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Edith soumise...soumise II

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
EDITH SOUMISE…SOUMISE II (suite)

UNE SOIREE SURPRISE. II

RAPPEL :
EDITH 1M65 50 ans 60 kgs 90/60/90 BLONDE
MARIE 1M65 25 ans 55 kgs 95/55/90 BLONDE MOI 1m85 51ans 85 kgs POIVRE ET SEL
…………….La nuit est tombée et nous nous dirigeons vers la voiture, vous vous demandez si je vais ou pas vous dire de fermer vos robes. Mais comme nous sommes à deux pas, je ne dis rien. Marie ouvre la voiture et vous vous dépêchez de rentrer à l’intérieur. Ce n’était que la première journée de notre trio de Maître/Soumises.SUITE…………………………………..
CHAPITRE 01 De la suite
Nous démarrons et je donne mes directives de route, rue après rue ; afin d’éviter qu’elles devinent de suite ou nous allons.Quand je dis à Marie de rentrer dans un parking, Edith se tourne vers moi :
« Maître, c’est bien la boîte à laquelle je pense ? »« Oui tout à fait, mais tu connais ? Y es-tu déjà allée ? »« Non Maître jamais, j’ai eu envie de m’y rendre mais je n’ai jamais eu l’occasion, ni personne pour m’accompagner. »« Alors cela sera encore une première pour toi et je pense aussi pour ta soumise. »Je sors un petit sac et donne à chacune un string rouge.Marie nous écoutait sans comprendre la particularité de ce lieu.
« Marie, c’est une boite libertine et échangiste, cela te fait peur ? » « Non Maître, c’est vous et Maîtresse Edith qui décidez, mais ça me stresse un peu quand même » 
« Allez, avancez. »Je sonne, et une femme habillée très sexy vient nous ouvrir« Bonsoir, entrez ; vous êtes trois ou attendez des amis ? »« Non, que nous trois »« Suivez moi, voilà le vestiaire, vous pouvez y ranger les vêtements que vous voulez retirer, et vous gardez la clé, le bar est sur votre droite, le dancing en face sur votre gauche, et les salons divers à l’étage. »« Bien, allez au vestiaire et gardez vos strings, puis venez me rejoindre au bar. »« Que nos strings, Maître ? »« Je parle chinois, araméen ou grec, nous reparlerons de cette question à la maison »Edith compris qu’elle n’aurait jamais du poser cette question et exécuter immédiatement, elle s’attend à une punition.Je m’installe au bar où je règle le prix de nos entrées et commande une bouteille de champagne.Elles reviennent, se tenant par la main, sous le regard intéressé de plusieurs couples, et surtout d’un couple de femmes.Edith prend place à ma droite et Marie à ma gauche.Nous trinquons à cette soirée, tout en regardant les couples danser, et plus précisément un couple de femmes sensuellement enlacées sur la piste au rythme d’un slow langoureux. Elles doivent avoir entre 35 et 40 ans. L’une brune et l’autre une vraie rousse. « Allez les rejoindre, que je compare la sensualité que vous pouvez mettre dans une danse, mais ce couple a déjà mis la barre haute…! »
Piquées au vif par ma remarque, elles finissent leur deuxième coupe et partent vers la piste.A peine arrivées elles s’enlacent, mais à l’envers l’une de l’autre, Edith collée dans le dos de Marie, les mains jouant avec les tétons, les pinçant, tout en les étirant, lui embrassant la nuque et le cou.Marie n’est pas en reste, passant les mains derrière elle, elle s’empare des fesses de sa Maîtresse et les pétrit. Elles ondulent, Marie se baisse en se frottant tout le long du corps à la descente et à la montée. Elles se donnent à fond en jetant de temps un coup d’œil de mon côté, cherchant dans mon regard de l’envie ou de la satisfaction.Les deux autres femmes, tout en dansant se rapprochent d’elles, elles sont visiblement attirées par mes soumises.Elles sont très proches et se parlent. Laissant Marie sur la piste, Edith vient vers moi : « Maître, elles voudraient s’isoler dans un salon privé avec nous. »« C’est ok, mais à une condition, je serai présent. »
Elle retourne vers les trois autres, puis viennent toutes les quatre vers moi.
« Bonsoir monsieur, mon amie Christine et moi Martine sommes très heureuse de vous rencontrer. Nous sommes lesbiennes, mais occasionnellement nous ne dédaignons pas une jolie bite. Elles nous ont dit qui vous étiez et devons nous vous appeler aussi Maître ou Monsieur ? »« Pour l’instant appelez moi William, et tout dépendra de la suite si vous aurez le privilège de me nommer Maître.Mais montons à l’étage et montrez moi ce que vous savez faire pour satisfaire  ‘’un spectateur’’. »
