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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 3 - À l'école des femmes

Chapitre 18

L'initiation de Kamil : première partie

Inceste
Lorsqu’ils arrivèrent à leur domicile, Fabien, Aleksandra, Alice et Justine se dévêtirent intégralement, comme il était d’usage depuis quelque temps. Tandis qu’Aleksandra et Alice partaient se rafraîchir, Justine s’adressa à Fabien.
— J’ai une mission pour toi, Fabien.— Quelle est-elle, Maîtresse Justine ?— Kamil se montre beaucoup moins réceptif que toi à la cause défendue par le centre Laetitia Vaney, ce qui péjore les occasions d’Aleksandra pour s’entraîner avant son examen. J’aimerais que tu le convainques de changer d’opinion. Si tu y parviens, tu seras récompensé. — Bien, Maîtresse Justine. Je vais faire de mon mieux pour m’acquitter de la tâche que Vous m’avez confiée.— Parfait.
Justine guida son neveu à travers un escalier menant à l’étage. Après avoir fait quelques pas sur sa gauche, elle frappa à une porte et l’ouvrit.  — Bonjour, mon chéri. Nous sommes rentrées.— Bonjour, maman. — J’ai une surprise pour toi. Ton cousin va s’installer chez nous pendant quelque temps.— Super. — Je savais que ça te ferait plaisir. Bon, je vous laisse. Si jamais vous avez besoin de quelque chose, je serai en bas.
Tandis que sa tante s’éclipsait, Fabien s’installa sur un coin du lit, à côté de Kamil. Celui-ci lui parut suspicieux quant à sa venue.  — Alors, cousin ? Qu’est-ce qui t’a décidé à venir t’installer ici ?— Oh tu sais… Avec mon père qui est quasiment toujours absent à cause de ses réunions et autres rendez-vous, je me sens un peu seul à la maison avec ma mère et ma sœur. — Je vois. On est deux, dans ce cas. Content que tu sois là. — Moi aussi, je suis content de te voir, Kamil. Ça me fait quelqu’un avec qui parler. — De quoi tu veux parler ?— Disons que je suis un peu préoccupé par ce fameux programme spécial que le centre compte organiser. Je sais juste que je n’aurai pas à jouer les esclaves pendant les cours. Comme j’ai entendu dire par Jessica que tu étais dans le même cas que moi, je me demandais si tu avais une idée de ce qui pouvait nous attendre lors de ce programme.— Personnellement, je pense qu’on va sûrement bien morfler, d’où le fait qu’on a été économisés jusqu’ici.
— Tu as sûrement raison. D’un autre côté, je me dis que, puisqu’on va prendre cher, autant s’y préparer, non ?— Qu’est-ce que tu entends par là ?— Je me suis moi-même interrogé pour savoir quelle était la meilleure stratégie à adopter. Est-ce que je profitais au maximum du repos qu’on m’a laissé ou est-ce que je me mets déjà en condition ?— Et à quelle conclusion es-tu parvenu ?— Pour être honnête avec toi, je me suis dit qu’il valait mieux pour moi trouver une maîtresse afin de prendre l’habitude avant le jour J. — Ça me surprend, venant de toi, mais c’est un raisonnement qui se tient. Et tu l’as trouvé, ta maîtresse ?— J’en ai même trouvé plusieurs.— Plusieurs ?! Comment t’as fait ?— En fait, je me suis dit que ça n’allait pas durer éternellement et que je pouvais faire quelque chose pour aider ma sœur avec ses cours du centre. Du coup, je suis allé voir ma mère pour lui parler de ce que je ressentais et…— Elle est devenue l’une des tes maîtresses, c’est ça ?— Oui.— Je vois. Ça reste en famille.— Oui, et, par la suite, ma mère a jugé bon de faire profiter d’autres femmes de mes dispositions. Il y a donc eu ma sœur, la tienne, et tes mères. — Whaou ! Toutes les femmes de la famille. Je comprends mieux maintenant ce qui t’a amené à t’installer ici. Et, du coup, tu penses toujours que ta stratégie est la bonne pour affronter ce fameux programme spécial qu’on nous réserve ?— J’en suis convaincu. Si tu veux, on peut faire un pari : toi, tu continues à te reposer et moi, je continue comme je le fais maintenant et on verra lequel de nous deux encaissera le mieux ce qu’il va nous arriver.— C’est une idée tentante mais… Tu as vraiment « pris l’habitude », comme tu dis ?— Je pense que oui.— Hum… Finalement, peut-être que tu as raison. Je devrais me préparer au programme mais… Je… Je ne sais pas trop comment m’y prendre pour m’initier.— C’est plutôt simple : va voir Alice ou Justine et dis-leur qu’après avoir discuté avec moi, tu as été convaincu que le meilleur moyen d’aider Aleksandra est de devenir, pendant quelque temps, leur soumis. — Et c’est tout ?— Oui, je pense.— Dans ce cas, je vais faire comme toi, cousin.
