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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 3 - À l'école des femmes

Chapitre 7

Quatrième leçon

SM / Fétichisme
Depuis la scène à laquelle elle avait assisté entre sa mère et son frère, Jessica ressentait une excitation quasi permanente à l’idée de se joindre à eux. À ses heures perdues, la jeune femme imaginait divers scénarios dans lesquels elle s’amusait avec Fabien, parfois seule, parfois en compagnie de Linda et, parfois encore, en compagnie d’Aleksandra. 
En cette journée grise de la fin septembre, Jessica put profiter d’un moment de répit laissé par ses études de médecine, ses professeurs étant exceptionnellement absents. Venant tout juste de se réveiller vers les neuf heures, la jeune femme ressentit à nouveau le besoin de se plonger dans son monde imaginaire avant de commencer sa journée. 
Ôtant son pyjama, elle finit par s’allonger sur son lit et baisser sa culotte à hauteur de ses genoux. Fermant les yeux, Jessica se concentra pour visualiser l’image de Linda sodomisant Fabien dans le jardin. Dès que ce tableau de base eut fini d’occuper pleinement son esprit, elle le modela jusqu’à en changer le lieu, remplaçant le jardin par sa chambre. Elle se vit ensuite debout, équipée de son gode-ceinture, son frère à genoux devant elle, attendant avec un mélange de crainte et d’excitation sa prochaine action. Tout en se caressant aussi lentement que possible, Jessica s’entendit glousser à la vue de la verge érigée de Fabien avant de lui ordonner d’ouvrir la bouche. Les mouvements de sa main sur sa fente s’accélérèrent tandis qu’elle s’imaginait faire aller et venir son engin dans la bouche de son cadet, ce dernier manquant de peu de s’étouffer par moments. Jessica vit Fabien haleter et gagner péniblement le lit sur lequel il finit par se positionner à quatre pattes. Le rejoignant tranquillement, la jeune femme se plaça derrière lui. Dès qu’elle eut visualisé le gode-ceinture pénétrant le rectum de son frère, Jessica fit entrer deux doigts dans son intimité et calqua leur rythme sur celui du sextoy. De manière aussi inattendue qu’inexplicable, Aleksandra apparut dans la pièce, portant elle aussi un gode-ceinture. En riant, les deux cousines s’amusèrent à sodomiser Fabien à tour de rôle. Jessica sentit quelque chose qu’elle compara à une décharge électrique parcourir son corps puis l’image disparut de son esprit tandis qu’elle poussait un long soupir.
Tout en s’habillant, Jessica décida d’ouvrir sa fenêtre afin d’aérer la pièce puis descendit vers la cuisine pour prendre son petit-déjeuner. En s’installant, elle vit Linda, occupée à lire un journal en savourant une tasse de café.
— Bonjour, maman.— Bonjour, ma chérie. Je vois que tu as bien profité de ta journée de congé pour te reposer.— Oui, je dois avouer que j’en avais bien besoin. Avec toutes ces révélations et ce que j’ai vu entre Fabien et toi, je n’arrivais pas vraiment à trouver le sommeil, ces derniers temps.— Tu es stressée à cause de ça ?— Non, je dirais plutôt excitée.— Je vois. Un peu de patience, Jessica.— Oui, maman. Au fait, j’ai une question.— Oui ?— Tu as dit qu’en participant à ce qu’il se passe entre Fabien et toi, j’allais m’entraîner pour mes examens du centre. Je me suis dit que ce serait une bonne idée de permettre à Aleksandra de s’entraîner, elle aussi, en l’invitant à se joindre à nous. Qu’est-ce que tu en dis ?— Pour le moment, je ne préfère pas. Moins il y aura de personnes au courant, mieux cela vaudra. Prends d’abord tes marques par rapport à ton frère. Ensuite, nous pourrons rediscuter de l’implication d’Aleksandra.— D’accord. Je comprends.— Et puisqu’on parle d’Aleksandra, il me semble que vous avez un cours au centre ce soir, non ?— Oui, c’est juste.— Et qu’est-ce que vous allez voir avec votre instructrice ?— Euh… D’après ce qu’elle nous a dit la dernière fois, on va jouer avec le cul de notre soumis. Par contre, je ne suis pas sûre de savoir ce qu’on va faire exactement.— Cela me semble plutôt évident, pourtant. — Comment ça ?
— Attends une seconde, je reviens.
Linda monta à l’étage puis en revint quelques minutes plus tard, un objet à la main. 
— Ça, c’est le gode-ceinture avec lequel j’ai enculé Fabien. Ils en ont sûrement plein au centre mais je pense qu’il serait bien vu de montrer sa motivation en prouvant qu’on investit dans ce qu’il faut. Étant donné que vous allez certainement sodomiser votre esclave pendant le cours, je te le prête pour ce soir.— C’est gentil, maman. Il est bien plus gros que je ne le pensais mais je n’en aurai pas besoin parce que j’ai moi aussi investi de mon côté.
