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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 3 - À l'école des femmes

Chapitre 10

Cours particulier chez Séverine

SM / Fétichisme
[SMS, Séverine]<Bonjour, Jessica ! Comme promis, je t’écris concernant les cours particuliers. Je te propose de commencer dès ce soir, chez moi, à vingt heures. Aleksandra m’a déjà confirmé sa participation. Donne-moi des nouvelles au plus tard dans l’après-midi afin que je puisse m’organiser au mieux. À bientôt.
Dans un premier temps, Jessica voulut répondre directement par l’affirmative à son instructrice mais, en songeant aux évènements récemment intervenus dans sa vie, la jeune femme eut une idée en tête. Pressant le pas sous le froid, elle se dirigea vers son domicile. À son arrivée, elle trouva Linda dans le salon, prise dans la lecture d’un magazine. La jeune femme s’assit sur un fauteuil, en face de sa mère, et cette dernière leva les yeux vers elle.
— Te voilà, ma chérie ! Tu es partie tôt, ce matin.— Oui, je me suis dit que j’avais plus de chances de voir papa pour ce qui est du contrat en allant assez tôt à son cabinet.— Je vois. Et il t’a donné le contrat ?— Oui.— Parfait.— Il y a aussi autre chose que je dois te dire.— Bien sûr. Je t’écoute.— Ce matin, j’ai reçu un message de mon instructrice pour les cours particuliers. Elle me propose de commencer ce soir, chez elle à vingt heures.— C’est super, ça ! Tu lui as déjà répondu ?— Non, pas encore. C’est précisément pour ça qu’il faut que je te parle.— D’accord. Il y a un souci ?— Non, pas du tout. J’ai juste eu une idée. Je pense que tu devrais m’accompagner ce soir. Comme ça, tu pourrais développer de nouvelles idées pour Fabien.— C’est une idée très tentante mais il faut bien qu’au moins l’une de nous s’occupe de ton frère.— Je pense qu’on peut se permettre de lui laisser une soirée de répit. — Très bien. Tu es sûre que ça ne gênera pas ton instructrice si je viens aussi ?— Non, je ne pense pas. Je vais quand même l’appeler pour en être sûre.— Oui, fais ça et dis-moi ce qu’elle t’aura répondu.— Ok, je m’y mets tout de suite. Et, si jamais, Aleksandra sera là aussi.— Eh bien, la soirée promet d’être intéressante.
Jessica prit congé de Linda et monta dans sa chambre. La jeune femme composa le numéro de Séverine et laissa sonner jusqu’à ce que celle-ci décrochât.  — Allô ?— Salut, Séverine. C’est Jessica.— Jessica ! Comment ça va ? Je suis ravie de t’entendre.— Ça va, merci. J’ai juste une question en ce qui concerne le cours de ce soir. J’ai beaucoup parlé de toi et des cours que tu dispenses au centre à ma mère. J’aimerais beaucoup qu’elle puisse venir avec moi ce soir. Est-ce que ça peut aller pour toi ?— Bien sûr ! Je serais ravie de la rencontrer.— Très bien. Dans ce cas, je lui dis qu’elle peut venir. À ce soir !— À ce soir !
Dès qu’elle eut mis fin à la communication, Jessica informa Linda de l’échange qu’elle venait d’avoir avec son instructrice. La mère de famille lui adressa un sourire ravi puis se replongea dans les pages de son magazine. Jessica monta à nouveau dans sa chambre puis consulta ses réseaux sociaux. N’y trouvant rien qui lui parût digne d’intérêt, la jeune femme regarda machinalement l’heure affichée sur son téléphone. Dix heures trente. Jessica prit le parti de se divertir en regardant une émission à la télévision. Quittant sa chambre, elle passa devant celle de Fabien. Curieusement, elle jeta un regard à l’intérieur. Vide. Surprise par ce constat, elle descendit vers le salon où se trouvait toujours sa mère.