La brune 1m65 environ, je note un 90C en poire et une belle cambrure.La rousse 1.70 environ, je note pour elle un 95C très ferme et aussi une belle cambrure.Tous les cinq montons à l’étage et je choisis un salon que l’on peut fermer et aveugler les vitres par des rideaux.Les robes et les strings volent vite à travers la pièce pour se retrouver toutes les quatre nues.Elles n’ont pas attendu pour se jeter les unes sur les autres, c’est un enchevêtrement de jambes, de bras, de cuisses, de seins.Après un moment, j’interviens :« Doucement mes chéries, j’aimerai bien voir un joli carré. »Edith a tout de suite compris et se place entre les cuisses de Christine et se met à la lécher, offrant sa vulve à Martine qui elle offre la sienne à Marie qui elle-même colle sa bouche aux lèvres de Christine.C’est un concert de gémissements, de ‘’AHHH’’ de ‘’OUIIIII’’. Elles sont déchaînées.Marie et Christine jouissent au même moment, suivies de près par les deux autres femmes. Elles s’allongent un peu essoufflées. Edith se tourne vers moi et voit que l’ai retiré ma chemise, mon pantalon et mes sous vêtements. Ses yeux se fixent sur mon sexe tendu, en se léchant les lèvres. Elle vient vers moi et sa langue vient s’enrouler sur mon sexe avant de l’aspirer et de le prendre dans sa bouche.Les trois autres enlacées nous regardent langoureusement enlacées. Et regardent Edith me sucer en se demandant si elles pourraient prendre sa place.« Tu vas les faire se mettre à quatre pattes, le cul tourné vers moi et toi aussi. »
Edith s’empresse de les faire mettre dans la même position qu’elle-même. Je mets un préservatif. Je me lève et je l‘enfile d’un seul coup, la faisant gémir. Cinq allers et retours et je passe à Marie, puis de même avec la brune et la rousse. Puis je recommence avec Edith, je sens ma propre jouissance monter. Mais je continue de l’une à l’autre et j’explose dans le sexe de Christine, la rousse.Edith me retire mon ‘’emballage’’ et se jette sur ma queue pour la lécher et recueillir le sperme qui coule encore. Puis embrasse Marie pour lui faire partager.Christine se tourne vers moi : « Hum c’est rare que nous passions à la bisexualité, mais la relation que vous partagez avec vos deux compagnes nous a émoustillées et nous avons eu envie de le faire avec vous. »«Vous m’en voyez ravi et le plaisir est partagé. Si vous le désirez, nous pouvons nous revoir et même ailleurs. Je suis même sur que ces deux là ne seraient pas contre, voire même plus» « Je vous laisse mon numéro au bar, car nous allons rentrer, nous sommes ravies de notre soirée, car trop souvent nous sommes importunées par des hommes seuls qui ne comprennent pas notre envie d’exhibitionnisme et sont très lourds dans leur façon d’être. » Me répond Christine. « Ce sera avec plaisir, vos amies sont en plus très jolies et très douces, et merci pour cette soirée très agréable. »Rajoute Martine.Elle se penche vers moi, non pour me faire la bise, mais à ma surprise pour m’embrasser, imitée par son amie. Puis elles se tournent et embrassent aussi mes compagnes.
« Merci pour cette soirée Maître, et pour cette surprise, vous ne manquez jamais d’idées. Pensez-vous avoir envie de les revoir ? »« On verra, tout dépendra de vous deux et surtout toi, on continuera cette conversation à la maison »
Nous allons nous rhabiller et rentrons chez elle.Arrivés, je demande à Edith de se déshabiller et d’aller chercher la boite d’accessoires. Elle me regarde un peu surprise, mais s’exécute. Je fouille dans la boite qu’elle m’a apportée. C’est à ce moment que je lui dis de se mettre à genoux sur le fauteuil et je tends le martinet que j’avais sorti, à Marie.
« Tu vas lui donner cinq coups sur les fesses, mais je te préviens que si tu ne mets pas de l’énergie, tu en recevras dix par moi. Et elle les recevra quand même par moi. Fais-le. ! »
Marie tourne vers moi le regard suppliant. Mais comprend qu’elle n’a pas le choix. Les larmes aux yeux elle donne un premier coup rosit les fesses blanches devant elle, un second les strie un eu plus et au cinquième elles sont devenues rouges écarlates. « Edith je pense que tu sais pourquoi. »« Oui Maître, pour ma question. »« Très bien. »
Nous allons nous coucher pour nous reposer.La journée de demain leur réserve quelques surprises et mettre à l’épreuve leur obéissance totale.
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