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Ecole du sexe

Chapitre 12

Hétéro
Alice et moi, après cette douche plus que plaisante, retrouvâmes Stéphane et Véronica dans une des salles vides de l’école. Ils avaient demandé la permission au directeur qui leur avait alors prêté, uniquement pour la soirée, les clés de ladite salle. Nous saluâmes alors nos nouveaux amis et chacune des deux filles rejoignit le partenaire de l’autre ; Alice s’approcha de Stéphane et Véronica de moi. Cette dernière, détestant apparemment perdre du temps, me prit par le bras et me donna un baiser sur la joue.
-Tu vas voir, je suis certaine que nous allons nous régaler, dit-elle d’un ton plus que dragueur.
Je regardais Alice derechef. Elle non plus ne pouvait détacher son regard de mes yeux. Il le fallut pourtant lorsque Stéphane se mit entre nous deux.
-Voyons Alice. Comment veux-tu prendre du plaisir si tu ne me regardes pas ? Ne t’en fais pas pour Bastien, il te récupérera juste après.
Sans ajouter le moindre mot, il embrassa prestement ma petite-amie sur la bouche et guetta sa réaction. De là où je me trouvais, je ne pouvais voir son doux visage, mais lorsque je la vis l’embrasser en retour, j’en conclus qu’elle avait fini par se prêter au jeu. Je décidai alors d’en faire autant. J’attrapai d’une main l’un des deux seins de ma partenaire sexuelle d’une nuit et, de l’autre, la fis reculer jusqu’à la coincer contre un mur. Là, ma main resta où elle se trouvait tandis que l’autre descendit pour caressa son clitoris. Dans un même temps, je lui embrassai le cou avant de lui chuchoter :
-Alice me donne toute la sensualité dont j’ai besoin alors, pour cette nuit, je voudrais la jouer sauvage. Ça te dérange ?-Pas du tout. Je t’en prie, lâche-toi, dit-elle entre deux gémissements.
À la seconde même où elle me donna son accord, je la mis à genoux et, posant mes mains sur ses cheveux roux, je forçai un passage à travers la bouche de ma partenaire. Elle sembla accueillir mon membre avec plaisir et s’apprêta même à entamer une fellation. Toutefois, j’en avais décidé autrement. Pour lui faire comprendre mes pensées, je fis un mouvement de va-et-vient avec mes hanches. Véronica sembla comprendre que je voulais prendre les commandes et s’immobilisa, ses yeux marron fixant les miens. J’augmentai alors la cadence tout en gémissant. Je m’assurai que mon rythme ne la faisait pas souffrir (le clin d’œil qu’elle m’envoya me fit comprendre que tout allait pour le mieux) et poursuivis. Ce plaisir de sentir une différence de température entre l’air ambiant et sa gorge à une telle fréquence était extra-ordinaire. Sans oublier la langue de Véronica qui n’en finissait de me ravir. D’un léger coup d’œil, j’observai ma dulcinée et m’aperçus qu’elle pratiquait également une fellation. Son rythme était certes plus lent mais tellement plus sensuel et agréable. Mais après tout, il faut bien changer de temps en temps, pensais-je. Revenant sur ma partenaire, je décidai de passer le cap des préliminaires. Je lâchai ses cheveux pour la prendre au niveau de la taille et la soulevai légèrement. Là, je la posai sur le sol en position de missionnaire. Observant l’état de son entre-jambe, j’en conclus aisément qu’un cunnilingus ne serait qu’inutile et le lui fis remarquer.
-Fais attention, tu mouilles tellement que je pourrais croire que tu te fais dessus, plaisantai-je.-C’est ta faute, tu m’as trop fait de bien, sourit-elle.
Je lui rendis son sourire et décidai de la pénétrer sans attendre. Je multipliai les va-et-vient en variant ma vitesse et l’amplitude de mes mouvements. Cependant, je m’attendais à quelque chose de grandiose, à une sensation nouvelle et agréable due à un nouveau vagin. Je fus réellement déçu lorsque la réalité me rattrapa : les sensations étaient les mêmes qu’avec Alice mais avec une intensité moindre.
-Qu’est-ce qui se passe ? Ma chatte ne te plaît pas, maugréa Véronica.-Ça n’a rien à voir avec toi, tu es formidable mais je ne ressens pas d’émotions aussi intenses que quand je fais l’amour à Alice. Je suis désolé de ne pas avoir réussi à le cacher.-Je comprends, elle est plus étroite que moi, c’est ça ?-Non, ça ne vient pas de là. C’est simplement que j’aime Alice, plus que n’importe qui. Je pourrais différencier son corps de n’importe quel autre et c’est avec elle que je prends le plus de plaisir. Je suis vraiment désolé.
Véronica grimaça, visiblement déçue. Toutefois, son sourire revint bien vite sur son visage d’ange.
-Ne t’en fais pas, je comprends. Moi aussi, j’ai su ce que c’était que d’être amoureuse à une époque. La différence, c’est qu’apparemment la chatte de ma voisine de palier était plus plaisante.-Je suis... désolé, dis-je sans trop savoir quoi ajouter.-Oh, désolée, je t’ennuie avec mes histoires. Laissons le passé où il est et concentrons nous sur ta copine. Apparemment, elle ressent la même chose que toi. Regarde, ils nous rejoignent.
Stéphane et Alice se levèrent et marchèrent dans notre direction. Véronica et moi les imitâmes.
-Eh bah mon vieux, je sais pas ce que tu lui as fait, mais apparemment ta bite est meilleure que la mienne, impossible de lui donner de plaisir.-À moi aussi, il a fait le coup, plaisanta la jolie rousse. Apparemment, vous êtes bien trop amoureux pour l’échangisme. Tant pis, c’est quand même sympa de votre part d’avoir bien voulu jouer le jeu. On se retrouve demain en cours, les âmes-sœurs.
Sans rien ajouter de plus, nos deux amis partirent main dans la main et regagnèrent la chambre des premières années. Alice et moi nous regardâmes, nous embrassâmes et les suivîmes jusqu’à ce que nous retrouvassions notre lit que nous y nous écroulassions comme des bébés.

