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L'eau qui dort.

Chapitre 6

Hétéro
Tango, samba ou tamouré?
On approche de vingt heures, vu du toit où je me trouve, le coucher de soleil sur les Corbières, est radieux. Sur le balcon en dessous de moi ma femme Anne et son amant, Bruno se bécotent et se tripotent après une turlutte mémorable.
Le jeune homme ne perd pas son érection sous les caresses de mon épouse qui n’a pas joui.Le couple s’est installé confortablement sur un canapé blanc rayé de bleu à l’air moelleux. Accoudée au-dessus de Bruno, mon épouse presse ses seins contre sa poitrine, son ventre, jouant avec la belle bite dressée qu’elle convoite. Elle l’empoigne et la contemple: "Comme elle est belle! Si bien proportionnée, si vigoureuse. Elle est exceptionnelle, sais-tu? — Je sais, elles me le disent toutes ..." admet Bruno, violentant sa modestie naturelle. " Je n’en doute pas, sais-tu? Quand je t’ai vu bander sur la plage, j’étais stupéfiée. Une comme ça ... c’est ... rare ... et j’en ai vu!". Ah bon première nouvelle, me dis-je en aparté et in petto!
Anne continue: "Tout le temps que tu étais là debout, bandé comme un cerf devant moi, je ne pouvais pas penser, j’en tremblais. Mes joues étaient en feu, mes tétons étaient douloureux, mon ventre me faisait mal et je coulais entre mes cuisses. — Oh, je voyais bien que je te plaisais. Et bien avant, quand je suis revenu de mon bain, tu me matais par-dessus ton livre avoue ... Et tu n’as pas cessé de me chauffer! Tu t’es mise de dos et tu caressais ta fesse, lentement ... et tu l’écartais pour que je vois ta chatte et ton trou ... et tu mouillais ... je l’ai vu: avoue ... allez! — Le soleil, je transpirais plutôt ...— Je le crois pas! Tu mouillais comme une folle ... je sais faire la différence.— Hmm, on dit: n’avoue jamais, jamais jamais ... mais ... j’avoue ... j’avoue ... j’avoouUE!— C’était hot l’exhibe! Je me suis dit: celle-là en veut elle va y avoir droit!— J’avais une peur bleue que mon mari s’aperçoive. Il me regardait bizarrement ... en coin ... avec un sourire ... J’essayais d’être le plus discrète possible. Je faisais celle qui savait rien en espérant que tu me fixais. Mais la trouille ... Ca m’a permis de me reprendre ... mais pas d’arrêter de couler quand je t’ai regardé et que tu m’as fixée dans les yeux: j’étais à un cheveu de jouir. Je me mordais la langue!— Ôôôô ... la salôôôpe ... devant ton mari chéri ... Ôôôô pas bôôô.— Merci! Quand tu es parti ... c’était fou, je frissonnais malgré la chaleur. Ca ne m’était jamais arrivé de jouir juste en regardant quelqu’un. J’ai su que je devais te revoir. — Et moi, j’ai su que j’allais t’avoir Véronique!" Dit-il ironique ... Ma femme déroule une capote sur la hampe."Au travail, alors, champion!". La prétendue "Véronique" l’embrasse à pleine bouche et sans quitter ses lèvres, l’enjambe et se met à califourchon sur son bas-ventre."Ah Véro ... J’adore ta chatte, hmmm. Ton ventre, tes seins, tu me files la trique !" dit Bruno en passant ses mains sur l’anatomie de mon épouse qui s’offre à lui. "Ca tombe bien ... c’est ce qu’il me faut ... MAINTENANT!" Répond-elle moqueuse. Elle est à genoux dressée au-dessus du garçon qui la caresse. Elle regarde en bas envoyant sa main entre ses cuisses, cherchant la pénétration. Elle rejette ensuite la tête en arrière, yeux fermés, bouche entrouverte et s’abaisse lentement sur lui. Cela dure une minute. Elle prend son temps, savoure les sensations. Pendant ce temps Bruno la cajole: " Véro ... belle ... Oh c’est chaud ... oh ... ma belle ...". Ma femme gémit doucement: " Oohh! Ôôôô, booon, cé bôôOn! Qu’elle est bôôôônne ... taaa queeeeue Ôôôô pu ... rée!— Je te l’avais dit: elles aiment toutes ...— C’est différent ... de la prendre ...que ... de l’entendre, Ô pu ... rée!", se moque mon épouse.
