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Ecole du sexe

Chapitre 16

Inceste
Alice se reposait dans le dortoir des premières années. La nouvelle expérience qu’elle avait vécue l’avait totalement vidée de toute énergie. Je restai à son chevet jusqu’à ce qu’elle se réveillât en baillant.
-Enfin réveillée, lui souris-je.-Parce que je dormais ?-Pourquoi penses-tu qu’on t’ait couchée, ris-je.
Elle sourit à son tour avant de s’extraire du lit. Elle arborait une mine étrangement enjouée, non pas que cela me déplût, mais il était rare de la voir aussi euphorique.
-Dis-moi, ce que tu as vu en rêve en cours de SM, j’ai l’impression que ça t’a changée, dis-je.-Et comment ! C’est pas tous les jours qu’on peut baiser celui qu’on déteste le plus au monde.-Tu... Tu as baisé Fabian ! criai-je presque.-C’était mon esclave, j’étais sa maîtresse.
Je la regardai, ahuri. Elle rit, sous doute mon visage avait-il un lien avec cette réaction.
-Tu devrais vraiment regarder ta tête, s’esclaffa-t-elle de plus belle.-Excuse-moi, mais tu viens d’avouer m’avoir trompé avec Fabian en me disant que c’était génial.-Oh, tu nous fais une petite crise de jalousie ? C’est trop mignon, petit cœur, me nargua-t-elle en me pinçant la joue.
Je ris également et la pris dans mes bras. Le contact entre nos deux corps me procura un bien fou, comme si j’avais retrouvé ma Alice, celle que je croyais avoir perdu à cause de ce fameux élève aux mœurs plus que détestables.
-D’ailleurs, tu as dit avoir baisé Fabian. C’est-à-dire ?-C’est simple, j’avais un gode-ceinture et je lui ai refait le trou de balle. D’ailleurs, j’ai tellement adoré que je pourrais très bien avoir envie de retenter sur toi.-Non, sans façon, dis-je en m’écartant d’elle. Personne n’a le droit de toucher à cet endroit.
Elle ricana en me reprenant dans ses bras. Sa poitrine nue s’écrasa sur mon torse, caressant mon corps par sa simple présence.
-Tu finiras bien par baisser ta garde un jour ou l’autre, le chuchota-t-elle à l’oreille.
Comme pour illustrer ses propos, l’un de ses doigts alla à la rencontre de mon anus. En sentant son doigt au niveau de cet endroit, je sursautai et reculai brutalement. Grossière erreur : en reculant, son doigt s’enfonça légèrement dans mon fondement. Alice gloussa de rire en ôtant son doigt. De mon côté, je la dévisageai, étonné.
-Tu vois, tu t’es empalé dessus tout seul.
Bien décidé à prendre ma revanche, je posai mes mains sur ses seins et la fis basculer en arrière. Elle tomba sur le lit, amusée. Je profitai alors de cette position pour lui attraper les jambes  et les lever jusqu’à ce que ses pieds atteignissent le niveau de ma tête. Là, je les écartai, m’offrant une vue plongeante sur son sexe trempé.
-J’ai réveillé la bête, on dirait, remarqua-t-elle, les yeux rivés sur mon membre en parfaite érection.
Je lui souris et plaçai mon pénis à l’entrée de sa chambre secrète... et j’attendis. Je souris en voyant Alice s’impatienter, si bien qu’elle me tira la langue.
-Tu l’auras voulu, dit-elle. Je vais te faire passer l’envie de me faire ce coup.
Avec une vitesse digne d’un Sayan, elle enfonça partiellement son doigt dans mon rectum. Espérant qu’elle le retirerait si je la pénétrais, je lui fis l’amour. Toutefois, pas une seule fois elle n’ôta son doigt.