Le lendemain matin, Alice et moi nous réveillâmes ensemble. Les images de la veille encore gravées dans mon esprit, je me promis de ne plus jamais tenter l’échangisme à nouveau, de peur de tomber sur un couple beaucoup moins compréhensif que celui qu’était Stéphane et Véronica. Ma petite-amie et moi-même allâmes prendre une douce rapide exempte de la moindre relation (je sais ce que vous vous dites mais détrompez-vous, c’est loin d’être la première fois) et, toujours ensemble, nous descendîmes les escaliers de l’école pour prendre notre petit-déjeuner. La matinée s’écoula et ses cours également, à fortiori. Ainsi, nous avions eu droit à deux heures d’anatomie masculine et une heure de fellation durant laquelle nous retrouvâmes madame Nymphéa. S’ensuivirent alors deux heures de libre durant lesquelles nous mangeâmes et, lorsque la sonnerie annonçant la fin de la deuxième heure retentit, nous nous rendîmes en cours de SM. De nouveau, nous fîmes connaissance avec le professeur et découvrîmes les prémices de son cours. Puisque nous avions été rapides à comprendre, les filles ont pu essayer les baillons boules ainsi que les menottes. Même si Alice ne le disait pas, je vis qu’elle ne prenait pas réellement de plaisir à être utilisée comme un jouet. Suite aux deux heures, notre journée était terminée. J’en profitais alors pour emmener Alice dans un coin tranquille afin que nous puissions discuter de ce dernier cours.
-Tu veux qu’on parle au prof du fait que tu ne supportes pas le sadomasochisme, lui demandai-je sincèrement ?-Non, ne t’en fais pas pour moi. Après tout, c’est une matière comme une autre. Et puis, on est à l’école, on ne choisit pas ses cours.-Comme tu voudras.
Je lui pris la main afin de l’emmener hors de notre coin mais Alice résista.
-Une dernière chose, Bastien. Je sais que tu n’as pas envie de me faire de mal mais, si en cours on te demande d’être brutal, n’hésite surtout pas.-Mais tu détestes ça ! Comment pourrais-je apprécier quelque chose si je dois te faire souffrir en retour ?-Parce que c’est le principe du SM, Bastien. Je te rappelle qu’à la fin de chaque année, nous devons passer des examens pour savoir si, oui ou non, nous avons le niveau requis pour l’année supérieure. Il est hors-de-question que je te fasse rater l’examen de SM tout ça parce que je n’aime pas. Alors je te le demande encore une fois. En cours, ne te retiens pas.
Je ne répondis rien et me contentais de hocher la tête. Elle me sourit en me remerciant et, ensemble, nous passâmes le reste de la journée ensemble.

