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L'école de journalisme, découverte d'un monde merveilleux

Chapitre 3

Erotique
Les jours suivants se passèrent sans événement notoire. Petit à petit, une véritable ambiance de groupe se créait au sein de la classe. Évidemment, mon affinité la plus forte était avec Lucia, mais les autres personnes de la classe étaient également très sympathiques, et bientôt des délires communs se créèrent. J’avais l’impression de faire partie d’une unité solidaire, où personne n’était laissé de côté, et où l’intégration des autres était une priorité. Le soir, je voyais Jonathan. On allait soit chez lui, soit chez moi, et on se racontait nos journées respectives tout en jouant à la console. On parlait un peu des cours, et surtout des meufs.

Le quatrième jour était celui du départ au WEI (Week-End d’Intégration). Le départ se réaliserait dans la nuit, afin d’arriver au petit matin au camping où se tiendraient les 3 jours de festivité et de débauche. J’avais vraiment hâte d’y être. On partirait en bus, regroupés par classes (toujours dans cet esprit de souder les élèves de chaque classe entre eux).
Avant le départ en bus, des soirées étaient organisées. Le but était d’arriver alcoolisés dans le bus pour pouvoir y continuer la fête. J’étais préparé à ne pas trop dormir dans les prochains jours. Le soir tombant, je préparais mon sac pour le voyage. Le WEI pouvant s’apparenter à une espèce de festival, il fallait prendre le minimum d’affaires. Ce n’était pas un défilé de mode, chacun ramenait quelques affaires pratiques, mais pas trop moches non plus, car tout le monde espérait choper au cours de ce week-end. J’embarquais également quelques affaires de toilette.
Le départ du bus se ferait sur le campus universitaire, et les deuxièmes et troisièmes années de ma classe nous avaient donné rendez-vous dans un terrain vague à côté pour faire la soirée. C’était un endroit écarté des habitations, et donc le lieu parfait pour mettre le son à fond. Le soleil couchant de fin d’été éclairait l’endroit. J’observais les autres déjà présents. Ils dansaient ou parlaient autour d’une enceinte imposante. À côté de cette enceinte étaient entreposés bouteilles d’alcools forts et packs de bière. Les gens de la classe, 1A, 2A, ou 3A, étaient légèrement vêtus, avec des styles assez éclectiques. Personnellement, je portais une vieille chemisette à fleurs qui avait appartenu à mon père, un short de sport et une paire de baskets. Certains avaient osé le peignoir, d’autres la combinaison, c’était un joyeux bordel.
Je passais entre les différents groupes, saluant les uns et les autres. J’en profitais aussi pour rencontrer les deuxièmes et troisièmes années, que je ne connaissais pas encore vraiment. La plupart du temps, ces rencontres s’accompagnaient de quelques gorgées de cocktails confectionnés maison, et plus ou moins douteux. L’ambiance était très bonne, comme lorsqu’on est sur le point de partir en vacances. Finalement, je rejoignis Lucia et Constance, qui dansaient ensemble. Lucia avait opté pour un short en tissu et un simple débardeur blanc, sans soutien-gorge évidemment. Constance était quant à elle habillée d’un kigurumi (un pyjama combinaison asiatique).
— T’étais où depuis le début de la soirée ? On te cherchait, me dit Lucia.— Je me baladais et je découvrais de nouvelles personnes. Sympa ta tenue Constance !— Haha, je suis contente que ça plaise aux gens, mais il fait super chaud à l’intérieur, c’est un enfer...— T’as qu’à l’enlever un peu, le temps de te rafraîchir.
À peine ma phrase finie, Constance et Lucia partirent d’un éclat de rire. Interloqué, je les regardais en me demandant ce que j’avais dit de drôle. C’est Lucia qui me donna la réponse :
— Elle est à poil en dessous.
À ces mots, je dus rassembler toutes mes forces pour ne pas avoir d’érection. J’aimais le style de Constance, sa petite taille, ses petits seins et ses petites fesses fermes. L’imaginer nue sous son kigurumi me rendait fou d’excitation. Le plus excitant étant probablement que Lucia et Constance m’en parlent comme si de rien n’était. Mon objectif de la soirée était désormais clair : essayer de me rapprocher de Constance et découvrir ce qui se cachait sous sa combinaison. Lucia me sortit de ma torpeur :
— Bon par contre Valentin, toi ta tenue ça va pas du tout là. Tous les boutons jusqu’en haut, et puis quoi encore. Tu pars au WEI ou à un entretien d’embauche ?
Sur ce, elle s’approcha de moi, et en un éclair, elle ouvrit brusquement ma chemisette, arrachant un par un les boutons. Je me retrouvais donc avec le haut grand ouvert, et sans possibilité de le fermer. Mon corps était à la merci de tous. Heureusement, mon léger état d’ébriété réduisait fortement ma gêne. Et à vrai dire, j’étais assez fier de mon corps dans l’état actuel. Sans être réellement musclés, mes abdos et pectoraux étaient néanmoins légèrement dessinés. Lucia semblait être du même avis, car elle passa le dos de sa main sur mon torse :

— Hé, plutôt pas mal Valentin, t’en penses quoi Constance ?— En effet, ça me donne même envie de faire pareil.
