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Dystopie

Chapitre 3

Un abus de pouvoir...

Trash
Le directeur, torse nu, se tenait face à Véronique, laquelle fermait les yeux sous les multiples impulsions électriques envoyées via sa puce Neuralink.Son visage trahissait des sensations de plaisir. Jacques se positionna alors debout derrière elle et commença à lui caresser les seins.Je l’entendais lui parler même s’il était clair qu’elle ne l’entendait pas vraiment, car captée dans une autre réalité proposée par le centre.Il parlait clairement d’abord pour lui, mais aussi pour que je puisse l’entendre profiter de son pouvoir sur nous.
— Ta femme est superbe, je n’ai jamais pu en voir une aussi belle et encore moins d’aussi près.
Il l’embrassait dans le cou et puis vint lui titiller le bout des tétons.
— Tes seins me rendent fou. Ainsi que ton mignon petit cul.
S’adressant alors à nous deux ou plutôt à moi il dit :
— En bénéficiant de ce programme, vous êtes également liés par une clause de non-divulgation et tenu au secret des procédures. La rupture du contrat entraînerait votre ostracisation à tous les deux de la société et vous seriez immédiatement catalogués comme complotistes auprès de vos proches. Ne les décevez pas. Ne faites pas cette erreur. Je sais que vous ne la ferez pas d’ailleurs, les profils psychologiques établis nous ont dit que vous accepteriez la situation après une légère phase de déni. — J’étais terrifié par ces paroles, car je les savais vraies.
Jacques prit alors Véronique par la main et l’emmena vers le grand socle matelassé au centre de la pièce.
— Je sais que tu es dans une autre réalité, mais tu comprends mes ordres et les perçois comme étant ceux de ton être fantasmé. Mets-toi en levrette, je veux admirer ta croupe de femelle parfaite !
L’ordre était cru et direct. Véronique s’exécuta immédiatement et arqua volontairement son dos afin de lui offrir la pose parfaite pour admirer ses courbes. Jacques déboutonna son pantalon et le laissa choir à ses pieds. Il abaissa son caleçon et laissa apparaître son sexe septuagénaire.Se positionnant derrière Véronique, tout en lui caressant les fesses, je pouvais voir sa queue rapidement grossir et prendre de l’ampleur.Il ne fut vraiment pas long à être raide comme une barre de fer, malgré son certain âge.
— Monsieur Olivier, je dois vous faire une confession. D’habitude, nous employons des mâles africains pour avoir une bonne chance de créer des nouveau-nés métissés, car tel est le but de notre programme des naissances. Mais cette fois-ci est vraiment particulière, car j’ai vraiment eu le coup de foudre pour votre femme. Je vais m’impliquer personnellement dans cette affaire. Considérez-la comme mienne dorénavant. Bien que cela restera entre nous. Pour votre bien.

Sur ces paroles, il décalotta son sexe, laissant apparaître un gros gland violacé au bout de sa grosse queue poilue, bien nervurée et parcourue de grosses veines. Véronique attendait toujours dans sa position parfaite de levrette. Plus étonnant, elle ramena une de ses mains en dessous d’elle et alla directement à la recherche du sexe de son "Vin Diesel".Elle attrapa la bite de Jacques et entreprit de l’amener vers sa petite chatte blonde. Jacques se retrouva avec son énorme gland à l’entrée de la caverne de plaisir de ma femme.
— Je vois que tu mouilles déjà de plaisir ! — Il est temps de remplir ton rôle de femelle. Ta beauté est la preuve que tu as été créée pour me satisfaire ! Tu es à MOI !
Ce type est un pervers mégalomane. Bon sang et je ne peux rien faire d’ici. Je ne peux de toute façon pas interférer au risque que nous soyons tous les deux complètement éradiqués de la vie citoyenne et que nous devenions des parias à part entière, incapable de travailler, obliger de mendier ou pire pour continuer à survivre.Sur ces mots et cette pensée, je le vis enfoncer son pieu très lentement et méthodiquement à l’intérieur de Véronique.Il grogna de plaisir et Véronique semblait elle-même fort impactée par cette pénétration puisque je la voyais trembler comme quand elle avait un orgasme avec moi.
— Te faire saillir par un mâle Rothschild septuagénaire et dominateur était ton destin de femelle parfaite.
Il entreprit de la pilonner et je voyais ses grosses bourses bien pleines faire des allers-retours sur le clitoris de ma femme. Il lui attrapait et caressait bestialement les seins pendant la pénétration.
— Je te baiserais pendant des journées complètes jusqu’à m’évanouir de fatigue tellement tu es belle.
Son rythme s’accélérait, je pouvais deviner qu’il voulait aller tout droit vers son propre plaisir le plus vite possible. Cela se trahissait par des rictus de plaisir et de perversité sur son visage. Il tirait la langue pendant qu’il baisait ma femme en levrette.Il s’arrêta quelques courtes secondes et le rythme changea en de gros coups du bassin plus puissants où il restait en elle une bonne seconde à chaque nouvelle charge.La séquence ne dura pas très longtemps. Vaincu par les charmes divins de ma femme, il éjacula en produisant plusieurs sons rauques de sa voix qui trahissait la longueur et l’énergie de ses saccades en elle. Il déversait tout son sperme épais et gluant dans son vagin et son utérus.Il est resté un bon moment en elle, ne voulant pas séparer son corps de celui de Véronique.
— Tu auras tout jusqu’à la dernière goutte de ma semence en toi.
Il lui léchait le dos de manière perverse tout en la maintenant collée à lui.Il se retira enfin d’elle et s’écria
— Les médecins et gynécologues peuvent procéder à la suite immédiatement. Monsieur Olivier, le temps de me rhabiller et je viens vous libérer de la pièce sombre. Nous devons encore nous parler et procéder à la suite de la procédure. Je viens vous l’expliquer dans un instant.
Quelques instants plus tard, une porte s’entrouvrit... et trois médecins ainsi qu’une assistante firent leur apparition, précédée d’un étrange chariot médical. Véronique fut placée sur un siège gynécologique, les jambes écartées et maintenues par des sangles. La pièce noire où j’étais retenu se ralluma, et Jacques, avec la mine d’un homme qui s’est accompli, tout sourire, apparut alors. Une part de moi était dégoûtée et une autre part de moi, plus secrète, aimait ressentir cette situation.Ce qu’il dit ensuite me le confirma :
— Ne faites pas cette tête-là, je sais par l’analyse profonde de votre profil psychologique que vous aimez ce que vous avez vu et ce que vous ressentez. Je vais même aller plus loin dans le raisonnement : je n’en ai pas encore fini avec vous deux...
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