Edith soumise…soumise B07 Chapitre 07 Je prends mon téléphone et envoie un message à Edith. « Soyez prêtes à 15h00 toutes les quatre. »« Bonjour Maître, Oui Maître, quel habillement désirez vous ? »« Une robe de cocktail sera très bien, mais avec des escarpins de 10 cm pour chacune et bien sur aucun sous-vêtement. »« Il en sera fait suivant vos désirs Maître. » Puis à Christine. « Alors Christine, comment ont-elles réagi après mon départ, ça a du piailler… »« Bonjour Maître, elles ont vraiment eu peur que vous ne les jetiez et de ne plus vous revoir, elles sont vraiment prêtes à tout. Il me tarde d’être à nouveau dans vos bras si doux. »« Bien, tu choisiras une robe noire, pour cet après-midi et demande leur de faire pareil. J’ai bien envie de faire de toi ma première soumise. Qu’en dis-tu ? »« Oh Maître, j’en serai plus que fière et heureuse. Mais cela ne va pas créer un froid avec Edith ? »« Elle n’a rien à dire sinon, dehors. Ma première soumise doit être la première à obéir et non a mettre en doute mes choix. Bon à tout à l’heure et pour info j’ai envie de te voir te masturber et gicler devant moi, ça m’excite. Mais nous garderons cela pour des têtes à tête dans la semaine. » Je suis heureux de la tournure que prennent les évènements. Et pour leur montrer un peu ma satisfaction, je décide en ce dimanche après-midi de les emmener en discothèque, histoire de rigoler et en plus j’adore danser. Ca va drôlement jaser quand je vais entrer dans la discothèque accompagné par ces quatre femmes.Mais j’ai envie de jouer un peu avec ces mâles qui se croient irrésistibles auprès des dames. Je me rends chez Edith, elles sont toutes prêtes et impatientes de savoir où nous allons. Dès que j’annonce le lieu, elles piétinent de joie.Elle me tend un sac avec les accessoires que je lui avais demandé.Je le vérifie et le pose dans un coin près du fauteuil. « Edith, voilà 100€, tu paieras l’entrée de vous quatre et commanderas une bouteille de champagne. »
« Mais Maître, vous ne venez pas avec nous ? »« Si mais 15 minutes avant vous. Je serai assis un peu à l’écart. Après vous viendrez m’inviter à tour de rôle à danser, vous pourrez danser les musiques style disco, mais vous refuserez toute danse avec un autre homme. Suis-je clair ?»« Oui Maître il en sera suivant vos désirs. »Elles prennent la route en direction de la ‘’boîte de nuit ‘’ toutes les quatre dans sa voiture.Je les précède à un peu à distance. Arrivées sur place, je les vois toutes heureuses de cette sortie. Je regarde l’effet que leur entrée fait.Il y en a deux ou trois au bar qui ressemblent au loup de Tex Avery, d’autres qui se redressent et estiment qu’ils n’auront aucun problème pour séduire.Moi devant mon café, j’ai envie d’éclater de rire. Au bout de 10 minutes, Edith se lève et vient vers moi. « Voulez vous me faire danser Monsieur ? »« Mais avec grand plaisir. »Nous dansons deux marches et elle dit d’une voix sonore« Voulez-vous vous assoir à notre table, je suis avec mes amies. »« Mais j’en serai enchanté. » Et me voilà assis entre Christine et Edith, Marie et Martine assises en face de moi.Combien de regards haineux et d’autres envieux viennent se poser sur moi. Des slows débutent et j’emmène Christine sur la piste.Une volée de moineaux s’abat sur la table que je viens de quitter, mais qui repart aussitôt sous les refus reçus…Christine et moi qui regardons la scène, et on se marre, mon but recherché a très bien marché.. « Maître vous allez être maudit par tous ces machos. Hihi »« C’est un peu le but, car tu sais qu’à part quelques uns on demandait à certaines de mes cavalières, pourquoi elles dansaient avec ‘’l’arabe’’ »« C’est stupide surtout que vous êtes loin de l’être et de plus je préfère votre religion à cette autre. Je suis contente de vous faire plaisir. »« Tu sais la bêtise humaine est la seule chose qui donne une idée de l’infini. On va en mettre une couche, embrasse-moi » Je n’ai pas le temps de fermer mes lèvres que déjà sa langue joue avec la mienne dans un baiser passionné et furieux.Je sens des dizaines de paires d’yeux sur nous, mais