Suite de nos échanges; c’est à mon tour d’écrire.Pour rappel, mon partenaire est un homme soumis qui veut être traité comme une femme. Moi:Salope,Nous voici enfin à ce dimanche tant attendu.Je me gare dans la cour du sex-shop, et t’ordonne de te foutre à poil. On entre dans la boutique remplie de monde. Tous les participants sont là, il ne manquait plus que nous.Tu es ovationnée, on te présente à chacun, et tu as droit à des roulages de pelles, des pelotages, des mots attentionnés comme ceux-ci:— Tu es belle ma chérie, j’espère que tu es aussi salope qu’on nous l’a dit.— C’est toi la pute du jour, on va prendre soin de toi.— Tu as un beau cul petite chienne, on va te le remplir.— Tu me fais déjà bander, tu vas voir le beau joujou que j’ai.— ........................... Le patron va fermer le portail de l’impasse, on va pouvoir commencer en toute tranquillité. On est dix-huit au total: toi, moi, le patron, sa femme, une vielle de soixante-dix ans, et treize mâles. Ce sont tous des hommes mûrs, entre quarante et soixante-cinq ans, à l’exception de deux jeunes de dix-huit et dix-neuf ans que la patronne se réserve.On va dans une grande salle bien éclairée, on se déshabille tous et tu ne peux qu’admirer la virilité de chacun, très bien monté pour la plupart.On a mis le siège gynéco en place, et tu t’installes dessus, les pieds dans les étriers, offerte.On demande à la vieille de te préparer. C’est une grosse cochonne, qui ne pense qu’à bouffer des culs, des bites, des chattes. Elle te broute le fion, le fouille, suce ses doigts, enfouit sa langue. Tu es ouverte, et on va passer aux choses sérieuses. On a tous un numéro, et on tire au sort l’ordre de passage entre tes fesses. Le premier t’enfile d’un coup sec et se démène à bien te ramoner. La vieille a la joue sur ton bas ventre et déguste ta queue.Tous les hommes sont comme moi, ils ne se font pas mettre, mais ils aiment embrasser et sucer. En attendant notre tour pour t’enculer, les couples et les trios se forment. On se gamelle, on se pompe, on s’échange les partenaires. La patronne s’amuse avec les deux minets. Ils sont bi, ils vont la baiser, mais aussi baiser entre eux. On va se joindre à eux, chacun son tour, et profiter des trous disponibles selon leur position. On se fait la patronne, mais aussi les beaux petits jeunes.
On a pour consigne de te sodomiser rapidement, pour laisser la place aux autres, et le premier mec décharge entre tes miches. Il se retire et aussitôt le suivant prend la place. La vieille, que l’on appelle "la nettoyeuse", abandonne ta queue pour sucer celle du premier, la purifier. Elle a vite terminé et reprend ta bite en bouche.Le deuxième jouit, puis le troisième, et ainsi de suite. La vielle nettoie chaque bite avec application, et elle nettoie aussi ton cul lorsque il est plein et qu’il déverse nos dons généreux. J’en ai vu des chiennes, mais à ce point c’est incroyable, de quoi te rendre jalouse. Elle bouffe tout, suce toutes nos bites, suce ta queue, lèche ton cul, et s’occupe aussi de la patronne. Les jeunes qui baisent cette dernière sont des queutards hors norme, capables de jouir de nombreuses fois sans jamais débander. Ils lui remplissent régulièrement la chatte et le cul, et la nettoyeuse se charge du ménage en aspirant et dévorant tout. On prend tous notre pied, à te sodomiser, à baiser la patronne et ses deux amants, à se faire du bien entre nous. On a tous déchargé entre tes reins, treize paires de couilles qui se sont vidangées, et on te reprend pour un deuxième service aussi juteux.C’est fini pour beaucoup d’entre nous, mais quelques uns ont encore les ressources pour un troisième passage. La vieille t’a fait jouir deux fois, à moins que ce ne soit nos bites dans ton cul; toujours est-il que tu as giclé à deux reprises