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Éducation dans l'arrière-cour

Chapitre 1

Hétéro
Je m’appelle Jeanne, et j’ai 28 ans. Cela fait maintenant plus de 5 ans que je suis avec mon actuel compagnon, dont trois années de vie commune. Nous nous aimons d’un amour agréable et sincère, et Pierre me comble au quotidien dans tous les domaines.Professionnellement, c’est lui qui m’a poussée à progresser pour obtenir la place que j’occupe actuellement au sein d’un bureau d’architectes renommé.Physiquement, je m’entretiens au quotidien pour lui plaire et pour être bien dans mon corps. Sport, soins de mes longs cheveux bruns, crèmes pour la peau. Tout est bon pour être parfaite.Émotionnellement, je coule de paisibles jours, agrémentés de quelques touches de surprise de temps à autres, qu’il sait apporter à l’improviste pour égayer notre routine.Sexuellement, nous explorons. Les ébats passionnés de nos débuts ont laissé la place à une sorte d’habitude régulière, parsemée de découvertes qui surviennent dans notre lit quand l’envie nous en dit. Et ceci n’est pas pour me déplaire !Ce dernier point était jusqu’à maintenant peut-être un peu moins flamboyant que les trois autres, mais il restait tout à fait honorable. L’histoire que j’écris ici est le début d’un tournant dans notre vie sexuelle, mais aussi amoureuse. L’automne fait rage, en ce jour pluvieux à souhait, qui ressemble à une bonne partie de la saison dans notre petite ville de campagne. Pour une fois, je termine mon travail dans la ville voisine une bonne heure avant la fin de la journée.•    Je prends sur mes heures de récupération, Antoine.•    Pas de souci, bonne soirée à toi !•    Salut !Travailler avec des collègues aussi souples de caractère, c’est une chance. Antoine est mon supérieur direct, mais c’est quelqu’un de très détendu. De plus, la qualité du travail que je fournis au quotidien depuis mon arrivée ici l’année dernière a eu tôt fait de me le mettre dans la poche.C’est aussi grâce à mon travail acharné que je peux me permettre ce genre de largeur au niveau de mes horaires de travail.Après un retour rapide sous un parapluie dégoulinant, une tasse de thé fumante m’attend devant un livre douillet. Alors que j’entame le second chapitre de cette comédie romantique, j’entends les pas de Pierre dans le couloir de l’immeuble. Il me vient alors une idée.Espiègle, je range rapidement ma tasse et cours me cacher dans la grande penderie de notre chambre. Alors que j’entends la clé tourner dans la serrure, je referme rapidement la porte de la garde-robe devant mon nez. Je laisse tout juste un espace de quelques millimètres pour pouvoir observer la pièce sans être vue.Mon ventre bout d’excitation, et je dois calmer ma respiration pour entendre mon compagnon retirer ses chaussures et parcourir l’appartement. Apparemment, il décide de se diriger vers la chambre. Pas étonnant, étant donné que son PC est dans cette pièce. Il passe une première fois dans mon champ de vision, un verre d’eau à la main. Le verre d’eau émet un bruit mat en rencontrant la surface boisée du bureau, et tandis que l’ordinateur démarre, je l’entends ouvrir les tiroirs de sa table de nuit. Je ne vois pas tout de suite ce qu’il y prend, mais quand il va s’asseoir, je le vois poser une boite de mouchoirs à côté du verre. Ne me dites pas qu’il va se...Je me mords la lèvre inférieure pour retenir un petit rire. Mon cœur bat à se rompre. Nous nous autorisons pleinement l’un et l’autre se genre de petits plaisirs, mais le fait de l’observer, cachée à quelques mètres à peine de lui... je trouve cela particulièrement plaisant. Alors qu’il soupire et lance une vidéo pornographique dont j’ignore le contenu, je l’observe se lever, et retirer son pantalon.•    Bon, j’ai 30 minutes pour moi, lance-t-il à voix basse avec un petit sourire en coin.Comme si je l’en empêchais quand je suis là !Avec un soupir qui fait vibrer ma poitrine et mon bas ventre à l’unisson, il s’affale sur la chaise de bureau et passe plusieurs fois la main devant lui. Je devine son érection à l’orientation de ses gestes, que je ne vois que depuis l’arrière, un peu sur son côté. Je retiens mon souffle alors que je le vois entamer un va et vient énergique. Il est silencieux, et plutôt absorbé par ce qui se déroule à l’écran. D’après ce que je peux voir depuis ma cachette, il s’agit d’un couple qui se lance dans des ébats tout ce qu’il y a de plus classiques. Puis, d’un coup, sa main gauche se lève pour prendre quelque chose de l’autre côté du clavier. J’entends juste un bruit liquide, que j’interprète tout de suite comme étant celui d’un flacon de lubrifiant que l’on presse.