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Duchesse et catin

Chapitre 7

Un nouvel amant

Trash
Il puait. Il ne devait pas se laver très souvent et sentait l’écurie, et il exhalait particulièrement de son entrejambe un arôme fort de sueur, de pisse et de suint de cheval.
Sa chemise entrouverte laissait voir un corps svelte où chaque muscle saillait.
Sa peau était très blanche, pâle comme celle d’un cadavre et ses poils, d’un roux profond à la lueur des lampes, assombrissaient son pubis. Rares sur le torse, ils laissaient apparaître deux tétons très roses et pointus. Et comme il ne s’était pas rasé depuis deux ou trois jours peut-être, son menton se couvrait déjà d’un début de barbe.
Comme j’avais hésité à me rapprocher de lui à cause de son odeur, Job me prit par la nuque et me poussa vers le jeune homme.
— Suce, suce... suce cette grosse trique.
Je pris donc la bite et l’avalai le plus loin possible comme j’arrivai désormais à le faire depuis les bons conseils de Megan. Je passai mes mains dans son dos et éprouvais la vigueur de son fessier bombé.
— Allez, mets-y plus d’ardeur... d"habitude tu bouffes mieux que ça la bite.— C’est que je suis fatiguée... et il pue.
Job s’approcha.
— C’est vrai que tu pues Peter. Et pourtant, j’en ai vu d’autres !— Dame, on n’avait pas prévu que ce serait fête ce soir !— Allez ! viens par là, on va te laver.
Connaissant le chemin comme s’il était chez lui, Hornyman le jeune nous conduisit à ma salle de bain. Nous achevâmes de nous y dévêtir. Les deux mâles étaient en rut.
Le palefrenier était décidément un fort beau garçon. Son dos, les muscles de ses bras et de ses jambes, la fermeté de sa peau qui était presque encore celle d’un adolescent alors que sa pilosité était bien celle d’un homme, lui donnaient un charme fou. Sa bouche large aux lèvres épaisses exprimait une forte sensualité et promettait mille délices quand je viendrais m’asseoir dessus.
— Monte dans le tub Peter... et lèche-lui les seins.
Peter ne se le fit pas dire deux fois et il m’aspira les tétons plus qu’il me les lécha. J’avais beau les avoir essuyés avant de quitter le cottage Hornyman, je n’avais pu les débarrasser tout à fait du foutre du chien dont ils étaient imprégnés... et maintenant, la salive ruisselait et se mélangeait au résidu de sperme.
— C’est bon Peter ?— C’est un peu... gluant... salé... Monsieur Job y aurait-il fait office ?— Connaisseur, je vois... répondit l’autre. On ne m’avait pas menti sur tes compétences. Allonge-toi maintenant Peter. Prends ta bite et branle-toi.
Le gars se positionna comme il put.
— Monte à ton tour et enjambe-le..... Voilà... caresse-toi bien la chatte pour qu’il en profite.
Debout, jambes écartées, pieds de part et d’autre du jeune homme, je me mis à me câliner l’abricot.Le gars me regardait d’un air plein de lubricité et s’astiquant doucement le manche.
— Pisse-lui dessus ! m’ordonna Job.— Comment ?— Pisse, je te dis.— Mais c’est dégoutant !— Pisse salope ! répliqua-t-il d’un ton d’autorité. Pisse. C’est un gros cochon. Il adore ça.
Je regardai Peter. Il avait ouvert la bouche et me provoquait d’un air de défi en jouant du pouce à pousser sur sa bite et à la relâcher. Il n’éprouvait visiblement aucune répugnance, au contraire.

J’hésitai. Alors, tout en bandant, il urina lui-même sur son ventre et même jusque sur ses tétons. Quand il eut fini. Il se caressa. Alors je fis ce qu’Hornyman exigeait.
— Lentement ! Fais durer le plaisir.
Je pissai sur l’homme, sur son visage surtout.
Quand j’eus terminé, il se redressa pour venir lécher ma chatte et il tint ses promesses. Sa bouche ample, ses poils durs, sa langue audacieuse firent merveille.
