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Echange de SMS avec ma femme

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Salut tout le monde juste un conseil, lisez la première partie pour bien comprendre l’esprit et la citation et de ce fait mieux apprécier ce qui suit. Et merci pour vos retours sur la première partie. Bonne lecture à vous. [SMS]< Je suis tout ouïe... et ouiii j’ai bien mouillé !!!!> Je me suis relu et j’aime beaucoup la situation, tu me diras quand tu voudras la suite< Bah quand tu veux< Laisse tomber, ils ont fait 5 entrées ! J’ai envie de chialer.> Ha merde. Bah pas ce soir alors.< Si si entre 2 ça détend !!> C’est toi qui n’auras pas la tête à ça.< Envoie quand vraiment tu auras l’excitation.> OK> Une fois quelques allers-retours dans ton antre brûlant, je lui fais comprendre qu’il peut alors te prendre où tu l’as désiré. Il pose alors son gland devant ton anneau bien ouvert et fait rentrer son sexe tout doucement. Tu agrippes mes cuisses et les serres violemment comme pour transférer la douleur que tu subis à cause de la largeur de cette queue. Puis d’un coup, tu lui fais signe de faire une pause. Tu me regardes et me demandes s’il est bien au fond, hélas pour toi ma belle, il en est qu’au 3/4. Je te demande si tu veux arrêter, mais tu me regardes et tu me dis : "c’est pour la bonne cause " et sur ces mots, tu donnes un coup de fesses vers ton bourreau pour t’empaler sur les quelques centimètres qui restaient. Sans pouvoir te contrôler, tu commences à crier, cri que je stoppe directement en posant ma main sur ta bouche. Alors ça te plaît toujours ?< Oui désolé, j’avais pas vu ! J’ai toujours pas mangé !> Tu imagines toujours que c’est toi ?< Oui> Une fois bien en toi, il marque une pause afin que ton antre accueille comme il se doit ce nouveau membre. Toujours ma main sur la bouche, je te sens haleter telle une petite chienne essoufflée quand notre étranger commence à ressortir son sexe jusqu’au bord du gland puis de te le planter jusqu’à la garde... J’avoue que tes cris étouffés me rendent dingue, mais hésitant entre plaisir et douleur, j’ordonne qu’il marque de nouveau un arrêt bien ancré en toi, puis je te demande si tout va bien... Sur un ton proche du reproche, tu me réponds...< ??> Tu as lu ? Ça te plaît toujours ?< Oui, mais ?? C’est je réponds quoi ?> que pourrais-tu répondre dans cette situation ? Arrête-le ? Dis-lui de continuer, je veux être sodomisée ? Je sais pas à toi de voir< Qu’il continue, mais après on retourne tous les 2, il se casse.> Le message est clair. 😂< Pourquoi tu l’arrêtes ! Je veux qu’il me laboure le cul ! Je veux le sentir jouir en moi !> Je n’eus pas besoin de dire quoi que ce soit, notre jeune inconnue avait évidemment tout entendu. Sur tes mots, il reprit son travail et commença à faire de grands mouvements de bassin. J’entendais le bruit de son corps rebondir violemment sur tes fesses. Je pris tes mains et les plaque contre le mur derrière moi afin que tu y prennes appui. Je me mis sur le côté pour assister à ce magnifique spectacle, je voyais tes seins, ton corps ballotté de gauche à droite sous ses coups de pieu. Ne voulant pas rater une miette, je passe derrière lui afin de contempler ce trou béant qui allait te servir d’anus pendant je pense plusieurs heures. Je me prends même à le caresser ce qui ne dérange aucunement ton assaillant. Essayant même d’y rajouter un doigt, trop gourmand, bien sûr la place est plus qu’occupée. De temps à autre il ressort complètement, ce qui me permet de me rendre compte de l’ampleur du travail accompli. J’aime ce que je vois mon amour. Puis il replonge d’un coup sec, mais sans résistance au fond de toi. Tu te mords le bras pour ne pas crier. Je sens que notre amant est sur le point de jouir, car il accélère considérablement. Très respectueusement, il te demande s’il peut jouir à l’entrée de son œuvre ?