D’un coup, elle descendit la fermeture éclair de son kigurumi, et la remonta instantanément, me laissant apercevoir le temps d’un instant ses seins. Cette fois-ci, impossible de retenir mon érection. Je la cachais tant bien que mal et proposais aux filles de leur ramener un verre afin de m’éclipser le temps de me calmer.
La soirée suivit son cours, j’allais voir plein de personnes différentes, mais je revenais souvent voir Lucia et Constance. En fonction des musiques qui passaient, on discutait ou alors on dansait ensemble. Quand est venue l’heure des musiques latinos, la température est montée d’un coup, et il m’arrivait de danser collé/serré avec elles, plutôt à leur initiative d’ailleurs, ce qui avait le don de me ravir au plus haut point.
L’alcool coulait à flots, et nous étions proches de la pénurie de diluants. Au cas où, je décidais alors de planquer une bouteille de jus d’orange dans un buisson. Plus tard dans la soirée, alors que je parlais avec Constance et tentais vaguement un rapprochement, Lucia se ramena avec une bouteille de vodka. Elle nous proposa des shots, mais nous étions tous d’accord sur le fait que le goût de la vodka pure était infect. Je dis alors aux filles de se rapprocher et de baisser le ton de la voix. Je rapprochais alors la bouche de leurs oreilles, et chuchotais d’un ton volontairement mystérieux :
— Mesdames les aventurières, il est temps pour nous de nous mettre en quête du jus d’orange sacré. J’ai connaissance de l’emplacement du trésor, néanmoins il faudra se montrer très discrets lors de notre voyage afin de ne pas éveiller les soupçons d’autres aventuriers. Suivez-moi et faites-vous toutes petites.
Éméchés, nous nous accroupissions et commencions alors à déambuler à travers le grand espace à la recherche du fameux jus d’orange perdu. Après 10 minutes d’aventure à pouffer de rire, je dirigeais notre petit convoi vers le lieu du trésor. Nous étions légèrement à l’écart de la soirée. Je brandis alors le jus d’orange sacré, et nous laissions éclater notre joie. Néanmoins, je n’étais pas disposé à laisser mon précieux chèrement acquis à n’importe qui. Quand Constance et Lucia le comprirent, elles se jetèrent sur moi pour s’emparer de la bouteille. C’était en réalité un prétexte pour se chamailler. Je pouvais sentir leurs peaux se frotter contre la mienne, leurs cheveux qui se déversaient sur mon visage, les seins lourds de Lucia qui se pressaient contre mon corps, ou encore les hanches de Constance bousculer les miennes.
Après quelques minutes de chamailleries, les filles déclarèrent forfait, et la bouteille était toujours entre mes mains. Nous nous posions le temps de reprendre notre souffle. La sueur coulait le long de mon dos. Le débardeur de Lucia était plein de transpiration, et collait à sa peau. Ne portant pas de soutien-gorge, ses seins étaient parfaitement sculptés par le tissu trempé, et ses tétons pointaient fièrement. Constance, elle, était en nage, étouffée par l’étoffe épaisse de son kigurumi. À bout, elle défit la fermeture éclair et fit glisser le haut de sa tunique jusqu’à sa taille. Elle était alors torse nu, ses petits seins cachés par ses bras croisés. Elle ne semblait pas gênée de ma présence. Lucia prit la parole :
— Bon Valentin, la situation est critique, j’ai terriblement soif et je ne vais clairement pas boire cette vodka pure, il me faut ton jus d’orange pour la diluer. Laisse-moi me servir un verre et je ferais tout ce que tu voudras.— Vraiment tout ?
Légèrement surprise, elle reprit vite contenance et me lança d’un sourire en coin :
— Oui, tout.
J’étais alors confronté à un véritable dilemme. J’avais clairement envie de Lucia, mais malgré l’alcool, j’avais toujours un profond respect envers les femmes, et je ne voulais rien lui proposer qui ne la mette trop dans l’embarras. Son sourire m’annonçait une ouverture, mais il fallait que je reste mesuré dans mes propos.
— Un bisou pour un verre, ça te va ?
Je lui laissais ainsi le choix de m’embrasser où elle le souhaitait, et de la manière qu’elle le souhaitait.
— OK, top.
