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Ecole du sexe

Chapitre 18

Les examens, deuxième partie

Hétéro
    Lorsqu’Alice et moi-même quittâmes la salle, nous exaltions. Notre performance avait plu à l’examinateur, et plus important encore, nous avions adoré la mettre en scène. Je me revoyais jouer le médecin, ma blouse blanche recouvrant ma peau nue, et effectuer ces divers petits jeux érotiques à ma petite-amie. De son côté, Alice semblait également ravie. Elle m’avoua même qu’elle voudrait faire ce genre de choses plus fréquemment.     Nous passâmes le reste de la journée à espérer que nos amis, notamment Stéphane et Véronica, parvinssent à décrocher ce diplôme de fin d’année.    Le soir même, Alice et moi allâmes dans notre chambre et, défaisant les draps rouges recouvrant notre petit nid douillet, nous y plongeâmes avant de nous reposer, épuisés par nos prestations.

    Le lendemain matin, nous nous réveillâmes de bonne humeur. Le contraste avec la nuit précédente était flagrant ; nous pouvions même dire que nous avions dormi comme des loirs. Alice et moi nous réveillâmes, nus -comme toujours- et prêts à en découdre.

        Onze heures sonnèrent aux horloges de l’école. Pour la plupart des étudiants, cela ne signifiait qu’une seule chose : il ne restait plus qu’une heure avant de profiter des bienfaits apportés par la nourriture proposée au réfectoire. Pour nous, en revanche, cela marquait le début de notre nouvelle épreuve : la sodomie.
-Tu es prête ? demandai-je à Alice.-Autant que toi, voire plus, sourit-elle.
En lui prenant la main, nous avançâmes vers notre prochaine salle d’examen. À l’intérieur, des rangées de tables avaient été ramenées dans le fond de la salle, c’était d’ailleurs la seule chose, hormis le tableau à craies accroché au mur à gauche de l’entrée, qui nous laissait deviner qu’il s’agissait d’une salle de classe. Seule une table et une chaise n’avaient pas été déplacées, et notre examinateur, un grand homme de couleur portant des lunettes de vue, un costume accompagné d’une cravate et, probablement, d’un pantalon que nous ne pouvions distinguer à cause de la table placée devant lui, y était installé.
-Vous êtes bien Alice Grossun et Bastien Gépadidé ?
Nous acquiesçâmes, incapables de prononcer le moindre mot à cause du stress qui, subitement, avait fait son grand retour dans nos esprits échauffés par ces journées laborieuses.
-Vous pouvez commencer quand bon vous semble, nous précisa l’examinateur.
Nous inclinâmes la tête, preuve que nous avions entendu. Alice et moi nous lançâmes alors un dernier regard complice avant qu’elle ne se dirigeât vers le bureau de l’examinateur et se pencha en avant, bombant son postérieur avec grâce. L’examinateur, quant à lui, s’était levé en maintenant sa cravate d’une main afin qu’elle ne s’envolât pas et, désormais, se trouvait accolé au mur présent à notre droite, entre deux fenêtres, seules sources de lumière de la pièce. Je me plaçai alors derrière ma bien-aimée et lui caressai les hanches avec mes mains. Alice ronronnait faiblement tandis que mes mains se rapprochaient de ses fesses. Lorsqu’elles les atteignirent, Alice commença à dandiner, soit par impatience, soit par l’effet du stress. Mes mains caressèrent son épiderme et je ressentai du plaisir à procurer ce bien à Alice. Mais peut-être ce plaisir venait-il plutôt de la jambe de ma dulcinée qui, dans un mouvement périodique, venait frotter mes parties génitales, désormais à l’optimum de leur dimension. Doucement, mes doigts se rapprochaient de son antre, celui qui, pour cet examen, allait faire office de sujet. Suivant le rythme de mes mouvements, les respirations d’Alice se faisaient plus bruyantes et bien plus enivrantes. Lorsque mon index atteignit son passage secret, je sentis des frissons parcourir mon corps. Alice, de son côté, tremblait ; elle semblait attendre impatiemment la suite des événements. Moi aussi, me devais-je d’avouer. J’approchai alors lentement mon bassin de son fondement qu’Alice avait, une petite dizaine de minutes auparavant, enduit de lubrifiant afin de ne pas être blessée.
-Tu es prête ? lui demandai-je en me retenant de m’introduire en elle sur le champ.
