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Echanges de mails entre hommes

Chapitre 4

Gay
Suite de nos échanges; c’est à mon tour d’écrire.
Moi:Salope,Tu veux du gloryhole, et tu vas être servie.Je te laisse repartir chez toi et te dis que je t’appellerais quand j’aurais besoin de toi.
Au bout de trois jours je te donne un nouveau rendez-vous chez moi, toujours à 20h30. Tu enfiles tes dessous de femme, te rappliques, et me fais une pipe éclair. Je décharge rapidement dans ta bouche, puis on s’en va pour le sex-shop.
Le patron n’est pas la, c’est sa femme qui tient le boutique. Je la connais bien elle aussi, on s’embrasse et elle me demande à son tour si on reste après la fermeture. Je réponds par l’affirmative et elle nous laisse entrer gratuitement; tu as compris que tu devras payer de ta personne.
On entre et je t’emmène direct au fonds de la grande pièce; par chance c’est libre.Il y a un lit, mais surtout un gloryhole qui donne sur la salle. Ce n’est pas un simple rond comme souvent, mais un large et grand rectangle qui permet aux grands comme aux petits d’enfiler leur manche, et aussi à celui qui pompe de peloter les couilles de son bienfaiteur en même temps qu’il suce. Tu t’installes à quatre pattes sur le lit, la bouche au ras de l’ouverture. Je te mets une écharpe qui traverse le trou.Je suis de l’autre côté, côté grande salle, et je t’éclaire avec une torche que j’ai prise pour la circonstance.Les hommes sont alertés par cette lueur, et l’un d’eux se rapplique sans tarder.
Il passe devant moi, et je lui dis que tu es ma pute, une vide-couilles, une sac-à-foutre, une sac-à-pisse, et qu’il peut t’utiliser comme il veut. Il me remercie et se rapproche de toi. Il baisse son froc et se plaque contre la cloison pour bénéficier de tes faveurs.  Il gémit, et je sais que tu le suces. Je vais dans la salle, dans les différentes pièces, et informe tous les clients de ta présence et de ton appétit vorace pour des bites bien juteuses. Ils sont très vite plusieurs à attendre leur tour et je dois leur donner des consignes: ne pas te monopoliser, pas plus de cinq minutes, pour laisser sa chance à tout le monde.
Ils sont nombreux à se succéder, tous différents; de longues queues, des courtes, des grosses, des fines, des propres, des sales, des qui sentent bon, des qui puent; tu les prends toutes sans te poser de question. Certain jutent rapidement, d’autres se retirent sans avoir joui et refont la queue pour un deuxième passage. L’un d’eux remarque enfin ton écharpe et l’utilisation qu’il peut en faire. Il tire sur les deux pans et ta jolie petite gueule vient s’encastrer dans le trou. Il te plante son chibre tendu à mort, et te défonce sauvagement, en gorge profonde. Il est super excité et décharge bruyamment, que tout le monde le sache. Il se retire:— Ouvre ta bouche salope, j’ai envie de pisser.Il relâche ton écharpe, et tu restes plaqué au mur, la gueule ouverte, alors que rien ne t’y oblige. Il pisse dans ta bouche, par à-coups, de petits jets, pour que tu avales tout. Tu engloutis tout comme une boit sans soif.
Les hommes se succèdent, se font sucer sans jouir pour garder leur adrénaline et revenir, d’autres giclent et s’en vont, d’autres restent, d’autres urinent.
Il y en a deux qui n’ont pas la patience d’attendre et qui entrent dans la petite salle. Je vais y jeter un coup au bout de deux minutes: un des deux est à genoux derrière toi  et t’encule, l’autre te suce. Le spectacle me plait et je sors ma queue bandée pour me masturber. Celui qui t’enfile me fait signe de m’approcher pour me sucer. Il pompe bien ce salaud, mais pas très longtemps. Il va jouir et se retire. Son copain abandonne ta queue et s’empresse sur la sienne pour recevoir son plaisir juteux. Ils inversent les rôles, celui qui te suçait te sodomise et me turlutte, celui que t’enfilait te pompe. Ton enculeur va jouir à son tour, et son copain lui offre sa bouche.
Je reviens dans la grande salle. La file d’attente est toujours aussi longue, que des salopards qui ont envie de se vider les couilles et aussi la vessie. Tu les acceptes tous, comme une putain de chienne que tu es.On s’approche de minuit, heure de fermeture. Il y en a plusieurs qui se sont retenu de jouir et qui veulent conclure. Tu n’as pas le temps de les satisfaire tous, et on trouve une solution. Tu sors de ta cachette, et vient t’agenouiller devant eux, bouche ouverte. Ils sont cinq devant toi, se branlent, et éjaculent dans ta bouche. Tu n’avales pas de suite, attend que le dernier ait fini. C’est impressionnant comme ils déchargent tous abondamment,  jamais vu des vidanges aussi fournies. Tu as la gueule remplie à ras bord, et tu avales tout, sous les félicitations et les insultes de chacun.  C’est la fermeture et on reste pour attendre la patronne qui nous  rejoint vite fait.C’est une belle femme, la quarantaine, bien en chair, plantureuse, à l’allure de pute. Elle nous emmène dans une salle privée.Elle enlève sa minijupe et affiche une toison noire et bien fournie. Il y a u fauteuil gynécologique sur lequel elle s’installe. Elle a les pieds dans les étriers, les cuisses ouvertes, elle écarte ses poils, affiche sa fente rose vif et déjà luisante de plaisir, et s’adresse à toi:— Viens petite salope, viens bouffer la chatte à maman.Tu sais que tu as intérêt à obéir, et tu t’exécutes. Tu la lèches, mais t’occupes aussi de son petit trou. Pendant ce temps je viens derrière toi, et je t’encule. Tu es efficace et parvient à lui déclencher un orgasme violent. Elle gicle un flot de liquide, mélange de mouille et de pisse que tu avales au maximum avant de la nettoyer.
Elle se relève et te demande de prendre sa place. Elle s’équipe d’un gode ceinture de bonne taille et te sodomise. Je me plaque contre elle et je l’encule. J’ai enlevé son tee-shirt, elle est toute nue, et tu peux voir ses grosses mamelles qui sautent dans tous les sens.Je vais bientôt jouir et je la préviens. Je me retire, elle aussi, elle enlève son gode et te le donne à nettoyer. Pendant ce temps elle me suce, me pelote les couilles, me branle, me fait jouir sur ses seins. Elle étale mon sperme généreux avec ma queue, me suce pour me nettoyer.   Sa poitrine est recouverte de ma sauce, et tu vas la nettoyer.La séance est finie, on se rhabille, et on échange quelques mots:— Albert m’a dit que tu venais dimanche, et que tu emmenais ta pute.— Oui, c’est vrai, on sera là.— On devrait bien s’amuser, ça va être sa fête à ta salope.— J’espère bien. Et toi tu seras là?— Oui mon chéri, tu pourras me baiser comme tu le fais si bien.On s’en va.
Sur le retour on passe près de l’aire des routiers. La fois d’avant tu n’as pas voulu t’y arrêter, alors cette fois ci j’y vais sans te demander ton avis. On arrive, le parking est plein. Je me gare devant les toilettes, face aux nombreux camions, et je fais des appels de phare pour informer de notre présence.
A toi pour la suite.Bisous ma pute.

