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La Duchesse débauchée

Chapitre 2

Orgie / Partouze
L’hiver fut long cette année-là. Le vent glacé et la neige épaisse et vigoureuse avaient transformé le domaine du Duc en un vaste manteau blanc duquel on discernait à peine la forme de quelques bâtiments enneigés. Le givre avait recouvert les grandes fenêtres de la bâtisse principale et le sol entourant la propriété s’était couvert d’un épais verglas prompt à provoquer moult chutes des pauvres bougres employés par le Duc pour entretenir le domaine. La forêt dans laquelle le Duc pratiquait ardemment son activité favorite s’était endormie dans un long sommeil bercé par le bruit du silence. Cerfs, sangliers et faisans avaient disparu de là pour l’hiver et le Duc s’en trouvait fort déplu. Pour pallier son immense déception, comme chaque année, il avait pérégriné jusqu’au domaine de sa chère sœur la Marquise dont le mari, élégant gentleman, Marquis de naissance, en occupait les lieux. L’endroit se situait bien plus au sud que le domaine du Duc, l’hiver y était bien donc bien moins rude.
Les forêts luxuriantes et pleines de vie avaient de quoi ravir le Duc qui pouvait, comme toujours, s’adonner à sa fantaisie la plus grisante à ses yeux ; et cela, malgré le fait qu’il venait d’avoir un enfant avec sa chère Duchesse.
La Duchesse, quant à elle, s’en trouvait à nouveau bien fort quinaude d’être à nouveau laissée en plan par son cher et tendre époux. Certes, elle venait de mettre au monde son premier enfant, mais elle ne s’en trouvait pas bien plus enchantée qu’auparavant. L’enfant, probablement illégitime, avait immédiatement été confié à une nourrice directement choisie par le Duc. Cette pauvresse devrait s’occuper de l’enfant et jouer le rôle de mère jusqu’à ce qu’il soit en âge d’être confié à des religieux qui pourraient lui enseigner les rudiments du savoir pour en faire une personne de la haute société, comme l’étaient ses parents. C’est pourquoi la Duchesse se retrouvait à nouveau dans un ennui profond terni par une routine abjecte et nonchalante.
Depuis sa sensuelle frasque avec le Messager, la Duchesse remuait sans cesse ce souvenir charnel qui l’avait plongée dans un rare moment de jouissance. Ce souvenir était devenu son fantasme préféré pour ses instants d’onanisme secrets. La neige ayant recouvert l’intégralité du domaine, la ribaude devait redoubler de prudence, car les couloirs du château étaient constamment arpentés par les serviteurs et autres femmes de chambre qui briquaient l’endroit du matin au soir. C’est dans ses appartements qu’elle était le plus à l’abri, mais elle aimait le risque et choisissait souvent des lieux de passage dans lesquels elle observait langoureusement les passants de façon subreptice. Elle lorgnait sur les physiques attrayants, dissimulée derrière des rideaux ou dans des armoires tout en stimulant frénétiquement sa fente délicate. Elle enchantait sa routine tant que possible en variant les plaisirs de jour en jour, choisissant des endroits toujours plus exposés.
Un soir, elle s’était glissée dans les cuisines pour s’emparer un légume à forme phallique et s’était honteusement satisfaite à l’aide de l’épaisse cucurbitaceae. Laissant dégouliner sa cyprine tout du long une fois terminée, elle avait consciencieusement remis le légume à sa place et demandé expressément le lendemain qu’on le lui serve de la manière la plus simple possible, voulant apprécier toute la saveur de sa propre semence. Viandes et volailles pouvaient également être badigeonnées de temps à autre ; la Duchesse s’installait accroupie au-dessus de la victuaille et se caressait jusqu’à ce que le jus de sa concupiscence imprègne la pitance. Ainsi, chaque jour, la malicieuse et libidineuse Duchesse se repaissait de sa nourriture humectée de mouille jusqu’à plus faim.