-Plus que jamais, répondit-elle dans un murmure brûlant.
Sa réponse suffit pour que je fisse avancer mon bassin de quelques centimètres. Mon sexe, tendu contre le sien, s’introduisit en elle sur ce même rythme lent mais agréable. Plus je m’avançais dans son antre étroit, plus je ressentais les contractions de son corps resserrant l’étau humide emprisonnant ma colonne de chair. Plus j’avançais profondément dans son fondement, plus ses cris devenaient puissants. Plus je m’enfonçais en elle, plus je me sentais heureux de partager ma vie avec cette femme. Lorsque mon pubis, que j’avais rasé -pas entièrement- pour les examens, toucha la rondeur de son postérieur, je fermai les yeux et appréciai l’instant. Je me rappelai alors de notre première rencontre, à Alice et moi. C’était le tout premier jour. C’était lors de notre épreuve d’admission. Après l’avoir sauvée d’un élève aux mœurs répugnantes, j’étais devenu son partenaire et j’avais dû l’officialiser par une sodomie. Cette époque me semblait lointaine, révolue, mais cette époque me tenait à cœur. Toutefois, au jour d’aujourd’hui, j’appréciais plus encore les bienfaits du corps de ma dulcinée. Décidé à partager le plaisir que je ressentais, j’entamai des mouvements de va-et-vient en elle. Alice gémissait chaque fois, et j’aurai pu mettre ma main à couper qu’elle ne simulait aucunement. Sortir de son corps, y entrer à nouveau. Sortir derechef, entrer derechef. Seul comptait se mouvement, doux et passionné, érotique et poétique, magique et réel. S’ensuivirent plusieurs minutes au cours desquelles mes émotions ne changèrent pas le moins du monde. Alice non plus, si j’en croyais ses couinements. J’attrapai ses cheveux blonds et les regroupai en queue de cheval lorsque je m’aperçus que quelques-uns de ces derniers s’introduisaient malencontreusement dans sa bouche et, cela va sans dire, la gênaient, bien qu’elle ne l’admettrait pas.
-Alice, je ne vais plus tenir très longtemps, gémis-je faiblement.-Alors évacue, hurla-t-elle presque. Je ne tiendrais plus très longtemps, de toute façon.
Ne la contredisant pas, lorsque je sentis mon membre sur le point d’exploser, je ne me retirai pas et laissai s’échapper ma semence dans son anus. Je poussai de longs râles d’extase lorsque plusieurs giclées se dégagèrent de mon uretère étroit pour se déverser dans le fondement d’Alice qui, appréciant cette chaleur gluante mais familière, jura de bonheur. Lentement, lorsque je m’étais entièrement vidé, je sortis et regardai le résultat. Son anus, désormais dilaté, laissait s’échapper un mince filet blanchâtre qu’Alice ne tarda pas à récupérer de son doigt et à mettre dans sa bouche, pour m’exciter plus encore, sans doute. Je l’entendis déglutir, ne quittant pas mes yeux de ses deux iris marron.
-Vous aviez l’air en parfaite harmonie, jeunes gens, nous interrompit l’examinateur. Vous pouvez être fiers de vous, vos notes seront excellentes.
Nous ne réalisâmes pas aussitôt, encore perdus dans les souvenirs de notre passé commun, notre premier pas l’un vers l’autre. Nous revînmes tout de même à la réalité assez rapidement et, heureux d’avoir réussi notre troisième épreuve, quittâmes la salle de classe pour rentrer dans notre chambre. Là, parmi la vingtaine de lits drapés de rouge, nos amis, ceux qui ne passaient pas en ce même moment un examen, nous demandèrent comme cela s’était passé. Lorsque nous leur posâmes la question en retour, nous obtînmes majoritairement la même réponse positive, sauf pour quelques personnes un peu particulières que je n’avais, je ne pouvais que l’admettre, pas remarquées et dont j’oublierai très probablement les visages dans un futur très proche. Au fur et à mesure que la conversation suivait son cours, de plus en plus d’étudiants nous rejoignaient, sortant tout juste de leurs examens. Il ne s’écoula que quelques minutes supplémentaires lorsque la sonnerie du château retentit : il était l’heure de manger.

