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Ecrivain à succès

Chapitre 1

Daphné bourgeoise de province.

Hétéro
Je suis écrivain, la belle affaire ! J’ai la chance d’en vivre bien, (ce qui est rare). Ce n’est pas le seul avantage de la notoriété, je suis doté d’un physique quelconque et d’un outil modeste, pas de quoi grimper au rideau. Plutôt âgé, la soixantaine, je suis parfaitement conscient que les dames ne s’intéressent pas de prime abord à mon physique commun, ni à mes capacités de Rocco sans les frères. Bref, je charme les donzelles par mes écrits romantiques qui les fascinent plus que tout. La ménagère de moins de cinquante ans et le style collection Harlequin n’ont pas de secrets pour moi et je fais vibrer par mes écrits la gent féminine au niveau des petites culottes.
Mes collègues sont hélas un peu méprisantes vis-à-vis de moi et de mon "talent". Ils méprisent cette littérature de gare, mais ils envient mon compte en banque, mes voitures et mes conquêtes avec l’aigreur d’un pickles oublié dans un bocal. Il est aussi une chose qu’ils exècrent, c’est cette maudite clause de représentation dans les salons, la plupart évitent cette corvée avec mépris et dédain. Le peuple, les lecteurs, les fans, toute cette population hétéroclite et agaçante qui vous encombrent comme des morpions à l’entrejambe. Bref, tout le contraire de moi qui sait amener non pas l’eau à mon moulin, mais à ma bouche ... car les salons constituent mon terrain de chasse favori. Mon éditrice me félicite à chaque fois de ce zèle persévérant, mais elle m’affuble toujours d’attachés de presse, moches comme des poux pour éviter des doléances post évènementiel.
J’avais la fâcheuse tendance à une époque de me taper celles-ci aussi, ce qui occasionnait des jérémiades sans fin pour obtenir mes coordonnées parisiennes. Ma bienfaitrice, lassée et un peu jalouse prit très à cœur de me gratifier de filles "cageots fin de marché", pour me "récompenser". Elle en jouait avec défiance et amusement, comme un jeu de fête foraine, un "chamboule tout" de créatures picaresques, certaines même avaient de la moustache, un comble pour moi qui suis un esthète. Cette "coutume" instaurée l’amusait beaucoup et c’était pour elle un véritable challenge, obligée à chaque ville de changer de "collaboratrice mocheté".
Nous étions au début de l’été, dans la bonne ville de Dijon et la fin de matinée arrivant, je n’avais toujours pas trouvé de "proies comestibles". La salle était immense et il faisait une chaleur à rôtir un diable en enfer. Je m’apprêtais à faire une pause lorsque j’aperçus brièvement une silhouette empressée dans les travées. Le colis semblait tout à fait consommable, mais je fus distrait par une rombière roucoulante qui sentait le suint et l’eau de Cologne bon marché. Je fis de mon mieux pour sembler affable, mais j’avais besoin d’une pause et j’expédiais l’affaire rapidement, en prétextant ma pause déjeuner et la chaleur. Je me baissais pour ramasser ma bouteille d’eau, j’avais maintenant une bouffée subtile de cédrat délicieuse dans les narines. Devant moi se tenait, essoufflée, une charmante apparition. Elle commença par s’excuser:
— Je suis désolée, je vous ai entendu avec la femme devant moi, vous allez partir ?— Bonjour Madame, je ne vais pas vous faire l’affront de refouler une charmante lectrice comme vous.
J’appuyais mon propos par un sourire carnassier qui ne laissait aucun doute sur ma satisfaction à contempler un chef-d’œuvre de cette classe. Ce "canon" correspondait exactement à mon type de femme. Grimpée sur des escarpins de prix, qui lui tournaient des mollets tendus et idéalement proportionnés, prolongeant des cuisses fines et longues, la taille bien prise sous une poitrine ample et dressée vers le ciel et le plus beau c’était ce teint de porcelaine qui anoblissait son décolleté malgré un temps de canicule brunissant les peaux dénudées. Son ovale était fin et racé, des yeux bleus presque violets lui mangeaient le visage encadré par une coupe de cheveux courts, blonds presque blancs. Quant à sa bouche, joueuse avec des lèvres charnues et plissées, un carmin magnifique et classe l’ornait, assorti à ses ongles manucurés. Des dents blanches parfaitement alignées enfermaient une langue rose et lascive que l’on avait envie de dévorer.