— Maman ?— Oui, ma chérie ?— Tu sais où est Fabien ?— Je l’ai envoyé faire quelques courses. Il ne devrait pas tarder.  Jessica opina du chef et alluma le téléviseur. Zappant les chaînes l’une après l’autre, elle finit par tomber sur un documentaire retraçant des évènements historiques. Absorbée par le reportage, la jeune femme entendit vaguement la porte d’entrée de la maison s’ouvrir et se refermer. Après quelques minutes de visionnage, elle entendit Fabien manifester sa présence.  — J’ai fait les courses que vous m’avez demandées, Maîtresse Linda. Tout est rangé et le reste de l’argent se trouve sur votre table de nuit. — Très bien, mon petit. Je vais préparer le dîner.  Linda quitta le salon pour se diriger vers la cuisine. Jessica se replongea dans son documentaire tandis que Fabien regagnait silencieusement sa chambre. Le programme toucha à sa fin près d’une demi-heure plus tard. Après avoir fait défiler les chaînes sans trouver quoi que ce soit qui lui plût, la jeune femme décida de monter à l’étage. En passant, elle jeta à nouveau un regard dans la chambre de son frère. Ce dernier se trouvait allongé sur son lit, semblant perdu dans ses pensées. Ne sachant que faire en attendant que le repas fût prêt, elle finit par trouver une idée. La jeune femme frappa à la porte de Fabien et entra dans la pièce.
— Bonjour, frérot.— Bonjour, Maîtresse Jessica.— J’ai moi aussi un travail pour toi. Rejoins-moi dans ma chambre dans cinq minutes.— À vos ordres, Maîtresse Jessica.
Jessica gagna sa chambre et s’y dévêtit, ne conservant que ses sous-vêtements, puis s’assit sur son lit en attendant son frère. Celui-ci parut au terme du délai fixé. Une expression de surprise passa brièvement sur son visage à la vue de la tenue légère de la jeune femme.
— Me voilà, Maîtresse Jessica. Comment puis-je vous contenter ?— Ce soir, frérot, j’ai un évènement très important et j’ai un peu le trac. Je souhaite donc que tu me fasses un massage de tout le corps en commençant par la nuque.— Comme vous voudrez, Maîtresse Jessica.
Fabien s’assit derrière sa sœur et commença à faire jouer ses pouces sur sa nuque. La jeune femme apprécia ce contact et se laissa lentement aller à la sensation de bien-être qu’il lui procurait. Les mains de son frère parvinrent à ses épaules, à la fois douces et énergiques. Jessica le laissa faire quelques instants puis se coucha sur le dos, lui indiquant de lui masser le ventre. Fabien obtempéra et la jeune femme fut à nouveau gagnée par l’agréabilité de ses mains. Après quelques minutes, elle se retourna pour se retrouver à plat ventre. Son frère lui massa le dos et les jambes pour terminer sa tâche par les pieds.  — Y a-t-il autre chose que je puisse faire pour vous, Maîtresse Jessica ?— Avant de te répondre, il y a quelque chose que j’aimerais vérifier.
Jessica toucha le pantalon de Fabien, au niveau de l’entrejambe. Ce qu’elle constata la fit sourire. Le jeune homme rougit.  — Apparemment, tu as aimé la tâche que je t’ai confiée, frérot.— Pardonnez-moi, Maîtresse Jessica. Vous êtes très belle et le fait d’avoir la chance d’être aussi proche de vous… Il y a des choses que je ne peux pas contrôler.— Ne t’en fais pas, frérot. Tu m’as satisfaite. Considère que ce que je vais te demander est une récompense. Enlève ton pantalon et ton boxer.
Tandis que son frère s’exécutait, Jessica dégrafa son soutien-gorge, exposant sa poitrine aux yeux ébahis de Fabien.
— Mes seins ont l’air de te plaire, frérot.— Ils sont à l’image de tout le reste de votre corps, Maîtresse Jessica : magnifiques.— Ta queue a l’air pas mal non plus. Ça me change des soumis du centre. Maintenant, allonge-toi et laisse-toi faire.
Le jeune homme s’allongea et Jessica joua avec son sexe en le caressant d’un mouvement lent mais puissant. En se penchant vers son frère, elle finit par coincer habilement la verge de ce dernier dans le sillon de ses seins et initia une masturbation. Le rythme de ses allées et venues sur la hampe s’intensifia au fil des minutes. Au bord de la jouissance, Fabien contenait à grand-peine des râles de délectation. Décidant qu’il était temps d’en finir, Jessica accéléra autant qu’elle le put en utilisant ses lèvres en soutien de sa poitrine. À ce stade, son frère ne mit que quelques secondes à se répandre en abondance sur ses seins.  — Merci, Maîtresse Jessica.— C’est normal, frérot. Il faut bien récompenser un travail bien fait, de temps en temps. Maintenant, va voir si tu peux te rendre utile auprès de maman.— À vos ordres, Maîtresse Jessica.