Kamil sortit de la chambre et descendit les escaliers menant à la cuisine, laissant Fabien l’attendre. Allongé sur le lit, celui-ci entendit des voix provenant de l’étage du dessous mais ne parvint pas à en distinguer les mots prononcés. La conversation, inintelligible, sembla durer plusieurs minutes puis Fabien entendit des bruits de pas dans l’escalier. En tournant la tête vers la porte, il fut surpris de voir Alice et Justine dans l’embrasure.  — Félicitations, Fabien ! Tu as rempli ta mission avec succès. Comme je te l’ai promis, tu seras récompensé. Va voir Aleksandra dans sa chambre. Elle t’expliquera ce qu’il en est.— Bien, Maîtresse Justine. Merci.
  Fabien sortit à son tour de la chambre et se rendit au lieu indiqué par sa tante. Après avoir frappé à la porte, le jeune homme poussa la porte. Allongée sur son lit, Aleksandra se redressa en le voyant entrer.  — Permets-moi de te féliciter à mon tour, cousin. Grâce à toi, j’aurai un soumis à portée de main pour préparer mon examen. — Vous m’en voyez ravi, Maîtresse Aleksandra. — Pour quelques instants, tu n’auras plus besoin de m’appeler comme ça. Ce qui nous amène à ta récompense…
La jeune femme s’avança vers lui et noua ses bras autour de son cou. Ses mains descendirent sur ses épaules puis parcoururent ses hanches pour finir par jouer avec son sexe. Ce contact provoqua une sensation mitigée à Fabien, ce que sembla remarquer Aleksandra.
— Tu l’auras compris, Fabien. Pour un temps, tu vas être mon amant au lieu de mon esclave. Si cela te gêne, dis-toi simplement que nous ne sommes cousins que sur le papier. — Je… je ne suis pas gêné. C’est juste que je ne m’attendais pas à ça.— Détends-toi, Fabien. Traite-moi comme tu traiterais ta petite amie. — Si c’est ce que tu veux…
Le jeune homme caressa le visage d’Aleksandra puis ses mains descendirent le long de son cou, jusqu’à ses épaules, avant de malaxer tendrement ses seins. Fabien et sa cousine échangèrent un baiser court mais ardent de désir. Il finit par la soulever de terre et la déposer doucement sur le lit. Après l’avoir rejointe, Fabien glissa son visage entre les cuisses d’Aleksandra et fit jouer sa langue sur son sexe, en prenant bien soin d’en agacer le clitoris. La jeune femme exprima son contentement par de longs râles. Il poursuivit son œuvre durant quelques instants puis décida qu’il était temps de passer au plat de résistance. Lorsqu’il voulut la pénétrer, Fabien fut surpris par un gloussement de cousine.

— Ne sois pas si pressé, Fabien. Tu t’es déjà bien occupé de ma chatte et tu auras encore l’occasion de le faire, mais ta queue mérite aussi qu’on la cajole un peu.
