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Ecart de conduite

Chapitre 1

Hétéro
Même si les protagonistes de cette histoire sont fictifs, le texte lui reflète une honteuse réalité que de nombreux hommes ont, malheureusement pour eux, connu.
§§§
Bonjour à tous.
Si j’ai décidé de vous compter mon histoire, c’est pour éviter à d’autre de faire la même erreur que moi. Il y a trois ans, j’ai fait la plus grosse connerie de toute ma vie et ça m’a coûté mon mariage ainsi que la confiance de mes enfants qui, jusqu’à il y a quelques mois, ne voulaient plus me voir. Qu’est-ce que j’ai fait ? Et bien j’ai cédé à la tentation du sexe facile lors d’un voyage.
Tout d’abord je me présente. Je m’appelle René, j’avais 61 ans au moment des faits et je suis retraité des chemins de fer. Avec l’âge, je me suis un peu arrondi et malheureusement ce n’est en courant après mes petits enfants pour jouer avec eux au ballon que j’allais maigrir. Jamais je n’aurais imaginé coucher avec une autre femme que la mienne mais pourtant je l’ai fait et ça s’est fait à Madagascar, sur l’île de Nocibé plus exactement.
Un jour, un de mes amis et ancien collègue m’avait invité à l’accompagner sur cette île qu’il semblait très bien connaitre, affirmant y aller trois fois par an durant quinze jours, voire trois semaines à chaque fois. Je n’étais pas très chaud pour y aller mais, étant donné que ma femme avait prévu de partir à l’autre bout de la France pour s’occuper de sa mère où plus exactement de procédure administrative la concernant, je me suis dit autant en profiter.
On m’avait vanté Madagascar comme une île aux paysages absolument magnifiques et c’était vrai. Ça se voyait dès notre descente de l’aéroport. Par contre, des détails m’ont intrigué. Tous d’abord, dans l’avion, nous étions une très forte proportion d’homme de mon âge et pour beaucoup Européen, j’entendais beaucoup de français mais aussi quelques allemands, anglais et espagnols. Mais surtout ce qui m’a paru très étrange c’était toutes ces jeunes femmes qui proposaient leurs talents de masseuse à domicile. Je n’avais pas fait le rapprochement avec une quelconque activité sexuelle sur le moment. Pourtant, je voyais certains passagers de notre vol repartir bras dessus bras dessous avec certaines de ces filles. Vu l’expression un poil vicelarde sur leurs visages, ça aurait dû me mettre la puce à l’oreille.
Dès le premier soir, mon pote a voulu qu’on fasse la tournée des bars. Honnêtement, j’étais fatigué, alors je suis allé me coucher. Le lendemain, j’ai loué une voiture. Je voulais parcourir cette île et faire de belles photos. Je n’avais pas fait deux kilomètres que, sur le bord de la route, j’ai aperçu une charmante malgache qui faisait du stop. Elle était masseuse (encore une) et voulait prospecter les touristes en parcourant l’île du nord au sud pour se trouver de nouveaux clients (soit disant). Elle en profita aussi pour me servir de guide. Elle m’a montré de très beaux endroits mais sur l’un d’eux, une magnifique crique sur la plage avec une vue imprenable sur la mer, elle me proposa un massage. Je me suis dit « pourquoi pas ».
Elle a étalé une couverture sur le sable et je me suis allongé dessus sur le ventre. Ce massage était très agréable. Je m’abandonnais complètement entre ses mains. Puis elle me demanda de me retourner, ce que j’ai fait et, une fois sur le dos, elle a continué. J’avais les yeux fermés, savourant ce moment, quand elle me massait. C’était tellement agréable que j’ai failli m’endormir.
Ce qui m’a fait reprendre mes esprits c’est quand elle a voulu me retirer mon short. J’ai refusé et c’est quand je me suis relevé et que j’ai ouvert les yeux pour lui parler que je me suis aperçu qu’elle avait tombé le haut. J’étais dérouté de la voir seins nus devant moi et elle le sentait. Elle m’a alors saisie les mains pour les poser sur sa poitrine.
Je voulais les retirer mais elle avait un tel magnétisme que je ne m’en sentais plus la force. Elle était belle et c’était comme si inconsciemment je ne voulais pas qu’elle arrête. Dans ma tête c’était une bataille entre la morale et mon instinct de mâle qui se déroulait. Je savais que profiter de la situation ce n’était pas bien pour un homme marié comme moi. Elle m’a rallongé sur le sable en m’embrassant de manière sensuelle et … j’ai fini par céder. Quand j’y pense maintenant j’en ai honte. Sur le moment je me disais que ma femme était loin, que personne ne le saurait et puis que c’était elle qui voulait au départ.
