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L'école de journalisme, découverte d'un monde merveilleux

Chapitre 4

Erotique
L’heure de partir pour le camping avait sonné. Les organisateurs du WEI ramenaient tous les élèves vers les bus, afin que tout le monde puisse embarquer, malgré l’état d’ivresse de certains d’entre nous. Pour ma part, je me sentais assez bien, et si j’étais un peu perdu, ce n’était pas à cause de l’alcool, mais en raison du moment que je venais vivre avec Lucia et Constance. Toutes les deux s’étaient offertes à moi, à ma grande surprise, Lucia car je le pensais trop jolie pour moi, et Constance car je la pensais totalement lesbienne. En plus, elles m’avaient toutes les deux laissé une porte ouverte pour une éventuelle suite à ces baisers.
Une fois tous les élèves de notre classe rassemblés, nous montâmes dans le bus. J’espérais me mettre à côté de Lucia, mais celle-ci choisit une place à côté de Constance. Je m’assis donc sur un des deux sièges de l’autre côté de l’allée centrale. Nous étions moins nombreux que le nombre de places disponibles dans le bus, et personne ne vint s’asseoir à côté de moi.
Nous étions montés dans le bus vers 2h du matin, pour une arrivée prévue en milieu de matinée, afin de pouvoir profiter de notre première journée au camping. La soirée continua un peu dans le bus, jusqu’à ce que le chauffeur commence à être excédé, et nous, fatigués, quand l’effet de l’alcool fut dissipé. Certains continuèrent à parler entre eux, mais beaucoup comme moi décidèrent d’essayer de dormir. Il ne faisait pas trop chaud dans le bus, et en prévision, j’avais ramené un plaid dans mon sac. Je le sortis donc, et comme le siège à côté de moi était libre, j’allongeais mes jambes pour me confectionner un lit improvisé. Le ronronnement régulier du moteur du bus et les lumières des villes qui défilaient au loin me firent rapidement sombrer dans les bras de Morphée.
Je fus réveillé par une secousse sur la jambe. Encore dans les vapes, j’ouvrais les yeux et essayais de détecter la source de cette agitation. Il faisait sombre dans le bus, et le temps que mes yeux s’habituent à la luminosité, je distinguais une silhouette qui me secouait la jambe pour me réveiller :
— Valentin ?— Oui, Lucia ?— Désolé de te réveiller, tu peux me partager ton plaid ? Je crève de froid.
En effet, elle grelottait. Je jetais un coup d’œil à Constance. Emmitouflée dans son kigurumi, elle semblait dormir profondément. Plus personne ne parlait dans le bus. En jetant un coup d’œil à l’heure, je constatais qu’il était 5h du matin. J’invitais donc Lucia à venir me rejoindre. Le plaid n’étant pas extensible à l’infini, elle se blottit contre moi. J’étais adossé dans l’angle formé par la vitre et mon dossier, et Lucia était allongée contre moi, la tête au niveau de mes épaules. Nos jambes étaient étalées sur le deuxième siège, et la couverture remontée jusqu’au cou de Lucia. Nos corps collés l’un contre l’autre nous réchauffaient également. Je pouvais sentir l’odeur de ses cheveux sous mon visage, sa joue plaquée sur le haut de mon torse. Ses seins tombaient lourdement sur mon ventre, et nos jambes se croisaient. Je ne savais pas trop où mettre mes mains. La première était posée dans le dos de Lucia, et se risquait de temps en temps à de légères caresses.
L’autre était posée sur mon ventre.
On respirait à l’unisson, et je n’arrivais pas à m’endormir malgré la fatigue. La proximité avec Lucia était très agréable, presque trop, et je m’employais pour ne pas bander. En effet, si elle m’avait embrassé plus tôt dans la soirée pour un verre de jus d’orange, elle m’avait signifié que c’était exceptionnel. Je ne voulais pas gâcher notre relation en la brusquant ou en tentant maladroitement quelque chose alors qu’elle n’attendait peut-être rien, et je me résolvais à attendre un geste de sa part.
Après quelques minutes d’attente, je sentis la main de Lucia se poser sur la mienne. Pour le moment, je ne savais pas si elle l’avait fait consciemment ou pas. Puis, elle fit glisser ma main sur mon flanc, et commença à caresser doucement mon ventre désormais libéré. Ses doigts parcouraient les contours de mes abdos à travers mon t-shirt, puis remontèrent jusqu’à la naissance de mes pectoraux. Sa caresse était lente et précise, et me faisait frémir de plaisir. Considérant que la voie était ouverte, je caressais son dos avec plus d’entrain. Lucia ne portant pas de soutien-gorge, mon parcours n’était pas entravé par quelques bretelles ou autres attaches. À chaque mouvement, je descendais un peu plus bas vers ses fesses, en observant attentivement sa réaction. De son côté, Lucia continuait de caresser mon torse méticuleusement.