Jessica monta à son tour à l’étage et en revint avec son gode-ceinture à la main. Linda lui adressa un regard mêlant surprise et fierté.
— Effectivement, avec un tel engin, tu n’as pas besoin que je te prête le mien. Très bon choix. D’où t’est venue cette idée ?— C’est plutôt une idée d’Aleksandra, en fait. Comme elle est encore plus impatiente que moi pour ce qui est des cours au centre, on a pensé que ce serait bien qu’on prenne un peu d’avance. On a donc profité d’un moment calme par rapport à nos études pour faire nos achats.— Eh bien, ta cousine et toi faites une sacrée paire.
Les deux femmes rirent de cette sortie puis chacune retourna à ses occupations jusqu’à l’heure du déjeuner. Jessica décida de profiter de l’après-midi pour réviser ses cours de l’université à la bibliothèque avant de se rendre au centre Laetitia Vaney. Avant de partir, elle promit à sa mère de lui raconter le déroulement du cours. Apaisée, Jessica put se concentrer sur ses leçons pendant près de deux heures et demie puis, voyant l’heure tourner, décida de s’arrêter dans ses révisions et de prendre le chemin du centre.
Comme à son habitude, la jeune femme échangea quelques mots avec la réceptionniste avant de gagner la salle de cours. En observant la disposition de la pièce, Jessica félicita intérieurement sa mère pour sa clairvoyance. Disposés sur une table placée dans un coin, douze godes-ceintures et douze fouets attendaient les apprenties. Constatant qu’elle était la première arrivée, la jeune femme en profita pour discuter avec Séverine, sans un regard pour l’homme qui se tenait silencieusement à ses côtés.
— Bonsoir, Séverine.— Bonsoir, Jessica. Comment ça va ?— Bien et toi ?— Très bien, merci.— J’aurais juste une question par rapport au cours de ce soir.— Bien sûr, demande seulement.— J’ai vu qu’on va certainement utiliser les outils qui sont disposés sur cette table. Est-ce qu’on peut utiliser les nôtres si on en a ?— Bien sûr, Jessica ! — Très bien. Dans ce cas, j’utiliserai mon propre gode-ceinture ce soir.
Les autres aspirantes finirent peu à peu par entrer dans la salle de cours. Jessica salua Aleksandra et lui communiqua l’échange qu’elle venait d’avoir avec l’instructrice. Aleksandra sourit à cette nouvelle. Séverine réclama le silence puis procéda à l’appel avant de débuter la leçon.
— Bonsoir, mesdemoiselles ! Ce soir, nous allons aborder le dernier thème qui nous occupe, à savoir le cul de notre soumis. Pour commencer, je vais vous présenter deux accessoires que les dominatrices affectionnent tout particulièrement.
L’instructrice se dirigea vers la table et y prit un sexe factice qu’elle montra à son auditoire.
— Ce que je vous montre à présent est, pour moi, l’une des plus belles inventions de l’être humain. Il s’agit d’un gode-ceinture. Comme vous le constatez, ce jouet a la forme d’une verge. Il a été spécialement conçu pour permettre aux femmes de sodomiser les hommes. Une fois équipées d’un engin comme celui-là, dites-vous bien que vous avez une queue entre les jambes. Une queue beaucoup plus grosse que celle de vos esclaves et qui ne se ramollit jamais. Vous pouvez le fixer à votre bas-ventre au moyen des sangles du harnais. Petite démonstration.
Séverine s’équipa de la verge factice en prenant soin de montrer la façon de serrer ou desserrer les sangles avant de l’ôter. L’instructrice déposa le sextoy sur la table puis revint avec un fouet.
— En ce qui concerne ce deuxième accessoire, nul besoin d’explication si ce n’est qu’il est très utile pour frapper vos soumis à n’importe quel endroit de leur corps. Personnellement, en tant que maîtresse, j’aime beaucoup m’en servir sur les fesses de mon esclave, d’où le fait que je l’aie gardé pour ce soir. Nouvelle démonstration.
D’un geste de la main, Séverine fit signe à l’homme de se placer à quatre pattes devant elle. Dès que celui-ci eut adopté la posture exigée, l’instructrice lui infligea un coup qui zébra son postérieur sur toute sa largeur. Le cri de douleur de l’esclave et la conséquence du coup qu’il venait de recevoir provoquèrent l’hilarité des douze aspirantes.