Après nous être empiffrés de frites accompagnées d’un steak haché recouvert de fromage et d’une rondelle de tomate, et d’une petite tartelette aux framboises et au chocolat blanc, nous regagnâmes nos chambres jusqu’à ce qu’Alice me rappelât que nous devions nous rendre à notre prochain examen qui débuterait dans une petite dizaine de minutes. Sans paniquer plus que nécessaire, nous traversâmes les différents couloirs du château, longeant des salles de classe, libres comme occupées. Nous arrivâmes devant la salle suivante, dont la porte était grande ouverte, sept minutes en avance. Nous nous arrêtâmes au seuil de l’entrée et attendîmes que l’examinateur nous fît entrer.
-Alice Grossun et Bastien Gépapied ? résonna une voix féminine.-C’est Gépadidé, répondis-je en l’entendant écorcher mon nom.
Nous entrâmes dans la salle, comprenant que l’appel de nos noms fit office de signal. Nous trouvâmes alors une salle de classe ordinaire qui, contrairement à la précédente, celle dans laquelle notre examen de sexe anal s’était déroulé à merveille, n’avait pas été rangée ; les tables étaient alignées par rangée, deux chaises en face chacune. Au niveau du tableau, à notre gauche, nous vîmes une femme brune, âgée environ de la quarantaine, avec un visage aussi naturel que peut l’être un tas de fond de teint décoré avec du mascara, de l’eyeliner et du rouge à lèvres. Je m’attendais presque à trouver, derrière sa robe bleue descendant jusqu’à mi-cuisse, des porte-jarretelles. Lorsqu’elle se leva, je découvris ses talons aiguille et, tandis qu’elle prit ses précautions afin de descendre de l’estrade, je découvris qu’elle s’était effectivement munie de porte-jarretelles noirs. Elle nous rejoignit au milieu de la salle de classe en se présentant : elle s’appelait madame Lassalop (le -p ne se prononce pas, ne sombrez pas dans la vulgarité, chers lecteurs). Plus qu’impatient de quitter cette salle embaumée par le parfum de cette examinatrice, nous passâmes à notre examen d’anatomie. Sans surprise, nous réussîmes à placer toutes les parties du corps. Après tout, une femme ne peut en être une si elle ne sait pas où se situent des testicules. Nous quittâmes alors la salle, non pas sans profiter de l’air frais une fois sortis.
-Bon sang, qui aurait cru qu’on pouvait autant ressembler à du plastique ? se plaignit Alice.-Et ses parents ne lui ont jamais appris à économiser le parfum ? J’ai l’impression que mes narines vont exploser, ajoutai-je.-Y a pas à dire, c’est le pire exam qu’on ait eu à passer aujourd’hui.-Je te le fais pas dire. Et pourquoi ils font venir leurs examinateurs du bois de Boulogne ?
Alice ricana et surenchérit, mais ne put achever sa phrase parce que Stéphane, accompagné de Véronica, nous rejoignit. Alice me fit tout de même remarquer que quelques gouttes de sang perlaient le long de son pénis.
-Euh, tu coules, dis-je à mon ami tandis qu’il s’approchait.-Je coule ? Ah, ça ! réalisa-t-il. C’est rien. Enfin si, mais considérez que non.-Tu t’es fait ça comment ? demanda Alice.-J’ai paniqué pendant l’examen d’amour sensuel, répondit Véronica. Du coup, pendant la fellation, je l’ai mordu.
Je fermai les yeux en mimant un visage déformé par la douleur.
-C’était pas ta faute, lui assura Stéphane. L’examinateur est un vrai connard. Apparemment, il s’amuse à faire stresser les étudiants. Je ne suis d’ailleurs pas le seul à le dire. Tu peux demander à ta sœur. Pendant son tour, il a tellement fait stresser Romaric qu’au lieu de pénétrer le vagin de ta sœur, il est passé par son cul. Je te dis pas comment elle a hurlé, surtout qu’elle ne s’y attendait pas.
Je ricanai en imaginant la scène. Ma sœur et ses fameuses cordes vocales beaucoup trop puissantes pouvaient parfois hanter mes nuits. Alors l’entendre hurler, je ne voulais même pas imaginer.
-Bon, c’est pas tout ça, mais je dois vous laisser. Je vais à l’infirmerie avant que l’expression « pisser le sang » ne devienne littérale.
Il s’éloigna, Véronica sur les talons. Cette dernière semblait s’en vouloir, mais ce genre de problèmes pouvait arriver.
