Étudiante en communication, je viens de finir mes études. J’ai obtenu mon diplôme de justesse. Et on ne peut pas dire que ce soit grâce à un travail acharné. En effet, mes notes dépassent à peine la moyenne et parfois même sont passées légèrement en dessous. Mais je suis toujours parvenue à me rattraper. Seulement, à trop jouer avec le feu, parfois on se brûle. Et il a fallu que cela m’arrive alors que je passais l’examen le plus important de l’année. Celui qui décidait de l’avenir de chacun. Je l’avait raté. Les notes tombèrent, j’avais eu trois. Une note que je ne peux pas compenser. Après cette nouvelle, je suis rentrée chez moi. J’ai tourné en rond pendant trois bonnes heures, puis, je me suis décidée à aller en toucher deux mots à mon enseignant référent. Devant la lourde porte de son bureau, je me suis arrêtée un instant. Puis, je toquais :— Entre, me dit-il, justement je t’attendais.Je n’ai pas su quoi répondre. Il me regarda un instant, puis il repris :— Tu viens me voir pour ta note, n’est-ce pas ?— Oui, effectivement monsieur.Il savait pourquoi j’étais là, ce fut un grand soulagement pour moi, il allait peut-être être indulgent et m’accorder une meilleure note. Mais, je me trompais. — Écoute, reprit-il, j’ai jeté un œil à ton dossier scolaire, et crois-moi, avec ce qu’il contient, tu n’auras aucune chance d’intégrer la moindre école.J’étais consternée. D’une phrase, il venait de balayer tous mes espoirs. Des larmes commencèrent à couler le long de mes joues pour venir s’échouer sur ma poitrine opulente. Mon enseignant s’approcha de moi, il avait pitié. Il sécha mes larmes en passant ses doigts sur ma joue et sur mes lèvres. Dans son regard, je pouvais lire quelque chose d’étrange. Il me dit : Ce n’est peut-être pas complètement fichu pour toi. J’ai une solution à te propose.Je poussais un gros "ouf ! " de soulagement. J’étais prête à accepter n’importe quoi. — Cette solution est un peu particulière, mais, si tu l’acceptes, elle te permettra de valider ton année. Tu dois me donner une réponse maintenant.Je ne savais pas en quoi consistait sa solution miracle, mais c’était mon unique porte de sortie. J’acceptai.Il s’approcha alors de moi, par derrière. Il posa ses mains sur mes épaules et commença à me caresser. Je restai pétrifiée, je ne comprenais pas ce qu’il se passait, et je le laissais faire. Il me chuchota à l’oreille : " Toi, ma belle, je vais te prendre et tu vas adorer. A ce que j’ai entendu, ça ne va pas changer de tes habitudes." En effet, il n’avait pas tord. Pour financer mon année, je m’étais adonnée à une activité sexuelle soutenue. Il l’avait su par je ne sais quel moyen et il allait en profiter pour sûr. Il appuya sur mes épaule, me fit passer sous son bureau et sortit sa queue. Je savais ce qu’il attendais de moi, ce qu’il me restait à faire. Alors, j’attrapai son chibre et le mis goulument en bouche. J’imprimais un rythme régulier qui semblait lui convenir. Son sexe grossissait à mesure de cette félation et bientôt des spasmes le saisirent. Et des jets de sperme vinrent se projeter dans le fond de ma gorge. Ne pouvant faire autrement, j’avalais. Quelqu’un vint toquer à la porte. Je voulu me relever en vitesse, mais une main lourde sur mon épaule me fit comprendre que je devais rester dans cette position. La porte s’ouvrit. C’était un homme. Une discussion débuta. Ils parlaient de moi, de la catastrophe que j’avais été, du fait que l’établissement ne pouvait pas se permettre de garder de tels éléments entre ses murs. Il était question de réorientation. De nouveaux jets de foutre tapissèrent le fond de ma gorge et je n’entendis plus rien. L’homme sortit du bureau et mon enseignant me tira les cheveux pour me relever. Il me crasha au visage puis me dit : " Écoute, nous avons discuté de ton cas, et nous avons convenu que tu n’étais pas sur la bonne voie. Avec ce que tu viens de me donner, je t’accorde un passage au niveau supérieur, mais, nous avons choisi de t’orienter vers une voie qui te conviendra mieux. Nous en avons discuté avec tes parents et ils ont signé les autorisations, à partir de demain, de nouvelles perspectives vont s’ouvrir à toi.