Alors qu’elle m’embrassait, j’ai senti une de ses mains se glisser dans mon short puis dans mon slip. J’avais un début d’érection elle s’en est rendu compte. Elle m’a alors baissé le tout au niveau du genou et a commencé une fellation des plus agréables.
J’étais là, allongé sur le sable avec cette fille qui me suçait la queue. Je pensais à ma femme et je voulais qu’elle s’arrête mais cette sensation de bien-être était là et je ne voulais pas qu’elle s’arrête. J’ai fini par jouir dans sa bouche et on s’est rhabillé pour reprendre la route. Elle me demanda l’équivalent de 20 Euros en monnaie locale et je l’ai déposé là où elle voulait. Avant de partir elle me donna une carte. Cette carte c’était celle d’un bar où, selon ses mots, « tous les Waza du coin se réunissent » j’ai compris que le mot Waza désignait les touristes, occidentaux pour la plupart, venus pour profiter sexuellement des charmes de la population locale. Elle m’avait dit qu’elle y était souvent et que si je le voulais on pourrait s’y retrouver.

J’ai mis deux jours avant de me décider à y aller. Curieusement là-bas j’y ai retrouvé mon pote qui était déjà en train d’entreprendre une gamine d’à peine vingt ans.
— Bah alors le René ? Ça y est ? Tu te décides enfin à profiter des produits locaux ?— En fait je cherche quelqu’un.— Ah oui la masseuse dont tu m’as parlé au téléphone …. Tu sais ici elles sont toutes masseuses ou danseuses. T’as que l’embarras du choix. Tiens regarde la celle-là. J’étais avec elle hier. j‘avais oublié mes capotes alors elle m’a sucé toute la nuit. Elle a du souffle. Si tu veux va z y, prend la.— Euh non je préfère attendre.— Tu sais si ça se trouve elle est déjà avec un client. Prend toi pas la tête. Eh ! toi la fille en robe bleue ! Oui toi, viens ici que je te présente un ami.
En cinq minutes je me retrouvais avec une petite minette sur les genoux qui m’embrassait. Après s’être roulé une bonne pelle, mon pote me confirma ce que je soupçonnais.
— Alors tu comprends pourquoi je viens ici tous les quatre mois durant presque trois semaines ? Ici c’est du sexe à volonté un vrai self-service pas cher. Des bars comme ça y en a plein. C’est autant de point de chute pour toutes ces filles.— Ça fait un peu exploitation non ?— Moi je dis qu’on leur rende service. C’est donnant donnant. Ici les gens sont tellement fauchés qu’ils ont besoin du pognon des touristes. Alors pour l’avoir, on a bien droit à un petit service non ? (dites bonjour à Mister hypocrite 2015) — Et tu n’as pas peur que ta femme l’apprenne ?— Pas plus que toi visiblement. Et puis comment veux-tu qu’elle le sache, Elle n’est pas là pour voir ce que je fais.
Pendant qu’on parlait, la fille sur mes genoux m’embrasait dans le cou, passait sa main sur mon torse puis l’approcha de mon entrejambe. Je sentais mon érection monter et elle aussi. C’est là que mon ami se leva.
— Bon aller moi j’y vais. Je te laisse faire connaissance avec elle. J’ai moi aussi une nouvelle amie avec qui j’ai envie de passer un bon moment. On se revoit demain.— A demain.
Je me retrouvais seul avec cette fille. Elle était jeune et belle c’est vrai mais j’aurais pu être son grand père. Elle n’arrêtait pas de m’embrasser et de me caresser jusqu’au moment où elle glissa sa main dans mon short. Elle avait ma queue dans sa main et commençait à me branler. J’aurais voulu, je voulais la virer mais elle avait un tel magnétisme sur moi, comme l’autre, que je suis tombé dans le panneau. Dix minutes plus tard on était à mon hôtel et je lui retirais sa robe. Ayant été prévoyant je m’étais acheté une boite de préservatif, produit de luxe par là-bas. Je me suis allongé sur le lit elle m’a sucé et je lui ai fait l’amour comme si elle avait été ma femme et elle est parti après avec son argent.
