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Échangisme entre soeurs

Chapitre 10

Orgie / Partouze
En cette nuit brumeuse de début décembre, Claire et son mari Laurent avaient mis les petits plats dans les grands pour accueillir les époux Richard et fêter la promotion de Laurent.
Comme le lui avait demandé sa mère, Jessica avait proposé à sa cousine Aline de se joindre à eux et celle-ci s’était empressée d’accepter son offre. Vers 19h, on sonna à la porte. Sachant que les Richard ne devaient arriver que trente minutes plus tard, Claire en déduisit qu’il s’agissait de sa nièce.
En entrant, Aline déposa son manteau et alla embrasser son oncle et sa tante ainsi que Jessica et ses deux cousins Marc et Axel. La jeune femme les aida ensuite à achever les préparatifs du dîner et la sonnette retentit pour la seconde fois de la soirée. Claire se hâta d’aller ouvrir pour accueillir Monsieur et Madame Richard.
— Bonsoir, Monsieur et Madame Richard ! Nous sommes enchantés de vous rencontrer enfin.— Nous de même, Madame Terrapon.
Claire invita les autres convives à saluer les nouveaux arrivants et fit les présentations.
— Voici mes fils Marc et Axel et ma fille Jessica. Permettez-moi aussi de vous présenter Aline qui est la meilleure amie de Jessica. Vous comprendrez que les jeunes s’ennuyant souvent autour de nos discussions, j’ai accordé mon autorisation à ma fille de faire venir une amie.
Lorsque Claire avait volontairement menti sur la nature du lien qui unissait Aline et les autres, aucun membre de la famille n’avait bronché, comprenant parfaitement le but d’une telle tromperie. Après avoir débarrassé les époux Richard de leurs manteaux, Claire invita les convives à prendre place autour de la table en attendant qu’elle leur serve l’entrée.
Dès que les olives et les biscuits salés furent déposés sur la table, Monsieur Richard, réputé pour son appétit, se mit à manger par énormes poignées, comme s’il ne s’était pas nourri depuis des semaines, obtenant au passage des remontrances de la part de son épouse.
— Laissez-le, Madame Richard. Ça nous fait toujours plaisir de voir que nos invités apprécient ce que nous préparons. En parlant d’invités, tu aimes bien les olives, Aline ? Elles viennent d’Andalousie. — Oui, Madame. Elles sont absolument exquises. — J’en suis ravie.
Laurent et ses enfants retinrent à grand-peine un fou rire devant l’absurdité d’un tel dialogue entre une tante et sa nièce mais, comprenant l’intérêt de cette comédie, ils parvinrent à rester discrets.
Grâce au gros appétit de Monsieur Richard, les olives et les biscuits salés disparurent comme des petits pains et Claire se leva de sa chaise pour aller chercher le plat principal. Lorsqu’elle revint avec une dinde, Monsieur Richard eut un sourire gourmand.
— Eh bien, Madame Terrapon ! On peut dire que vous nous gâtez avec autant de bonne cuisine !— Ce n’est pas tous les soirs qu’on fête une promotion.
Les convives mangèrent leur dinde avec entrain et lorsque tout le monde eut fini, Claire alla chercher les coupes de glace qui allaient servir de dessert. Leur gourmandise satisfaite, les convives débarrassèrent la table et aidèrent Claire à faire la vaisselle.
Tandis que son époux et les autres allaient se réchauffer auprès du feu qui crépitait dans la cheminée, Claire entraîna Madame Richard un peu à l’écart.
— Je vous ai vue un peu perdue pendant le dîner. Tout va bien ?— Oui, oui, Madame Terrapon. Tout va très bien, ne vous inquiétez pas. — Vous pouvez m’appeler Claire. — Très bien, Claire. Moi, mes amies m’appellent Chantal. — Vous savez, Chantal. Je sais reconnaître une femme en peine lorsque j’en vois une. Sans vouloir vous offenser, il m’a semblé que quelque chose vous chagrinait. — Ce n’est rien de grave, Claire. Vous savez, avec l’âge, on a tendance à avoir quelques complexes par rapport à la jeunesse. — Si vous voulez parler de beauté, l’âge n’est pas toujours un problème. J’ai la quarantaine passée et mon mari me dit tous les soirs à quel point il me trouve belle. Il va même parfois jusqu’à dire que je suis encore plus belle que le jour de notre première rencontre. — On peut dire que vous avez de la chance. J’ai beau savoir mon mari fidèle, je sais que je ne l’attire plus autant qu’auparavant. Ce que je peux comprendre, vu que j’ai la soixantaine passée.