Le lendemain matin, même rituel que la veille. Ainsi, lorsque la sonnerie annonçant le début des cours retentit, Alice et moi nous rendîmes en cours dit d’amour sensuel. Cela faisait des jours que ma dulcinée m’en parlait constamment. Je l’écoutais toujours avec cette même hâte de tester la matière dans laquelle, j’en étais certain, elle excellerait. Lorsque nous fûmes arrivés devant la salle de classe, un homme entra et se présenta comme notre professeur. Cheveux blonds parfaitement coiffés, une rose dépassait de la poche de sa veste de smoking blanche. Son pantalon, impeccable également, se mariait avec ses chaussure raffinées. Il se présenta comme étant le professeur Teuqoc et nous fit cours pendant trois heures. Durant celles-ci, Aline attira son attention dès le début du cours par le truchement de ses qualités d’amante passionnée. Chacun de ses mouvements de bassin, lorsqu’il s’agissait de pratiquer avec moi, était effectué avec une précision et une grâce à toute épreuve. Je me devais d’ailleurs d’ajouter que ses talents avaient eu pour effet de me faire oublier la soirée de l’avant-veille ; le vagin de Véronica ne pourra jamais égaler celui de ma chère Alice. Le professeur eut été tellement subjugué par ses talents dès le début de l’année qu’il alla la voir et la félicita pour son implication dans son cours. Je pouvais d’ailleurs voir au fond de ses yeux qu’il était absolument ravi.

Le lendemain matin, le premier cours de la journée fut un cours de jeu de rôle. Ni Alice ni moi ne voyions de quoi il pouvait s’agir, ce fut sans doute pour cela que nous étions intrigués. Lorsque le professeur arriva, une femme mûre d’une quarantaine d’année, elle nous parla de son cours pendant environ une demi-heure. Nous apprîmes donc que ce cours nous aiderait à imaginer des scénarios érotiques afin d’exciter davantage notre partenaire. Ainsi, Alice put jouer à la prisonnière de la chaise démoniaque pendant que moi, noble chevalier de la table ronde, vint pour la délivrer du mal qui la rongeait de l’intérieur. Nous rîmes beaucoup pendant cette heure mais, je devais l’admettre, jouer les héros sauvant sa princesse m’avait beaucoup plu.

L’après-midi, après une heure de fellation et une autre de cunnilingus, nous mangeâmes et découvrîmes un nouveau cours : le cours de Kama sutra. Comme nous nous y attendions, dans ce cours nous nous exercions aux maîtrises des diverses positions répertoriées. Je ris intérieurement en entendant le nom de la position du lotus ; l’un de mes professeurs de mathématiques de collège répétait sans cesse, pour plaisanter, que pour se calmer, il fallait respirer et adopter la position du lotus (ne vous imaginez rien, il s’agit aussi d’une position de yoga).

Le vendredi se déroula normalement. Nous ne découvrîmes aucun nouveau cours, il fallait tout de même noter que, derechef, Alice avait briller lors du cours d’amour sensuel et avait une nouvelle fois reçu les félicitations de notre professeur.

Enfin arriva la journée du samedi, dernier jour de cette semaine de cours. Nous commençâmes par deux heures de cours de Kama sutra avant de nous rendre dans le seul cours que nous n’avions jamais suivi. Ce cours traitait du bukkake, que je préférais nommer avalanche de spermatozoïdes, je trouvais ça plus amusant. Alice, tout comme moi, n’était pas très favorable à cette pratique. Nous décidâmes tout de même d’ouvrir nos esprits et, qui sait, peut-être serions nous conquis. Notre professeur se trouvait être le professeur de SM. Le cours commença et, pendant la première demie-heure, nous regardâmes une vidéo d’un bukkake japonais dans lequel quarante-sept hommes se vidaient littéralement sur le visage d’une asiatique. Lorsque tous les hommes avaient eu droit à leurs vidanges, la jeune femme, dont le visage dégoulinant de liquide séminal ne m’excitait pas du tout, répandit alors la couche de sperme dans un bol qu’elle tenait sous son menton. La quantité de ce liquide loin d’être inconnu nous surprit, Alice et moi. Là, elle avala le tout avec un bruit de succion qui, apparemment, en excita plus d’un.
-Voici ce qu’est un bukkake, chers étudiants. Cela n’est pas bien difficile pour les hommes mais, pour les femmes, cela demande plus d’efforts.
La suite du cours fut aussi barbante que je pouvais l’imaginer. Lorsque nous sortîmes, je ne pus réprimer un bâillement en traversant les couloirs de l’école. Alice m’entraîna alors dans un coin isolé et me chuchota à l’oreille.
-Bastien, je ne suis pas sûre de pouvoir faire de bukkake. C’est répugnant ! D’accord pour le SM, mais là c’est à la limite du gore !-On peut aller discuter de tout ça avec le prof la prochaine fois, si tu veux. Nous verrons bien s’il est possible de te dispenser de ce cours.
Elle hocha la tête avant de se reposer sur mon épaule. Je me souvins alors qu’il était l’heure de manger et emmenai Alice jusqu’au réfectoire.

