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Dystopie

Chapitre 1

Une plongée futuriste...

Trash
Année 2045, 2 mars. Je m’appelle Olivier, j’ai 38 ans. Ce monde dans lequel nous vivons est devenu un véritable étau. J’écris ce journal intime en espérant qu’il puisse constituer un témoignage pour un futur qui aura passé outre cet âge sombre mondialiste.
La propagande médiatique est telle que tout est en effet caché. Cependant, les gens du bas peuple vivent les choses, et si nous ne pouvons plus nous rebeller publiquement sous peine d’être déconnectés du système, et donc devenir paria, ils n’ont heureusement toujours pas trouvé le moyen de nous empêcher efficacement de faire ce que je fais en ce moment : dénoncer ce que nous subissons.
Ils n’ont pas encore le contrôle total de nos pensées, mais leurs scientifiques y travaillent ardemment. Ils ont toujours ce vieux visionnaire multimilliardaire dans leur rang. Elon Musk. Ce type est devenu le plus riche sur Terre en aboutissant son projet Neuralink en 2028. Des implants cérébraux ont en effet été commercialisés par des centaines de millions à des prix qui feraient pâlir les vendeurs de vaccins.
Les mondialistes ont gagné. Ils ont réussi à travers le mensonge et les manipulations médiatiques à amener le peuple à aller là où ils voulaient les emmener. Les vaccins ont été une catastrophe. En 2025, il y a eu une mutation de plus dans la nouvelle covid, mais celle-ci a commencé à réveiller massivement des atteintes neurodégénératives chez tous les vaccinés. On ne sait pas exactement ce qu’il s’est passé. La théorie complotiste parle d’une manipulation de plus dans un laboratoire, mais nous n’avons aucune preuve directe de ces allégations.
Le fait est que le monde a connu une mortalité cataclysmique. A peu près tous les vaccinés qui ont choppé la nouvelle covid y sont restés.J’ai encore des visions atroces à l’heure actuelle dont je ne peux me débarrasser, même 20 ans plus tard. Nous sommes officiellement encore 450 millions d’humains sur la Terre. A 95% non vaccinés. Les 5% vaccinés sont ceux qui n’ont pas encore eu la nouvelle covid. Je les appelle les morts en sursis. Le narratif médiatique a dû s’adapter et reconnaître la causalité entre mort covid et vaccination.
L’obligation vaccinale pour la covid a fini par sauter. Leurs programmes sanitaires ont alors été stoppés, mais tout ce qu’ils avaient mis en place est resté. Malgré les protestations populaires.Nous avons d’abord dû nous plier au fait de nous présenter pour nous faire implanter une puce dans la main.De la taille d’un grain de riz. Elle contient absolument toutes nos données de santé, mais aussi permet les transactions bancaires. Le cash a alors disparu. Nous sommes maintenant payés en crédits avec une cryptomonnaie mondiale : le Bollar.
Ceux qui ont refusé ont été traqués. Et pucés de force. Je pense que plus personne n’est vierge de la puce grain de riz. Ils ont convoqué absolument tout le monde et il est rapidement devenu impossible de travailler sans avoir le système basé sur la puce.Il y a eu quelques anecdotes de survivalistes par ci et par là, terrés dans les montagnes, mais même ceux-là ont fini par être traqués à l’aide de drones. Ils ont appelé ça la grande chasse à la TV. Ils en ont même fait un jeu télévisé. Putain de mondialistes.
Nous ne sommes absolument plus libres, j’ai encore le pouvoir de le dire et de vous l’écrire, mais à l’heure actuelle, je touche le petit implant Neuralink que j’ai sur mon crâne et je me demande pour combien de temps.
Si un jour ils apprennent ce que je fais, je suis foutu.
L’étape suivante, après la grande extinction de l’Homme où nous sommes passés de 8 milliards à 450 millions, a été de proclamer un contrôle mondial des naissances. Nous n’avons plus pu faire d’enfants sans en demander l’autorisation au préalable aux autorités.Il n’aurait mieux pas valu contrevenir à cette interdiction, car toute infraction constitue une infraction grave et peut amener à une peine capitale.Le monde contraceptif s’est hyper-développé parallèlement. Quand on parle de vie ou de mort...
Ma compagne s’appelle Véronique, elle a 31 ans. C’est une très très jolie femme, ce n’est pas moi qui le dis, mais le nombre impressionnant de commentaires élogieux d’hommes sur Instagram. Ma femme est blonde naturelle, pas très grande, 1m65, avec une poitrine généreuse.Elle a de longs cheveux et un sourire ravageur, mais l’atout que je lui préfère, c’est ses fesses !Elle poste de temps en temps pour ses fans en mode privé des photos en lingerie et parfois nues contre quelques Bollars. Toujours avec mon approbation au préalable.Cela nous permet d’arrondir les fins de mois qui deviennent bien compliquées ces derniers temps. J’ai accepté ce petit sacrifice de vie privée du couple pour un confort de vie, mais je ne m’attendais pas à ce que le système mondialiste nous rattrape sur ce point-là. Laissez-moi vous raconter l’horreur de ce système.
Nous avons voulu en effet construire un projet de couple et avoir un enfant. Après un stage d’attente de 6 mois, nous avons alors été convoqués. Je vous passe toutes les étapes, mais nous avons dû après plusieurs tests psychologiques et psychotechniques rencontrer un gynécologue d’Etat lequel nous a finalement fait un certificat pour le couple dans le programme de contrôle mondial de la natalité.Le gynécologue d’Etat nous a alors succinctement expliqué que ma compagne devrait faire des injections médicamenteuses pendant une semaine afin d’amener un maximum de ses follicules à maturation et que parallèlement à cela, je devrais m’abstenir de rapports sexuels avec elle pendant 4 jours afin de préserver mes réserves de spermatozoïdes.Nous avons donc fait le nécessaire chacun de notre côté. Véronique s’est rendue chez le gynécologue d’Etat, et celui-ci lui a confirmé qu’elle avait 22 follicules prêts à éclore. Il était donc grand temps de se rendre au "Centre de procréation étatique"...
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