< Pas mal du tout> oui ou non< Oui> Entre deux gémissements, tu lui donnes ton accord : "Vas-y ! Pars sur mon cul ! Ces mots ont fini de l’achever. D’un coup de reins en arrière, il se retire, arrache la capote, et pose son gland sur le trou qu’il vient d’élargir. Ne voulant rien louper, je regarde la scène. Un premier long jet sort et atterrit directement dans ton orifice rougeoyant. Deux autres jets moins importants viennent s’écraser contre tes fesses. L’heureux veinard nous fait partager sa délivrance grâce à plusieurs râles presque animaux. De ton côté, je te vois pris de spam à chaque giclée qui te touche. C’est alors qu’un bruit au bout de notre ruelle se fait entendre ! Tels des enfants pris la main dans l’sac, nos regards se tournent vers ce bruit, nous apercevons des silhouettes approchées ! Il n’en faut pas plus à notre inconnu qui prend rapidement le sens inverse, encore le sexe à la main et qui en guise de remerciement te claqua la fesse. Pour ma part, je dois me satisfaire d’un simple signe de la main. Tu te redresses d’un coup, les jambes encore tremblantes, je baisse rapidement ta jupe afin de camoufler "la scène de crime". Les bruits de pas approchent lentement mais sûrement...< Et les MST merci bien> C’est une fiction, les MST n’existent pas et c’est toi qui as dit qu’il pouvait partir sur toi< J’avais compris partir dans moi avec la capote, mais tu as raison, c’est une fiction> Ta situation te plaît toujours ?< Oui> Et tu as mal lu, il te demande s’il peut jouir à l’entrée de son œuvre. Pour moi, c’était clairement te jouir dessus. Un peu ambigu, je te l’accorde.> Tu veux la suite ce soir du coup ?< Ouiiii> Tu veux des choix multiples ?> C’était le jeune homme ! (Je lui envoie une belle verge en érection, un bon 20 centimètres et 5 centimètres d’épaisseur)< Oui pour les choix> OK> Je vais peut-être te surprendre, mais j’ai envie de toi< La vache !!!! Ça fait peur lol a ajouté un « J’adore » à « Je vais peut-être te surprendre, mais j’ai envie de toi ».> La photo ?< Oui> Bah c’est ce que tu as pris dans l’histoire ma chérie< C’est de la fiction> Alors la suite va être un peu plus compliquée, mais j’ai les grandes lignes< Ah...> Tu aurais une envie, une idée, une suggestion ?< Nan je veux ce qu’il y a dans ta tête> Houla tu risques de prendre chère J’illustre mon histoire avec une photo d’une demoiselle bien open analement)< 😱 C’est plus un trou du Q ça !!> Je trouve que la photo illustre parfaitement ce que j’avais en tête< Oui oui tout à fait> J’ai envie de te faire la même< C’est envisageable. Va faire dodo toi !!!> Dilatation incluse ?< Je ne contrôle pas ça. À toi d’y arriver> Je relève le défi !!!< Ah bah ça, ça m’aurait étonné. Allez zou au lit. Prends des forces.> 🍆 Avec l’érection que je me tape, je vais avoir du mal< Bah évidemment gros bêta ! T’as vu ce que tu cherches comme photo ! Ou ce que tu imagines !!> Bah désolé de prendre mon récit à cœur et de vouloir te l’illustrer< Tu vas partir sur une bande dessinée ? (elle ne savait toujours pas que j’avais l’idée de la publier ici)> Non je préfère solliciter ton imagination.> Tu te mets dos au mur, les mains croisées dans le dos comme une petite fille qui aurait fait une grosse bêtise. Je me tiens à côté de toi en te tenant par la taille. Les ombres qui approchent se dessinent de plus en plus. Merde, il s’agit de deux policiers à l’allure athlétique. Ils ne sont plus qu’à quelques pas. Je te sens fébrile. Je te serre par la taille comme pour te rassurer. Les deux agents se figent devant nous et nous saluent. Je leur réponds d’un signe de sa tête alors que tu essayes de leur bafouiller un bonjour. Ils nous demandent si tout va bien, car ils ont vu qu’à leur approche un jeune était parti précipitamment. Tout en continuant de les écouter, tu me donnes un petit coup de coude et me montres ton entrejambe avec ton regard. J’y découvre un filet de la semence de notre ami de jeu qui coule le long de ta jambe. Logique, avec les coups de semence que tu as subis plus la loi de la gravité, je ne vois pas comment tu aurais pu retenir quoi que ce soit. Tu commences à rougir, et à vouloir croiser les jambes. En voyant ça, je viens intercaler mon pied entre tes jambes contre le tien afin de mettre fin à ton stratège de dissimulation. Tu as pris ton pied, tu dois assumer ! Un des deux agents nous demande ce que nous voulait la personne qui est partie, je lui répondu qu’il souhaitait faire plus ample connaissance. Plus le temps passait, plus je voyais que tu retenais de moins en moins ce fluide d’un autre. L’autre agent nous regardait plus en détail, mais à quel niveau de précision, quel indice de ce qui s’est passé découvrir a-t-il ?...