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Echanges de mails entre hommes

Chapitre 2

Gay
Suite de nos échanges; c’est à son tour d’écrire.
Lui:  Monsieur,Une salope n’a pas le droit d’être jalouse, elle doit tout accepter de son maître.Une fois dans la voiture pour le retour, vous me racontez vos ébats avec le minet, vous voyez que je bande et pendant qu’une main tient le volant, la seconde s’active sur ma petite bite: — Tu aimes te faire tripoter petite pute?— Oui monsieur.— Je connais un endroit où tu vas pouvoir te faire tripoter à souhait.
On s’arrête dans une aire de repos sur l’autoroute, il est tard et il y a peu d’activité. Vous me donnez l’ordre d’aller dans les wc et d’attendre. Vous revenez avec un routier que vous avez trouvé sur le parking. Quand l’homme arrive, vous me prenez par les cheveux en m’obligeant de baisser son pantalon pour le sucer. Sa bite sent le mâle, avec une odeur acre.Je prends son sexe, mais l’homme veut directement baiser ma bouche. Sa bite est longue et bien épaisse. Pendant ce temps vous matez le spectacle. Le routier retire sa bite de ma bouche et me demande de me pencher près des pissotières pour jouir dans mon cul. Sans douceur il me sodomise, ma tête dans l’urinoir.C’est à cet instant que vous vous levez, puis vous sortez votre queue pour uriner sur mon visage. Les jets puissants s’abattent de partout . Vous m’obligez à ouvrir la bouche pour vous vider en moi, pendant que le routier continue à me pilonner le cul. Il se contracte et je sens des flots de jute me remplir.Je suis épuisée, la tête toujours dans l’urinoir. Le routier s’adresse à vous, ignorant mon avis:— Moi aussi je veux pisser sur ta pute.— Fais toi plaisir, elle est là pour ça.L’homme me prend la tête et il urine dans ma bouche. Il s’arrête régulièrement, pour qu’à chaque fois je puisse avaler son urine. Je suis éreintée. L’homme me claque le cul et me balance ces quelques mots:— C’est vrai que tu es une bonne pute! A bientôt.
A vous monsieur...

Moi:Salope,
Le routier a raison, pour être une bonne pute, tu es une sacrée bonne pute.Je crois que j’ai décroché le gros lot avec toi, tu es la plus cochonne, la plus vicieuse, de toutes les putains de trainées que j’ai connuesLe routier t’as dit à bientôt, et on échange nos numéros pour se revoir.Il est parti, je bande, j’ai envie de toi. Il y a des lavabos avec une grande glace, et je t’encule devant, comme j’aime le faire. Un nouveau mec entre, une salope comme toi. Il voit ta queue bien bandée et il s’agenouille pour te sucer. Je me retire de ton cul et je plaque ma main entre ses cuisses pour le redresser.— Baisse ton froc salope, on va te baiser avec mon copain.Son cul est à l’air libre et je l’emplafonne sans le préparer. Il gueule de douleur mais son cri est étouffé par ta queue. Je le lime, la douleur s’efface pour faire place au plaisir.Je t’ordonne de lui baiser la bouche, comme on te baise la tienne, et tu te mets en mouvement.  Je jouis dans son cul, et je me retire pour te laisser la place. Tu exploses à ton tour entre ses reins, puis il nettoie ta queue après avoir nettoyé la mienne. On s’en va.Il est très tard, et je te propose de coucher chez moi, avec moi, dans mon lit.
A toi pour la suite, mais d’abord tu vas me raconter autre chose, que tu as zappé.Le patron nous as fait l’entrée gratuite, mais c’était intéressé. Il veut être payé en nature, et tu vas être la monnaie d’échange.A minuit, quand c’est la fermeture, on reste tous les deux et il nous rejoint.Il a allumé les lumières et on y voit comme en plein jour. Il déballe son sexe, un engin impressionnant et des couilles de taureau: ça te donne envie en même temps que ça t’effraie.
A toi pour la suite ma poufiasse, j’attend deux récits:— Comment tu as payé notre entrée au sex-shop.— Notre nuit débridée.Bisous ma pute