— Couche-toi sur lui !
Je le fis et, sans besoin de consignes supplémentaires, pris sa verge en main pour la guider en moi. Et tout en laissant pénétrer le gros zob dans mon con, j’embrassai le jeune gars à pleine bouche... bouche pleine de pisses encore. Mais, une fois encore, passé le premier moment de répugnance que m’avait inspiré ce jeu, je m’y livrai sans complexe.
J’étais suffisamment prête et excitée pour que la grosse queue glisse lentement et sans dommage. Je me mis à me trémousser dessus comme une folle. Déjà, le plaisir me submergeait et je ne m’appartenais plus.
— T’as déjà baisé une femme aux seins lourds comme ça Peter, pleins de bon lait, avec un joli petit ventre rond ?— Dame, faut dire que oui... comprenez, quand elles ne risquent plus de se faire engrosser, les femmes sont plus allantes.— Et t’aimes ça Peter ?— J’aime tout, j’aime tout...
Et effectivement, il donnait suffisamment de sa personne pour qu’on crût à sa sincérité.
Soudain, comme j’étais toujours en train de galocher Peter qui continuait de remuer sa pine en moi, une averse d’urine bien chaude nous tomba sur le visage. Avant qu’elle ne cesse, Job me tira par les cheveux pour que je cesse d’embrasser l’autre homme et il acheva d’uriner dans ma bouche ouverte. J’en recrachai au fur et à mesure, ne pouvant tout avaler, en essayant de viser Peter en pleine face. Ce ne fut pas difficile. Il ne faisait rien pour s’y dérober.
Job se mit ensuite difficilement derrière moi. Le tub est grand certes, mais pas conçu pour un jeu à trois. Pourtant, au bout d’un moment, les deux queues se touchèrent, n’ayant pour les séparer que ma paroi interne, l’une dans le cul, l’autre dans le vagin. Dès qu’il eut trouvé la position la plus confortable, ce qui n’était pas facile compte tenu de mes rondeurs et de ma maladresse consécutive à mon état, Job ouvrit le robinet. L’eau était glaciale d’abord, mais les garçons n’en avaient cure. Puis elle se réchauffa et l’atmosphère devint embuée et moite.
Je coupai moi-même le robinet pour éviter que l’eau ne déborde et révéler ainsi au personnel qui viendrait faire le ménage le lendemain matin qu’il s’était passé ici des choses curieuses. Néanmoins, toutes précautions prises, à trois nous ne pûmes empêcher quelques dégâts des eaux.
— Lave-le ! Ordonna Job en sortant du bain.
Peter se mit debout et je pris les éponges et le savon pour le nettoyer à fond. Je le couvris de mousse et m’appliquai à le laver en mouvements circulaires dans le bas de son dos, sur ses fesses, puis revint, en passant par les cuisses, au sexe. Je décrassai les testicules, l’un après l’autre puis m’attaquai à la verge en la branlant avec lenteur. Le gars se laissait faire, tout en se pinçant les tétons.
— A mon tour !
Je fis donc avec le second ce que j’avais fait avec le premier, avec les mêmes gestes, pour que mes doigts s’habituent à la courbe des fesses, à l’épaisseur de chaque muscle, pour que le poids des couilles me comble la paume de chaque main et que la dureté de la verge m’excite.
Puis nous sortîmes de l’eau, nous nous essuyâmes et Job nous conduisit vers le lit.
On se remit en double, Peter au-dessus.
Le rouquin ne mollissait pas, et même s’excitait davantage. A chaque fois qu’il essayait de m’insulter, Job le calmait.
— T’oublies pas Peter. C’est une dame qui te fait un grand honneur. Tu la baises, mais tu te tais.— ’Scusez ! Elle est tellement bonne...— Ça c’est bien vrai Peter... Y en a pas beaucoup des comme elle... Tiens, viens un peu par là garçon.
Peter se retira de façon à nous libérer Job et moi. Puis Job descendit du lit, tira un grand fauteuil à lui, l’approchant au plus près, se cala dedans et se masturba.