— Bien. Je pense que vous avez assez regardé. Un peu d’action, maintenant. Pour la suite du cours, vous allez vous mettre par groupe de deux. Vous vous équiperez ensuite chacune d’un gode-ceinture et d’un fouet. Évidemment, si vous avez pris votre propre matériel avec vous, vous pouvez l’utiliser sans aucun problème. Pour ce qui est de l’activité, l’une de vous enculera notre soumis aussi fort qu’elle le pourra pendant que l’autre le fouettera. Je tiens à préciser que les coups doivent être portés au niveau de son postérieur, au vu du fait que c’est la partie du corps qui nous occupe actuellement. Des questions ?
Devant l’absence de réaction de ses apprenties, Séverine les laissa appliquer ses instructions. 
— Parfait. À présent, quel groupe souhaite passer en premier ?
Aleksandra et Jessica se montrèrent les plus réactives. La première se positionna à proximité de l’homme, fouet à la main, tandis que la seconde s’accroupissait derrière ce dernier. Sitôt qu’elle eut entamé la pénétration, Jessica repensa à Linda et à la façon dont elle avait donné ses coups de reins à Fabien. Ce tableau ayant pris possession de ses pensées, la jeune femme enchaîna les allées et venues dans le fondement de l’esclave en y mettant toutes les forces dont elle disposait. Ponctués par les coups de fouet de sa cousine, les mouvements de Jessica finirent peu à peu, sous l’effet de la fatigue, par se faire de plus en plus lents jusqu’à s’arrêter complètement.  Les deux jeunes femmes échangèrent leurs positions. Prenant exemple sur Jessica, Aleksandra exécuta une série de puissants va-et-vient qui furent également agrémentés de claquements de fouet. Arrivée au bout de ses forces après plusieurs minutes, Aleksandra se retira du petit trou de l’homme puis les deux cousines cédèrent leur place au duo suivant. Après trois quarts d’heure, alors que toutes les aspirantes avaient pu s’essayer à la sodomie et au fouettage, Séverine signifia la fin du cours.
— Félicitations, mesdemoiselles ! Vous vous êtes très bien débrouillées avec vos fouets et vos godes. En ce qui me concerne, je n’ai plus rien à vous enseigner. Je vous laisserai donc vous entraîner en vue de vos examens qui auront lieu dans un mois. N’oubliez pas que vous avez la possibilité d’organiser vos séances d’entraînement en bookant un soumis de la liste qui vous sera prochainement envoyée par mail, avec les modalités des examens. Sur ce, bonne soirée et à bientôt.
Les douze aspirantes saluèrent leur instructrice puis, après avoir déposé les accessoires à l’endroit où elles les avaient pris, quittèrent la salle. Alors qu’elles allaient faire de même après avoir rangé leurs affaires, Aleksandra et Jessica furent retenues par Séverine.
— Avant que vous ne partiez, il y a une chose que j’aimerais vous dire.— Oui ?— J’ai parlé de ta demande de cours particuliers de la semaine dernière avec la directrice, Jessica. Je lui ai expliqué que je vous considérais comme mes meilleures aspirantes et que vous méritiez que je vous apprenne quelques petites choses en dehors du programme. Je n’ai pas eu à m’épancher longtemps pour la convaincre d’accepter. Et vous, de votre côté, est-ce que vous êtes partantes ?— Bien sûr, Séverine ! Avec plaisir.— Très bien. Nous reparlerons de tout cela plus en détail durant ces prochains jours. Bonne soirée.— Bonne soirée.
Sur le chemin du retour, les deux cousines ne purent cacher leur enthousiasme.
— On a la côte, toi et moi, Jess !— C’est vrai. Je ne m’attendais pas du tout à ce que Séverine nous annonce ça. Je me réjouis de voir ce qu’elle pourra encore nous apprendre.— Moi aussi. J’espère que ce sera de la même veine que le cours d’aujourd’hui. C’est plaisant de pénétrer au lieu d’être pénétrée.— Oui, j’avoue.
Aleksandra et Jessica finirent par se séparer en se promettant de se revoir aussi vite que possible. Arrivée chez elle, Jessica trouva Linda dans le salon. En la voyant entrer dans la pièce, celle-ci leva immédiatement les yeux du livre qu’elle était en train de lire.
— Alors, ma chérie ? Comment s’est passé ce cours ?— Pour faire simple, j’ai pu inaugurer mon nouveau jouet. On s’est amusées à enculer et fouetter notre soumis pendant le cours de ce soir. D’ailleurs, l’examen aura lieu dans un mois.— Parfait. Dans ce cas, il nous faut commencer au plus vite pour que tu sois bien préparée. Nous allons évidemment solliciter ton frère pour cela. Comme pour l’autre jour, je t’aviserai le moment venu.— D’accord. J’ai hâte d’y être.— Ne t’en fais pas, Jessica. Ton frère aura tout bientôt une belle surprise.
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