Je faisais désormais descendre ma main jusqu’à ses fesses. Bientôt, je ne remontais même plus dans son dos, me contentant de pétrir son large postérieur. Je sentais sa respiration s’accélérer, et sa main s’engouffra sous mon t-shirt pour me caresser plus librement. La sensation était encore plus divine qu’auparavant. Elle parcourait l’ensemble de mon torse, suivant les sillons tracés par chacun de mes muscles. N’y tenant plus, je passais à mon tour ma main sous l’élastique de son short. Ma main entra en contact avec la peau de ses fesses. Mon érection était désormais incontrôlable, et Lucia ne pouvait pas ne pas s’en rendre compte. Imperturbable, elle continuait ses caresses, sa main descendant parfois jusqu’au haut de mon pubis. Mes doigts parcouraient chaque centimètre carré des fesses de Lucia, d’abord l’une, puis l’autre. Elle portait un string très léger, que je tirais à chaque passage pour qu’il lui rentre un peu plus dans la raie, lui arrachant des gémissements étouffés.
Au fur et à mesure de notre petit jeu, le plaid commença à glisser légèrement, nous laissant un peu d’air, mais compromettant notre discrétion. Je lançais un regard autour de moi. Depuis notre position, personne ne pouvait nous voir, à l’exception de Constance sur la banquette de l’autre côté de l’allée, qui pour l’instant dormait profondément. J’allais reprendre mes caresses avec encore plus d’ardeur, quand je remarquais alors que Lucia se caressait les seins avec sa main qui n’était pas posée sur mon torse. Ce spectacle, auparavant caché sous le tissu, me rendait fou d’excitation.
Je pris ma main libre et commençais à l’approcher de la poitrine de Lucia. Le Saint-Graal était là, à quelques centimètres de mes doigts. Le plaid dévoilait maintenant l’intégralité de sa poitrine, totalement apparente sous son léger débardeur. Sa main caressait l’un après l’autre ses mamelons, les faisant se mouvoir dans leur prison de tissu. La lourdeur de ses déplacements témoignait de la taille de ses atouts. Les tétons étaient nettement visibles, sensibles aux caresses qu’elle se procurait, et probablement également à la pression de mes mains sur ses fesses. Les images qui atteignaient mon cerveau me firent perdre le contrôle. Je plongeais ma main sur le sein libre de Lucia, le saisissant comme je le pouvais dans ma main, et renfermais l’emprise de mes doigts. Je restais immobile quelques instants, guettant la réaction de mon amie. Sa respiration s’était coupée, et elle redressa la tête. Son visage pivota, et ses yeux se plantèrent dans les miens.
Finalement, elle esquissa un sourire, et sa main vint se poser sur la mienne, pour accentuer la pression sur son mamelon. Lucia me donnait le feu vert, et j’allais m’en donner à cœur joie.
Immédiatement, je fis passer ma main droite sous le tissu pour aller tâter directement sa peau. Je pris un sein à pleine main, puis le pétris délicatement. Mon Dieu, quelle sensation incroyable ! Les obus de Lucia étaient tendres, mais paradoxalement fermes. Je ne doutais pas qu’ils tiennent fièrement même sans soutien-gorge. Je découvrais sa poitrine, la manipulant dans tous les sens, déformant un de ses seins, puis le relâchant pour l’observer retrouver sa position initiale en gigotant quelques instants. Ses seins étaient parfaits, volumineux, fermes, circulaires, et rapprochés l’un de l’autre. Mes doigts parcouraient chaque parcelle de sa peau, à la découverte de chacune des aspérités de son épiderme. Je ne m’en lassais pas, je voulais apprendre les moindres recoins de ce territoire sacré jusqu’à le connaître par cœur. Lucia semblait apprécier le traitement que je lui réservais, car sa respiration s’accélérait encore.
En effet, ses tétons étaient désormais durs, et pointaient fièrement vers l’extérieur.
Afin de vérifier son excitation, je déplaçais ma main droite, toujours glissée sous les fesses de Claudia, et écartais son string pour placer mes doigts de part et d’autre de sa raie, dont mon majeur suivait la trace. Je sentais la moiteur de son string sur le dos de ma main, mais je ne savais pas si c’était de la sueur ou autre chose. Pour confirmer mon intuition, mes doigts descendirent progressivement le long de son sillon. Mon majeur arriva à la hauteur de son anus. J’hésitais à m’y enfoncer, mais je n’étais pas sûr que Lucia en ait envie. Je posais simplement mon majeur dessus, le titillant légèrement, puis poursuivis mon chemin. J’arrivais désormais à l’entrée de son sexe, et mes soupçons furent confirmés. Sa chatte était totalement trempée, grâce au traitement que lui infligeaient mes mains, la gauche sur ses fesses, et la droite sur ses seins.