Étonnant, mais pourquoi pas. Les bruits qui s’en suivent sont, sans surprise, un peu plus mouillés. Tout comme mon entrejambe, que je presse à défaut de pouvoir le soulager sans sortir de ma cachette...Ses gémissements virils s’élèvent, et alors qu’il accélère ses gestes, je craque et je plonge une main dans ma culotte. Bon sang, qu’est-ce que je suis trempée ! Je concentre tous mes efforts pour ne pas faire de bruit. Chose qui est très compliquée avec une telle quantité de fluides débordants de mon intimité... Mes mouvements se font aussi frénétiques que les siens, et ma respiration commence à saccader.Au moment où j’ai l’impression qu’il va jouir, il pivote sur sa chaise et se tourne vers la porte du placard où je me cache.•    Sors de là, je t’entends trop pour continuer tout seul, claironne-t-il avec un grand sourire.C’est alors que je le regarde, par la fente que j’ai laissée en me cachant. Aussi essoufflée que lui, je sors d’un pas mal assuré.
•    Depuis quand est-ce que tu sais que je suis là-dedans ?•    Depuis quelques minutes, mais je n’en étais pas tout à fait sûr, au début. Alors, tu as apprécié ce que tu as vu ?Je vois où il veut en venir. Cependant, j’hésite à lui rendre la chose aisée...•    J’ai beaucoup aimé, en effet. Dommage que tu m’aies grillée, on s’est interrompus...•    Oh, je ne voyais pas ça comme une interruption.•    Ah oui ?•    Oui, je pensais plutôt que tu pourrais... m’aider.Je ricane doucement, en essayant de prendre un air détaché.•    Mais tu m’as l’air de tout sauf de quelqu’un dans le besoin... Regarde ton sexe, il a l’air très heureux du traitement que tu lui faisais subir !•    Oui il l’est. Cependant, je serais très heureux que tu t’occupes de lui, pendant que je m’occupe... du reste.•    De... ?C’est alors que je remarque un détail étrange. L’inclinaison de son bassin laisse apparaitre, de façon très discrète, un objet sombre sous ses bourses. Alors que sa main lubrifiée passe autour de ses généreux attributs, l’extrémité d’un jouet apparait complètement dans mon champ de vision. Ce dernier a l’air profondément enfoncé dans le sillon de ses fesses. Mes yeux s’écarquillent sous le coup de la surprise. J’ai l’impression de redécouvrir en un coup d’œil l’homme qui se tient sous mes yeux. Non que cela me paraisse interdit, ou tabou. Mais on parle actuellement de Pierre. L’homme hétéro à 100%, qui n’a jamais évoqué la moindre suspicion d’envie de ce côté de son anatomie.Je m’en veux actuellement pour le doute qui vient de surprendre ma conscience. Je me rappelle alors d’un article récemment lu. Plaisir anal et orientation sexuelle n’auraient que très peu de liens. Je rougis, prenant alors conscience que mon amant se dévoile ainsi à mes yeux, sans crainte de mon jugement.•    Pierre, je...Les mots ne me viennent pas, et tandis que je tente de m’extraire de mon mutisme, je vois sa main qui continue à caresser doucement sa queue ainsi que ses précieuses...Je décide alors de me reprendre, et tombe à genoux devant lui. Mes mains caressent avec délice ses cuisses, savourant le contact de ses muscles velus. Hésitante, je le prends en main, considérant avec curiosité son doigt qui se prend dans l’anneau du jouet dépassant de lui.Alors que je presse doucement sa queue au creux de ma poigne, je le vois rejeter sa tête en arrière, et bouger lentement le gode. L’amplitude de ses mouvements est faible, mais à chaque centimètre de mouvement, je sens une série de vibrations émaner de son sexe rutilant de plaisir.J’entame un mouvement de masturbation appuyé, motivée par la goutte qui coule du gland jusque sur mon poignet. Mon entrejambe, à l’unisson, dégouline le long de l’intérieur de ma cuisse.C’est avec un plaisir mutin que je glisse mon autre main dans l’intimité de ma culotte détrempée. Ma bouche s’écrase goulûment sur son manche brûlant, tandis que j’écrase méticuleusement mes petites lèvres et mon clitoris.Tandis que nos respirations s’accélèrent, je le sens se tendre de plus en plus fréquemment. Mes jambes suivent la même tendance, ignorant la douleur qui se propage dans mes genoux engourdis.•    Jeanne, je vais…•    Mmh…?Alors que je l’accueille dans le fond de ma bouche, je glisse ma main libre sur la sienne. À tâtons, mes doigts trouvent l’anneau, et je pousse d’un petit coup sec le jouet. Le jet chaud arrive en même temps que ma jouissance.

Ce fût ma découverte du plaisir anal masculin, avec Pierre. 
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