Agréablement surpris par cette tournure, Fabien s’allongea sur le dos, permettant à Aleksandra de prendre son sexe en main et d’y faire lentement coulisser ses lèvres. Savourant l’agréable sensation procurée par la bouche de la jeune femme, il ferma les yeux et se laissa aller à quelques encouragements à son égard.  — Tu as l’air conquis par mes talents de suceuse, cousin.— Oh oui, Aleks ! Tu me fais un bien fou ! Continue encore un peu, s’il te plaît.— Puisque c’est si gentiment demandé…
Aleksandra accéléra le mouvement de ses lèvres sur la verge de Fabien en lui massant les testicules. Au bout de quelques secondes, elle décida qu’il était temps de mettre fin aux préliminaires. Chevauchant son cousin, elle introduisit en elle l’engin de ce dernier puis, une fois bien empalée dessus, entama un mouvement d’ascenseur, aidée par Fabien qui lui tenait les fesses.  Les deux amants conservèrent cette position et ce rythme pendant quelques minutes puis, pour des raisons de commodité, décidèrent d’en changer. Aleksandra se mit à quatre pattes sur le lit tandis que Fabien s’agenouillait derrière elle. Le jeune homme s’enfonça à nouveau dans les chairs intimes de sa cousine puis lui donna de puissants coups de reins. Entre deux gémissements, Aleksandra parvint à nouveau à surprendre son cousin.
— N’y va pas trop fort, Fabien : tu pourrais te vider trop tôt. D’autant plus qu’il y a encore un endroit de mon corps qui aimerait beaucoup recevoir la visite de ta superbe queue.— Eh bien, je ne m’attendais pas à ça…
Fabien se retira de l’intimité de la jeune femme pour forcer l’entrée de son postérieur. De crainte de lui faire mal, le jeune homme s’enfonça lentement, guettant une réaction d’Aleksandra. Ne constatant aucun signe de douleur, il poursuivit sa progression jusqu’à ce que son sexe fût complètement aspiré par le petit trou de sa cousine, puis donna ses premiers coups de reins. D’abord lents, ceux-ci se firent de plus en plus rapides et puissants, ce qui plut à Aleksandra qui manifesta son plaisir par des gémissement plus qu’explicites.
À cette allure, il ne fallut qu’une poignée de minutes à Fabien pour sentir qu’il allait jouir sous peu. Il prévint sa cousine qui l’incita à se retirer avant de s’allonger sur le dos. Une fois Aleksandra en position, il se caressa quelques secondes puis plusieurs jets de sperme maculèrent la poitrine de la jeune femme.
Aleksandra se saisit d’un paquet de Kleenex pour se nettoyer.  — On peut dire que tu es polyvalent, cousin. Tu es à la fois un bon esclave et un bon aimant.— Je suppose que c’est ce dont ont besoin les femmes. Un esclave ou un amant selon leur humeur. — Tu comprends vite, toi. Bon, sur ce, si nous allions voir ce que font mon frère et mes deux mères ?— Comme Vous voulez, Maîtresse Aleksandra.
Aleksandra et Fabien sortirent de la chambre et descendirent les escaliers en direction du salon. En parvenant à l’entrée de la pièce, les deux jeunes gens assistèrent à une scène qui était familière au jeune homme : positionné à quatre pattes sur le sol, Kamil était pris en sandwich entre Alice et Justine, toutes deux entièrement dénudées et équipées de leurs godes-ceintures. La première baisait sa bouche tandis que la seconde le sodomisait puissamment.
— On dirait que mes mères m’ont déjà bien préparé le terrain. Je sens que je vais pouvoir me faire plaisir quand elles me laisseront prendre mon frère. — Maîtresse Alice et Maîtresse Justine sont d’excellentes initiatrices. Je ne doute pas que Vous puissiez rapidement montrer l’étendue de Vos talents à Votre frère, Maîtresse Aleksandra.— Merci pour ces pensées positives, Fabien. Maintenant, profite du temps que je te laisse à disposition pour te reposer. Tu pourrais être rapidement sollicité à nouveau.— Comme Vous voudrez, Maîtresse Aleksandra.
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