Le lendemain matin, les huit membres de la famille déjeunèrent tranquillement et, après les au revoir, Claire reprit la route de son domicile avec Laurent, Marc et Axel. Dès que ses oncle et tante furent partis, rattrapé par la relation incestueuse qu’il avait eue avec Claire quelques heures plus tôt, Grégory alla dans sa chambre. Pressé de soulager son besoin de plaisir solitaire, le jeune homme n’avait pas pensé à refermer la porte derrière lui. Alors qu’il venait de jouir en donnant l’image du corps dénudé de sa tante comme support à sa masturbation, quelqu’un frappa à sa porte en riant. Grégory remonta son boxer aussi vite que possible et se retourna vers la personne qui avait frappé à sa porte et constata que son perturbateur n’était nul autre que son grand frère Paul. — Eh bien, ça commence fort cette vie d’adulte. — Très fort, oui...— Ne fais pas cette tête. Moi aussi, je me suis branlé en pensant à une fille. C’est normal pour un mec. Je ne vais rien dire si c’est ça qui te fait peur. — Vraiment ?— Oui, je te le jure. — Je pensais bien à une femme mais...— Mais quoi ? Allez, dis-moi qui c’est. Je te promets que je ne dirai rien. C’est une fille de ton lycée ?— Non. — Une de tes profs ?— Non plus.— Bon, je donne ma langue au chat. Qui c’est ?— Claire. — Claire ? Attends... Claire, notre tante ?!— Oui. — Tu es sérieux ? Tu fantasmes sur un inceste avec notre tante ? Face aux invectives de son aîné, Grégory se sentit mal à l’aise et commençait à être de plus en plus sur la défensive. — Ce n’est qu’un fantasme après tout.
— Oui mais quand même, il y a plein de jolies filles sur lesquelles tu pourrais fantasmer et qui ne sont pas de la famille. Alors pourquoi notre tante ?— Je l’ai vue à poil hier soir ?— Quoi ?! Comment ça, tu l’as vue à poil ?— Oui, j’ai couché avec Claire cette nuit. En faisant cet aveu, Grégory n’osa pas regarder Paul dans les yeux de peur d’affronter le choc et le dégoût qui se lisaient dans ses yeux. — J’y crois pas. C’est pas possible ! Tu n’as pas pu baiser avec notre tante. Rassure-moi : tu es en train de me faire marcher ?— Non. Ayant avoué la vérité à son frère, Grégory lui expliqua comment leur relation incestueuse de la veille avait eu lieu et dans quelles circonstances Claire lui avait fait don de son corps. — Donc, si je comprends bien, c’est Claire qui t’a proposé de coucher avec elle.— Oui, c’est ça. Paul s’accorda un moment de silence, plongé dans ses pensées. Le mutisme de son frère commençait à inquiéter sérieusement Grégory qui se risqua à lui poser la question qui lui brûlait les lèvres. — Tu ne vas rien dire à personne, hein ?— Je ne sais pas. Si tu avais fantasmé sur une fille de ta classe ou une de tes profs, j’aurais pu comprendre mais notre tante... Je suis vraiment choqué. — Je suis désolé, Paul. Claire disait que ce serait notre secret. — Votre secret ?! Comment est-ce que quelqu’un peut cacher une telle chose à sa propre famille ?— S’il te plaît, Paul, ne dis rien à personne. Grégory sentait la peur l’envahir de minute en minute et osait à peine lever les yeux vers son frère pour tenter d’y trouver une expression de compassion. — Je ne dirai rien, Greg. Si quelqu’un l’apprenait, ça risquerait de faire de notre famille la risée du canton. — Merci, Paul. — Ne me remercie pas tout de suite. Il faut d’abord que je parle à Claire pour qu’elle sache que j’ai découvert votre secret. Appelle-la et demande-lui de venir ici cet après-midi, quand Papa et Maman seront partis au travail. — D’accord. Paul quitta la chambre de son frère et chacun poursuivit la matinée comme il l’avait prévu jusqu’à l’heure du dîner. Souhaitant ne rien laisser paraître, les deux frères ne s’échangèrent pas un mot et, le temps manquant à leurs parents, firent la vaisselle. Dès que leurs parents se furent suffisamment éloignés de la maison, comme convenu avec Paul, Grégory appela sa tante. Sur demande de son frère, le jeune homme activa le haut-parleur. Au bout de deux sonneries, la voix de Claire se fit entendre à l’autre bout du fil. — Salut, Grégory ! Qu’est-ce qui t’amène ?— J’aimerais te parler de quelque chose de très important. Il faut absolument que tu passes à la maison. — Si c’est important, je vais passer tout de suite. À plus tard. — À plus tard. Grégory coupa la communication. — Qu’est-ce tu comptes lui dire ?