-Ils sont sympas, à nous faire stresser, ces idiots, rumina ma dulcinée.-Pourquoi tu dis ça ?-Parce qu’on passe l’épreuve d’amour sensuel dans une demie-heure, cervelle de crevette.-Cervelle de crevette ? C’est nouveau, ça.-T’as qu’à te rappeler de notre planning et je pourrais continuer à t’appeler petit cœur, petit cœur.-Je crois que je préfère cervelle de crevette, finalement, Tang’Alice.
Je ricanai et, feintant de bouder, elle se décida à me suivre pour ce qui devint un fou rire lorsqu’un malencontreux hoquet s’en mêla.

La demie-heure s’écoula, et bientôt nous nous retrouvâmes devant la salle de l’examinateur qui, d’après les échos que nous avions eus, n’était pas le plus sympathique des hommes. Lorsque nous entrâmes dans la salle, nous tombâmes nez-à-nez avec un homme miniature mesurant environ un mètre quarante. Ce dernier, habillé en jeans et chemise à carreaux bleus sur fond blanc, secoua ses cheveux grisâtres de cinquantenaire.
-Vous êtes Mylène Gépadidé et Romaric Gémaloné ?-Pas du tout, nous sommes Alice Grossun et Bastien Gépadidé, le corrigeai-je.-C’est ce que je voulais dire, ronchonna-t-il en rajustant ses lunettes de vue pour mieux voir le polycopié qu’il tenait dans la main.
Ni Alice et moi ne décidâmes de contredire cet homme qui, semblait-il, risquait d’être pénible. Nous nous avançâmes jusqu’au milieu de la pièce tandis que le petit homme se plaça en face de nous. Son visage m’arrivait au niveau de la poitrine, bien que je ne fusse pas grand. Toutefois, sa faible taille était un grand avantage lorsqu’il s’agissait d’observer les femmes, Alice dans le cas présent. Je ne pense d’ailleurs pas exagérer en disant qu’il n’avait qu’à s’avancer et ouvrir la bouche pour la téter.
-Vous savez ce que vous avez à faire, dit-il d’un ton désintéressé, alors faites-le.
Alice et moi nous regardâmes ; il n’était pas nécessaire de nous parler pour comprendre que nous étions prêts.
-Et si vous pouviez passer les préliminaires, ça m’arrangerait, commenta-t-il. J’ai d’autres groupes à faire passer.-C’est dommage, Alice et moi adorons les préliminaires. Nous ne faisons jamais rien avant d’en avoir fait.
C’était un mensonge, mais j’avais très envie d’agacer cet idiot d’examinateur.
-Vous savez que je suis seul juge, monsieur Gépapété. Je vous conseille alors grandement d’écouter ce que je vous dis, répondit-il avec une pointe d’agacement dans la voix.
Alice le regarda d’un air effaré, tout comme moi.
-Vous savez, je vous note pour baiser, pas pour rester les bras ballants. Alors fourre ta salope avant que je ne m’énerve ! s’emporta-t-il en nous voyant le fixer de nos regards énervés.
Le mot salope résonna dans ma tête comme une bombe. Il avait dit d’Alice qu’elle était une salope. Il l’avait insultée. Insultée de salope. Mon cerveau ne se fit pas prier pour entrer en éruption, et je ne me retins pas. Je m’approchai de notre examinateur et, afin de le regarder dans le blanc des yeux, je pliai mon genou droit. Son visage se crispa en me voyant faire.
-Vous savez, monsieur l’examinateur, vous n’êtes pas censé insulter les candidats.-Je n’ai insulté personne, rugit-il.-Alors pour vous, dire de moi que je suis une salope n’est pas une insulte, s’indigna ma petite-amie.-De salope ?! Mais ce n’est pas une insulte, ça ! C’est simplement …-Pas une insulte ! tonna Alice. Très bien, si vous le dites. Mais vous permettez tout de même que j’aille demander à monsieur Auburn ce qu’il en pense.-Nul besoin, très chère, répondit l’examinateur en tentant bien maladroitement de masquer la panique naissant sur son visage.-Si, j’insiste, poursuivit-elle. Je suis même certaine que vous mourez d’envie de m’accompagner ; après tout, si ce n’est pas une insulte, vous allez voir monsieur Auburn me rembarrer.
Des gouttes de sueur perlèrent sur le front de l’examinateur. Dès ce moment, Alice et moi devinâmes que nous avions gagné.