Lui:Bonsoir monsieur,A la fin de la soirée du sex-shop, vous me présentez le patron qui souhaite se rémunérer de la soirée.Vous me prenez par les cheveux et vous me dites— Alors, salope, tu vas contenter M. ALBERT, tu vas faire tout ce qu’il te dit, c’est le prix à payer pour aller dans son antre. Le patron s’adresse à moi:— Viens ici, pute,  il parait que tu es experte pour sucer, mais là tu vas taper dans le calibre haut de gamme avec moi Je descends le pantalon et je vois un énorme chibre qui pointe dans le caleçon, un truc monstrueux. Impossible un tel objet, je sens en moi un frisson de peur car il est monté comme un baudet. Une claque me ramène à la réalité et il me demanda de le sucer. Je baisse son dessous et reste pétrifiée devant sa bite énorme; mon cul n’a jamais accueilli un tel engin, et  même pour le sucer j’ai l’impression d’avoir la mâchoire démontée. Il me baise par la bouche, me la défonce, tellement sa bite est grosse.Je m’acharne sur cette queue pour qu’il jouisse, et pendant ce temps je vous sens jouer avec mon cul  pour me préparer. Vous souhaitez que je me fasse défoncer, et je sens que vous mettez du gel. Monsieur Albert sais que je suis prête à le recevoir et me le fait savoir:— Arrête de pomper, salope, je veux jouir dans ta chatte. Mets toi à quatre pattes.Je crains cette bite en moi, tellement grosse, mais votre préparation m’aide beaucoup. L’entrée en moi est difficile, qui me tire quelques cris et douleurs, mais une fois en moi j’apprécie cette bite monstrueuse. Pendant ce temps vous me plantez votre bite pour la sucer.C’est un plaisir grandiose, comme le sexe de cet homme. Tous les deux vous jutez en même temps, ma chatte est remplie ainsi que ma bouche. Quelle soirée!Vous regardez tous les deux mon anus complètement dilaté, et vous prenez vos bites pour uriner dans mon trou béant.La soirée a été riche en émotions, j’ai appris que mon cul pouvait beaucoup supporter, et j’adore ce sentiment.
Moi:C’est bien salope, si tu aimes les gros calibres, je vais t’en fournir.En attendant j’attends ton récit sur notre nuit.Grosses pelles.

Lui:Monsieur est gourmand de sa salope.... Le retour se fait en silence, éreintée par cette soirée au gout particulier auprès des routiers, sous votre regard. Nous arrivons à votre domicile et vous m’embrassez à perdre haleine.Vous me caressez en même temps les couilles, j’adore cette sensation.J’ai envie d’être votre jouet. Je vous le murmure à l’oreille. Une fois la douche terminée, je pense que nous allons dormir, mais je vois que vous préparez quelque chose.— Salope,  ferme tes yeux.Vous me mettez un bandeau puis vous m’installez sur un objet en bois, ressemblant à un tréteau. Ce meuble met mon cul en évidence. Mes mains sont attachées et je ne peux bouger.Je sens une douceur glacée sur mes fesses. Vous m’avez ensuite doigtée,  avec un, puis deux doigts, et après ce plaisir,  vous m’avez baisée avec un gode fin mais long. Je ne peux résister à ce plaisir, et me laisse aller au désir de monsieur.Quand vous retirez le gode, j’ai senti votre grosse bite entre mes fesses. D’un coup vous me besognez sans ménagement, ma position vous excitant. Je sens dans quelques instants votre jus dans mes entrailles.Quand vous ressortez, vous me plantez un rosebud , à garder toute la nuit, avec ce jus en moi.
A vous pour la suite

Moi:Ma salope,Décidément tu me plais de plus en plus.On se couche, j’éteins la lumière, je te prends dans mes bras, te caresse gentiment, et on échange quelques mots avant de dormir:— Alors, tu as passé une bonne soirée?— Oh oui Monsieur, merci, c’était merveilleux. On ne m’a jamais aussi bien baisée.— Attends dimanche en huit, ça va être encore mieux!Tu te souviens alors de l’échange que j’ai eu avec le patron du sex-shop pendant qu’il te cassait le cul. Il organise des parties une fois par mois, dans sa boutique, le dimanche après midi, jour de fermeture. Tu aimerais en savoir plus:— Il se passe quoi dans ces parties?— Je te le dirais le moment venu, ce sera toujours assez tôt. Mais ne t’inquiète pas, tu vas aimer.  Bon, maintenant on dort.On se tait et on pionce.Tu bosses le lendemain et tu dois te lever de bonne heure. C’est le petit matin, on est à cuisine, toi en petite tenue, le plug toujours enfouis entre les fesses, et moi à poil. Je te sers un petit déjeuner et je me branle pendant que tu te restaures. Il te reste un fonds de café et je te fais patienter avant de finir. Je m’astique la queue de toutes mes forces et je jouis dans ta tasse; de longues giclées épaisses qui te font un bon café crème. Tu bois tout et j’attrape un grand verre:— Je t’aurais bien donné un verre d’orange, mais je n’en ai pas, alors on va faire autrement.Je pisse dans le verre, jusqu’à le remplir, et te le tends. Tu le vides cul sec, et me remercies pour mes offrandes. Tu t’habilles pour partir, et je te dis que je t’appellerai le soir pour te fixer un autre rendez-vous, en attendant notre partie du dimanche.
A toi ma pute
A suivre...




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