Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 50 J'aime
  • 1 Commentaire

Edith soumise...soumise II

Chapitre 3

Avec plusieurs femmes
Edith soumise…soumise B03

Chapitre 03

15H00 pile, la sonnette de la porte d’entrée, tinte.
— Edith va ouvrir. — Dois-je me vêtir ? — T’ai-je dit de le faire ? File, tu es à la maison, donc nue. !!!
Elle ouvre la porte en se cachant un peu derrière pour qu’on ne la voit pas trop de l’extérieur, mais reconnaissant les deux femmes, elle ouvre plus, au risque de se faire voir, mais trop contente de les faire entrer.Christine et Martine entrent, et on lit sur leurs visages un peu de surprise de voir que leurs hôtesses étaient nues.
« Bonjour Christine, bonjour Martine, je vois que vous êtes ponctuelles, et j’apprécie.»« Bonjour Monsieur William.» disent elles en cœur.
Je les embrasse toutes deux, puis ce sont à mes soumises de leur dire bonjour.« Vous avez, il me semble, parlé de notre relation avec ces deux là. »« Oui et cela nous tente de faire un essai.»« Donc vous allez vous vêtir de votre nudité de suite. »
Sans hésiter un instant, elles se déshabillent et ne mettent pas longtemps à se retrouver nues car elles ne portent qu’une robe pour tout vêtement. Elles déposent leurs vêtements sur une chaise, et viennent près de moi.
« Vous êtes aussi jolies de jour que de nuit.»« Merci Monsieur William. »
« Edith et Marie vont vous accompagner dans la chambre et vous allez vous habiller toutes les quatre. »Je sors du sac que j’ai rapporté les bas et les 4 robes identiques que nous avions acheté et qui avaient surpris mes soumises qui n’avaient pas compris pourquoi quatre.Riant et gloussant, elles vont vite obéir à ma demande.Elles reviennent vêtues, et en les regardant on a l’impression que se sont des quadruplées, si ce n’est la couleur et longueur de leur chevelure. Elles ne cessent de rire et de se regarder l’une l’autre.
« Vous êtes toutes superbes. Que pensez-vous de mon idée ? »« Vous avez toujours des idées surprenantes et très excitantes ? »Me répond Edith. « Tu vas aller chercher la boite que tu sais.»
Dès qu’elle est de retour, elle me la tend.
« Voilà 2 plugs et 2 œufs que vous allez porter pour notre promenade. Christine choisit en premier, puis Marie.»
Christine choisit un plug et tend un œuf à Martine.Marie fait de même et tend le plug à Edith. Je vois bien qu’Edith est contrite de ne pas avoir été la première à choisir.
« Très bien, il y a 10 boutons pour fermer votre robe, et j’ai décidé qu’à chaque gémissement de la part de l’une d’entre vous, elle devra défaire un bouton, alternativement en haut puis en bas, en cas de jouissance ce sera cinq boutons à défaire. Pour Edith et Marie je n’ai pas à leur demander mais vous deux, êtes-vous d’accord ?»« Oui, nous sommes d’accord avec vous Monsieur William.»
C’est encore Christine qui répond et je vois que c’est elle qui dirige le couple qu’elle forme avec Martine.
Tout le monde monte en voiture et je me dirige vers un parc connu de cette ville. Edith et Christine à mes bras et chacune tenant la main de Marie et de Martine.Je peux vous assurer que nous ne passons pas inaperçus… !Ca ne cesse de parler et de jaser sur notre passage. « Haaa »Je me tourne vers Martine, et elle comprend qu’elle doit ouvrir un bouton. Puis c’est au tour d’Edith de devoir en ouvrir un. Est-ce de voir les deux ouvrir un bouton que les deux autres doivent à leur tour faire de même.Ayant dans ma poche les télécommandes des plugs vibrants et des œufs vibrant, je déclenche à petite vitesse les 4. C’est un sursaut à tour de rôle pour chacune. Deuxième bouton.
J’arrête les vibrations, puis les réenclenche un cran au dessus.Troisième bouton, pour les quatre. Je choisis la commande de Martine et la met en vitesse maxi. Il ne lui reste plus que deux boutons au niveau de la taille. Me rappelant les paroles de Christine en boîte, je pense que cela ne gêne pas trop Martine car elles ont un peu exhibitionnistes.
