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Eclipse

Chapitre 2

SM / Fétichisme
1er SMSUne fois remise de mes émotions, je fais un peu le point. Déjà sur internet il avait réussi à me chauffer, et là lors de notre rendez vous, il m’avait mis le feu, sans même me toucher, j’avais même fini par apprécier de parler tout haut de ma sexualité, et le fait que les gens alentour entendent m’avait excitée. Je m’installais tranquillement sur mon lit, et me masturbais en repensant à notre rencontre. Je ne dois pas le contacter, pourtant, j’en ai follement envie. Et si ce n’était qu’un amusement pour lui ? Pour lui, je continuais à sortir sans sous-vêtements et je dois reconnaître que ce n’est pas désagréable, bien au contraire. Peu à peu, j’affrontais même des regards pour le moins équivoques. 72 heures s’écoulèrent sans nouvelles, l’avais-je déçu ? Le temps qui passait me semblait interminable et les questions tournaient dans ma tête. Je me rendis compte à quel point cette rencontre avait été importante pour moi. Il me manquait déjà. Le SMS qui arriva me remplit de joie, non je n’étais pas tombée dans les oubliettes, non il ne s’était pas amusé de moi à mes dépens, il était bien là. « Tiens toi prête pour demain, tu porteras le haut le plus transparent que tu aies et bien évidemment aucun sous- vêtement, je passe te prendre après tes cours. »Il a pensé à moi, je suis aux anges. La nuit est agitée, j’ai du mal à dormir. Un corsage transparent ? hm j’ai bien ça dans ma garde robe, mais quand même, à la fac, ça risque de ne pas le faire, que va-t-on me dire ? je n’ai pas envie de me faire virer non plus. Je me lève un peu plus tôt, je veux être impeccable pour ce rendez vous. Je parfais le rasage, de mes aisselles, de mon sexe. Je prends une douche et j’en profite pour me caresser en pensant à mon maître qui est en train de prendre le pouvoir sur moi. Une fois séchée, coiffée, je m’applique pour que mon maquillage soit parfait, ce qui avec une peau de rousse n’est pas une mince affaire. J’appuie trois fois sur le vaporisateur de mon parfum préféré. Je me trémousse pour enfiler ma jupe bleue, elle est hyper courte, et va super bien avec le haut blanc en voile que j’ai choisi. Je me regarde dans la glace et quelle horreur, on voit mes seins comme si je ne portais rien. Je ne peux pas aller à la fac ainsi ? Un moment de panique s’empare de moi. Mon cerveau bug, je ne sais pas comment me sortir de cette situation. Je regarde perplexe le miroir et tout d’un coup, je me sens nulle. J’ai envie de le revoir mais j’ai envie de désobéir. Je me rends compte de la difficulté d’être soumise, une vraie soumise je ne suis pas à la hauteur.Tout d’un coup, j’aperçois une veste, je vais la prendre, après tout, ainsi je n’ai pas le sentiment de désobéir.Il fait une chaleur à crever dans cet amphi, je regarde à droite et à gauche pour savoir si personne ne m’observe, et discrètement je retire ma veste.Merde, je n’avais pas pensé au fait que le prof est juste en face et que je suis dans les premiers rangs. Il continue son court, et je vois bien qu’il me regarde avec insistance. J’essaye de m’absorber dans le cours mais la tête n’y est pas vraiment. Mon portable meugle, c’est qu’un SMS est arrivé, évidemment, je suis rouge de honte, il est au fond de mon sac à main dans lequel je plonge pour tenter de le faire taire, le volume est à fond, le prof me regarde l’air franchement agacé, et reprend son cours. Je regarde le message qui me demande si j’ai bien suivi les instructions et à quelle heure finissent mes cours. J’essaye de répondre discrètement mais ce n’est pas évident quand on est si près du prof. Celui-ci semble désespéré de mon cas…Ouf la fin des cours arrive, je ramasse mes cours, prends ma veste et sors sans demander mon reste. Une copine essaye de me héler, mais je lui dis que je n’ai pas le temps, et je file à mon rendez