L’accès à sa chatte n’était pas évident, donc je rebroussais chemin pour extraire ma main de l’arrière de son short. Avant de réattaquer sa chatte par l’autre côté, j’arrêtais mes doigts face à mon visage, et léchais mon majeur pour goûter la mouille de Lucia qui y était déposée. Sa cyprine était délicieuse, légèrement acide. C’était la première fois que j’en goûtais, et mon excitation n’en fut que plus grande. Aussi, je me hâtais de descendre ma main sous son short et son string, à l’avant cette fois-ci. Je posais sans ménagement ma main sur son pubis totalement épilé. J’ajustais ma position afin que mes doigts soient situés sur ses lèvres, et ma paume posée sur son clitoris. Au début, je jouais un peu avec son clitoris et ses lèvres, les écartant, les titillant. La zone était brûlante et trempée. J’aurais voulu y aller en douceur, et faire monter sa jouissance progressivement, mais mon inexpérience et mon excitation extrême me rattrapèrent rapidement.
N’y tenant plus, j’enfonçais mon majeur dans son vagin. Dieu que c’était agréable ! Mon doigt tout entier était enfoui dans cette caverne tropicale. Je commençais de lents va-et-vient, qui s’accélèrent incessamment. Mon doigt coulissait rapidement dans sa chatte trempée, et fut bientôt rejoint par mon index.
J’étais incontrôlable. Ces sensations nouvelles qui s’offraient à moi me rendaient totalement fou. Mon sexe était bandé au maximum, comprimé entre mon ventre et les hanches de Lucia. Ma main droite pétrissait ses seins plus fermement que jamais. Ca devait en être presque douloureux, mais mon amie ne montrait aucun signe m’indiquant d’arrêter. Au contraire, sa respiration était haletante, et elle dut enfouir sa bouche dans mon torse pour demeurer silencieuse. Mon index et majeur lui pilonnaient la chatte sans aucune retenue, à la cadence la plus élevée qu’il m’était possible de tenir. Sa mouille giclait abondamment le long de mes doigts.
Quelques dizaines de secondes de ce traitement vinrent à bout de la résistance de Lucia, et quand elle soupira profondément au cœur de mon torse, je compris que je l’avais fait jouir. Pour la première fois de ma vie, je procurais un orgasme à une femme. Nous restâmes immobiles quelques minutes, pour elle le temps de se reposer, pour moi le temps de récupérer de mes émotions. Je sortis alors ma main de son string et de son short. Mes doigts dégoulinaient de mouille. Je ne savais pas trop quoi en faire. Lucia força ma décision en saisissant mon poignet, pour attirer ma main à sa bouche. Elle suça goulûment mes doigts, en me lançant des regards évocateurs. Mon excitation n’était toujours pas retombée. Il faisait très chaud sous le plaid.
Le bus ralentit alors, et le chauffeur s’engagea sur une aire de repos, et le dernier 2A réveillé nous proposa une pause toilettes. Une poignée de personnes encore éveillées descendirent pour soulager leur vessie ou dégourdir leurs jambes. Lucia s’écarta de moi, et retourna s’asseoir à côté de Constance. En effet, elle n’avait plus vraiment besoin de se réchauffer désormais. À la lumière de la lune et des enseignes lumineuses, je pouvais voir sur son front luire quelques gouttes de sueur. Un peu déçu qu’elle ne m’ait pas rendu la pareille, je décidais de descendre du bus. Alors que je m’extirpais de ma place, Lucia posa sa main sur mon avant-bras, me retenant légèrement. Je tournais mon regard vers le sien. Armée de son plus beau sourire, elle me chuchota :
— Merci.
Impossible de savoir si elle parlait du plaid ou de l’orgasme que je lui avais procuré. Impossible également de savoir quel sort elle me réservait pour la suite. Je descendis du bus et contemplai la paisibilité de la nuit. Las de mes interrogations, je pris la direction des toilettes de la station, et m’enfermais dans une cabine. Mon sexe n’avait toujours pas désenflé depuis tout à l’heure. Je pensais à la vision des seins de Lucia, à la sensation de ma main sur ceux-ci, de mes doigts pétrissant ses fesses parfaites et s’enfonçant frénétiquement dans sa chatte. Je me branlais furieusement, et en moins de 30 secondes, j’éjaculais de longues coulées de sperme.
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