A chaque pas les pans s’écartant, on aperçoit alternativement sa poitrine et ce n‘est pas pour me déplaire, car elle est jolie et perchée haut, puis ses cuisses et son pubis nu.Je réitère sur Edith, la sachant très sensible de l’anus. Même résultat. Elle se mord les lèvres pour ne pas hurler en public.Mais elle doit faire pareil et cinq boutons de moins.
Heureusement pour elles que nous arrivons à la sortie du parc et que nous retournons vers la voiture.Je prends la direction d’une des collines de la ville, d’où nous avons une vue splendide.
Arrivés sur place, je mets toutes les commandes au maximum, et toutes se mettent à jouir. Ce qui implique qu’Edith et Martine ont leur robe entièrement ouverte et qu’il ne reste que 2 boutons à Marie et trois à Christine.
« Vous n’allez pas être en retrait de vos compagnes… Maintenant je veux voir toutes les robes déboutonnées. Et vous allez vous mettre l’une près de l’autre, dos à la ville. Je vais vous prendre en photo et garder un joli souvenir de ce premier âpres midi ensemble… Je vois que je n’ai pas besoin de vous dire de vous serrer… »
Je ne me prive pas de les shooter et de les faire changer de position. Là où nous sommes il n’y a personne. Alors elles n’hésitent pas à se découvrir et à me dévoiler leur corps admirables.Des baisers volent de temps en temps. Ce qui n’est pas pour me déplaire, l’excitation monte, sachant que je vais surement en profiter un maximum ce soir.
Je mets un haut-là à cette exhibition, et nous remontons en voiture, en leur demandant de remettre leur robe mais de ne pas les fermer. ; Ce qui ne gêne pas les trois derrière, Edith étant devant se sent isolée, mais n’ose pas se rebeller.Arrivés devant sa maison, elles descendent en se précipitant à l’intérieur.
« Alors quelles sont vos réactions sur notre promenade ? Edith, Christine, Marie et Martine»« C’était très excitant et à refaire. »« Nous n’avons jamais été aussi loin, mais j’aime. »« Un seul mot, hum. »« Je suis encore toute mouillée et je recommence à votre choix.»« Très bien alors, Edith va chercher deux contrats vierges.»
Elle s’exécute, le temps de les imprimer et elle revient avec les feuillets.
« Nous avons du temps avant le repas, alors vous allez lire attentivement ces contrats et ne les signerez ou pas qu’après avoir bien lu chaque point. Sachez que pendant la durée du contrat vous pourrez le rompre si vous le désirez mais en aucun cas désobéir à un seul point. Edith tu vas bien leur expliquer chaque point. Mais sache que tu seras responsable avec Christine de toute désobéissance des deux autres, et toi responsable de celle de Christine.»« Oui Maître. »
Je sens bien qu’elle est ravie de se savoir 1ere soumise et que d’une certaine façon les trois autres sont les siennes.Je m’isole pour appeler un traiteur pour nous apporter le repas du soir que je veux être une fête.
Je reviens dans le salon et les trouvent enlacées les unes avec les autres, les mains virevoltent sur les corps alanguis. Une euphorie sexuelle règne dans la pièce, ce qui n’est pas pour me déplaire et envisage une soirée et nuit très chaude.
Je remarque que toutes les quatre sont nues, et juste vêtues de leurs escarpins.Elles vont ensemble préparer la table. Je prends une bouteille de champagne pour l’apéritif, et nous trinquons ensemble.
La sonnette retentit, Edith se lève, mais je l’arrête et demande à Christine d’aller ouvrir. Les yeux du livreur ont failli sortir de sa tête.Il la suit jusqu’à la cuisine avec les paquets contenant notre repas. Je vais les rejoindre et demande au livreur si il désire un pourboire, ce qu’il décline en me disant que le spectacle vaut tout les pourboires du monde.
« Je vois que tu es connaisseur, alors laisse moi t’en offrir un peu plus. »