Huit mois s’écoulèrent sans que rien ne fût à noter. Alice et moi avions suivi chacun des cours dispensés, il en était de même pour Mylène et Romaric. Qui plus est, le rêve un peu spécial d’Alice l’avait guérie de toute aversion envers le SM. Toutefois, elle avait gardé son opinion vis à vis du bukkake, cours auquel elle assistait mais refusait que quelqu’un d’autre que moi jouît sur son visage. Notre semaine de cours se terminant, le samedi soir, nous dînâmes comme à notre habitude. Au menu, pommes de terre sautées aux petits oignons avec une escalope de poulet, accompagnées d’une sauce que je ne reconnus pas mais que je dégustai sans vergogne. Lorsque vint une tarte normande, je ne me fis pas prier pour finir mon assiette avant de regarder Alice finir sa part de gâteau. J’admirais ses longs cheveux blonds qu’elle avait passés derrière ses fines oreilles, sa bouche qui mâchait sans relâche les différents mets qu’elle y incrustait. Voyant que je la scrutais, elle détourna la tête.
-Chers étudiants, s’éleva la voix de monsieur Auburn.
Tous les étudiants, assis à leurs places, tournèrent leurs visages dans la direction du directeur.
-Je suis certain que personne n’a oublié ce détail, mais je vous rappelle tout de même que les admissions de fin d’année commencent lundi. Je ne peux que vous conseiller de consacrer votre dimanche pour vos révisions finales.
Ce détail, comme l’avait dit monsieur Auburn, personne ne l’avait oublié. Pour les élèves des années supérieures, cela ne semblait pas si impressionnant, mais pour nous, premières années, qui n’avons aucune idée de la forme que prendrait ces examens, cela ressemblait plus à une véritable épreuve.

Dimanche matin, nous nous réveillâmes tous avec la boule au ventre. Le début des examens était prévu pour le lendemain, et le simple fait d’y penser nous donnait presque envie de ne pas petit-déjeuner. Nous nous forçâmes tout de même à aller dans le réfectoire pour manger quelques tartines. Une fois notre « repas » achevé, nous demandâmes à emprunter une salle de classe afin de réviser. Cette pratique était extrêmement utilisée dans cette école, cela permettait de pouvoir se consacrer au maximum sur nos révisions, bien que nous fussions cinq binômes par salle pour des raisons d’effectifs trop importants. Ainsi, dans notre salle, celle dont nous nous servions avec madame Nymphéa pour les cours de fellation et de cunnilingus, il y avait Alice et moi ; Mylène et Romaric ; et trois autres binômes de première année composés de personnes avec qui je n’avais jamais vraiment discuté. Il était à peine dix heures lorsque nous commençâmes.
-Alors, par quoi veux-tu commencer ? me demanda Alice.-Je laisse l’honneur à madame, répondis-je. -Comme tu voudras. Alors on va commencer par la pipe. Ensuite, tu me feras un cunni.
Je ne contestai pas et la laissai s’agenouiller devant moi. Son regard se posa alors sur mon membre n’attendant plus que d’entrer dans la bouche de ma dulcinée.
-T’es prêt ? me demanda-t-elle.
Pour lui prouver que oui, je fis un léger mouvement de bassin vers l’avant afin que mon gland entrât en contact avec sa joue.
-Je prends ça pour un oui.
Elle empoigna alors mon membre et entama une légère masturbation à l’aide de sa main droite. Il ne fallut que quelques secondes pour que sa bouche vînt prendre le relais. Lorsque ses lèvres se refermèrent sur mon membre, je poussais un râle d’extase. Ce râle prit de l’ampleur lorsque je sentis sa langue titiller mon gland, dansant autour de sa tête comme une patineuse le ferait sur une couche de glace. Il ne me fallut que quelques secondes pour jouir dans sa bouche, satisfait.
-Tu as été parfaite, la complimentai-je.
Elle me sourit pendant qu’elle se relevait pour m’embrasser.
-Maintenant, c’est ton tour de déguster, me dit-elle en me faisant signe de m’agenouiller. Et pour cette fois, j’ai envie de rester debout.
J’obéis à sa demande et me mis à genoux. Là, je passais la tête entre ses jambes pour masser son sexe avec ma langue. Là encore, elle jouit en quelques minutes à peine.