"Oh t’es bonne, chaude, c’est bon ... T’es bien serrée, pour ton âge" insiste le parfait gentleman." Oui, merci, mon bébé" répond ma tendre et douce. Placée comme elle est c’est elle qui commande. Pour l’instant, elle se fait glisser sur le mât de cocagne en prenant son temps. Il faut que ça rentre ..."Oh ... elle est grande! Ca n’en finit pas ... Ôôôô ! Et ça coooontiiinuee ... Ôôôô uu iiiiii hhh !— Tu as mal?— Oh non! C’est ... trop ... BON!— Toi aussi t’es cool, je suis serré ...— Ôôôô moooon dieu, ça y est ... oh ke cé, oh ke cé, oh ke cééé bôôôon !" Voilà qu’elle parle en SMS maintenant! " Ah, c’est vraiment ... quelque chose."
Elle s’est enfilée en entier et est assise sur le bas-ventre de Bruno. Elle se contente de sentir l’engin en elle et de petits mouvements de bassin en avant et en arrière. Elle appuie ses deux mains sur la poitrine du garçon. Il lui tient les hanches et lui caresse les fesses. Cette fois-ci ça y est je suis cocufié à fond: Anne est embrochée.
"Je la sens si fort ... tu me remplis ... c’est fou ... oh, oh! Oh, mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu ... Elle me vient jusqu’au nombril ou quoi? Touche mon ventre, là, appuie!" Anne, ma femme est très fine de taille, quand on met sa main sur son ventre, on peut facilement la comprimer jusqu’à sentir sa colonne vertébrale. Tout fier de lui Bruno palpe le ventre de mon épouse, juste sous le nombril: "Je sens rien!— Attend appuie plus fort, là, et comme ça?".Elle se cambre. "Non" qu’il dit. Ca me rappelle quand je cherchais à palper les bébés quand elle était enceinte. Sauf que là pour un bébé: c’est plutôt un joli poupon. Elle donne un coup de rein: dos arrondi au maximum. "Oh c’est oôôh ... palpe bien, tu sens?" Il enfonce tous ses doigts sous son nombril." Ah là je crois, oui, je sens, ha ha ha, c’est mon bout. T’es bien perforée là, tu aimes?— C’est dé-li-ci-eux." Bruno passe les mains sur les fesses d’Anne. Il les malaxe avec conviction, et appuie le bout de ses doigts sur son anus. Elle aime ça et le fait savoir: "Hmm ... cé booon", Encouragé il enfourne un long doigt dans le petit trou de la compagne de ma vie, elle commente: "Coooochon ... tu me fais du bieeen!".— Là je sens mieux ma queue par ce côté. Elle te remplit bien?— OUI! Et ton doigt aussi. Bouge-le ... mais doucement hein?— Ok."Elle a commencé à bouger son bassin en rythme depuis un instant, habituée à la taille de la verge. Le doigtage anal la stimule et elle veut une chevauchée. Etant la cavalière elle fait tout le travail. Cherche à suivre le tempo fourni par le majeur de son amant dans son cul.
