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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 3 - À l'école des femmes

Chapitre 14

Adultère puni

Inceste
Après avoir occupé sa soirée à surfer sur Internet, Jessica alla se coucher dans les environs de vingt-deux heures trente. Alors qu’elle fermait les yeux, tentant de s’endormir, la jeune femme entendit des gémissements provenant de la chambre conjugale. En souriant intérieurement, elle se dit que le naturisme avait des effets sympathiques. Dans son sommeil, Jessica revécut les évènements qui s’étaient produits dans l’après-midi entre elle, Aleksandra et Fabien.
Elle se réveilla le lendemain matin vers neuf heures. En découvrant ses draps tâchés, elle fut mi- amusée mi – horrifiée. Elle mit la situation sur le compte du rêve qu’elle avait fait puis descendit en direction de la cuisine pour prendre son petit-déjeuner. Ne voyant qu’une seule tartine et une tasse de lait, Jessica comprit que les autres avaient déjà mangé. Affamée, elle avala sa collation en quelques minutes puis entreprit de faire le tour de la maison afin de trouver ses parents ou son frère.
Ne trouvant pas âme qui vive dans la propriété, Jessica remonta dans sa chambre en pensant à s’habiller afin d’aller à la bibliothèque pour réviser ses cours. Alors qu’elle enfilait une culotte et un soutien-gorge, la jeune femme entendit quelqu’un frapper trois fois à sa porte. En sursautant, elle découvrit Linda sur le pas de la porte. Le regard que lui lançait cette dernière ne la rassurait pas.
— Bonjour, maman !— Bonjour, Jessica. — Je pensais aller étudier ce matin. Où sont papa et Fabien ?— Tu vas rester ici pour la matinée car nous avons quelque chose à régler, toi et moi. J’ai demandé à ton père de quitter la maison, en tout cas pour la matinée. J’en ai également profité pour donner sa journée à ton frère.— Bon, d’accord. De quoi est-ce qu’il faut qu’on parle ?— Allons dans le salon. Nous y serons plus à l’aise.
Linda et Jessica descendirent vers le salon puis s’assirent l’une en face de l’autre. La jeune femme tenta de soutenir le regard de sa mère mais la colère qu’elle y lisait la mit mal à l’aise et elle détourna les yeux.
— Je n’irai pas par quatre chemins : je sais ce qu’il s’est passé entre ton père et toi.— Comment ça ?— Ne fais pas l’innocente avec moi, jeune fille. Tu as été très habile pour me cacher la vérité mais ton père s’est révélé beaucoup plus maladroit. Alors que nous passions un moment d’intimité, chose qui n’était plus arrivée depuis longtemps, il a soudainement prononcé ton nom. Cela ne m’a pas échappé et je lui ai demandé des explications. Il m’a raconté vos entrevues. Je ne sais pas si je pourrai lui pardonner mais je veux entendre ta version, maintenant.— N’en veux pas à papa. C’est de ma faute. Je lui ai dit que je voulais une relation autre que celles que je peux nouer au centre avec les hommes. Je l’ai convaincu en disant que ce que tu faisais avec Fabien était aussi de la tromperie. — Je vois. Et tu n’as pas pensé un seul instant que ton frère aurait pu te donner cela ?— Mais il s’agit de notre soumis. Cela aurait été contreproductif de le laisser me prendre, même si, en tant que maîtresse, je peux lui donner les ordres que je veux.— Tu n’as pas pensé non plus au mal que ça me ferait de vous savoir, toi et ton père, en train de batifoler dans mon dos ?— J’y ai pensé mais je me suis dit que tu comprendrais.— Oui, je comprends que tu m’as volé mon mari. — Je suis désolée, maman.

