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Ecole du sexe

Chapitre 6

Inceste
Le réveil du lendemain fut au moins aussi doux que la veille au soir avant de m’endormir. Je me retrouvai le nez dans les seins d’Alice, une pure merveille. Je ne pus contenir l’envie de lui embrasser le téton droit. Ce petit geste tendre la réveilla délicatement. Je décidai alors de profiter du spectacle magnifique qu’elle m’offrit en se réveillant. Faisant trembler ses cils soyeux, elle commença par cligner des paupières avant d’ouvrir les yeux, me laissant admirer l’infini beauté de ses deux yeux verts. Ce fut alors qu’elle me sourit et se redressa sur son coude, me faisant face.-Bien dormi, demanda-t-elle ?-Tendrement, je suppose que c’est pareil pour toi.-Oui.Elle fit alors une courte pause durant laquelle elle me sourit radieusement.-Qu’est-ce que tu regardais pendant que je me levais, mon visage ou mes seins ?-Que... Quoi ? Fis-je, pris de court. C’était ton visage, je t’assure, je voulais juste m’extasier devant ta beauté, mon trésor.-Alors pourquoi est-ce que j’ai senti ta salive contre mon téton, me demanda-t-elle en me montrant son sein.-Je... euh...Voyant mon embarras, elle se mit aussitôt à rire et s’allongea sur mon torse. Sa douce poitrine vint alors s’écraser contre mon ventre, provoquant en moi une sensation très agréable.-Je plaisante, beau-gosse, tu as le droit de faire ce que tu veux avec mes tétons.Elle se laissa alors lentement glisser le long de mon corps jusqu’à ce que son visage arrive à hauteur de mon entre-jambe. Là, elle prit mon membre dans sa bouche et commença une fellation très loin d’être désagréable. Je poussai alors quelques gémissements de plaisir et vis, en regardant à droite, que nos voisins semblaient avoir adoptés le même exercice que nous. Je me concentrai de nouveau sur la tête d’Alice, allant et venant au niveau de mon entre-jambe. Au bout d’à peu près une minute, je fus sur le point de jouir, mais ma dulcinée stoppa ce massage lingual. J’étais sur le point de me plaindre gentiment lorsqu’elle me fit me lever et m’emmena au chevet de ma sœur, Mylène, endormie paisiblement sur le dos. Elle me plaça au dessus de son visage et commença à me masturber de sa main droite devenue experte en quelques jours à peine. Après quelques secondes d’aller-retours intensifs, je finis par atteindre l’orgasme et laissai ma semence, aspergeant par de petits jets le visage de ma sœur, sortir de mon pénis. Alice poussa alors mon membre vers la bouche de Mylène afin de la nettoyer. Telle fut ma surprise lorsque cette dernière ouvrit la bouche et installa mon gland entre ses lèvres pendant qu’elle aspirait le jus restant et que sa langue nettoyait le tout. Elle avala alors ce qu’elle eut récolté et ouvrit les yeux à son tour, essuyant au passage un filet de sperme menaçant de lui tomber dans la sclérotique.-Salut, tu deviens mon nouveau réveil ? En tout cas, moi ça me va.Je lui souris et Alice aussi.-Je te crois, moi aussi j’aimerai être réveillée comme ça un de ces jours, ajouta ma dulcinée en agrippant mon bras.Je lui rendis le sourire qu’elle me lança alors. Je tournai ensuite les yeux pour observer Mylène, récoltant la semence sur son visage, passer le doigt sur ses joues puis dans sa bouche.-Attends, je vais t’aider, dit Alice.Elle s’approcha de Mylène rapidement et passa sa langue sur le visage de ma sœur, aspirant la moindre goutte de mon gland dans sa bouche. Alors qu’elle s’apprêtait à avaler, Mylène la retint par le bras et l’embrassa à pleine bouche, si bien que je pus voir sa langue entrer. Après quelques secondes, elles se séparèrent et ma sœur me montra alors sa bouche emplie d’une substance blanche avec laquelle elle s’amusa à faire des bulles quelques secondes avant de l’avaler entièrement.-C’est moi que t’as aspergé, c’est moi qui avale, dit-elle en faisant un clin d’œil à ma partenaire.Ma sœur décida alors de sortir du lit et se dirigea vers les toilettes. Arrivée devant la porte, elle se retourna et me fit signe du doigt de la rejoindre.-Tu viens où il faut que je vienne te chercher ?Je souris et me mis en marche. Elle n’attendit pas que je l’eus rejoint pour se remettre à marcher et se plaça devant les toilettes à sa droite. Elle m’attendit ici et me lança un regard on ne peut plus coquin.-Je n’ai plus de force, tu peux m’aider s’il-te-plaît ?Le réveil inhabituel de ce matin semblait lui avoir redonné toute son énergie et tout un tas d’idées perverses. C’était d’ailleurs pour ça que j’adorai ma sœur.