> Alors tu veux redevenir plus sage ou je continue à t’emmener vers des chemins encore inexplorés ?< Je ne suis pas sage.> OK, mais je veux que tu réagisses le plus honnêtement à chaque situation< Oui> Le policier qui nous interrogeait sembla convaincu par nos réponses, nous souhaita une bonne journée, puis reprit sa route en faisant signe à son collègue que tout était bon. Mais le deuxième policier n’était pas motivé à l’idée de partir et laisse un peu d’avance à son collègue. Il était assez grand, 1m90 je dirais, brun, le teint de peau bronzé hispanique je pense, et son uniforme laissait deviner un corps entretenu. Il dégaina sa matraque d’un coup sec, ce qui te fit sursauter, puis la passa entre tes jambes pour remonter à la bordure de ta jupe. Il nous lâcha, plein de confiance, "je pense que madame cache quelque chose !" Puis sur ses mots, il commença à remonter le bord de ta jupe tout doucement, de plus en plus haut. Je retire mon pied d’entre tes jambes, en pensant que tu allais resserrer les cuisses, mais à ma grande surprise, tu n’en fis rien. Tu restas immobile, le fixant dans les yeux pendant qu’il remontait ta jupe qui est maintenant à la lisière de ta vulve...< 🥵>alors que fais-tu : 1 - tu repousses la matraque violemment 2- tu le laisse faire<2>Étrangement tu laisses faire, je ne sais pas si c’est de la peur ou de l’excitation, mélange des deux peut-être. La matraque continue son chemin entre tes jambes puis fait passer ta jupe au-dessus ton écrin. L’homme en uniforme s’incline vers l’arrière pour mieux observer le spectacle qui s’offrait à lui, ton minou lisse et encore luisant de notre aventure précédente. Le policier esquisse un sourire et dit : “ croyais moi je sais reconnaître une femme qui a pris son pied !”. Je restais immobile devant la scène car je sais que cela te et me plaît beaucoup. Il fait promener sa matraque autour de ton bassin puis te demande de te tourner. Tu me regardes dans les yeux comme pour avoir mon consentement alors que je ne pouvais pas faire grand-chose. Tu t’excuses puis entame un 180 degrés, ta jupe est toujours maintenue au-dessus tes hanches. Une fois tes fesses présentées, il t’ordonne de mettre les mains contre le mur puis de te cambrer. Une fois en position il me dit : Monsieur veuillez encarter les fesses de votre femme !” Je m’exécute. Je pose mes mains de part et d’autre de ton cul puis j’ouvre tes fesses et offre une vue imprenable sur ta rondelle. “J’étais sur ce que j’avais vu. Le jeune homme était bien en train de vous prendre en levrette. Mais je n’étais pas sûr du trou. La plus aucune hésitation, il reste même encore des preuves, conclut-il. Je jetai un coup d’œil et effectivement l’endroit du délit était encore bien ouvert et brillait toujours. Cette vision commença à faire réagir mon sexe. Puis il se rapprocha de toi tout en laissant son outil de travail glisser le long de ta raie. Puis il colla son entrejambe contre ton cul que je maintiens toujours bien ouvert. Il se penche vers toi du côté opposé d’où je me tiens. À cet instant, cette scène je ne peux pas la voir. Il approche sa main de ton visage puis te présente un bout de papier près de ta bouche et te murmure quelque chose à l’oreille... > Toujours chaude ?<Oui >1 - tu ne me dis rien de ce qui vient de se passer et garde pour le moment le papier pour toi. 2 - tu me parleras un peu plus tard de ce qu’il t’a dit et me montrera le papier <2>très bien ! C’était pas un test hein>Caresse-toi ! Je veux une photo de ta chatte bien ouvert comme signal que tu es réveillé <Impossible avec les morveux. Ils sont venus me sauter dessus pour choper les écrans >Flûte mais je comprends 😘. Merci pour hier soir je t’aime<Moi aussi mon amour c’était un vrai plaisir >Plaisir coupable... partagé Tu le pensais vraiment ce que tu m’as dit... avec un troisième ou c’était sous l’excitation ?