vous. Il est là à m’attendre. Je l’ai tout de suite vu et mon cœur se met à battre la chamade, mon ventre se contracte et je sens monter en moi une vague de chaleur qui n’a rien à voir avec la température extérieure, je vais à sa rencontre. Arrivée à sa hauteur, il me fait : — Pourquoi cette veste ? Merde, je suis interdite, je ne sais quoi répondre et les larmes montent dans mes yeux, j’essaye de les essuyer sans foutre en l’air mon maquillage. Je baisse la tête et rouge de confusion je m’excuse. — Tu commences mal, tu vas devoir choisir ta punition, et n’oublies pas, tu commences ou termines tes phrases avec Monsieur, c’est compris ? Je hoche la tête en guise d’affirmation et murmure un oui monsieur du bout des lèvres,
Je le suis et nous montons dans une grosse berline luxueuse. Avant que j’entre, il me dit de remonter ma jupe et de m’assoir cul nu sur le siège, ce que je fais, je ne m’aperçois pas tout de suite que du coup, vu de l’extérieur, les gens ont une vue imprenable sur mon intimité, ce qui n’est pas sans me déplaire et même provoquer une excitation, en plus le contact du cuir est agréable. Je me demande bien ou il veut m’emmener mais j’ai confiance. — Alors ta punition, ce sera quoi ? — Je ne sais pas monsieur, je n’ai pas l’habitude— Alors c’est moi qui décide, tu recevras 20 coups de martinet et tu les compteras en me remerciant à chaque coup. La prochaine fois que j’ai à décider la punition sera doublée.Le ton est ferme, sans colère. Nous quittons la ville, et la peur me gagne, — Ou m’emmenez-vous monsieur ? — Tu verras, ne pose pas de questions (ce qui ne me rassure pas du tout)— Bien monsieurLe trajet n’est pas très long une fois passé les embouteillages pendant lesquels j’ai eu droit à un maximum de regards sans équivoques et d’insultes, nous arrivons dans un chemin qui mène à une belle maison bourgeoise — Ici tu es chez moi.— Bien monsieur, La demeure est grande et décorée avec beaucoup de goût. Je le suis sans broncher et en essayant de me faire la plus petite possible. Il ouvre la porte qui mène à une cave dans laquelle nous descendons. J’ai des papillons dans l’estomac. Je regarde éberluée la salle dans laquelle nous arrivons, la décoration, n’a rien à voir avec celle d’en haut, il y a des tas d’objets que je ne connais pas, mais qui ne sont pas là uniquement pour faire joli. — Déshabilles toi, ici tu n’as pas besoin de vêtementsJe me déshabille doucement, et une fois nue, je me présente à lui, avec une main cachant mon sexe, ce qui le fait rire. — Mets tes mains dans ton dos, c’est ainsi que tu dois te présenter à moi ainsi, compris ? — Oui monsieur,Il m’attrape par la pointe des seins, tire dessus sans ménagement, Aouch, la douleur est intense, je suis obligée de me courber telle une esclave sous la douleur pour que cela soit à peu près supportable. — Tu vas aller te placer là, il me montre un instrument que je ne connais pas, c’est en bois avec des trous, il place mes mains dans trous des extrémités, ma tête au milieu, je suis courbée en deux ce qui n’est pas très confortable, il m’écarte les jambes, je sens le contact froid des anneaux métalliques que j’ai vu au pied de cet engin, il les fermes avec des cadenas. Je ne sais pas trop que penser et n’ose pas ouvrir la bouche de peur de dire des conneries.— Tu vas recevoir ta punition, n’oublies pas de compter et de me remercier. J’ai les papillons dans l’estomac, je suis douillette et j’ai peur d’avoir mal. Attachée comme je le suis, je ne peux pas voir ce qui se passe dans mon dos, je l’entends s’affairer et c’est flippant et la position inconfortable. Je l’entends qui s’approche, j’attends le coup, va-t-il me battre fort ? je serre les dents, et ferme les yeux, comme si ça allait m’aider.Le premier coup tombe, je pousse un cri qui sort du cœur, la morsure des lanières me laboure la fesse et de surprise je me secoue dans mon pilori. — Et alors, gronde-t-il, tu ne veux pas compter ? sur ce, il me donne un autre coup au même endroit.