J’avais conscience de ce que j’avais fait mais l’attrait du sexe facile à l’abri du regard de ma femme et la fraîcheur de la jeunesse ont eu raison de mon sens moral. Après ça, avec celui qui m’avait convaincu de venir, on se levait chacun une fille pour passer la nuit. Tout ceci a duré tous les soirs durant une bonne semaine. Secrètement j’espérais revoir celle que j’avais croisée sur le bord de la route mais jamais je ne l’ai revu. Sur la fin je commençais à croire que c’était une rabatteuse chargée de faire la pub d’un bar à putes. C’est la veille de notre départ que les ennuis ont commencé.
J’étais au bar, mon pote venant de partir avec une fille, moi j’étais assis sur une banquette, une fille assis sur mes genoux face à moi une jambe de chaque côté. Pendant qu’on s’embrassait mes mains parcourait son corps depuis ses fesses jusqu’au dessous de son chemisier. Tout se passait bien, j’avais ses petits seins biens ronds dans les mains et dans le bar je n’étais pas le seul à profiter des douceurs de « l’hospitalité locale ». C’est au moment où j’allais régler nos verres avant de partir à l’hôtel avec elle que les flics sont entrés. Ils n’ont pas fait de détails, ils ont arrêté tous les occidentaux qui étaient accompagnés et nous ont embarqué dans un camion qui tenait plus de la bétaillère que du traditionnel panier à salade.
C’est le lendemain que mon pote a appris pour moi et les autres. Il est venu essayer de plaider ma cause mais rien. Il a voulu soudoyer du monde mais n’avais pas assez pour me faire sortir. Ayant manqué mon vol, il est revenu en France sans moi afin de réunir suffisamment pour me faire sortir. En attendant, moi et les autres clients du bar on avait été embarqué en prison. Une prison sommaire au confort spartiate d’un autre temps qui avait un faux air du bagne de Cayenne décrit dans le film Papillon. J’y suis resté durant six semaines. Ce fut les six semaines les plus longues et les plus difficiles de ma vie. Je n’espérais qu’une chose à ce moment-là, même si je n’y croyais pas trop : que tout cela reste secret et que ma femme n’en sache rien. Une fois sorti j’aurais pu lui monter un gros bobard avec la complicité de mon ami.
Quand j’ai appris que j’allais être relâché, j’étais content. Par contre ma joie a été de courte durée car derrière la porte m’attendaient ma femme et mes enfants accompagnant mon ami qui n’a pas pu leur cacher la situation. Quand je me suis retrouvé face à elle, elle m’a giflé en me disant que me faire libérer aura été la dernière chose qu’elle ferait pour moi. Mes enfants eux ne m’ont même pas dit un mot mais leurs regards accusateurs en disaient long. Le trajet de retour fut glacial et, une fois arrivé à la maison, mon fils aîné, avec un regard méprisant, m’empêcha de passer le pas de la porte. Il me sorti quelques valises et me donna la brochure d’un hôtel bon marché non loin en me désignant ma voiture.
Durant les mois qui suivirent j’ai dû me trouver un petit appartement. Heureusement avec mon ex-femme on n’avait pas fait compte commun. Le divorce fut prononcé à mes torts exclusifs. Il était inutile de nier les faits, j’ai tout accepté. Tout cela s’est déroulé il y a trois ans. Durant tout ce temps je n’ai quasiment plus vu ma famille, fâchée contre moi. Ce n’est que depuis six mois que je recommence à côtoyer mes petits-enfants. Le plus âgé ayant son permis de conduire, il jouait les chauffeurs pour ses frangins et ses cousins. Je ne suis pas invité aux anniversaires, ce qui me chagrine mais mes enfants recommencent à me parler sous la pression de leurs enfants et de leurs conjoints.
Autant vous dire que j’ai chèrement payé mon écart de conduite. Mon histoire n’est pas un cas isolé car depuis quelques années les autorités malgaches font la chasse aux touristes sexuels et multiplient les arrestations. J’ai coupé les ponts avec celui que j’avais appelé mon ami. En réalité c’est lui qui en a pris l’initiative. S’est-il fait choper ou se sentait-il coupable ? Je n’en sais rien. Tout ce que je sais aujourd’hui c’est qu’un petit écart avec une femme aussi jolie soit elle peut attirer beaucoup d’emmerde. Je ne souhaite à personne de vivre ce que j’ai connu.
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