Midi sonna, et Alice et moi avions revu tous les domaines étudiés cette année. De l’amour sensuel au SM en passant par le jeu de rôle, rien n’avait échappé à nos révisions. Nous allâmes vite dans le réfectoire afin de nous remplir la panse. Aujourd’hui, gratin de chou-fleur délicieux et crème brûlée en dessert. Lorsque nous eûmes finis de manger, nous retournâmes dans nos salles respectives afin de poursuivre nos activités. Là-bas, nous apprîmes que ma sœur et Romaric avaient eux aussi revu tous les points essentiels.
-J’ai une idée, dit alors Mylène.
Romaric, Alice et moi-même l’écoutâmes attentivement.
-Depuis le début de l’année, nous nous entraînons toujours sur la même personne. Je propose que nous échangions de binôme afin de pouvoir nous adapter à un rythme différent.
L’idée nous parut excellente, si bien que nous l’adoptâmes aussitôt. Ainsi, j’allais pouvoir pratiquer de nouveau, sur Mylène et non plus sur Alice. Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas eu de tels rapports avec ma sœur, et je devais avouer que cela me manquait. La dernière fois remontait à nos retrouvailles, après que Fabian nous avait séparés.
-Je propose que l’on commence par une fellation, frérot. Ou peut-être préfères-tu autre chose ?-Non, c’est très bien comme ça, répondis-je.
Elle me sourit et aussitôt se mit à genoux. Comme Alice l’avait fait, elle débuta avec sa main avant de jouer de sa bouche devenue experte. Lorsque ses lèvres recouvrirent la peau de mon membre, la sensation de ces lèvres me ramena en arrière, quand Mylène avait encore dix-huit ans.

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-Dis, frérot. Aujourd’hui, c’est mon anniversaire, et je me suis dis que tu pourrais me faire un petit cadeau.
Je la regardais, impatient de savoir ce qu’elle désirait.
-Tu sais, je t’ai vu sous la douche, ce matin, grand frère. Et je ne sais pas pourquoi, mais j’ai eu comme une envie de découvrir ton corps, à la manière des adultes. Après tout, je suis une adulte depuis ce matin.
Je la regardais, intrigué. J’avais parfaitement compris ce qu’elle voulait. Elle voulait me sucer. Goûter à cet organe qui faisait de moi un homme. Un homme adulte. Si au départ, j’avais dans l’idée de refuser, un unique mot sortit de ma bouche : d’accord. Je vis son visage s’illuminer tandis qu’elle se laissa tomber à genoux, son visage devant mon entre-jambe. Sans perdre de temps, elle passa sa main sur le tissu.
-C’est déjà tout dur, dit-elle impressionnée.
Elle baissa mon pantalon et mon boxer, laissant apparaître la bête. Elle commença par une moue intimidée, puis elle se décida à envelopper ce membre dans sa main de jeune adulte.
-C’est tout chaud et tout dur, dit-elle comme hypnotisée. On ne se rend pas compte de ce genre de choses, dans les pornos.
Elle ne parla pas plus et fourra mon membre dans sa bouche.

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Mylène me suçait divinement bien. Elle jouait de sa langue à la perfection, chatouillant mes parties, du gland jusqu’aux testicules. Je gémissais sans retenue. Ces sensations de chaleur, de confort et d’inceste me montaient à la tête, démultipliant mon plaisir. J’avais l’impression de profiter autant que s’il s’était agi d’Alice. Je fus alors pris de violents spasmes et, sans prévenir, mon nectar se déversa dans la gorge de ma sœur. Elle ouvrit de grands yeux surpris, mais ne laissa s’échapper aucune goutte. Elle avait même enfoncer mon pénis jusqu’à ce que son front touchât mon pubis. Lorsqu’elle eut terminé, elle se releva, la bouche vidée de toute substance étrangère.
-Bon sang ! Tu es sûr qu’Alice t’a déjà pompé, grand frère ? J’ai l’impression que ça fait des mois que tu t’es pas lâché.-C’est pas ça, souris-je bêtement. C’est juste que... ça me rappelle le passé.-Et quel moment, si je puis me permettre ?-Notre première fois.-Celle où je t’avais mordu quand tu t’es mis à éjaculer ? Je pensais que tu l’avais oublié.
Je ris. Je n’avais pas oublié ce moment. Je n’avais perdu aucune des secondes qui s’étaient écoulées ce jour-là.
-Bon, c’est pas tout ça, mais à toi de faire tourner ta langue, répliqua-t-elle. Je te rappelle que t’as un examen à réussir.
Je hochai la tête tandis qu’elle s’allongea par terre en écartant les jambes. Je suivis le mouvement et plaçai mon visage devant ses parties intimes. Pour la seconde fois, mon passé revint à la charge.

