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L'école de journalisme, découverte d'un monde merveilleux

Chapitre 1

Erotique
7h30, le réveil sonne, et c’est parti pour ma première journée à la fac. À vrai dire, j’étais déjà réveillé avant l’heure. Ce n’est pas tous les jours qu’on entre dans les études supérieures. Moi, c’est Valentin, 18 ans, fraîchement diplômé d’un bac économique avec mention. Physiquement, je suis assez grand, de carrure moyenne et avec une grosse tignasse brune. Je ne fais pas beaucoup de sport, mais la pratique assez régulière de volley me permet d’avoir des muscles sculptés, sans pour autant être très imposant. Du côté du caractère, je suis assez réservé, même si j’aime faire rire les gens une fois que je les connais assez.
Bref, je sors du lit, je prends ma douche et je m’habille assez bien : petite chemise discrète, pantalon ajusté, et paire de baskets blanches. Il s’agit de faire bonne impression auprès de mes nouveaux camarades de promo. En effet, j’entre en école de journalisme, alors que tous mes amis sont partis dans des filières différentes. Il va falloir rencontrer des nouvelles personnes, et même si ce n’est pas vraiment dans ma nature, l’idée d’intégrer un nouveau cercle social me plaît particulièrement. Je mange en vitesse, et je me dirige à l’arrêt de bus.
La journée s’annonce assez chaude, mais l’air du matin est très agréable. J’ai bien fait de ne pas prendre de veste. Tout comme la fille que je vois passer sur son scooter rouge devant moi. Je m’attarde assez longuement sur sa tenue : elle porte une robe légère, blanche à pois bleus, légèrement décolletée, et qui se soulève sous l’effet du vent. On peut apercevoir ses jambes dorées parfaitement épilées, mais pas encore ses sous-vêtements. Dommage, me dis-je alors qu’elle file au loin, sa chevelure blonde battant au vent sous son casque, et laissant derrière elle une traînée ondulante. La journée commence bien.
Le bus arrive, m’interrompant dans ma contemplation. Je monte dans celui-ci, et me laisse porter jusqu’à l’entrée du campus. Une nuée d’élèves converge de toutes les directions, chacun se frayant un chemin vers une nouvelle année prometteuse. Je me dirige vers ma toute nouvelle école de journalisme, en laissant mon regard se promener sur les différentes tenues légères arborées par les filles. Je n’ai jamais été un grand séducteur, et après 2 mois passés dans ma chambre et mon jardin à lire et à jouer aux jeux vidéo, la vue de toutes ces tenues légères mettant en valeur des filles toutes plus belles les unes que les autres m’émoustille particulièrement. Perdu dans mes pensées, je ne regarde pas devant moi et je percute un grand blond qui se dirigeait vers l’entrée de l’école.
— Désolé, je regardais ailleurs.— Pas de soucis mon gars, c’est vrai que la vue est belle, me répond le type.
Il a clairement cramé mes regards indiscrets, mais il semble plutôt s’en amuser. J’échange avec un sourire avec lui :
— Salut mec, moi c’est Jonathan, me dit-il en me tendant la main.— Valentin, enchanté, je lui réponds en lui serrant la main.— Je vais entrer en première année, et toi ?— Pareil !
Et voilà comment je me suis fait mon premier allié pour la suite de l’année. Un point commun nous unissait : on aimait regarder les jolies filles. Bon, ce n’est clairement pas très glorieux, mais c’était les fondations d’une solide amitié.
On passe donc tous les deux l’entrée de l’école, et on se dirige vers la salle polyvalente où se déroule l’accueil des premières années. On échange un peu sur nos vies respectives. Jonathan est fan de jeux vidéos comme moi, mais lui préfère le rugby au volley. J’aurais pu m’en douter au vu de sa carrure. En fait, Jonathan est un sacré beau gosse, mais pour autant il n’est pas prétentieux pour un sou. Je me dis qu’avec lui ça ne devrait pas être trop compliqué de rencontrer des gens, des garçons, et surtout des filles. Avant d’entrer dans la salle polyvalente d’où émerge un sacré brouhaha, j’observe sur le parking de l’école la présence d’un scooter rouge.
On entre tous les deux dans la salle polyvalente, et on se place dos à un mur, de façon à avoir une vue panoramique sur la pièce, et ainsi observer notre promo dans sa globalité. On est à peu près 200 dans la salle. Je remarque qu’il y a une majorité de filles ; à peu près 70% de la promo est féminine. Pendant que mon regard se balade sur les visages et les hanches de mes nouvelles camarades de classe, le directeur de l’école prend la parole. Il nous annonce donc le programme de la rentrée. Le premier jour, nous allons être répartis en différentes classes d’une trentaine d’élèves, et des profs, nous présenterons l’établissement et le cursus. Ensuite, on irait passer 3 jours dans un camping dans le sud de la France pour participer au WEI (Week-End d’Intégration). Le WEI était organisé par les troisièmes années, mais avec le soutien financier de l’école. D’après le directeur, il était important que les élèves de l’école soient soudés afin de s’aider dans les moments difficiles.
Cette annonce s’accompagna de vivats et d’applaudissements des élèves, enchantés par le programme des jours à venir. Moi-même pris dans l’engouement de la foule, je me surpris à applaudir à tout rompre.
Une fois le discours inaugural, les élèves se dirigèrent vers la sortie, où étaient affichées sur des panneaux les différentes classes. Jonathan et moi avons donc cherché nos noms dans les différentes listes. Chaque classe était désignée par le nom d’une capitale européenne. Toutes les classes suivaient le même programme, mais permettaient aux élèves de suivre des TD en groupes réduits. D’après le directeur, les élèves étaient destinés à être encore plus proches des gens de leur classe, afin de faciliter l’entraide, notamment lors des travaux de groupe. Ainsi, les deuxièmes et troisièmes années de l’école gardaient les mêmes classes malgré leurs spécialisations dans les différents domaines possibles. J’étais en 1A-Prague, et Jonathan en 1A-Berlin. Tant pis, mais de toute façon on aurait l’occasion de se revoir entre les cours et le midi au réfectoire.
Je me dirigeais donc vers la salle attitrée à ma classe, et je m’assis au fond, seul sur une table. Les autres rangées se remplirent rapidement, puis le prof qui s’occupait de nous aujourd’hui commença la présentation de l’école en détail. J’écoutais d’une oreille distraite, mais après 5 minutes, on frappa à la porte. Une brune fit son entrée, visiblement essoufflée, en s’excusant de son retard. Elle portait un gilet et une jupe assez courte, ainsi que des lunettes larges au design assez rétro. « Des lunettes de pornstar » me dis-je en mon for intérieur. Elle s’avança rapidement entre les tables, cherchant une place libre. Arrivée à ma hauteur, regarda la place libre à côté de moi, et me demanda d’une voix à l’accent chantant :
— Je peux m’asseoir ici ?— Heu, ouais. Ouais, pas de soucis.— Cool, moi c’est Lucia.— Valentin.
J’avais réussi à ne pas trop bégayer, mais je commençais à avoir chaud. Lucia également, car elle semblait avoir couru pour rejoindre la salle. Elle enleva donc son gilet pour se rafraîchir, et mon regard se figea. Elle portait un crop-top rouge minuscule qui laissait peu de place à l’imagination. Tandis qu’elle posait son gilet sur le dossier de sa chaise, j’observais ses énormes seins qui se compressaient l’un contre l’autre. Les mots du prof ne parvenaient plus du tout à mes oreilles, et j’avais un début d’érection. Je levais le regard juste avant que Lucia ne se retourne. Elle me sourit. Cette année s’annonçait terriblement bien.
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