— Je crie, UN, merci monsieur, La série continue, d’abord sur une fesse, qui me cuit intensément, puis sur l’autre. Chaque coup, me fait crier, mais je m’applique à compter et à remercier, les coups vont crescendo. Une fois la série terminée, il s’approche de moi, je m’imagine qu’il va me détacher, mais pas du tout, je le sens qui caresse mes fesses, me donne des petites claques dessus. — C’est bien, ta peau ne marque pas de trop, on va pouvoir s’amuser avec toi. — Oui monsieur, comme il vous plaira, Je comprends que je suis en train de réaliser ce que j’avais évoqué dans mon annonce, et j’ai envie de le mener à bien. Sa main s’aventure entre mes fesses, chatouille mon anus, puis descend petit à petit vers mes lèvres, il glisse son doigt, joue avec mon clitoris, s’insinue en moi doucement et fait un mouvement de va et vient. Je ne tarde pas à sentir mon plaisir monterHe mais dis donc, t’es une vraie salope de chienne, tu mouilles déjà !Je ne m’étais pas rendu compte, mais, le fait d’être immobilisée ainsi et ces coups cuisants m’ont excitée. Il continue ainsi son mouvement avec son doigt me faisant haleter de plus en plus fort, ( je suis du genre un peu bruyante ;) ) je sens le plaisir monter de mon bas ventre , et se répandre dans tout mon corps, au moment où j’allais jouir, il arrêta de me masturber, — S’il vous plaît monsieur, n’arrêtez pas imploré je, Je me prends une violente claque sur les seins, la douleur vive m’enlève un cri de douleur. Il me détache de ce carcan,— Petite chienne, ce n’est pas toi qui décide je vais t’éduquer comme il se doit,— Oui monsieur, tout ce que vous voudrez. — Mets-toi à quatre pattes comme une bonne chienne que tu es, tu vas me montrer ce que tu sais faireJ’obtempère avec plaisir, heureusement il y a un tapis qui m’épargne les genoux. Il se place face à moi, Timidement, j’avance mes mains pour dégrafer son pantalon, et là, je dois dire, que je n’avais jamais eu l’occasion de voir un mec aussi bien gaulé. Mais du coup, je me demande si je vais pouvoir engloutir en entier son sexe. Il enfourne sans ménagement son sexe dans ma bouche ce qui a pour effet de me faire reculer, puis, avec l’excitation qu’il a provoqué en me caressant, je l’englouti, je lèche son gland, je le fait rouler dans ma bouche, l’aspirant, le mordillant, ce qui a l’air de lui plaire.Tout d’un coup, je sens un jet puissant arriver dans le fond de ma gorge, je le regarde sans savoir ce qu’il convient de faire. — Eh bien, ne me regarde pas comme ça, me dit il rudement, avale chienne ! sur ce, il empoigne ma tignasse et tire dessus de sorte que ma tête est penchée en arrière. Je n’avais jamais eu cette expérience, en général mes partenaires jouissaient dans moi, j’avais un peu de peine à avaler, le goût salé n’est pas déplaisant et la consistance surprenante. La gifle que je prends règle le problème, du coup, j’avale tout rond sa semence.Je l’entends qui sort de la pièce, et j’en profite pour regarder plus attentivement la pièce. Tout ce qui est là n’inspire pas le salon de massage ;) j’avais envie d’une relation de soumission, me voilà de plein pied dans le monde su SM, serai-je à la hauteur ? Après tout, tout s’apprend alors pourquoi pas moi ? Je n’ose pas bouger de placeInutile de dire qu’une fois rentrée dans mon petit appart, je me mets en boucle dans ma tête la journée que j’ai passée. J’ai les fesses qui ont bien mémorisées les morsures des lanières qui les ont cinglées, et mon intimité est encore en feu et ma frustration de ce côté est a son maximum… Je me sens tout d’un coup désinhibée. Je n’avais pas envisagé le côté douleur dans la relation mais si ça fait partie du package, je prends, j’ai trop envie de continuer avec lui et de me surpasser.
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