Avec la chaleur, je perdis mes moyens face à cette apparition miraculeuse, je bredouillais pendant que d’autres personnes approchaient. Elle me tendit juste un bouquin en se penchant vers moi, m’offrant la vision épique de ses seins magnifiques qu’elle n’avait pas jugé bon de soutenir. Son parfum délicat m’envahissait et elle me murmura à l’oreille.
— Osez me surprendre ! J’écrivis sans rien dire presque en transe mon numéro de téléphone, sur la troisième de couve, endroit dissimulé si vous voulez laisser une trace discrète dans un bouquin. Je la vis partir, le pas assuré avec un sourire sur les lèvres, elle avait un cul à damner un sein, voire les deux. Idiot absolu, je n’avais pas demandé son prénom. Je me débarrassais des derniers aficionados et épiais mon téléphone. Un MERCI ! En lettres majuscules s’affichait, je répondis immédiatement.— Où êtes-vous ?— Parking.
Je me dépêchais de sortir, la chaleur était à son apogée, un vrai four, je le vis au loin, adossée à un cabriolet noir d’une marque allemande.Je me précipitais pour l’embrasser, elle se déroba :
— Non, je suis connue ici, Dijon c’est ma ville.— Mais j’ai envie de vous embrasser, j’ai envie de vous étreindre.
Elle regarda sa montre et m’invita à la suivre, nous repartîmes dans l’immense bâtiment vers le pilier ouest, les toilettes s’y trouvaient. Elle me fit signe d’y rentrer en ayant pris soin de constater que personne n’y était. Elle s’engouffra dans le chiote handicapé, plus vaste et plus adapté pour des échanges à deux. Elle était surexcitée et mordillait la langue de son écrivain favori. Quelqu’un entra, elle mit un doigt sur sa bouche le temps que la personne se lave les mains et se rafraîchisse. Après son départ, elle dit juste :
— Je suis pressée, j’ai une verticale dans vingt minutes, une petite pipe, ça vous va ?
La phrase et la question me firent bander encore plus fort, elle s’assit sur le trône et dégrafa sa robe rose de Thuringe, le rose va bien aux blondes. J’avais une vue plongeante sur sa poitrine abondante, laiteuse, je pouvais suivre les veines bleues les parcourir. Pendant ce temps, sa langue jouait habilement autour ma verge l’inondant de salive et goûtant avec délectation mon fluide séminal. Elle avait fait une moue dubitative quand elle découvrit mon engin en dégrafant mon 501. De mon expérience pléthorique, je savais que les petites bourgeoises de province constituaient la base des meilleures salopes sur cette planète et particulièrement dans ce pays. Dans les années 60/70, il n’y avait pas besoin d’actrices porno, beaucoup de désœuvrées femelles s’occupaient à des occupations récréatives et sexuelles, pour le plus grand "bénéfice" des producteurs de films et pas queue... que ! La dame aurait pu faire ça avec passion malgré ses 45 ans qu’elle ne faisait pas.
Mais elle s’occupait de vins et spiritueux, une autre occupation de goût, d’où la verticale. Elle en avait mesuré et descendu quelques-unes et sa langue agile et habile me fit gémir rapidement, je me retirais par réflexe et inondais son corps, sa robe et sa bouche qu’elle se précipita d’ouvrir pour recueillir le sperme de son idole. Elle nettoya tout précautionneusement comme un tapir sur une fourmilière. Elle sortit un kleenex de son sac pour finir de dissimuler ma maladresse, elle souriait tel un ange et se tapota la commissure de ses lèvres comme après une bonne bouchée clôturant un bon repas. Elle se leva dans un bond, baissa sa culotte et se rassit en urinant avec délice. Elle reboutonna sa robe pendant son soulagement, elle souriait toujours. Je n’avais toujours rien dit, elle prit un autre kleenex et essuya son sexe détrempé. Malgré mon égoïste comportement, je lui avais fait manifestement de l’effet.
— Au fait, je ne me suis pas présentée, je m’appelle Daphné ! en finissant de reboutonner mon jean avec beaucoup de soin. Elle sortit de la salle en m’invitant de vite la suivre, un homme n’a rien à faire dans les toilettes dames surtout maintenant. Je la vis disparaître dans les travées, son cul était une invite... Je lui envoyais un texto explicite :— Votre cul est une invite, j’adorerais le visiter...
La seule réponse fut :— ?????????????????
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