Une nuit, alors qu’elle était en train de s’abandonner au-dessus d’une pièce de viande, la Duchesse entendit un bruit derrière la porte de la cuisine. Elle se cacha précipitamment dans un recoin derrière quelques sacs de graines entassés là pour l’hiver, la cuisse et le sexe encore trempés de mouille. Sa surprise fut totale quand elle vit un homme et une femme, probablement des servants, se jeter l’un sur l’autre de manière passionnée. L’homme avait d’épaisses épaules et un corps solide façonné aux travaux de la terre depuis son enfance tandis que la femme, beaucoup plus frêle et délicate, était jeune et bien moins entraînée par la vie. Les deux amants s’étaient rués sur le plan de travail pour se travailler mutuellement au milieu des victuailles éparpillées tout autour d’eux. La femme faisait de son mieux pour étouffer ses cris provoqués par les coups de reins de son chevalier et se cramponnait à ses hanches comme on tient la barre d’un navire en pleine tempête.
L’homme chevauchait fougueusement sa compagne tel un cavalier entrant glorieusement en territoire conquis, inondant sa donzelle d’un plaisir immense. La scène surréaliste qui se déroulait avait fait grimper l’excitation de la Duchesse en flèche qui s’était remise à se masturber avec ferveur, ne perdant pas une miette du spectacle qui lui était offert.
La bourgeoise observait ces gens s’adonner aux plaisirs de la chair en se cramponnant vigoureusement aux sacs derrière lesquels elle était dissimulée pour contenir ses tremblements. L’émotion était si forte qu’elle laissa, malgré elle, échapper un léger gémissement de sa bouche qui alerta tout de suite le couple qui stoppa net ses ébats. Sans laisser le temps, la Duchesse s’extirpa de sa cachette pour venir à la rencontre des deux amants qui s’empressèrent de se rhabiller. Mais la Duchesse leur fit comprendre que cela n’était point son souhait. Soulevant sa chemise de nuit, elle dévoila sa chatte à ses interlocuteurs qui restèrent médusés devant cette garce embourgeoisée.
La Duchesse fit comprendre à ses gens quelle était sa position et quelle était la leur et que donc, ils allaient devoir se montrer à la hauteur de ses attentes s’ils ne voulaient pas être dénoncés au Duc et expulsés manu militari du domaine pour redevenir de simples va-nu-pieds. Les amants se regardèrent dans un silence embarrassant, ne sachant pas comment réagir face à la situation. Le choix était le leur, désormais. La maîtresse de maison se mit en position assise au bord d’une table, la chemise de nuit relevée jusqu’aux hanches et les jambes bien écartées, offrant une vision directe de son fruit défendu qui était parsemé d’un délicat duvet.
À la grande surprise de la Duchesse, ce fut la femme qui s’avança vers elle en premier. Laissant son homme à l’arrière, elle prononça quelques mots très solennels sur son appartenance à la famille du Duc et disant qu’elle ferait tout pour ne pas être chassée de l’endroit. Elle s’agenouilla face à la précieuse fente de sa maîtresse et, sans attendre, vint y glisser la langue pour démarrer une séance de sexe oral des plus déplacées. Le partenaire de la belle, toujours en retrait, ne put s’empêcher de lorgner sur la scène de lesbianisme qui se déroulait sous ses yeux. La Duchesse se délecta de ces coups de langue en remuant le bassin pour suivre les mouvements de sa servante dévouée. Elle fit signe au servant de s’approcher pour participer aux ébats en se léchant le coin des lèvres de manière effrontée. L’homme s’avança et s’exécuta au même titre que sa compagne en sortant son sexe de la guenille qui lui servait de pantalon.
La Duchesse s’empara de son chibre et l’enfourna dans sa bouche comme une cuisse de poulet appétissante, dévorant assidûment le sexe de son servant pendant que la femme de ce dernier lui mangeait la chatte avec toute la dévotion que l’on pouvait espérer. Les trois amis gardèrent cette position pendant de longues minutes, se mangeant mutuellement le sexe comme au temps des grandes parties fines au sein des villas romaines. Vint ensuite le moment où la Duchesse voulut sentir un membre la pénétrer de tout son long, espérant bien retrouver le plaisir qu’elle avait obtenu avec le Messager sous les vignes du jardin.
Elle entraîna ses deux amants vers les étages dans une des nombreuses chambres pour jeter l’homme sur le lit et se placer à califourchon au-dessus de lui. Sans attendre, elle s’empala la fente sur le sexe tendu de son partenaire pour reprendre au plus vite leur partie de jambes en l’air. La bourgeoise en pleine extase put enfin profiter d’une bonne séance charnelle comme il se doit.