— Je n’en sais rien pour le moment. Ça me surprend qu’elle soit venue de sa propre initiative pour coucher avec toi. Il doit sûrement y avoir quelque chose derrière tout ça et je compte bien savoir ce que c’est. Quelques minutes plus tard, les deux frères virent la voiture de leur tante stationner devant leur maison. Claire descendit de son véhicule et sonna à la porte. Grégory s’empressa d’aller lui ouvrir. Souhaitant sauver les apparences, Paul et Grégory firent la bise à leur tante et la guidèrent dans le salon. — Alors, qu’est-ce qu’il y a de si important ?— Paul sait tout. — À propos de quoi ?— À propos de ce que nous avons fait cette nuit. — C’était sensé être notre secret, Grégory. — Ce n’est pas de la faute de Greg, Tata. Paul expliqua à sa tante comment il avait découvert ce qu’il s’était passé entre elle et son cadet et ce que celui-ci lui avait raconté. Suite à ce discours, Claire ne sembla nullement contrariée. — Il ne faut pas t’en faire, Paul. Il s’agit d’un jeu entre votre mère et moi. Depuis notre jeunesse, nous avons toujours fait ce genre de concours entre nous avec nos petits copains de l’époque. Et pour les dix-huit ans de Grégory, nous avons décidé de nous lancer un défi, à savoir la première de nous deux qui coucherait avec l’époux et les fils de l’autre. — Donc, Maman savait déjà ce que tu comptais faire ?— Oui, et la gagnante pourra donner un gage sexuel à l’autre. Bien entendu, nous enverrons chacune les preuves de nos ébats à l’autre et une fois le jeu terminé, nous les détruirons. Personne en dehors de la famille n’en saura jamais rien. — Voilà un jeu très intéressant entre Maman et toi. — Je sais. Mais j’ai une question à vous poser : sachant que votre mère essaiera de coucher avec votre oncle et vos cousins, souhaitez-vous m’aider à gagner ? Les deux garçons lui répondirent par un large sourire et ils commencèrent tous trois à se dévêtir. — Je comprends mieux pourquoi tu t’es branlé en pensant à elle, Greg. Notre tante est vraiment bonne. — Merci pour ce compliment, Paul, mais avant de commencer, prenons quelques preuves. Claire alla chercher son téléphone dans son sac et prit une photo d’elle et de ses neveux lui touchant les seins et le sexe et l’envoya à Marie en mettant le texte « 2-0» en légende du cliché. Elle mit ensuite son portable sur mode Avion et en éteignit l’écran. — Les choses sérieuses peuvent commencer, maintenant. Whaou ! Deux grosses bites rien que pour moi. J’en ai, de la chance. En souriant, Claire masturba pendant quelques instants ses deux neveux avant de les prendre tour à tour en bouche. Bien échauffés par les fellations de leur tante, Paul et Grégory voulurent passer à l’étape suivante. Ils exigèrent de leur tante qu’elle appuie ses mains sur un mur de la pièce en se cambrant un maximum afin de leur laisser le meilleur accès possible à ses orifices. Toute excitée, Claire obtempéra sans discuter et Paul la sodomisa sans ménagement tandis que Grégory s’enfonçait dans son sexe suintant de cyprine. Les deux frères la pilonnèrent ainsi durant plusieurs minutes avant d’inverser les rôles. — Allez, je te laisse son cul. Tu verras, Greg, c’est encore mieux que dans la chatte. Impatient de vérifier la thèse de son frère, Grégory fit glisser sa verge d’une seule poussée au fond du sombre orifice de sa tante tandis que son frère se chargeait de son calice. — Oh... C’est bon ! Oui, baisez-moi bien ! Votre salope de tante adore avoir vos grosses queues dans ses trous ! Emoustillés par cette provocation de Claire, Paul et Grégory accélérèrent leurs mouvements dans le corps de leur tante jusqu’à ce qu’ils sentent la jouissance arriver. Le cadet fut le premier à se retirer du postérieur de Claire, imité peu de temps après par l’aîné. Leur tante s’agenouilla face à eux et masturba frénétiquement leurs verges dont les glands avaient viré au violet à cause de plaisir. — Ouvre la bouche, Tata. Je veux que tu avales mon sperme. Claire exauça le souhait de son neveu et poursuivit son puissant tour de poignet sur les sexes des deux frères. Grégory et Paul jouirent en même temps dans la bouche et sur le visage de leur tante qui eut un peu peine à tout avaler tant la quantité de semence reçue était grande. Elle finit tant bien que mal par tout avaler et étala le sperme qui restait sur son visage sur sa poitrine. Remis de leurs orgasmes, les deux frères et leur tante se rhabillèrent et celle-ci reprit la direction de leur domicile après les avoir remerciés pour le plaisir qu’ils lui avaient donné. Le concours entre Claire et Marie était à présent lancé. Il ne restait plus qu’à savoir comment Marie allait réagir à l’avance au score de sa soeur. [ à suivre ]