<Je sais pas Namour je peux pas parler avant que la situation se présente>serais tu prête à la “provoquer” ?<Pk pas>Tu prends le papier entre tes dents, puis le policier recule. Il tient maintenant ta jupe à une main puis avec le bout de sa matraque tetapote sur l’anus et nous dit : je vois que madame à l’esprit ouvert, c’est parfait ça ! Parfait pourquoi, qu’entend-il par-là ? Il lâche ta jupe puis t’ordonne de te rhabiller correctement. Tu t’excuses sagement puis te remets face à lui. À son tour, il nous souhaite une bonne journée puis disparaît. Je le laisse s’éloigner puis comme pour être sûr de ce que j’ai ressenti, je passe ma main sous ta jupe et viens passer mes doigts sur ta vulve, tu mouilles autant si ce n’est plus que lorsque que je te titille le petit trou. Ça t’a plu petit salope ça. Je te plaque contre le mur, t’embrasse à pleine bouche puis m’agenouille devant toi. Je passe ma tête sous ta jupe. Étrangement cette odeur de foutre mélangé à ta propre odeur me plaît, je commence à te bouffer la chatte. Je fais aller ma langue de haut en bas, je t’aspire les petites lèvres et m’attarde sur ton clito que je lèche à pleine bouche. Je te glisse deux doigts entre les jambes, tu te tortilles. Tu respires de plus en plus vite. Tu poses tes mains sur ma tête comme pour être sûr que je ne remonte pas. Pas de doute tu vas jouir. Tu me supplies de ne pas arrêter. Puis tu explose en gémissant et en mettant ta main devant ta bouche pour étouffer tes cris. J’ai la main qui dégouline de cyprine. Je me redresse mais comme pour te venger tu me plaque contre le mur à ton tour, baisse mon pantalon. Tu sors mon sexe vraiment très dur puis tu le prends en bouche. Tu commences à me sucer le gland puis à le faire rentrer doucement dans ta bouche. Tu le ressors de ta bouche et commence à me branler énergiquement puis tu la remets en bouche. Tu feras ça deux trois fois puis quand tu la remets de nouveau dans la bouche, J’attrape ta tête pour que tu te fige puis je te préviens que je suis sur le point de jouir...>Dis-moi quand tu as lu et si ça t’a plu <L’odeur de foutre t’as plu ? 🤢>😂😂>1-tu ressorts mon sexe de ta bouche 2- malgré mes avertissements, tu le gardes en bouche <2>Tu fais comme si tu n’avais rien entendu et continue de me sucer. Ayant compris ce que tu voulais, je t’attrape par les cheveux et tire ta tête en arrière tout en retirant mon chibre, couvert de salive, de ta bouche. « Tu veux que je te crache dans la bouche hein c’est ça ! » « oui fais toi plaisir mon amour, remplis moi la bouche » tout ce qui venait de ce passé était fou et je comprends que tu sois chaude à ce point. « OK ! Alors ouvres la bouche et sort ta langue petit chienne, je vais te donner ce que tu veux » tu m’obéis. Je me masturbe au-dessus de ta bouche grande ouverte, je te préviens que je viens, tu ouvres bien grand la bouche et tire la langue de plus belle. Un grand jet de sperme te gicle au fond de la gorge, tu sursaute puis je dépose le reste sur ta langue. Jusqu’à la dernière goutte. Je te fais signe de ne plus bouger le temps d’une photo. Tu poses. Une fois cet instant figé, tu me regardes dans les yeux puis rentre ta langue dans la bouche, la ferme puis aval. Je te vois déglutir et j’imagine mon jus encore chaud couler le long de ta gorge. Tu te redresses, j’en profite pour te montrer la photo, tu souris en disant : tu aimes hein !? Je me rhabille, et te propose qu’on rentre à la maison se laver surtout toi d’ailleurs. Nous retournons dans la voiture direction la maison. Dans la douche je te sodomiserais mais tu m’avoueras que tu n’auras pas senti grand-chose et il est vrai que j’ai pu te prendre sans aucune préparation...< The end... Vivement le tome 2 > T’inquiète ça ne fait que commencer
Voilà pour ceux qui ont suivi l’avancement de la discussion, sachez que madame est aujourd’hui au courant de la publication de nos échanges et... ce n’est pas pour lui déplaire. Comme pour cette deuxième partie, la suite est sur mon smartphone et même si ma femme est au courant de la finalité de cette discussion, elle a su rester la plus objective possible... pour mon plus grand plaisir 🍆.
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