Honteuse, Jessica se prit la tête dans les mains, au bord des sanglots. Linda parut attendrie par cet état d’âme.
— Malgré ma colère, je dois reconnaître que tu as eu le bon sens de choisir un homme avec lequel il ne pouvait rien t’arriver de fâcheux. Par conséquent, je veux bien composer avec ce nouvel élément. Je suis même disposée à vous laisser continuer, mais seulement avec mon autorisation. Cependant, il va falloir que tu te fasses pardonner ta sournoiserie, Jessica.— Comment ?— Tu vas devenir mon esclave, au même titre que ton frère.— Mais maman, je ne peux pas : je n’aurais plus aucune prérogative sur Fabien si je deviens ta soumise.— Ne t’en fais pas pour cela. Même en étant ma soumise, tu conserveras tes droits sur ton frère et je te laisserai de temps en temps t’occuper de la libido de ton père. Alors, prête à m’obéir, ma petite ?— Oui, Maîtresse Linda. Je suis à vos ordres.— Parfait. Pour commencer, mets-toi à quatre pattes sur le canapé.
La jeune femme adopta la posture exigée par sa mère. Linda fit glisser sa main sur le dos de Jessica en s’attardant dans la raie de ses fesses. Surprise, elle sentit un premier coup s’abattre sur elle. Son sursaut amusa la mère de famille qui lui donna une deuxième claque sur le postérieur, puis une troisième. Linda n’arrêta ses fessées que lorsqu’elle vit le cul de sa fille virer au rouge.
— Je n’en ai pas encore fini avec toi. Je reviens dans un instant. En attendant, mets-toi par terre, à quatre pattes.
Jessica se positionna comme Linda le lui avait demandé tandis que cette dernière quittait temporairement le salon pour se diriger vers l’étage. Quelque temps plus tard, en tournant la tête, la jeune femme vit sa mère revenir, équipée de son gode-ceinture. Sans prononcer un mot, Linda s’agenouilla derrière sa fille et s’enfonça d’un coup sec entre ses globes jumeaux. La violence de la pénétration faillit arracher un cri de douleur à Jessica qui parvint à le réprimer en se mordant la lèvre. De son côté, la mère de famille entama une série de puissants va-et-vient, les mains sur les fesses de la jeune femme.
— On dirait que vous aimez tous les deux ça, ton frère et toi, vous prendre des queues dans le cul…— Oui, Maîtresse Linda, j’aime votre queue. Baisez-moi s’il Vous plaît.— Ne t’en fais pas, ma petite : c’est bien ce que je compte faire.
Linda continua de pilonner Jessica pendant quelques instants puis décida de changer de position. S’asseyant sur l’un des fauteuils, elle fit signe à sa fille de venir s’empaler sur son engin. La jeune femme obtempéra. Dès que sa verge factice eut été totalement engloutie par les chairs intimes de Jessica, Linda saisit celle-ci par les hanches afin de donner le rythme de son mouvement d’ascenseur. Les deux femmes purent tenir cette position pendant quelques minutes, jusqu’à être épuisées.
Tandis que Jessica se remettait progressivement de ses coups de butoir, Linda ôta son gode-ceinture et constata que son intimité suintait de cyprine. Cet état de fait la poussa à faire durer un peu plus le supplice de sa fille.
— Je me suis bien défoulée, ma petite, mais nous n’avons pas encore tout à fait terminé. Notre séance m’a complètement trempée. Je compte sur toi pour m’essuyer au mieux.— Comme Vous voudrez, Maîtresse Linda.
Jessica s’agenouilla aux pieds de sa mère puis plaça son visage entre ses cuisses, lui prodiguant un cunnilingus. La cyprine, abondante, remplit sa bouche, ne lui laissant d’autre choix que d’avaler. La jeune femme fi jouer sa langue aussi habilement que possible sur les lèvres et le clitoris de Linda jusqu’à ce que cette dernière mît fin à la prestation.
— Bon, tu es pardonnée pour ce qu’il s’est passé entre ton père et toi. Attention cependant à ne pas me jouer de sales tours, auquel cas tu auras droit à bien pire que ce que je viens de te faire subir.— Comptez sur moi, Maîtresse Linda. Je n’aurai plus de rapports sexuels avec Votre mari sans Votre accord.— Bien. Je te rappelle que tu disposes toujours de tes droits sur ton frère. En ce qui le concerne, tu peux en faire ce que tu veux. Pas besoin de mon autorisation.— D’accord, Maîtresse Linda.— Parfait. Je vais informer ton père des changements décidés lors de cette entrevue. En attendant, occupe-toi comme bon te semble jusqu’à l’heure du dîner.— Bien, Maîtresse Linda.
Jessica remonta vers sa chambre et décida de se rhabiller pour aller étudier, comme elle l’avait initialement prévu, se disant que ça allait l’aider à se remettre de ses émotions de la matinée.
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