je m’en fous, je suis bien.La série finie, nous retournons à la table, main dans la main.Je commande une nouvelle bouteille de champagne, et pour me remercier toutes les quatre à tout de rôle me font un léger baiser sur les lèvres… Série de tangos, je me lève et entraîne Marie sur la piste, cette fois ci peu de demandes auprès de mes compagnes, mais toujours autant de refus de leur part.Retour main dans la main aussi avec Marie, mais cette fois je m’assieds entre elle et Martine. Une nouvelle série de disco, les quatre sont autour de moi, comme faisant un barrage, sans pour autant ne pas en profiter pour se frotter contre moi ; surtout Martine avec qui je n’ai pas encore danser. On joue la séduction.Je jubile. Les cancans vont bon train, mais je m’en fous totalement. Cela ne changera rien pour moi, mais cela me permet de remettre à leur place surtout un grand imbécile qui se croit être irrésistible et le tombeur de ces dames. Et ayant reçu plusieurs refus de mes compagnes, il est vexé comme un pou.« Vous savez Maître, le grand là bas au bar est venu trois fois, il a insisté jusqu’à ce que je lui dise que je ne dansais qu’avec des hommes et pas des anciennes gravures de mode démodées. Vous auriez vu sa tête, je lui aurai donné une gifle, il n’aurait pas été plus vexé. »« Bien agi, bon nous allons rentrer et je vous veux toutes disponibles à l’arrivée à la maison ?»D’une voix assez forte, Martine :« Vous voulez partager notre dîner de ce soir, et si vous n’avez rien à faire… notre nuit. »« Je suis à votre service mes …dames. »Nous nous levons et partons, sous le regard de dizaines de paire d’yeux. Dès la sortie, nous éclatons de rire en imaginant les commentaires qui ont pu fuser après notre départ.Ne voulant pas faire de jalouses, je repars seul et elles ensemble.Arrivant chez elles, elles sont toujours hilares. Mais je les fusille du regard, Christine la première comprit et ne mit pas plus d’une minute à se retrouvée nue et suivie par les trois autres. Je m’assieds sur le fauteuil et prends le sac d’achats.Je fais signe à Edith de venir et gifle ses seins de façon à faire un peu se tendre ses tétons afin d’y poser une paire de pinces, puis l’envoie s’assoir sur le canapé, puis fis signe à Christine, qui avait trituré ses seins pour que ses pointes soient bien saillantes. Je lui fixe aussi une paire de pinces, puis fais de même avec les deux autres. Puis je rappelle Edith pour lui en poser sur ses lèvres intimes et les relie aux deux autres par une chainette. Puis au tour de Christine. Même traitement et c’est au tour des deux autres. Je tire un peu sur leurs chainettes et elles gémissent un peu sans se plaindre. « Bon il est peut être l’heure de dîner, et lentes comme vous êtes si je veux manger dans une heure il serait temps de vous y mettre. Et je ne veux pas être déçu sinon vous dormirez toutes à la cave.» Elles partent à la cuisine et pendant que deux préparent la table, les deux autres s’agitent en cuisine. En quinze minutes la table est dressée, l’apéritif est prêt et je sens une bonne odeur venir de la cuisine. C’était bien présenté et alléchant, mais je ne voulais pas leur laisser voir ma satisfaction. « Pour tout le temps que vous avez passé, c’est vraiment moyen, mais j’ai faim alors je m’en contenterai pour cette fois ci, mais je vous préviens que le prochain week-end on va faire autrement. Vendredi soir Edith tu nous prépareras le repas et la table, samedi midi ce sera Marie, samedi soir Christine et Dimanche midi Martine. Et dimanche soir, je serai peut être seul, ou à deux, trois, quatre ou à cinq, ce que je doute fortement. Il n’y aura pas de retour possible.» Elles se regardèrent inquiètes, toutes les quatre toujours devant moi les mains dans le dos. « Vous avez une semaine pour y réfléchir et trouver comment me satisfaire, car au cas que vous l’ayez oublié, vous n’êtes là QUE pour me servir, pour ma satisfaction et mon bien être et cela doit être le seul but de votre vie. Suis-je assez clair ? »« Oui Maître. » Répondirent-elles toutes les quatre. « Bon servez moi, » Comme à mon