Tandis que Fabien quittait la chambre, Jessica alla prendre une douche afin de se nettoyer de ses sécrétions. Une fois rhabillée, prise par la curiosité, la jeune femme descendit vers la cuisine. Le repas étant en train de cuire dans le four, elle en déduisit qu’il ne restait plus qu’à attendre. Ne voyant personne dans la cuisine, elle se dirigea vers le salon. Elle y trouva Linda qui avait repris la lecture de son magazine, à la différence près qu’elle avait désormais le visage de son fils entre ses cuisses. Jessica sourit en se disant que son frère ne manquait pas de travail.  Lorsque le dîner fut prêt, ils mangèrent tous les trois en silence, Sébastien ayant averti au préalable de son absence. D’un commun accord, Linda et Jessica décidèrent de passer l’après-midi à se reposer, laissant Fabien vaquer à ses occupations. En début de soirée, vers dix-neuf heures trente, les deux femmes quittèrent le domicile pour se rendre chez Séverine. Grâce au GPS du téléphone de Jessica, elles parvinrent rapidement à trouver leur destination. La maison de l’instructrice disposant d’une cour protégée par un portail automatique, Linda sonna à l’interphone. Lorsqu’elle eut annoncé leur présence, le portail s’ouvrit. Alors qu’elles venaient de parcourir quelques mètres dans la cour, Séverine vint à leur rencontre.
— Bonsoir, Jessica ! Tu as pu trouver facilement ?— Oui, sans problème.— Très bien. J’imagine que la personne qui t’accompagne est ta maman.— Oui.— Ravie de vous rencontrer, Madame. Je suis Séverine, l’instructrice de Jessica au centre Laetitia Vaney.— Moi de même, Séverine.  L’instructrice guida Jessica et Linda jusqu’à la porte de la maison puis leur fit signe de s’arrêter quelques instants.  — Ici, nous nous déplaçons toujours dans le plus simple appareil. Est-ce que cela pose un problème à l’une de vous ?— Non. — Non plus.— Dans ce cas, je vous laisse vous mettre à l’aise dans les chambres qui se trouvent juste en haut de l’escalier. Ensuite, rejoignez-moi dans la salle à manger qui se trouve juste à votre droite.
Se conformant aux instructions de Séverine, les deux femmes se dirigèrent vers les chambres et s’y dévêtirent en laissant vêtements et sous-vêtements sur les lits. Jessica et Linda gagnèrent ensuite la salle à manger. La décoration riche de la table et les couverts y disposés pour quatre personnes laissaient supposer qu’un dîner allait avoir lieu. Jessica remarqua également la présence d’une clochette à proximité de son instructrice et se demanda à quoi elle pouvait bien servir. Ses interrogations furent interrompues par une voix qui lui était plus que familière.
— Salut, cousine ! Tu en as mis du temps à arriver ! J’ai faim, moi.— Salut, Aleks ! Je suis à l’heure. C’est toi qui es en avance. — Oui, j’avais trop hâte. Ta mère est venue aussi ?— Oui, je me suis dit que ce serait une bonne idée qu’elle puisse voir comment on est formées au centre.— Je confirme, c’est une bonne idée. Contente de te voir, Linda.— Moi de même, Aleksandra.
Dès qu’elles eurent toutes pris place autour de la table, Séverine leur fit un bref discours de bienvenue puis fit tinter sa clochette. Deux hommes qui semblaient avoir l’âge de Jessica et Aleksandra entrèrent dans la pièce, entièrement nus. Tous deux imberbes et d’apparence soignée, Jessica les trouva plutôt attirants mais fut un peu déçue de constater que leurs sexes étaient emprisonnés dans des cages de chasteté. Cet état de fait l’empêchait de voir l’effet qu’elle pouvait produire sur eux.
— Vous nous avez sonnés, Maîtresse Séverine ?— Oui. Ted, va préparer les boissons. Will, occupe-toi de nous servir l’entrée.— À vos ordres, Maîtresse Séverine.
Les deux serviteurs sortirent de la pièce. Devant l’air interrogateur de ses aspirantes, l’instructrice jugea bon de leur donner quelques explications.