Et je le dirige vers le salon où sont assises les trois autres. Là j’ai l’impression de me trouver devant le loup de Tex Avery, qui à la langue qui tombe parterre.
« Merci jeune homme, je ne te retiens pas plus car tu dois avoir d’autres livraisons. »« Vous êtes un homme comblé et merci pour le spectacle.»« Alors mesdames, ce jeune homme mérite un petit bisou pour ce bon repas qu’il nous a apporté. »
Toutes les quatre se ruent sur lui pour lui faire une bise et il repart avec quatre traces de rouge sur les joues. Il ne s’est pas privé de laisser trainer ses mains, ici sur un sein, là sur une fesse. Qui lui en aurait voulu dans le même cas.
(Pour les gourmand(e)s, une terrine de volaille noisettes et riesling en entrée, suivi d’un poulet aux morilles qui précède une omelette norvégienne le tout accompagné de champagne.)
De temps en temps, lors du repas, l’une de mes convives sursaute car je détiens toujours les télécommandes dans ma poche. Cela fait glousser de rire les trois autres non concernées.
Le repas se termine avec beaucoup de gaité, car nous en sommes, avec l’apéritif à la troisième bouteille de champagne.Je m’installe au salon et je bois un café pendant que mes abeilles s’affairent pour rendre tout nickel.
« Edith et Christine, venez ici.»« Oui Maître. » Répondent elles en cœur.Je remarque le changement pour Christine. « Alors tu as bien lu tout le contrat, et qu’en penses tu ? »« Edith nous l’a bien expliqué, Martine et moi en connaissance et en accord nous le signons. De plus vous nous avez laissé la possibilité d’y mettre fin à notre guise ce qui est un plus pour notre signature. »« Très bien, alors vous savez qu’en dehors de vos obligations familiales et professionnelles, vous devez vivre ici et être à mon entière disposition. Alors d’accord je vous accepte toutes deux.»
Elles sont enchantées, et en parlent aux deux autres qui viennent d’arriver. Je demande à Marie d’aller me chercher les cordes qu’elle connait.J’en tends une à Martine et une à Marie.
« Vous allez attacher Edith et Christine de façon à ce qu’aucun mouvement ne leur soit permis. »
Je les fais mettre à genoux de manière à ce qu’elles puissent voir tout ce qui va se passer. Marie commence par Edith avec l’aide de Martine, puis sa tâche réalisée en fait de même avec Christine.
« Maintenant vous allez enlever vos accessoires et les mettre à ces deux chiennes. »
Christine et Edith se retrouve donc avec un œuf vibrant et un plug vibrant dans leur intimités. Je les mets en vitesse lente. Cela fait gémir les deux ‘’engodées’’ sans qu’elles puissent bouger.
« Celle qui jouit sans mon accord, recevra dix coups de fouet et aura le droit de passer la nuit à la cave. Martine et Marie, venez près de moi et mettez moi en condition»
Elles se précipitent sur mon sexe et me lèchent, me caressent et m’embouchent à tout de rôle. Je suis de plus en plus dur. Etant assis sur le canapé, je fais approcher Marie et lui dis de s’empaler sur mon sexe. Elle vient me chevaucher et doucement descend jusqu’à ce que ma queue soit totalement en elle puis commence à monter et descendre.
Martine vient derrière Marie et l’embrasse dans le cou tout en empaumant ses seins dont les pointes sont dures et tendues. Il ne faut que quelques allers retour à Marie pour se mettre à jouir.Je la fais descendre et demande à Martine de prendre sa place, mais de dos, et c’est sa petite étoile que je vise.
Ca lui est un peu douloureux, car n’étant pas habituée à la sodomie, mais s’encule d’elle-même. Après un temps, elle commence à monter et descendre. J’en profite pour caresser son clito en la besognant de plus en plus fort. Elle gémit puis se met à jouir en embrassant Marie.Je me retourne vers les deux autres qui en bavent d’envie. Alors je prends les télécommandes et augmentent la vitesse d’un cran,
Diffuse en direct !
Regarder son live