habitude je me mets en bout de table et à ma droite Edith et Marie, à ma gauche Christine avec Martine. Edith me sers mon plat et Christine me sert à boire. Je commence à manger. Elles me regardent pour savoir si c’est à mon goût avant de se servirent elles même. Le repas se déroule bien car tout est délicieux. Les bouteilles s’étant succédées, elles sont un peu grises et rient pour un rien. Moi je ne bois que modérément. A la fin du repas, je me lève et elles en font immédiatement autant. « Edith, va me chercher un café et une bouteille de champagne pour vous. » Elle s’exécute, pendant que les autres se dépêchent de desservir.Je m’assieds au salon, elle revient avec mon café et le champagne. L’alcool fait encore de l’effet car elles rient sans cesse. Nous parlons de cet après-midi et nous convenons que cela nous a plu à tous.Je les fais s’aligner devant moi et leur enlève les pinces. Elles sursautent quand le sang afflue à nouveau dans leurs tétons et leurs lèvres maltraités. « Bon, à partir d’aujourd’hui, En dehors de vos obligations professionnelles et familiales, vous ne serez avec moi du samedi midi au dimanche soir. Vous pourrez être ensemble si vous le désirez, mais devrez répondre au moindre de mes appels. J’ai une question pour vous toutes.Êtes-vous d’accord pour avoir ma marque posée juste au début de votre sillon fessier ? »« Une marque ?? Un tatouage ?? Une marque plus indélébile ?? »Me demande Edith. « La seule réponse que j’attends c’est oui ou non! Et pas de question. Edith mets toi à genoux, Marie va chercher un fouet et donne lui 10 coups, et si tu n’y mets toute ta force tu en recevras 10 par chacune des autres. »Elle s’exécute et avec des larmes dans les yeux, fouette sa maîtresse. Des stries rouges balafrent son dos et ses fesses. Les coups se succèdent. Elle sert les dents pour ne pas hurler de douleur. « Bon, je repose ma question. Qui est d’accord? »« Moi, Maître. » Me répond Christine« Moi aussi Maître » Répondent en cœur Edith et Marie. « Désolé Maître, désolée Maîtresse, mais je vais devoir vous quitter tous à regret. C’est non.» « Très bien Martine, c’est ton choix et je le respecte. Vous autres serez au courant d’où et quand, pour votre marquage. J’ai une question pour toi Marie ; tu le fais pour moi ou pour ta maîtresse ? Et sois franche, je le saurai. »« Si ma maîtresse le fait je dois suivre sa volonté, et le faire aussi. »« C’est bien ce dont je me doutais, tu préfèrerais peut-être un E à la place d’un W ? »« Si je peux répondre sincèrement, je vous dirai oui. ! Car si je suis à vos ordres, je suis totalement amoureuse et l’esclave de Maîtresse Edith»« Donc pour ta franchise, il sera fait ainsi, ce qui entraîne que tu ne participeras plus à toutes nos sorties, mais tu devras quand même répondre à tous mes appels ? »« Oui Maître. Merci Maître. »« Martine, dis moi le pourquoi de ta décision ? »« Voilà, j’aime nos délires sexuels, mais c’est vrai que d’être une esclave, un objet… me gêne beaucoup ; de plus je suis beaucoup plus lesbienne qu’hétéro. Et me faire marquer comme un cheval ou un objet me bloque totalement. »« C’est très bien, je te sentais un peu lointaine dans mes bras et me doutais de tes penchants, je ne t’en veux pas et si de temps en temps tu veux voir Christine, et si elle le désire, je ne l’empêcherai pas de te voir.Bon maintenant que les choses sont au clair, je peux vous dire que c’est exactement ce à quoi je m’attendais. Nous allons maintenant tous rentrer, je vous recontacterai »« Merci Maître pour ce week-end formidable, il me tarde de vous retrouver et connaître vos nouvelles idées pour nous. »« Christine a répondu pour moi, c’est aussi mon idée. Des fois je me demande jusqu’où vous irez et nous emmènerez, mais je sais que je vous suivrai toujours. Je vous remercie aussi pour tout, Maître.»« Aurevoir mesdames, je vous dis à très bientôt. Quand à toi Martine, si tu as envie de nous rejoindre pour certaines soirées, il te suffira d’en faire la demande. Bonne nuit. » Je rentre chez moi, et me repose.
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