et qu’elle a tout avalé. Elle te suce toujours, tu bandes.On est satisfait de toi, et tu as mérité une récompense. Tu te lèves, et un des deux jeunes prend ta place. Tu vas pouvoir le baiser, sauf qu’il ne veut pas voir ton regard; on te bande les yeux.Tu ne dois pas le toucher, juste le sodomiser. On prend ta queue bien raide et on la place dans son trou. Tu le limes longuement, ayant du mal à jouir une troisième fois. Tu y parviens enfin, l’idée de ce jeune mâle t’excitant au maximum. Tu décharges, et on enlève ton bandeau. Tu ouvres les yeux et te rend compte de ce que tu viens de faire. Ce n’est pas le jeune que tu as matraqué, mais la vieille.Elle est heureuse, pleinement satisfaite, le visage recouvert de sperme. En effet, pendant que tu la ramonais, pensant au joli et beau gosse, elle nous a tous sucé, et on s’est tous branlé pour gicler sur sa gueule et dans sa bouche. Tu es stupéfaite de ta méprise, presque dégoutée, mais on te ramène à la réalité. On applique une main vigoureuse sur ta tête, et on te penche sur elle. Elle t’a nettoyé, et tu vas la nettoyer à ton tour. Tu lèches sa gueule, avale ta récolte. Elle a encore soif, et te saisit pour te rouler tes pelles voraces et partager toute cette bonne sauce. La séance en interne est terminée, mais on n’en a pas fini avec toi. On a bu des packs d’eau durant ces heures de débauche, deux ou trois litres chacun et chacune, et il nous faut éliminer.On va dehors, dans la courTu te positionnes à quatre pattes eu dessus d’une grille d’évacuation. On te fiste le cul, et on introduit un large anneau, comme un grand rond de serviette, pour ouvrir ton putain de garage à bites. Tu redresses la tête, et ouvre grand ta bouche.On est tous autour de toi, et on se soulage, hommes et femmes.On te pisse dessus, partout sur le corps, sur la tête, mais on te pisse aussi dedans. On remplit ton anus, on remplit ta bouche, et tu avales tout ce que tu peux.On tourne autour de toi, pour que tes trous reçoivent toutes nos urines. Tu bois comme une chienne, des litres et des litres.Ton ventre est gonflé, il faut que tu pisses à ton tour.On t’allonge sur le dos, un banc sous tes reins. Tu as le cul bien au dessus de ta tête, et on prend un gros tuyau transparent. On enfile ta bite molle dans un bout, et te fourre l’autre dans ta bouche. Tu ne peux te retenir de pisser, c’est un besoin pressant, et tu te gaves de ta propre urine. On te regarde faire avec délice, et on te pisse encore dessus. La séance pipi est terminé, les participants se rhabillent et s’en vont. Il ne reste que toi et moi et les patrons. On t’accorde une douche, et quand tu es propre on te met au courant de notre prochaine rencontre. Il y a deux grands chiens au fonds de la cour, des beaux mâles, et Albert et sa femme souhaitent te les présenter. Ce sera pour le dimanche suivant, en petit comité. On sera cinq, toi, moi, le patron, son épouse, et un de leurs amis. C’est un vicieux lui aussi, qui possède des chiens, des grands mâles bien montés, et qui va les emmener. A toi pour la suite ma chérie, prépare ton cul.
Encore moi:Ma petite pute,Une semaine que je t’ai écris, et je n’ai pas de réponse.Si les chiens t’effraient; n’aie aucune crainte, ils sont bienveillants.Ils sont rodés aux accouplements avec des humains, hommes ou femmes, et tu n’as rien à craindre.Ils sont très performants, autant en qualité qu’en quantité, si tu vois ce que je veux dire.Ils te feront connaître des sensations inouïes, des moments mémorables, dont tu ne pourras plus te passer.Alors je compte sur toi, ma cochonne, pour m’écrire la suite.Si tu ne veux plus jouer, je te trouverais une remplaçante sans problème; ce ne sont pas les salopes qui manquent.Dommage, je t’aimais bien.Ma bite à ta disposition, mais il faut la mériter.A suivre...