-Si c’est ce que souhaite madame.Je m’avançais alors vers Mylène et lui baissa sa petite culotte, seul vêtement avec le soutien-gorge qu’elle portait en dormant. Je tournai alors la tête et vis Alice, ne ratant rien du spectacle, adossée au mur juste à côté de moi. Elle se mordilla les lèvres lorsqu’elle aperçut avec moi les parois intimes de Mylène. Cette dernière me sourit et, tandis que je la poussai légèrement en arrière pour la faire s’asseoir sur la cuvette, elle me repoussa légèrement.-Pas comme ça, me dit-elle en faisant non de la tête.Je me rapprochai encore pus d’elle et lui mis une petite fessée.-Dis-donc, tu joues les rebelles ce matin ?Elle me fit oui de la tête et me défia du regard. Sans aucune hésitation, je plongeai deux de mes doigts dans son vagin. Elle ne retint pas un léger soupir mais ne se laissa toujours pas tomber sur les toilettes. Je me mis alors à faire trembler très fortement ma main, si bien que ma sœur se mit à hurler instantanément de plaisir. Elle enroula ses bras autour de mon cou et, bien qu’elle voulut toujours me résister, ses jambes ne lui permirent plus de se battre et elle s’affaissa lentement sur la lunette. Je fus très satisfait de moi-même et jetai un regard vers Alice, se léchant les lèvres devant le massage de ma sœur, qui agitait ses mains sur son sein gauche et son vagin. Je souris en la voyant puis je reportai mon attention sur ma sœur dont les cris gagnèrent en intensité alors que j’augmentai la cadence. Je la regardai alors tendrement. Je sentais qu’elle allait bientôt venir, je le voyais dans ses yeux.-Alors sœurette, satisfaite ?Elle ne répondit rien, mais ses cuisses si. Elle les ferma brusquement et, deux secondes plus tard, un jet de cyprine accompagné d’un cri suraigu inonda la paume de ma main. Je sortis alors mes doigts et ôtai ma main d’entre ses jambes avant de la regarder uriner. Alice stoppa son petit jeu et, une fois que Mylène se fut vidée, nous prîmes une douche rapide, nous séchâmes rapidement et nous rendîmes dans le hall pour prendre notre petit-déjeuner.
Nous nous assîmes à la même place que la veille et pûmes regarder avec délice les délicats mets présents sur la table. Nous n’attentions plus que l’accord de monsieur Auburn pour commencer à nous empiffrer. Cependant, celui-ci se leva, signe qu’il allait prononcer quelques mots. Peut-être allait-il nous parler des cours qui commenceront le lendemain. Je me trompai. Il nous regarda, ma sœur, Alice et moi-même, et nous appela. Nous nous levâmes et, puisqu’il nous le demandait, nous marchâmes jusque devant lui, assis à sa table à côté de madame Gustave. Il fit alors signe à celle-ci qui partit dans le couloir avant de revenir accompagné d’un homme d’à peu près notre âge, soit entre dix-neuf et vingt-deux ans. Il entra dans la pièce et, accompagné de madame Gustave, il nous fit face. -Jeune homme, présente-toi je te prie.-Bonjour, obéit-il, je m’appelle Fabian, je viens de Nice et je suis nouveau dans cette école. On m’a appelé hier soir pour me dire qu’une place était disponible alors je suis venu aussi vite que possible. Ravi de vous rencontrer.Monsieur Auburn lui sourit et le petit nouveau arrêta là sa petite histoire.-Très bien. Bastien, j’espère que tu as bien profit de la nuit dernière...Il regarda au loin et vit plusieurs personnes de première année hocher la tête.-... et apparemment tes camarades peuvent en témoigner, me dit-il en souriant, mais tu vas devoir, j’en suis navré, te séparer de l’une de tes deux partenaires pour la laisser entre les mains de Fabian. Il ne peut pas rester seul et nous ne pouvons accepter une quarante-et-unième élève. Je te laisse le choix, prends bien ton temps pour réfléchir.En réalité, le choix était déjà fait, mais je ne voulais pas la blesser, je ne voulais pas qu’elle sache que je n’avais pas hésité une seule seconde devant ce soi-disant dilemme. Je pris une tête pensive et observais intensément mes deux sirènes. Mylène, ma sœur, avec qui j’avais passé la totalité de ma vie et, depuis ses dix-huit ans, partagé le même lit. De l’autre côté, l’amour de ma vie, celle que j’aimais, que je portais dans mon cœur, celle à qui j’avais fait ma déclaration le soir dernier en faisant des galipettes. Les deux filles me regardaient elles-aussi avec intensité. Chacune voulait que je la garde, mais c’était impossible, je devais en éloigner une de moi. Je décidai donc que j’avais suffisamment prit mon temps. Je fis un pas en avant et m’approchai de Mylène, lui donnant un baiser sur les lèvres. -Désolé Mylène, mais je ne peux pas abandonner Alice.Cette dernière se retint de se jeter dans mes bras tandis que ma sœur me jeta un regard noir. Je baissai les yeux et m’apprêtai à m’excuser lorsque, sans prévenir, Mylène me donna la gifle la plus douloureuse de ma vie. Je manquai de peu de tomber à la renverse sous le coup de la surprise. A ce moment, je m’aperçus que je venais probablement de perdre ma sœur.
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