La servante se retrouva quelque peu démunie face à la situation, regardant son amour prendre sa maîtresse comme la plus grande ribaude du pays, sans pouvoir y faire quoi que ce soit. C’est alors que la Duchesse, remarquant son air triste et désarçonné, voulut l’inclure à la fête en lui présentant son anus rose et encore inviolé, l’invitant à reprendre son rôle précédent de lécheuse de fente. Accompagné d’un sentiment fort honteux, la pauvresse dût se résoudre à pratiquer l’anulingus sur sa Duchesse dévergondée, faisant tourner sa langue autour de l’entrée du fondement de la bourgeoise pour satisfaire un désir toujours plus grandissant. La richissime Duchesse se faisait prendre l’avant et lécher l’arrière par deux de ses servants sans se soucier le moins du monde des malheurs de la Terre. La partie dura un bon moment jusqu’au moment où la Duchesse atteignit l’orgasme le plus fort et le plus saisissant qu’elle avait connu jusque-là.
La stimulation anale et vaginale simultanée qu’elle recevait depuis tout ce temps la fit hurler de plaisir comme une louve hurle un soir de pleine lune. Le servant, entendant les râles de plaisir, déchargea lui aussi son sperme dans la chatte de la belle qui se fit remplir en un instant de la semence chaude de la vie tandis que la servante finissait son œuvre à l’aide de sa langue autour du trou de sa partenaire. La Duchesse s’écroula sur le lit dans un long soupir, un sourire figé aux lèvres qui signifiait sa satisfaction la plus totale... pour le moment.
Elle remercia ses servants et les invita à regagner leur quartier sans plus de palabres. Les deux amants repartirent en silence, le visage marqué par la honte du moment qu’ils venaient de vivre. Avant de partir, la Duchesse les avertit des conséquences de l’hypothétique manquement à leur silence face aux questionnements qu’ils pourraient recevoir et qu’elle les ferait expulser du domaine si l’idée d’ébruiter cette histoire venait leur traverser leur pauvre esprit chétif. Remerciant une dernière fois leur maîtresse, les servants se rhabillèrent et disparurent au détour de la porte dans le couloir, laissant la Duchesse baigner dans le sperme répandu sur les draps. La ribaude passa un long moment à s’enduire le corps des restes de sperme étalés sur le lit avant de regagner ses appartements.
Le lendemain, alors qu’elle se fit servir le petit-déjeuner en chambre, la Duchesse reconnut le visage de la servante avec qui elle avait partagé son moment intime cette nuit-là. La midinette déposa la victuaille sans oser lever les yeux vers la Duchesse tant la honte qui l’habitait était immense. La Duchesse attrapa son bras pour amener son visage à hauteur du sien afin de lui glisser quelques mots au creux de l’oreille. La bourgeoise avait énormément apprécié les coups de langue de sa servante, que ce soit sur sa chatte ou son anus, et elle avait grandement envie de remettre cela le soir même. Elle venait de découvrir les plaisirs lesbiens et était tout à fait prête à explorer ce nouveau paysage du sexe. La servante, au grand étonnement de la bourgeoise, signifia son accord d’un discret sourire du coin des lèvres, prête à devenir le plaisir secret de la Duchesse qui allait maintenant passer nombre de ses soirées à explorer les contrées du lesbianisme.
Les mois passèrent et le mercure se réchauffait petit à petit. L’épais manteau blanc disparut progressivement pour laisser place à l’herbe verdoyante et les fleurs colorées. Le Duc n’allait pas tarder à revenir de chez sa sœur la Marquise pour pratiquer la chasse dans sa propre forêt. Ainsi allaient se terminer les frasques nocturnes de la Duchesse, fort embêtée. Grâce au ciel, elle n’était pas tombée à nouveau enceinte après son trio infernal.
Alors qu’elle terminait une séance avec sa servante favorite, elle eut envie de passer voir l’enfant qu’elle avait mis au monde des mois auparavant. Après tout, cet enfant, bien qu’élevé perpétuellement par une nourrice, était la chair de sa chair et elle se devait d’interagir avec lui de temps en temps. S’avançant vers le berceau, la Duchesse ordonna à la nourrice de disparaître le temps voulu.Elle caressa le front de son bébé déjà endormi en lui glissant quelques mots à l’oreille :— Toi aussi un jour tu auras grandi. Tu atteindras l’âge auquel ton corps te poussera à t’étreindre violemment avec des inconnus et tu te laisseras prendre à tous les plaisirs de la chair. Un jour, ma petite fille, toi aussi tu seras... la Duchesse.
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