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Échangisme entre soeurs

Chapitre 8

Hétéro
Stupéfaite de l’avancée de Marie dans leur petit concours, Claire était plus que jamais sur ses gardes. Il lui fallait absolument faire d’une pierre deux coups. Pour cela, elle avait songé à organiser un dîner avec son époux, Jessica et M.Richard, le patron de Laurent. Afin de rafler la mise, Claire avait même pensé à inviter Aline de façon à faire en sorte que sa fille ne s’ennuie pas trop.
Cependant, un petit détail venait contrecarrer ses projets. En effet, bien que l’idée fût bonne, il lui fallait trouver un bon moyen de convaincre M.Richard de se joindre à son dîner. Elle savait également que la stratégie de le séduire pour obtenir de lui ce qu’elle souhaitait ne serait pas facile à mettre en oeuvre puisqu’elle connaissait la réputation d’homme fidèle du patron de son mari.
Tournant et retournant inlassablement le problème dans tous les sens possibles et imaginables, Claire dut se résoudre à tenter une « opération séduction ». Elle ouvrit sa penderie et chercha une robe la plus sexy et la plus provocante possible. Son choix se porta finalement sur une robe courte rouge, la couleur de l’érotisme.
Souhaitant gagner du temps en cas de succès tout en mettant toutes les chances de son côté, Claire décida de ne pas mettre de sous-vêtements sous sa robe. Elle prit donc sa voiture en direction des locaux de la société qui employait son mari, son sexe humidifié par l’excitation qu’elle tirait de cette situation peu conventionnelle.
Après un petit quart d’heure de route, Claire se gara à quelques mètres de l’entrée principale. En entrant, elle aperçut un réceptionniste et s’avança vers celui-ci pour lui communiquer son souhait.
— Bonjour, Monsieur. — Bonjour, Madame. — Je souhaiterais voir M.Richard. — Vous avez rendez-vous ?— Non, mais c’est très important.
Bonne actrice, Claire s’était légèrement penchée en joignant ses mains dans un geste de prière, ce qui eut pour effet de faire remonter sa robe jusqu’à ses hanches, dévoilant ainsi son intimité au réceptionniste qui eut un petit sourire entendu.
— Je vois. Je vais voir s’il peut vous recevoir.
L’employé composa un numéro sur le téléphone posé sur son bureau et attendit quelques secondes que la communication s’établisse.
— M.Richard ? J’ai une femme qui souhaite vous voir. Elle dit que c’est très important. — Bon, dans ce cas, faites-la monter. — Bien, Monsieur.