Le couple prend son rythme, pour un tango lent au début, pour évoluer en une samba endiablée. Je regarde comme si c’était une comédie musicale et pas une baise. Comme si c’était un couple anonyme en train de danser dans un bal. Le spectacle est magnifique, je bande comme jamais. Ma pine déborde de mon short à la taille et je suis près de juter sans me toucher.Le fait que ce soit ma femme qui baise avec un autre, vient aggraver la tension orgasmique qui m’habite, mon cœur bat plus fort c’est certain, mais le côté érotique est supérieur: c’est tout simplement trop beau! C’est sauvage, comme une plongée avec des baleines, des orques ou des requins: ça dépasse l’imagination, on ne sait plus bien ce qu’on voit, et on est juste ébloui. Qu’importe le danger ou la jalousie, on veut juste voir. Un jour en plongée en mer Rouge, je me suis approché à moins d’un mètre d’un grand requin marteau, il était gros comme un camion: sept mètres! Il serpentait à l’aise dans l’eau: j’étais subjugué, il m’aurait mangé, c’était pareil.
Ma femme transpire de nouveau, mais ce n’est plus le soleil, c’est l’ardeur de l’exercice. Bruno en dessous est aux anges il se fait masser la tige, ses doigts toujours agités dans le fondement de sa cavalière. Il finit par se décider à se comporter en étalon et donner de bons coups de reins à la rencontre de "Véronique": "ah ah ahh vas-y, ho ooooh, tu me tu me tu me tueees , ah ah ah". . . elle se met à bouger son bassin dans tous les sens, vibrant sur place à une fréquence folle: c’est du tamouré maintenant. Il est endurant. Après dix minutes de ce traitement, ma femme jouit, elle se cambre en gémissant, soupire, secoue la tête dans tous les sens, se mord les lèvres. Son compagnon, s’excite à la faire jouir en se déchaînant du bassin, et s’arc-boute en grimaçant, il doit jouir dans sa capote. Elle crie et se laisse tomber sur la poitrine du jeune homme: "Oh mon grand tu m’as tuéééée, oh oh oh, tu t’es surpassé, mon chériii, je t’aimeee, schmack!". Mince elle m’a dit exactement la même chose en début d’après-midi, sur le même ton énamourée, comme si elle n’avait jamais rien vu de tel. Les femmes c’est quelque chose, elles nous mènent comme de gros bébés! Et pourquoi pas après tout. Ils prennent leurs aises en se bécotant, se papouillant. Puis Anne décide: "Je suis bonne pour une douche". Elle l’embrasse langoureusement et se sépare de lui. Il reste sur le dos, son bas-ventre couvert de sécrétions mêlées, peu après il la rejoint dans l’appartement. Je suis seul sur le toit, j’ai joui dans mon slip. Je n’entends plus rien. Il vaut mieux que je rentre avant Anne il est dix heures, la nuit va tomber.Arrivé là, je me nettoie et me mets au lit en faisant semblant de dormir. J’attends dans le crépuscule que ma femme revienne. Le temps s’écoule. Je bande fort, les yeux ouverts dans le noir, je revois les scènes de la journée, il y en a trop, ça me donne le vertige. Je me secoue comme un malade, jute dans le lit. Ca me détend mais je ne peux pas dormir, je vais sur le balcon, bois un verre. Toujours rien. Mdr: ils doivent s’en donner à cœur joie. Je me masturbe encore sur les carreaux du balcon. Je me sens con et surexcité à la fois. Je reste là sur le fauteuil à tripoter ma nouille molle, quand j’entends une clé dans le verrou. J’ai à peine le temps de courir à mon lit. Anne est rentrée. Dans le noir complet, elle se glisse en silence, auprès de moi ... je lui tourne le dos, je bande comme un cerf. Elle soupire et se tourne de l’autre côté, non sans envoyer son cul chaud contre le mien. Deux minutes après sa respiration devient profonde. Comment dormir?...Le matin à cinq heures mes yeux sont grands ouverts, j’ai la trique. Anne à côté dort du sommeil du juste.Je vais pisser, au retour dans la cuisine, je vois le paquet de café qu’elle a ramené.Il n’y a plus qu’à le faire couler.qu’à le faire couler.
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