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La dune

Chapitre 1

Le goût du sel

Lesbienne
J’aime les plages du nord. Ces grandes plages de sable qui s’étirent à perte de vue avec comme seul obstacle à l’horizon les piquets noirs réguliers des bouchots.La couleur de l’eau est laiteuse et les plages sont joliment bordées de hautes dunes qui sont autant de barrières contre les vents que de cachettes pour les baigneurs.
En ce début du jour, mon mari m’a déposé sur la plage, car il a des obligations qui l’empêchent de profiter de cette belle et chaude journée d’août qui s’annonce. Je pars loin de la partie surveillée qui se remplira au fur et à mesure de la journée avec les familles et leur ribambelle d’enfants. Plus on s’éloigne du front de mer urbanisé et plus on s’approche des cultures de bouchots propres à cette côte.Après un bon quart d’heure de marche, je m’installe sur le sable.
A cet endroit de la plage, il n’y a plus grand monde qui porte un maillot. Mais le peu de personnes présentes sont toutes à des dizaines de mètres les unes des autres donc même les plus timides sont tentées par la nudité.Je porte rarement un haut de maillot sur la plage, mais c’est la première fois que je tente la nudité intégrale alors que je ne suis pas seule. Je me suis installée assez haut sur la plage, pas loin des dunes, car la marée va monter tout prochainement.
Il y a un couple installé à trente mètres de moi.Ils sont relativement jeunes. En tout cas pour des naturistes qui approchent habituellement plus de la soixantaine que de la trentaine. La fille est jolie. Rousse et menue, avec de petits seins comme des poires. Il me semble qu’elle est épilée intégralement. L’homme est plutôt baraque mais pas gras. Le crane rasé et des tatouages sur les avant-bras.
Je m’installe, déplie ma serviette et déballe mes quelques affaires. Je retire ma robe. Je retire ma culotte. Il fait déjà si chaud que je commence par un bain de mer rapide, la fraîcheur de l’eau me saisit et raidit tous mes muscles. Rien n’est aussi agréable que de sentir le courant de l’eau glisser sur son corps.
Je sors de la mer et m’allonge sur ma serviette. Le soleil cogne déjà, alors je prends mon tube de crème solaire pour m’enduire une à une chaque partie de mon corps.
Le jeune couple jette un œil de temps en temps dans ma direction. Je continue mes onctions quand je vois la fille se lever et venir vers moi. Elle est très jolie avec sa peau blanche comme de la faïence et ses cheveux blond roux. Elle a un tatouage sur le pubis. Un serpent qui semble se mordre la queue.

