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Échange de mauvais procédés

Chapitre 3

Erotique
Bien qu’il paraisse sous ma seule signature, ce récit est un texte écrit en collaboration avec Chloé1515.
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Sur un ton sec et cassant, Michel prit la parole.
— Il y a trois jours, je t’avais donné des consignes au sujet de la tenue vestimentaire que tu dois adopter ici ! Dès demain, nous irons nous procurer ce qu’il te faut.— Mais vous aviez seulement parlé d’une tenue pour faire le ménage, Monsieur…— Peut-être ; mais j’ai changé d’avis, depuis. Et sache qu’ici, je suis le maître ! Maître de maison, bien sûr ; mais surtout, Maître tout court !— Changé d’avis ? Mais que voulez-vous exactement ?
Camille, gênée, ne pensait pas que ça se passerait de cette manière. Son père venait de partir, et il ne décrochait jamais son téléphone quand il conduisait : pas moyen de le joindre avant son retour à Montauban !
— Tu ne croyais quand même pas que j’allais te faire un tel cadeau, 250 € de loyer, sans aucune contrepartie ?— Si, bien sûr, mais que voulez-vous ?— Une obéissance absolue.
Camille évita la remarque, espérant pouvoir ainsi s’en dédouaner plus tard.
— Vous n’avez toujours pas parlé de se changer ; pour porter quoi ?— Lorsque tu effectueras des tâches ménagères. Je te l’ai déjà précisé il y a trois jours. Et tu ne porteras pas de sous-vêtements. Alors, qu’est-ce que tu attends ? Retire-les !
Camille le regarda ; ses yeux s’arrondirent. Visiblement, elle avait du mal à en croire ses oreilles… En dictant ses ordres, Michel sentit l’excitation l’envahir. Sous son pantalon, sa verge prenait de l’ampleur ; pouvoir exercer sa domination sur cette gamine le mettait dans tous ses états, et il attendait avec impatience qu’elle enlève son petit short blanc pour voir si sa touffe était aussi rousse que ses cheveux.
Se rendant compte qu’il était très sérieux, elle se rendit dans sa chambre pour se changer. Là, elle se déshabilla entièrement, hésita quelques instants puis ne remit que son débardeur et son short. Le tissu lui moulait étroitement le derrière ; et que dire du débardeur qui laissait clairement voir la forme de ses tétons ? Honteuse, la tête baissée, elle retourna dans le living où l’attendait Michel.
— Ah, c’est quand même mieux comme ça ! Mais, dis-moi… Je me trompe ? Tes tétons sont tout érigés. Ça t’excite ?— Non ! Je... parfois, on ne sait pas pourquoi...
Elle se cachait la poitrine en croisant les bras.
— Tu es bien pudique, Camille... Tourne-toi !
Elle obéit, heureuse de dissimuler sa poitrine, mais loin de se rendre compte que son short ne cachait plus rien de son petit cul bien rond. À la vue de ce fessier cambré et rebondi, la verge de Michel tressauta. D’une main, il tritura voluptueusement son membre par-dessus son pantalon, ce qui ne fit qu’ajouter à son excitation.
— Bon, tu peux te retourner, à présent.
Camille se retourna lentement. N’osant pas regarder Michel en face, elle gardait les yeux baissés… et son regard se posa sur son pantalon déformé ! Cette bosse était plus qu’explicite, et il n’était nul besoin de lui faire un dessin, aussi innocente qu’elle pût l’être… Déjà, le doux frottement du débardeur sur ses tétons avait commencé à l’exciter bien malgré elle, et la sensation du tissu sur la peau nue de son pubis n’avait rien arrangé ! Et maintenant, la vision de ce sexe dissimulé la troubla encore plus. C’est avec une gêne mêlée de honte et de remords qu’elle sentit une chaleur envahir son bassin.
— Que regardes-tu ?
La question claqua comme un coup de fouet. Elle releva la tête, rouge comme une pivoine.
— Euh… le parquet. Il est magnifique !— Puisqu’il te plaît tant, ce sera à toi de l’entretenir.
En prononçant ces mots, Michel imaginait déjà Camille à genoux, en train de cirer le parquet, son beau petit cul se trémoussant au gré de ses mouvements...
— Je vous prie de m’excuser, mais je dois aller installer mes affaires.— Bon, vas-y ; mais que cela ne te prenne pas trop de temps car il va falloir préparer le dîner.— Très bien.
Elle repartit vers sa chambre et s’y enferma. Installer ses affaires la rassurait : c’était un peu de la fac qu’elle entrevoyait, avec l’espoir d’un avenir plus libre, plus heureux.