Suite à cette déclaration, Claire éprouva de la peine pour sa nouvelle amie. En tant que femme, elle comprenait combien il était important pour Chantal de demeurer attirante aux yeux de son mari. Elle la regarda longuement de la tête aux pieds, cherchant à trouver ce qui pourrait aider Madame Richard à retenir l’attention de son époux.
Malgré son âge et les rides qu’il avait occasionnées sur le visage de Chantal, Claire la trouva plutôt séduisante en jetant un oeil expert sur sa taille encore bien marquée et sa poitrine généreuse quoiqu’un peu flasque.
— Je vous trouve un peu dure envers vous-même. Très honnêtement, je pense qu’un petit lifting au niveau de votre poitrine et de votre visage vous permettrait de paraître au moins dix ans de moins que votre âge réel. Il vous faudrait également adopter un look vestimentaire un peu plus moderne qui vous aille bien. Je suis persuadée que si vous appliquer ces conseils, vous deviendrez bien plus attirante que vous ne le paraissez. — C’est vraiment très gentil de votre part de me donner tous ces bons conseils mais je ne m’y connais pas beaucoup en mode. — Si c’est votre seule difficulté, je peux vous aider à la surmonter. — Vous êtes vraiment merveilleuse, Claire. Votre époux a vraiment beaucoup de chance de vous avoir près de lui. Si vous m’aidez, pas de problème, je veux bien tenter l’expérience. À mon âge, c’est le moment ou jamais.— Ravie que vous le preniez comme ça ! Si vous voulez bien me suivre, je vais dispenser votre première leçon.
Claire invita Madame Richard à la suivre dans sa chambre. Une fois entrées dans la pièce, Claire lui fit signe de se mettre en sous-vêtements pendant qu’elle irait chercher quelques produits cosmétiques. Lorsqu’elle revint avec les produits, Chantal se tenait en sous-vêtements devant elle, comme demandé. D’un oeil expert, Claire jaugea la lingerie de sa nouvelle amie.
— Tout d’abord, il vous faudra vous offrir un petit lifting au niveau de la poitrine et du visage. Ensuite, il serait judicieux que vous optiez pour une lingerie un peu plus dans l’ère du temps. Une fois le lifting réussi, appliquez de la crème anti-rides tous les jours sur votre visage. Ne vous inquiétez pas : je le fais tous les jours et ça fonctionne bien. Si vous mettez en oeuvre ce que je viens de vous conseiller, vous devriez obtenir quelque chose de ce genre-là.
Claire se dévêtit à son tour, se dévoilant en petite tenue à Madame Richard qui eut un sourire appréciatif en voyant les courbes de ses hanches encore bien marquées.
— Eh bien, on peut dire que votre idée fonctionne très bien. Je pense que je vais suivre vos conseils. — Il serait également bon que vous vous rendiez chez le coiffeur pour qu’il vous fasse une couleur de cheveux. Ainsi, vous paraîtrez encore plus jeune que vous ne l’êtes. — Ma foi, Claire, vous êtes vraiment une esthéticienne hors du commun. Pourriez-vous me dire où je peux me procurer les produits dont j’ai besoin ?
Tandis que Claire lui répondait, quelqu’un frappa à la porte de la chambre restée entrouverte. Il s’agissait de Laurent.
— Ah, vous êtes là ! On commençait à s’inquiéter ! À ce que je vois, ton appétit est resté insatiable. — Ce n’est pas ce que tu crois, mon chéri. Je donnais simplement quelques conseils de beauté à Madame Richard. — C’est plutôt réussi.
Son regard lubrique passa d’une femme à l’autre et ses lèvres s’étirèrent dans un sourire pervers.
— Et si on demandait aux autres ce qu’ils en pensent ?
Madame Richard afficha une mine décomposée mais fut rapidement rassurée par Claire.
— Ne vous inquiétez pas, Chantal. Tout se passera très bien. Laurent, va chercher les autres puisque tu es si désireux d’avoir leur avis.