Je remplis son verre de jus d’orange, puis elle s’approcha de moi. Mon rythme cardiaque s’accentua, qu’allait-elle faire ? Elle s’approcha, puis passa ses bras autour de ma nuque. Son visage s’approcha, puis elle posa ses lèvres sur les miennes. Malgré l’alcool, ses lèvres avaient une saveur douce. Je sentis sa langue qui cherchait à se frayer un chemin entre mes lèvres. Elle avait donc décidé de me rouler une pelle. Acceptant son baiser, j’ouvris mes lèvres et nos langues s’entremêlèrent, dans un lent mouvement rotatif. Ses mains caressaient doucement ma nuque et la naissance de mes cheveux. L’air frais de la nuit contrastait avec la chaleur de nos corps, partagée au travers de nos bouches. Je posais mes mains sur ses fesses, et les pressais légèrement. Après quelques secondes hors du temps, nos lèvres se séparèrent dans un léger filet de salive, et nos regards se croisèrent. Je brisais cet instant grisant par une parole assez stupide :
— Wow, c’était super !— Ouais, c’était pas trop mal en effet. On remettra peut-être ça un de ces jours, mais te fais pas trop de films non plus.— Heu, OK, pas de soucis.
Lucia laissait clairement planer l’idée qu’on puisse se rechoper un jour. Ses paroles me laissèrent pensif. Quelle pouvait être notre relation dans le futur ? Puis, me souvenant de la présence de Constance, je me tournais vers celle-ci, et lui proposais un verre, ce qu’elle accepta. Je lui servis une dose de jus d’orange. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre. Allait-elle m’offrir la même faveur que Lucia ? Ou alors faudrait-il redéfinir de nouvelles règles ? Constance se redressa et prit la parole :
— Au fait, désolé Valentin, je t’avais pas dit, mais moi mon truc c’est plutôt les filles.
En disant ça, elle se dirigea vers Lucia, et commença à lui rouler une pelle également. J’étais sous le choc. Mes deux meilleures amies s’embrassaient à pleine bouche devant moi. Constance, me tournant le dos, était seins nus, et malgré sa plus faible corpulence, elle semblait être la meneuse de la danse. Elle poussa Lucia, qui s’allongea sur le dos dans l’herbe, Constance couchée sur elle. Chacune répondait au baiser de l’autre avec encore plus de vigueur. Les mains de Lucia étaient posées à la base des reins de Constance, où s’arrêtait son pyjama retroussé. Je contemplais la scène, le cerveau en ébullition. C’était le spectacle le plus torride qu’il m’ait été donné de voir de ma vie.
Enfin, Constance se releva. Lucia resta allongée. Il semblait qu’elle avait largement apprécié elle aussi. Si Constance était apparemment lesbienne, il ne faisait désormais pas de doute que Lucia soit bi. Le regard de Constance croisa le mien. Son buste pivota légèrement, elle ne cherchait désormais plus à me cacher ses seins. Elle se releva, enjamba le corps de Lucia, toujours allongée au sol, et se dirigea dans ma direction. Elle était splendide. Alors qu’en classe, avec sa petite taille, ses tenues légèrement gothiques et sa timidité apparente, je l’aurais trouvée plutôt introvertie, elle me semblait désormais surpuissante. Elle était dans son élément, et dans les relations intimes, elle était clairement le maître du jeu. Elle me faisait face, les cheveux détachés, le maquillage ayant coulé sous ses yeux avec la chaleur, les seins à l’air, petits, mais pointés vers le ciel, son kigurumi pendant à sa taille. Elle me laissa à ma contemplation, puis me dit :
— Bon, on va pas faire de jaloux ?
Elle s’avança vers moi, et comme Lucia quelques minutes auparavant, elle posa ses mains autour de mon cou. Plus petite, elle se dressa sur la pointe des pieds, et nos lèvres se trouvèrent. La sensation était agréable, mais différente de celle pendant mon baiser avec Lucia. Ses lèvres étaient plus fines, mais ses mains plus fermes. Nos langues ne tardèrent pas à se rencontrer. Nos poitrines nues étaient collées l’une contre l’autre. La sensation de ses petits seins sur mon torse me rendait fou d’excitation. Elle enfonça ses ongles dans la peau de mon cou. N’y tenant plus, je fis glisser mes mains le long de son dos, pour descendre sous son kirugumi. En raison de l’épaisseur du tissu, la température y était très élevée. Je lui pétris avec ferveur les fesses. Elle lâcha un soupir sans relâcher la pression de notre baiser. Mes mains étaient assez larges, et chacune d’entre elles englobait une de ses fesses. Je raffermis ma prise, lui serrant désormais violemment le cul.
Mes index étaient enfoncés dans sa raie, où la température était maximale et la sueur abondante, et titillaient son anus. Mon sexe, bandé comme jamais, était comprimé entre nos deux bassins. Mon cerveau avait disjoncté depuis longtemps. L’érotisme des dernières minutes m’avait totalement grisé, et je ne contrôlais plus rien. J’étais à deux doigts de l’orgasme.
À bout de forces, nous relâchâmes la pression et nos corps se séparèrent. Après avoir repris nos esprits, Constance me murmura :
— D’habitude, je ne suis pas attirée par les hommes, mais sache que j’ai passé un moment agréable.
Hébété, j’acquiesçais d’un léger mouvement de tête. Je venais de rouler de pelles à mes deux meilleures amies, et nous avions tous visiblement apprécié. Cette expérience en annonçait des nouvelles à venir. Nous bûmes notre verre et nous allongeâmes dans l’herbe pour regarder les étoiles.
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