Le ventre plein, nous regagnâmes notre chambre accompagnés de tous les autres premières années. Alice et moi commençâmes alors à faire le point sur ce que l’on avait appris cette semaine. Nous en étions au cours de fellation quant une voix bien connue m’interpella.
-Bastien, je peux te parler deux minutes ?-Mylène ! répondis-je en souriant. Tout va bien ? Si je me rappelle bien, ça fait longtemps qu’on ne s’est pas parlé, toi et moi.-Oui, désolée. C’est juste que Fabian ne me laisse plus du tout te voir. D’ailleurs, j’ignore totalement comment il réagirait s’il nous voyait.-Et où est-il à l’heure actuelle ?-Aux toilettes. C’est pourquoi nous n’avons que très peu de temps. Je voulais simplement te prévenir qu’il prépare un mauvais coup. Je ne sais pas quoi, mais il t’en veut parce qu’il pense que tu veux « me voler », dit-elle en mimant les guillemets avec ses doigts.-Te voler ?! Mais c’est ridicule, protestai-je !-Je sais, mais quoi qu’il en soit, il va faire quelque chose. Je ne sais ni quand ni quoi, mais il va vraiment passer à l’action. Surtout, reste sur tes gardes et veille sur Alice, dit-elle en la regardant avec inquiétude.-Tu … tu penses qu’il va s’en prendre à moi ? Demanda Alice terrifiée.-L’hypothèse n’est pas à écarter, dis-je en serrant les poings. Alice, à partir de maintenant, tu ne me quittes plus d’une semelle.
Alice acquiesça et Mylène s’éloigna de nous ; Fabian revenait des toilettes. De là où je me trouvais, je pouvais l’entendre lui reprocher de ne pas l’avoir accompagné. Elle s’excusa en affirmant qu’elle se sentait fatiguée et qu’elle n’y avait, par conséquent, pas songé. Je décidai de ne pas les espionner plus longtemps. Je regardai Alice dans les yeux : elle était réellement effrayée.

Le soir même, après dîner, tout le monde quitta la table pour se rendre vers son dortoir respectif. Alice et moi marchions côte à côte jusqu’à ce qu’un première année me bousculât en s’excusant. Lorsque je détournai le regard pour mon concentrer à nouveau sur ma petite-amie, je m’aperçus avec un terrible effroi qu’elle avait disparu. Je décidai de garder mon calme et partis à sa recherche. Je commençai par me rendre au dortoir ; peut-être avait-elle poursuivi son chemin sans voir que je l’avais perdue de vue. Lorsque j’entrais dans notre chambre commune, je m’aperçus qu’elle ne s’y trouvait pas. Je vérifiai les douches et les toilettes sans obtenir le moindre résultat. Je revins aussitôt dans le dortoir et mon cœur fit un bond lorsque je m’aperçus que Fabian et ma sœur manquaient à l’appel. Je demandais à tout le monde si qui que ce soit avait vu ne serait-ce qu’un détail, mais rien. Ce fut alors qu’un première année m’interpella. Il me dit rapidement que Fabian se trouvait dans la salle de SM et qu’il avait vu Alice avec lui. S’ensuivit alors un sprint interminable jusqu’à la salle de classe. Lorsque j’ouvris la porte, je vis avec horreur Alice menottée à une chaise. Elle était seule dans la petite salle de classe mais, en m’approchant, je pus constater que l’intégralité de son corps semblait refléter les lueurs des lampes néon accrochées au plafond. Je m’approchais davantage pour pouvoir me rendre compte que ma petite amie était couverte de sperme. Je m’immobilisai. Comment avais-je pu laissé faire ça ? Pourquoi avais-je détourné le regard à la sortie du réfectoire ? Comment pouvais-être aussi stupide ?! Intérieurement, je me maudissais et m’insultais de tous les noms. Je m’empressai alors de libérer Alice et la pris dans mes bras afin de la rassurer. Elle me rendit mon étreinte en pleurant. Son visage ; ses cheveux ; tout son corps, rien n’avait été épargné. Le liquide séminal collait à ma peau mais je m’en fichais. Tout ce qui comptait, en cet instant, était de rester auprès d’Alice, de la garder dans mes bras. Elle en avait besoin.
-Je suis désolé, dis-je. Je n’ai pas pu te protéger. Je ne suis qu’un bon à rien. J’ai échoué.
Elle ne répondit rien. Elle se contenta plutôt de me serrer plus fort encore et de pleurer plus bruyamment. En la fixant de mes yeux meurtris, je me promis alors de réagir. Fabian allait payer ce qu’il avait fait subir à Alice. Cela fait d’ailleurs trop longtemps qu’il maltraitait Mylène. L’un de nous deux quittera cette école, Fabian, et je te promets que ce ne sera pas moi.
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