Lui:Monsieur, Votre salope a adoré le passage au gloryhole et paiement auprès de la gérante. Votre décision de m’amener sur l’aire d’autoroute me fait craindre le pire. Lorsque vous faites des appels de phare pour  signaler notre présence je sens une boule dans l’estomac:— Allez, salope, descends, il y a des clients pour toiDeux grands baraqués viennent à ma rencontre. Vous sortez de la voiture:— Allez-y les mecs, amusez vous avec ma pute. Vous pouvez tout lui faire, sauf me la casser.
L’un des routiers ouvre son semi quasiment vide, ce qui leur laisse de la place pour jouer. Ils prennent des cartons et me demandent de m’appuyer dessus avec mon ventre. Ils prennent également des sangles pour m’attacher les mains et pieds.Dans cette position mon cul est bien tendu, et  ma bouche accessible. Paul, un des deux,  prévient à la CB qu’un bon coup est en vue:— Allo, les routiers, une pute gratuite est offerte sur l’aire, près des toilettes. Si des personnes veulent se vider les couilles, il y a de quoi faire...
Pendant que le mec passe le message, l’autre m’oblige à lui sucer la bite. Le second arrive et il décide de me sodomiser:— Vu que tu vas avoir du passage, j’ai pensé à ton cul, salope.Il prend le pinceau pour graisser le camion et il m’en met sur la chatte. Sans prévenir il m’encule de sa  bite longue et fine. Il me claque le cul en même temps. Il met quelques instants pour se vider dans mon cul.J’entends des camions arriver, le message est reçu. Le second gars, après que je l’ai sucé, me défonce  la chatte de sa bite énorme. J’ai mal à la mâchoire, rien que de le sucer. et il ne se fait pas prier pour me pénétrer sans relâche.  Je sens sa jute en moi.
Quand j’ouvre  les yeux, je vois des mecs qui attendent leur tour, la bite à l’air.Au début je les compte, mais ensuite je me laisse baisser comme une pute. Il y a des bites de toutes les tailles, avec des baises en douceur, ou d’autres fort violentes.Au moins douze mecs déchargent dans mon cul, et à chaque fois je dois nettoyer leur sexe couvert de sperme. C’est interminable, même si j’aime le sexe, je suis prête d’exploser.Ils se réunissent ensuite autour de moi, en cercle, et vu que j’ai été obéissante, ils veulent me récompenser.
Sans prévenir, je reçois une douche d’urine. Pendant ce temps, vous regardez le spectacle en vous faisant sucer. Ma chatte est remplie de sperme quand ils ont terminé, et vous apparaissez avec un gros bol dans les mains. Vous me détachez, et m’obligez à expulser le sperme dans la gamelle:. C’est bien, pute, maintenant tu vas tout boire; il ne faut pas gâcher un tel trésor.La quantité est importante, et en buvant le sperme j’ai des hauts le coeur.— C’est bien, maintenant vas te laver, je veux une pute propre dans ma voiture.Je me rends à la station,  où je me lave pour retrouver un visage humain.A vous pour la suite.

Moi:Salope,C’est parfait, je suis satisfait de toi.Je suis actuellement occupé, et t’écrirais dans quelques jours.Ma bite où tu l’aimes, putain.
A suivre.....




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