Michel commençait à s’impatienter. Déjà une demi-heure que Camille était dans sa chambre ; avait-elle besoin d’autant de temps pour mettre en place ses quelques affaires ? Il pensa qu’elle faisait tout pour l’éviter. « Je vais voir ce qu’elle fait. » Il prit la tenue de soubrette qui lui était destinée et frappa à sa porte.
— Je t’apporte ta tenue, Camille ; ouvre-moi !— C’est ouvert, vous pouvez entrer.
Dans la chambre, Camille avait fini de ranger ses affaires scolaires. Ses vêtements, par contre, formaient un tas situé juste sous la fenêtre. Cela donna à Michel une idée assez perverse qu’il allait garder pour plus tard… Pour l’instant, l’essentiel consistait à l’occuper suffisamment pour que ce tas de vêtements ne bouge pas de là.
— Tiens ; passe ça, et rejoins-moi dans la cuisine dès que tu seras prête.
Remarquant qu’il n’était pas disposé à la laisser seule pour revêtir son uniforme de soubrette, Camille hésita à se dévêtir devant lui.
— Alors, qu’attends-tu ?— Je me changerai dès que je serai seule dans ma chambre.— Ah, tu es pudique ? J’espère que ça va vite changer… dit-il d’un ton goguenard.
Il se retira, mais ne referma pas complètement la porte ; elle s’en chargea pour lui et se changea. Comme elle s’en doutait, là non-plus il n’y avait pas de sous-vêtements. Le bustier mettait sa poitrine en valeur sans trop l’exhiber ; mais pour la jupe, c’était bien différent : très légère, elle ne lui arrivait même pas à mi-cuisses, menaçant de tout dévoiler si elle se penchait trop.
Camille apparut à l’entrée de la cuisine, où Michel l’attendait. Quelle vision excitante...
— Pour ce soir, c’est assez simple ; tu n’auras pas trop à faire pour cette première journée : j’ai prévu des surgelés. Tu n’auras qu’à les réchauffer dans le four. En attendant que ce soit chaud, tu disposeras les couverts sur la table du living.
Il sortit de la cuisine pour se rendre dans le living, où il s’installa dans un confortable fauteuil. Il déplia un journal et fit mine de lire.
Camille se mit sérieusement au travail. La demande était parfaitement raisonnable ; elle en fut rassurée. Évidemment, elle n’avait pas pris la pleine mesure de la longueur de la jupe ; et surtout, les petits jupons l’avaient empêchée de remarquer qu’elle était un peu plus courte sur l’arrière. Ainsi, lorsqu’elle se pencha pour mettre le couvert, le tissu remonta juste assez pour offrir à Michel la vue d’un demi-cul tout blanc, ferme et lisse. Mieux encore : entre ses cuisses apparurent les contours charnus d’un sexe que recouvrait une fine toison d’un roux clair.
Le sang de Michel ne fit qu’un tour. Le charmant petit cul de Camille et sa fente vulvaire dont les petites lèvres dépassaient l’émoustillèrent au plus haut point. À l’abri des pages de son journal, il ouvrit sa braguette pour en extirper sa verge bandée qu’il entreprit de caresser discrètement pour ne pas attirer l’attention de sa locataire. La jeune fille continuait à vaquer tranquillement à ses occupations, sans remarquer l’activité libidineuse de son propriétaire qui se livrait à des attouchements obscènes tout en guettant avidement l’intimité dénudée que les mouvements de Camille offraient à sa concupiscence.
Partant de son bassin qui se cambrait sous l’effet du désir, il sentit les fourmillements annonciateurs de sa proche jouissance remonter doucement le long de sa verge ; encore quelques va-et-vient le long de son membre prêt à exploser et l’orgasme l’envahit tandis qu’il essayait vainement de masquer son râle de plaisir par une toux non convaincante. Son gland violacé expulsa de longs jets de sperme sur les pages du journal. Malheureusement pour lui, le premier – le plus puissant de tous – vint s’écraser sur le parquet. Bien que soulagé, il vit là une occasion supplémentaire d’humilier sa locataire.
— Dis-moi, Camille… Ce parquet est taché. Qu’est-ce que c’est ? Va vite chercher un chiffon pour le nettoyer !

[ à suivre…]
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