voyage, il décida d’y aller seul. J’espérais profiter de la circonstance pour aller traîner du côté du cottage des Hornyman et leur laisser une invitation à venir, mais on avait donné l’ordre de ne jamais me laisser seule... sauf la nuit.
Fort heureusement, si les nuits étaient froides, la lune était pleine ; seller un cheval, je savais faire.
J’avais pu me promener avec ma dame de compagnie dans la campagne et repérer les lieux. Je savais où aller.
Pénétrer dans les écuries, prendre un cheval sans réveiller les palefreniers, c’était un véritable défi. Mais j’y réussis. Le cheval me connaissait bien et il sut aller au petit trop prenant même la direction du cottage comme s’il savait que c’est là que je voulais aller.
Je réalisai soudain mon inconséquence. A cette heure, ils devaient dormir... et puis s’il m’arrivait quelque chose... et puis, ils seraient trois... il y avait le frère... Mais Jack le briderait... Mais j’avais déjà l’habitude à trois avec mon mari... sauf que là, j’aurais quelqu’un de beaucoup plus vigoureux et endurant.
J’étais en train de me dire qu’il aurait été préférable de faire demi-tour quand, au détour du chemin, je vis scintiller au loin la lumière du cottage.Dès lors, je n’eus plus qu’une idée en tête, rejoindre mon amant et sa sœur. Je mis le cheval au trot.
Quelques instants après, je me trouvai devant la porte. J’attachai ma monture et m’apprêtai à frapper lorsque je crus plus prudent de regarder d’abord par la fenêtre. Qui sait ? Peut-être y avait-il un tiers qui se serait demandé ce que la duchesse faisait là à cette heure.
Ce que je vis me terrifia et je reculai pour me plaquer contre le mur en réprimant mes battements cardiaques.
Je repris mes esprits et regardai à nouveau.
Dans la pièce, une femme était à genoux. Elle était jeune et très replète. Un chien la couvrait !Je connaissais la fille. C’était la domestique du pasteur et de sa femme. Il s’agissait de ne pas me faire voir !
A mon premier coup d’œil, j’avais aperçu Job, jambes écartées, debout en train de se masturber devant le drôle de couple. Le son de sa voix m’était parvenu même si je n’avais pas compris ce qu’il disait à la fille.
Elle jouissait... J’étais choquée, mais fascinée, car elle jouissait vraiment, sans retenue, sans complexe, totalement abandonnée. Elle ne simulait pas.Ses énormes mamelles qui rasaient la couverture sur laquelle elle était dansaient lentement au rythme des coups saccadés et réguliers de l’animal. Elle gémissait et il me semblait qu’elle l’encourageait.
Quant à l’animal, il n’avait pas l’air malheureux ! Son poitrail était collé au dos de la fille et ses pattes antérieures pendaient de chaque côté du corps. Sa grosse tête surplombait la femme. Il tirait la langue. Ses assauts ininterrompus mettaient en jeu l’ensemble de sa puissante musculature lui donnant toutes les marques d’une énorme puissance. Il était massif, plus qu’un homme d’une certaine façon. Comme elle devait se sentir écrasée, dominée et soumise, comme j’aimais l’être par Jack ! Jouir de la force du mâle en rut, s’abandonner à sa vitalité, à sa brutalité contenue, à sa bestialité... Car le sexe est bestial, le coït du mâle c’est l’instinct... c’est ce que je ressentais précisément à ce moment-là en faisant le parallèle entre l’homme et l’animal. Il me semblait qu’ils n’étaient avant tout que copulation et désir de saillir.
Job avait disparu, du moins je ne le voyais plus et, malgré le froid, je ne parvenais pas à détacher ma vision de cette fille rousse et grasse qui ne cachait pas son bonheur. Avec toutes ces réflexions qui me couraient en tête, je sentis une forme d’excitation et j’en fus culpabilisée immédiatement. Comment une telle dépravation pouvait-elle me faire cet effet ? Etait-il possible que je fusse en train d’envier cette fille vulgaire, mais si lascive ?
J’eus presque envie de me caresser... mais même sans cela, je mouillai.
Et puis soudain, une main s’abattit sur ma bouche alors qu’un bras puissant me retenait captive. Je fus saisie de terreur.
— Ne craignez rien, Madame... C’est moi, c’est Job. Vous allez me suivre au chaud en silence. Il ne faut pas que cette grosse fille de ferme sache que vous êtes là ! Que s’imaginerait-elle ! Le chien a bientôt fini, je crois... après je suis à vous...
Il me conduisit dans un endroit chaud, près de l’écurie, et y entra mon cheval.
J’étais dans le noir. Je réfléchissais. Que faire ? Repartir ? C’était le bon sens même puisque, apparemment, ni Megan ni Jack n’étaient là. Je ne pouvais rester seule avec Job... Je décidai donc de filer à l’anglaise. Malheureusement, il avait fermé à clef la porte de l’écurie... et il avait sans doute gardé la clef sur lui.
Au bout d’un temps qui me parut interminable, j’entendis l’autre fille partir, ou plutôt son cheval... puis il ouvrit.
— A toi maintenant ! Je sais pourquoi tu es là !
A suivre
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