— Vous vous demandez sans doute pourquoi je vous ai demandé de vous déshabiller, tout à l’heure. Je vous ai demandé de le faire pour une raison toute simple : le but de la leçon de ce soir est de vous faire voir le côté psychologique de la domination. Jusqu’à aujourd’hui, je ne vous en ai montré que le côté physique. — Et en quoi nous faire manger nues nous aidera à comprendre ça ?— Vous avez certainement remarqué que mes serviteurs portent des cages de chasteté. L’objectif de ce que nous faisons maintenant est de faire en sorte d’attiser leur désir en nous montrant à eux dans toute notre nudité sans qu’ils puissent l’exprimer pour autant. Le fait de ne pas pouvoir montrer l’effet que nous leur faisons à cause des cages engendrent chez eux à la fois une frustration et un espoir que je les libère. Grâce à ces deux sentiments, il m’est possible de conditionner leurs comportements.— Je comprends mieux. Au fait, si ce n’est pas trop indiscret, comment est-ce que ces deux jeunes ont fini par être à ton service ?— Pour faire simple, Ted et Will n’ont pas toujours été des enfants de chœur. En raison des délits qu’ils commettaient dans leur adolescence, les allées et venues entre les foyers et les maisons d’arrêt se sont fait fréquents. Leurs parents se sont malheureusement retrouvés complètement impuissants face à cette situation, ce qui a causé la rupture de leurs liens avec eux. Peu avant qu’ils n’atteignent leur majorité, comme j’avais beaucoup entendu parler d’eux autour de moi, j’ai décidé de me rendre dans le foyer qui les accueillait pour leur faire une offre qu’ils ne pouvaient pas refuser. En échange de leur dévotion totale envers moi, je m’engageais à les loger et à les nourrir tout en leur donnant la possibilité de se former pour améliorer la qualité de leur vie. Malgré la carapace qu’ils se sont faite en raison de leur passé de délinquants, ils ont compris qu’accepter mon offre était la meilleure chose à faire pour eux.
Après ce court récit, l’admiration d’Aleksandra et Jessica pour leur instructrice monta encore d’un cran. Linda, quant à elle, fut agréablement surprise par l’histoire de Séverine.
— Eh bien, Séverine, vous devez avoir une sacrée autorité naturelle pour avoir réussi à faire de ces deux délinquants vos esclaves.— Tout le monde est corruptible, Madame. Il suffit juste de trouver la bonne monnaie d’échange. — Oui, vous avez raison. Appelez-moi seulement Linda, si ça joue pour vous.— Oui, sans problème, Linda.
Les deux jeunes hommes refirent leur apparition, chacun chargé d’un plateau. Le dénommé Will déposa des assiettes de salade devant les convives. Ted, quant à lui, s’occupa de leur servir des verres de vin. En servant Linda, ce dernier fit maladroitement sortir la boisson de son contenant. Une tâche rougeâtre se dessina sur la nappe, ce qui provoqua l’agacement de Séverine.
— Ted ! Tu n’as pas honte de m’embarrasser ainsi devant mes invitées ?— Excusez-moi, Maîtresse Séverine.— Excuse-toi autant que tu veux. On ne me met pas dans l’embarras impunément. Je vais réfléchir à ta punition pendant le repas.
Penaud, Ted baissa les yeux et quitta la pièce en compagnie de Will. Oubliant temporairement l’incident, les quatre femmes entamèrent leur repas en s’échangeant des banalités au sujet de leurs occupations en dehors des cours dispensés au centre. Lorsqu’elles eurent terminé leur entrée, Séverine fit à nouveau tinter sa clochette. Ted et Will se présentèrent immédiatement dans la salle à manger.
— Je vous laisse débarrasser, les garçons. Une fois que ce sera fait, Will, tu nous serviras le plat principal. Quant à toi, Ted, tu resteras en cuisine pour nous préparer le dessert.— À vos ordres, Maîtresse Séverine.
Les deux serviteurs retirèrent assiettes et couverts de la table puis disparurent à nouveau. Will revint quelques minutes plus tard avec le plat principal. Le jeune homme disposa soigneusement les assiettes devant chaque convive en prenant garde de ne pas faire couler la sauce sur la nappe. Sur ordre de Séverine, il remplit à nouveau de vin les verres des quatre femmes puis quitta la pièce. Elles savourèrent leur repas tout en reprenant leurs discussions. Après qu’elles eussent fini, Séverine rappela à nouveau Ted et Will pour qu’ils débarrassassent la table et leur apportassent le dessert. Ces derniers s’exécutèrent puis s’éclipsèrent. Gourmandes, les quatre convives ne mirent que peu de temps à avaler leur coupe de glace. Après un nouveau tintement de clochette, les deux serviteurs débarrassèrent la table puis revinrent aux côtés de Séverine, une fois leur tâche accomplie.