-Je suis désolé, ce n’est pas ce que je voulais dire. S’il vous plaît, ne lui en parlez pas. Je sais ! Si vous acceptez de garder le silence, je vous donne la note maximale !-Nous pouvons l’avoir sans votre aide, maugréa-t-elle.
L’examinateur semblait sur le point de baisser les bras. Resserrant le nœud de sa cravate, il tenta d’avaler sa salive sans bruit, mais ce fut un échec. Un bruit de déglutition résonna dans la salle de classe tandis que je me mis à réfléchir.
-Nous ne vous dénoncerons pas, dis-je alors.
L’examinateur me regarda avec une lueur dans les yeux.
-Avec une condition. Vous allez nous faire passer, à Alice et à moi, notre examen. Vous donnerez votre note, qui sera au pire bonne, assurément, et vous réajusterez les notes de tous ceux étant déjà passés avec vous. Après tout, votre attitude les a tous fait paniquer.
L’examinateur ne chercha pas à discuter et accepta de suite la proposition. Alice, bien qu’elle jouât le tyran quelques minutes auparavant, ne semblait pas contre cette idée.
-Je vous regarde, dit-il alors l’examinateur en s’asseyant sur la chaise du bureau normalement réservé au professeur. C’est quand vous voulez.

Je sentis qu’Alice allait rétorquer que nous n’avions pas besoin de sa permission, alors je me pressai de la rejoindre et l’embrassai fougueusement. Elle ouvrit de grands yeux surpris, mais après plusieurs secondes elle sembla participer à ce jeu auquel je l’avais invitée. Nous nous embrassâmes comme deux amants le feraient, comme les deux amants que nous étions. Nous nous servîmes de nos langues pour donner du plaisir à l’autre, et de nos mains pour en ressentir la chaleur. Nos esprits, en parfaite ébullition, s’accordèrent alors, et oubliant toute retenue je me baissai pour que mon visage atteignît le pubis de ma dulcinée. Elle n’eut guère le temps de souffler que ma langue, qui ne venait de se séparer de la sienne que depuis quelques secondes, frottait sa peau électrifiée par notre amour. Ma langue tournait autour de son sexe sans jamais le toucher, mes lèvres se fermaient pour aller embrasser ses cuisses, mes mains parcouraient le bas de son corps dans son intégralité. Incapable de tenir plus longtemps, Alice plaqua sa main contre l’arrière de mon crâne et écrasa ma bouche contre ses lèvres intimes. Là, refusant de la faire attendre, je m’occupai de lui faire savourer cet instant. J’usai de tout ce que j’avais appris cette année pour qu’Alice poussât de puissants rugissement tandis que son clitoris se retrouvait balader dans tous les sens, se faisait abandonner au plus grand plaisir de ses lèvres internes, pour ensuite le contenter à nouveau de mes lèvres venant l’aspirer.
-Bastien, tu me rends folle ! siffla-t-elle.
Un filet humide me toucha en plein visage. Je n’eus nul besoin d’ouvrir les yeux, que j’avais fermés afin de mieux ressentir l’exaltation du moment, pour comprendre qu’elle avait joui. Peu de temps après, elle perdit l’équilibre, si bien que je dus la prendre dans mes bras et la poser sur le sol, allongée sur le dos, afin qu’elle ne se blessât pas. Elle respirait bruyamment, faisant danser ses cheveux blonds en sueur à chacun de ses appels d’air. D’un coup d’œil, je remarquai que notre examinateur nous observait assidûment. Je décidai alors d’embrasser les seins d’Alice, d’abord sur sa peau, puis sur la limite de ses aréoles, et enfin sur les pics durs et arrondis de ses montagnes féminines. Petit à petit, mon visage descendit pour embrasser son ventre, son nombril, son pubis, son sexe. Je relevai la tête et aperçus les yeux marron d’Alice plongeant vers moi, vers mes lèvres qui lui procuraient tant de bien. Je lui souris avant de m’allonger sur elle, mon torse reposant sur ses seins doux et reposants. Alice posa sa main à l’arrière de ma nuque et inspira longuement tandis que mon sexe atteignit le sien. D’un mouvement lent, je la pénétrai jusqu’à ce que je ne pusse aller plus loin. Je commençais alors mes va-et-viens et lui fis l’amour avec autant d’entrain que mon corps pouvait encore donner.
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