— Bonjour.— Bonjour, je lui réponds. — Excusez-moi de vous embêter. Je suis avec mon copain et nous n’avions pas prévu de venir sur la plage. Je n’ai rien apporté avec moi et je n’ai pas de crème solaire. Ma peau craint énormément le soleil. Je vous ai vu mettre de la crème et voulais vous demander si vous m’en passeriez.
Elle a un joli timbre de voix, doux et lent.
— Mais bien sûr. Servez-vous.
Et je lui tends le tube.Commence alors devant moi un délicieux spectacle de sa peau recouverte de crème qu’elle masse délicatement.
— Vous ne venez pas souvent par ici ? je lui demande. — Oh si au contraire, mais nous allons souvent dans la dune. A l’abri du vent et des regards. Enfin à l’abri des regards... ça dépend. Il peut y avoir du monde dans la dune... me dit-elle en rigolant. "Il y a beaucoup de mateurs... mon copain lui-même y va des fois pour mater... les autres, ou me mater moi, toute seule dans la dune..."— Je me disais bien aussi que j’y vois des têtes se relever de temps en temps, dis-je en rigolant. — Oui. A cette heure-ci, il ne doit pas y avoir grand monde... Mon mec tout à l’heure. Et elle rigole franchement. "Nous pourrions y aller toutes les deux, dans la dune..." elle me regarde intensément et scrute ma réaction. J’ai le cœur qui s’emballe et ma respiration s’accélère. — Et qu’est-ce qu’il va faire ton mec ?— Nous regarder.
Je vois son conjoint à quelques dizaines de mètres de nous qui nous observe.
— C’est juste toi et moi, et lui nous mate, mais où ? Comment ?— Et bien on ne saura pas justement. On ne le verra pas.
Je trouve l’idée terriblement excitante et subversive...
— OK. Je suis partante.
Et je pourrais presque entendre les battements de mon cœur au moment où j’accepte, tellement il me semble battre fort.
Nous nous levons et partons ensemble vers la dune. Nous nous aidons mutuellement à gravir cet amas de sable glissant et meuble, le sol se dérobe fréquemment sous nos pas. Nous grimpons jusqu’à la crête, à l’endroit où des herbes hautes arrivent à pousser et forment un écran.
Elle s’allonge au milieu des herbes, sur un espace creusé par le vent et recouvert de sable. Et m’attire vers elle. Nous sommes totalement abritées dans cet écrin.
— Je m’appelle Louise, me dit-elle. "Et moi Ondine" lui réponds-je.— J’adore tes seins Ondine et ton cul. Je t’ai tout de suite trouvée excitante sur la plage.— Ahahah merci pour les compliments, je te trouve très excitante aussi je dois dire.
Elle pose sa main sur mon sein gauche, le sous-pèse, le caresse puis remonte jusqu’à mon visage. Elle glisse un doigt dans ma bouche, approche son visage et dépose un baiser sur mes lèvres. Nos langues se cherchent et jouent l’une avec l’autre. Je suis super excitée. Elle se redresse alors et se met à califourchon sur mon corps. Je sens sa vulve humide et chaude posée sur mon ventre. J’attrape ses hanches de mes deux mains, remonte jusqu’à sa taille - elle a un petit ventre sensuel avec un discret piercing au nombril - mes mains vont à la rencontre de ses petits seins comme deux poires. Je les caresse doucement, surprise moi-même d’être excitée par la sensation que me procurent ces caresses sur une fille.
Ses mains viennent se poser sur les miennes et elles me guident dans mes caresses. Louise commence alors à onduler des hanches, son pubis formant de grands cercles concentriques sur mon ventre où il est posé. Elle pousse de tout petits gémissements. Louise bouge son corps en arrière et son sexe ouvert se trouve sur le mien, elle entame de petits mouvements et je sens ses lèvres et sa vulve mouiller ma chatte. Elle se masturbe littéralement sur moi et je continue à lui caresser les seins. Elle a le corps tendu et vibrant au-dessus de moi. Louise pousse un râle. "Humm c’est trop bon... ton corps gorgé de soleil est si chaud... j’ai vu que tu t’étais baignée tout à l’heure. Voyons si je retrouve le goût du sel des courants marins dans ton sexe" dit-elle.
A peine dit. Je me retrouve les jambes écartées avec sa tête entre mes cuisses. Elle pousse délicatement de ses doigts fins mes lèvres de chaque côté et vient directement appuyer sa langue sur mon clitoris. Cette dernière tourne lentement tout autour, puis descend jusqu’à ma fente où elle s’introduit profondément. Je pousse un râle de plaisir. "Alors est-ce qu’elle est salée ?" dis-je.
— Hummm incroyablement. J’adore. Ta cyprine et ce sel. Ca me donne envie de bouffer ta chatte.
Je suis un peu surprise de ce langage cru, mais ça me plaît aussi. Pour la première fois, j’ai une pensée pour son mec qui doit être quelque part dans la dune, et qui nous mate. Ce n’est peut-être pas le seul d’ailleurs. Est-ce qu’il se masturbe ? Est-ce qu’il va attendre son tour pour profiter de Louise quand nous en aurons fini ?
Louise introduit trois doigts en moi et commence à entrer et sortir. Elle me baise avec sa main et n’hésite pas à cracher par moments pour l’humidifier avec sa salive. C’est incroyablement excitant.Elle vient à nouveau jouer avec mon clitoris et je sens que je vais jouir.
— Non attends, me lance-t-elle, à l’instant où elle arrête tout.
De sa langue elle vient lécher une ligne imaginaire qui partirait de mon clito et remonterait jusqu’à ma bouche. Elle m’embrasse alors que je suis haletante, et je sens le goût du sel sur ses lèvres.Elle rigole et me dit "A toi maintenant." Louise se redresse et vient poser son sexe sur ma tête, les cuisses écartées, elle positionne sa vulve sur ma bouche. J’introduis ma langue en elle. Sa chatte est chaude et trempée. De mes mains j’écarte les lèvres et lèche goulûment cet orifice si doux et voluptueux. Je remonte à son clitoris et le stimule par des mouvements circulaires entrecoupés d’aspiration et de succion.
Je vois son corps tendu au-dessus de moi, ses mains caressant ses seins, ses yeux fermés. Elle est très belle. D’un coup elle écarte son corps, repoussant l’orgasme qui arrivait. Elle se rallonge près de moi, mais tête-bêche. "Lève ta jambe", dit-elle. Et elle glisse sa propre jambe dans l’interstice. Nous nous retrouvons donc imbriquées l’une dans l’autre, chatte contre chatte, vulve contre vulve. C’est doux et humide. Nous ondulons chacune nos bassins et nos doigts viennent caresser nos clitoris. L’orgasme est fulgurant, comme s’il y avait une sorte de connexion ou d’extension de nos deux sexes. Je pousse un cri et appuie encore plus fort ma chatte contre la sienne.
Elle jouit aussi. Nous nous écroulons sur le sable.
J’entends le bruit des vagues. La mer est toute proche maintenant. Une légère brise rafraîchit nos corps brûlants. Je perçois de l’agitation dans les hautes herbes et je sens le goût du sel sur mes lèvres.
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