— Le repas a été très bon. Sa saveur m’a bien aidée à réfléchir à ta punition, Ted. Comme c’est son verre que tu as renversé, ce sera ma nouvelle amie Linda qui décidera de ton sort.— Tu en es sûre, Séverine ? Je ne voudrais pas que la punition soit trop dure ou trop indulgente à ton goût.— Ne t’en fais pas. Quoi que tu décides, je ne trouverai rien à redire.— Très bien. Dans ce cas, je compte à la fois punir Ted pour sa maladresse et récompenser Will pour la qualité de son service. Le vin que j’ai bu ce soir était délicieux. Pour que Ted prenne conscience du gâchis qu’il a causé, j’ai la punition parfaite pour lui. Quant à Will, j’aurais besoin que tu le libères de sa cage pendant quelque temps, Séverine.— Bien sûr.
L’instructrice s’absenta temporairement de la salle à manger puis revint, une clé à la main. Elle ôta la cage de chasteté de Will puis retourna s’assoir à la table. Après avoir demandé à Ted de s’allonger au sol, Linda s’empara de la bouteille de vin et en versa ce qu’il en restait sur son sexe. À califourchon sur le visage du serviteur, elle ordonna à celui-ci de lui prodiguer un cunnilingus. Séverine et ses aspirantes saluèrent l’originalité de Linda. Libéré de son entrave, Will eut rapidement une puissante érection. Sur un signe de Linda, le jeune homme s’approcha d’elle et vit sa verge engloutie par la mère de famille.  Excitées par la scène, Aleksandra et Jessica ne se privèrent pas de faire jouer leurs doigts sur leurs lèvres et clitoris. Plus maîtresse de ses émotions, Séverine se contenta d’observer le trio d’un air concupiscent. Linda accéléra le mouvement de ses lèvres sur la hampe de Will. Celui-ci retint à grand-peine des grognements d’aise mais la teinte qu’avait prise son visage démontrait clairement le plaisir qu’il éprouvait.
Sentant que le serviteur n’allait pas tarder à se répandre dans sa bouche, Linda mit un terme à sa fellation et termina son œuvre en le masturbant. Le jeune homme ne tint que quelques secondes avant d’envoyer plusieurs jets de sperme sur les seins et le cou de la mère de famille. Dès que Will fut totalement vidé, elle se releva, libérant Ted de sa tâche. Séverine referma à nouveau la cage de chasteté sur la verge de Will.  — Je dois dire que tu as eu une idée très originale et appropriée à la situation, Linda.— Merci, Séverine. Il m’arrive de me sentir inspirée. — Ça a été le cas, ce soir, on dirait. Sinon, comment as-tu trouvé le vin, Ted ?— Excellent, Maîtresse Séverine.— Tu comprends donc le gâchis que ta maladresse a causé ?— Oui, Maîtresse Séverine. Pardonnez-moi.— Fais attention, la prochaine fois.— Bon, il se fait tard. Je pense que nous devrions y aller.— Oui, je n’ai pas vu le temps passer. J’espère vous revoir bientôt, toutes les deux. Et toi aussi, Linda.— Moi aussi, Séverine.
Linda et les deux jeunes femmes remontèrent dans les chambres afin de se rhabiller puis prirent congé de Séverine en la remerciant pour la soirée et le repas. Après quelques minutes de route commune, Aleksandra se sépara de Linda et Jessica. Désormais seules, mère et fille échangèrent sur leurs impressions.
— Ton instructrice a l’air de vraiment s’y connaître dans l’art de la domination.— Elle n’est pas instructrice pour rien.— Je n’en doute pas une seconde. D’ailleurs, j’ai beaucoup aimé le concept du plus simple appareil. Nous devrions l’appliquer, nous aussi. Reste juste à convaincre ton père de se prêter au jeu.— Aucun souci. Si je lui dis que c’est pour mon entraînement, il n’y verra pas d’objections. — Dans ce cas, je te laisse t’occuper de ton père. De mon côté, je vais faire quelques achats pour notre prochain dîner en famille, chose qui ne s’est plus produite depuis un bon bout de temps.
Épuisées, les deux femmes s’endormirent rapidement. En repensant à l’échange qu’elle venait d’avoir avec sa mère, Jessica se dit qu’elle savait exactement comment opérer avec Sébastien pour qu’il acceptât leur projet mais elle se demanda aussi quelle aurait été la réaction de Linda si elle savait ce qu’il s’était passé entre eux.
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