— Baise-la devant moi Peter... bouffe-lui la chatte.
Peter se montra d’un exemplaire docilité. A chaque fois que je m’approchais de l’orgasme, Job lui disait d’arrêter et changer de position. Mais, j’étais trop proche du bonheur pour me stopper dans mon élan et je jouissais illico.
— Prends ma place Peter.
L’autre s’assit dans le fauteuil pendant que Job me fit connaître tous les délicieux outrages possibles et imaginables.J’étais exténuée par les orgasmes répétés et les effets du bain avaient de longtemps disparu. Je dégoulinais de sueur.
— J’veux voir ce que tu as dans les roustons. Dès que tu sens que ça vient, tu te lèves et tu t’approches ? OK man ?— Oui m’sieur.
Il attendait probablement ce signal, car il tira plus vite sur sa queue et bientôt il se leva. A ce moment, j’étais en missionnaire et la tête au bord du lit. Job suspendit son va-et-vient, et regarda.
— Pas mal garçon, pas mal... mais je m’attendais à plus.
De fait, en matière de sperme, j’avais déjà été plus gâtée. Quelques gouttes seulement tombèrent sur mon visage, lourdes et généreuses, mais rares.
— Va t’habiller Peter et attends-moi.
Job me tira un peu vers l’extérieur du lit pour que ma tête bascule dans le vide.
— Ouvre.
Il plongea sa bite et jouit rapidement à son tour, se retirant in extremis pour arroser mes seins et, surtout mon ventre.Il resta encore un bon moment au-dessus de moi, verge pendante, me pelotant lentement les nichons et étalant son foutre sur mon ventre en me massant délicatement, jusqu’à ce qu’il luise d’huile de burnes jusqu’à l’extrémité du nombril, bombé comme une grosse verrue.
Puis il se mit accroupi pour me chuchoter, tout en jouant de l’index mouillé de jus sur mes lèvres.
— Tu n’as pas oublié ta promesse. Ça m’excite de voir une bonne chienne se faire prendre...
Si, j’avais déjà oublié la promesse. Ou plutôt, je l’avais chassée de mon esprit.
— Je n’ai pas oublié. Dis-je pourtant.— Bien. Tu viens quand ?— Je... je ne sais pas...— Faut pas tarder. Ton mari et ton amant vont bientôt revenir et ils n’aimeraient pas... Jack me laisse faire avec les autres filles, mais avec toi, il voudra pas... surtout dans cet état.
Je compris qu’il me fallait gagner du temps.
— Mais je ne sais pas...— Demain soir.— C’est que la nuit... cela m’a impressionnée ce soir... J’ai eu peur et ai bien failli faire demi-tour.— Mais heureusement, tu ne l’as pas fait... Je viendrai te chercher après ton coucher, vers 22 h 00. Tu n’auras qu’à te rhabiller quand ta suivante sera partie... tu seras en sécurité.— Ah...
Puis il rejoignit le petit rouquin dans la salle de bain, et en ressortirent quand ils furent près.
— Occupez-vous bien de Peter... et toi Peter, tu n’as rien vu ce soir.— Rien m’sieur. Je dors profondément.— Vot’ grâce ! dirent-ils en me saluant.
Puis Job remit le masque sur les yeux de Peter et ils disparurent.
Je restai hébétée, terrifiée d’avoir à tenir ma promesse le lendemain soir. Comment m’y soustraire ? Et puis la solution s’imposa. Je me rendis à l’entrée du passage secret et l’empruntai jusqu’à son extrémité. Ils étaient bien partis. Alors je revins sur mes pas et, arrivée dans la chambre de mon époux, je fermai à clef toutes les pièces du passage qui la faisait, la salle de bain, communiquer avec la mienne, la salle de bain, puis la petite pièce que j’appelais alcôve et le couloir. Il me serait toujours possible de mentir à Job et de lui dire qu’ une domestique l’avait fait. J’échapperai à ma promesse jusqu’au retour de Jack. Ainsi rassérénée, je m’endormis.
A suivre
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