Laurent s’exécuta sans discuter, ne dissimulant pas son excitation. Parvenu dans la salle de séjour, il expliqua au reste de la maisonnée la scène qu’il avait surprise entre les deux épouses. Les visages des hommes affichèrent un air ravi tandis que Jessica lançait un regard entendu à Aline. Comme un seul homme, ils se dirigèrent tous vers la chambre conjugale. Fermant la marche, Aline en profita pour envoyer un message à sa mère.
En entrant dans la pièce, ils virent avec plaisir que Claire et Madame Richard étaient allongées nues sur le lit, les jambes repliées et une main leur soutenant la tête.
— Ne soyez pas timides. Venez nous tenir compagnie.
Comprenant la signification implicite de ces paroles, Laurent et les autres se débarrassèrent de leurs vêtements et rejoignirent les deux épouses.
Tout en enlaçant Aline, Claire fit signe à Jessica d’aller chercher son portable afin de prendre un cliché de la scène qui se jouait. Les deux femmes s’allongèrent sur le sol en position soixante-neuf et se mirent à se lécher allègrement la moule.
Émoustillés par ce spectacle, Laurent et Monsieur Richard se joignirent à la partie. Tandis que l’employé et des fils s’appliquaient à procurer le plus grand plaisir à Madame Richard en pénétrant lentement ses orifices, l’employeur s’assit sur un fauteuil et invita Jessica à venir s’empaler sur son sexe.
Séduite par la vision de cet homme d’âge mûr en train de se masturber en contemplant son corps, sitôt après avoir pris un cliché du rapport incestueux entre sa mère et sa cousine, celle-ci s’agenouilla devant Monsieur Richard pour lui tailler une pipe.
— Hum... Oui, c’est bien, Jessica. Hum ! Tu suces vraiment bien !
Jessica recracha doucement le phallus de Monsieur Richard et le caressa en le regardant d’un air vicieux.
— Et vous n’avez encore rien vu.
Sur ces mots, Jessica referma sa main autour du sexe de l’homme mûr et l’enfonça d’elle-même dans son intimité pour s’empaler dessus. Tout à son aise dans ce genre de position, Monsieur Richard ne mit pas longtemps à s’accorder le luxe d’agripper les hanches de Jessica et de lui imposer un rythme au gré des abaissements et des soulèvements qu’il exécutait.
Devant tant d’expérience, Jessica n’eut de cesse d’en redemander. Elle souhaitait qu’il aille toujours plus vite et toujours plus fort en elle et Monsieur Richard ne manquait pas d’exaucer ses prières, la faisant gémir de plaisir.
De son côté, Madame Richard n’était pas en reste : agenouillée au sol, elle prodiguait une fellation à Laurent tout en masturbant les sexes de Marc et d’Axel.
Lorsque les trois hommes eurent leur compte, ils s’accordèrent pour infliger une triple pénétration à Madame Richard. Celle-ci, peu habituée à ce type de pratique, fut rapidement submergée par un puissant orgasme qui provoqua celui de Laurent et de ses fils.
L’un après l’autre, le père et ses fils recouvrirent de leur semence le visage, la bouche et la poitrine de leur partenaire. Toute contente, Madame Richard accepta même de les sucer à nouveau afin de leur nettoyer le sexe.
Alors que Monsieur Richard venait d’asperger de sperme le fessier de Jessica après l’avoir sodomisée, Claire et Aline se livraient toujours à leur ébat lesbien. Tandis que sa nièce lui léchait goulûment le minou, Claire gémissait tout en se caressant les seins. Les deux femmes mirent ensuite fin à leur rapport par un soixante-neuf qui les emporta dans la jouissance.
Lorsque tous les protagonistes se furent remis de leurs émotions et rhabillés, ils se promirent de remettre ça ces prochains jours et les époux Richard, accompagnant Aline, rentrèrent chez eux.
Profitant de la distraction de son époux et de ses fils, Claire décida qu’il était temps d’envoyer à Marie la preuve de son ébat avec Aline.
Malheureusement pour elle, l’écran de son portable affichait déjà un message de sa soeur : « 2-1. Maintenant, c’est au tour de ta petite soeur de s’amuser un peu. Rendez-vous chez moi demain à 13h.».
En voyant le cliché qui accompagnait le message, Claire dut se résoudre à s’avouer vaincue. Dépitée, elle alla se coucher en appréhendant amèrement le rendez-vous du lendemain.
[ à suivre ]
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