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-Tu as aimé, frérot ?-C’était parfait jusqu’à ce que tu ne me mordes, dis-je en grimaçant.-Oh, je t’ai mordu ! Désolée, je n’avais pas fait attention. Ça va ?
Je hochai la tête en tentant de sourire. La douleur était vive, mais je suppose que c’était normal.
-Tiens, pour me pardonner, je te laisse ceci.
Elle se leva et ôta son pantalon en jeans. Sa culotte noire suivit le mouvement, ainsi que son haut et son soutien-gorge. Ma sœur était nue, devant moi. Je me demandais vraiment si ce que je vivais était réel. Elle s’assit par terre et écarta les jambes avant de poser un doigt sur ses lèvres intimes humides.
-Tu as le droit de me mordre si tu veux te venger, dit-elle.
Je balayai cette remarque de la main tandis que je posai mes lèvres sur les siennes, qui m’attendaient en bouillonnant entre les jambes de cette nouvelle adulte. Lorsque ma langue commença à chatouiller ses lèvres internes, elle se cambra et bascula en arrière. Elle poussa un long râle et posa sa main à l’arrière de ma tête en resserrant les jambes. Je dus taper plusieurs fois sur ses cuisses avant qu’elle ne comprît que je ne pouvais plus respirer. Désolée, avait-elle dit. Je ne m’arrêtai pas pour autant, au contraire mes mains allèrent attraper ses seins et pincèrent ses tétons durcis par l’excitation. Elle poussa un nouveau cri avant de se laisser séduire par ma langue.

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Je m’étais à peine rendu compte que j’avais commencé le cunnilingus de ma sœur. Je me rendis même compte que j’avais terminé lorsque je sentis son vagin se contracter et m’asperger de cyprine.
-Tu avais l’air dans le vent, me dit-elle après s’être calmée.-J’ai encore pensé au passé, lui répondis-je simplement.

Nous passâmes en revue les différents exercices vus cette année et nous y exerçâmes. Je découvris notamment que ma sœur préférait la corde aux menottes. Vint enfin l’exercice que nous avions gardé pour la fin : l’amour sensuel. Nous étions tous les deux épuisés, et d’après ce que je pouvais voir, Alice et Romaric semblaient s’amuser en haletant. Ma sœur s’allongea donc sur le sol, et moi au-dessus d’elle. Mon pénis vint alors frapper à la porte de son vagin. Lorsqu’il entra, une chaleur anciennement habituelle m’envahit. La dernière fois que je l’avais ressentie, c’était en compagnie de ma sœur et d’Alice, dans la salle de bain, pendant cette baise à trois. Celle qui m’avait redonné le sourire. Pendant la totalité de nos ébats, je ne pouvais m’empêcher de me remémorer notre toute première fois. C’était la veille de notre départ pour l’école, juste après que j’eusse frapper ma mère pour sauver Mylène de ses assauts pugnaces. Je fus ramené à la réalité par les hurlements de plaisir de ma sœur. S’il y avait bien un détail que je ne pouvais pas oublier, c’était celui-là : ma sœur criait beaucoup, du moins avec moi. Il ne me fallut que quelques secondes pour me vider dans son utérus. Au même moment, elle éjacula pour la seconde fois, arrosant les poils de mon pubis d’une eau à laquelle ils n’avaient plus l’habitude.
-Bon sang, j’envierais presque Alice. J’avais oublié que tu baisais comme un dieu.-À ce point là ?-On ne te l’a jamais dit ? Tu es le Zeus de mon mont Olympe, et j’adore recevoir ton foudre.
Je me mis à rire, et apparemment Alice avait entendu, car elle-aussi pouffa de rire.
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