Le réceptionniste raccrocha et adressa un sourire concupiscent à Claire.
— M.Richard va vous recevoir. Deuxième étage, dernière porte sur votre gauche. — Merci infiniment, Monsieur.
Claire monta les escaliers jusqu’au lieu indiqué et frappa à la porte du bureau de M.Richard.
— Entrez.
Elle poussa la porte et le patron de son époux l’accueillit chaleureusement d’une poignée de main.
— Bonjour, Madame. Que me vaut le plaisir de votre visite ?— Je suis l’épouse de Laurent. — Ah, je vois. Il vous a envoyée ici pour plaider sa cause.— Ce n’est pas tout à fait cela. En vérité, il ne sait pas que je suis ici. Mais vous avez raison sur un point : je suis venue plaider sa cause. Vous voyez, mon époux travaille énormément, à tel point qu’il ne se sent même plus la force de me faire l’amour quand il rentre le soir.— C’est très regrettable mais que voulez-vous que j’y fasse ?— Je me suis dit que comme il travaille dur pour obtenir cette promotion qu’il désire depuis des années, vous pourriez la lui accorder pour qu’il ait un peu moins de pression. — Cela pourrait être bénéfique pour lui, en effet. Cependant, je me dois de penser à mon entreprise et je ne suis pas sûr que Laurent soit totalement prêt à assumer un poste à responsabilités comme celui qu’il convoite. — Dans ce cas, nous pourrions conclure un marché...
Claire releva lentement sa robe jusqu’à ses seins, dévoilant au sexagénaire son sexe intégralement épilé. Malgré la bosse qui se formait dans son caleçon, celui-ci sembla imperméable à son numéro de charme.
— Je vous conseillerais de vous rhabiller, Madame. Si votre époux apprenait ce que vous essayez de faire, je ne donnerai pas cher de votre couple. — C’est justement pour mon couple que je le fais. Le marché est le suivant : je vous laisse me prendre et, en échange, vous donnerez le poste à mon mari. — Cela me semble tentant mais je n’accepterai qu’à une condition : personne ne devra jamais savoir ce que nous aurons fait. — Aucun problème, Monsieur.
À ces mots, le patron de son époux lui adressa un sourire concupiscent. Il l’allongea ensuite sur le sol du bureau et entreprit de lui prodiguer un cunnilingus qui la fit frémir d’excitation.
Soucieuse de donner des preuves de l’acte qu’elle était en train de commettre, Claire sortit son téléphone caché sous sa robe et prit discrètement un cliché de M.Richard en train de brouter son gazon pubien. Elle rangea tout aussi discrètement son téléphone là où elle l’avait pris et prit le parti de profiter de cet adultère consenti par son époux.
Les coups de langue de M.Richard sur son sexe eurent tôt fait de faire mouiller Claire qui se mit à onduler du bassin, montrant qu’elle en désirait davantage. Expérimenté, le sexagénaire détacha ses lèvres du calice de sa partenaire pour les remplacer par son sexe.
Se mouvant lentement en elle, M.Richard procurait un plaisir indicible à Claire qui en redemandait au fil des minutes. Sans succomber à ses provocations, le sexagénaire poursuivit son labeur avec la même puissante lenteur. Habituée à des coups plus violents de la part de ses partenaires, Claire continuait de supplier le patron de son époux d’y aller plus fort en se caressant frénétiquement les seins.
Satisfait de l’état dans lequel sa technique laissait la femme qu’il était en train de baiser, M.Richard la souleva de terre. Il la fit ensuite se pencher sur son bureau et s’enfonça violemment dans son arrière-train, lui arrachant un gémissement d’extase.
À grand renfort de puissants coups de reins et de claques coquines sur le postérieur de Claire, M.Richard sentit rapidement sa jouissance se rapprocher inexorablement. Il abandonna le fessier de sa partenaire et la fit assoir sur le bureau.
— Maintenant, vous allez me finir à la bouche, ma chère.
Sans piper mot, Claire se saisit de la verge du sexagénaire et la goba jusqu’à la garde, émettant de temps à autre un léger bruit de succion. Jugeant qu’elle n’allait pas assez vite dans la fellation qu’elle lui prodiguait, M.Richard attrapa le crâne de Claire et le secoua avec force de façon à lui imposer son rythme idéal.
Au bout de quelques instants de pipe sauvage, le sexagénaire déversa son sperme dans la bouche de Claire qui, en raison de la trop grande quantité, ne put tout avaler. De minces filets de liquide séminal s’écoulant de ses lèvres jusqu’à ses seins témoignaient de cet état de fait.
Redevenu un peu plus galant grâce à la jouissance qu’il venait de connaître, M.Richard tendit un mouchoir à Claire pour qu’elle puisse essuyer les traces de sperme qui demeuraient encore sur son visage et ses seins.
Entièrement essuyée, Claire revêtit sa robe. Juste avant de quitter le bureau de M.Richard, elle eut une idée.
— Au fait, je pense que mon mari saura bien vous remercier de la promotion que vous lui donnerez en vous invitant à dîner, vous et votre femme. — Pourquoi pas, Madame. S’il me le propose, ce sera avec plaisir. — Appelez-moi Claire. — Très bien, Claire. Bonne soirée à vous. — Bonne soirée à vous aussi.
Lorsqu’elle eut regagné sa voiture, Claire en profita pour envoyer le cliché qu’elle avait pris auparavant à sa soeur en y ajoutant le texte « 1-1 » en légende avant de reprendre la route jusque chez elle.
[ à suivre ]
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