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L’éducation de Denise Ch. 01

Chapitre 1

Les Confidences

Inceste
L’obéissance de Denise Ch. 01.
Les Confidences

Ce récit est véridique, seuls les prénoms noms et lieux ont été modifiés.

Un dimanche après-midi, mon épouse Carole m’appelle pour me donner et s’enquérir des nouvelles, mais surtout pour me rappeler de monter chez Denise passer la soirée avec elle, cela lui ferait plaisir. Je lui réponds que ce n’était pas assuré que cela lui ferait plaisir et qui pour ma part ne me procurerait pas un agréable passe-temps, mais que pour lui faire plaisir à elle seule, je consacrerai la soirée à Denise.
Le soir, je monte chez Denise et après avoir sonné, j’ouvre avec nos clés. Elle est assise à sa place ordinaire en regardant la télévision qu’elle a éteinte immédiatement, ce qui n’était pas dans ses habitudes. Elle me demande si je voulais boire un verre, je lui dis que je ferais le service et si elle voulait un soda ? Elle me demande un verre de vodka.
Le temps de présenter les verres, je vous présente les caractères essentiels de notre famille.Denise est ma belle-mère, et si elle est belle tant dans son physique que dans son titre, elle ne l’est pas du tout dans son caractère.Carole est âgée de cinquante ans et est mon aînée de dix ans. Je suis Bernard âgé donc de quarante ans et marié avec Carole depuis onze ans. Carole avait voyagé depuis deux mois à Montréal au Canada pour assister sa fille (d’un premier mariage) Dominique, pendant sa grossesse qui se présente assez difficile sinon périlleuse.
Denise et nous demeurons une maison de deux étages, entourée d’un parc contenant une piscine. Carole et moi utilisons le rez-de-chaussée alors que Denise utilise le duplex du premier étage.Ma relation avec Denise était on ne peut plus distante, voire glaciale ou même conflictuelle. Nous nous vouvoyons toujours malgré le temps passé. Mais il faut reconnaître que c’est une femme qui a de l’allure, svelte qui ne parait pas du tout son âge grâce à une heure de marche quotidienne et une heure de vélo fixe, et les jours de temps clément, elle remplaçait la marche par de la natation à la piscine. Elle a soixante-quatorze ans, élancée de 1,75 m et pesant juste 60 kilos. Elle est toujours parfaitement coiffée et portait des robes très classiques, sa peau parfaitement claire et translucide faisait naître l’envie de la caresser voire de la lécher. Son rouge à lèvres et son vernis à ongles étaient de la même couleur de rouge vermeil très sexy à la limite du vulgaire rouge utilisé par les putes.
Je présente son verre à Denise et elle commence à parler. Je tombe presque des nues en l’entendant parler de ses souvenirs d’enfance et de jeunesse. Elle parlait en buvant et bientôt, son verre se vide, elle me demande de lui fournir la bouteille pour ne plus me déranger. Il faut dire qu’elle assume réellement l’alcool. J’ai mis en marche l’enregistrement vidéo de mon téléphone voulant laisser une preuve de peur d’une mauvaise manœuvre de sa part.
Denise fait un arrêt pour boire une bonne gorgée et continue :
— Avant d’atteindre mes 18 ans, Roland (son mari défunt) se présenta à mon père pour me demander en mariage. Nous ne nous étions jamais vus ni connus. Mon père après avoir mené son enquête accepta sans même me demander mon avis. Le jour de mes 18 ans a eu la cérémonie du mariage et le soir, j’étais à l’hôpital pour me soigner d’une hémorragie sévère. — Mais ce n’est pas le style de Roland d’être brusque et brutal, lui dis-je en l’interrompant.— Il n’était ni brusque ni brutal, mais on était tous les deux ignorants des choses du sexe et on se devait de produire la prenne de ma virginité, croyant que ça devant couler à flots. Le résultat a été double : premièrement, on a été interdit de relations conjugales pendant des mois et deuxièmement, j’ai acquis une peur épouvantable de toute relation sexuelle. Trois mois après, le gynécologue nous a permis d’avoir de nouveau des relations intimes non sans avoir précisé à Roland comment agir sans répéter les dégâts qui pourraient alors être irréversibles. En quatre ans, j’ai fait quatre fausses-couches et nos relations étaient limitées aux besoins de la procréation uniquement. D’ailleurs depuis la conception de Carole, nos relations charnelles se sont entièrement arrêtées. C’est comme si un accord tacite s’est établi entre nous sans pourtant en parler durant toutes ces années.

Denise s’arrête pour avaler une nouvelle gorgée de vodka et voulut renouveler sa boisson, je l’en ai empêchée, voulant obtenir la fin de l’histoire tant que sa vanne de parole était ouverte.
— Dites-moi Denise, et depuis tout ce temps, vous avez vécu tous les deux en ermites ?— Pas du tout ni de son côté ni du mien. Roland a eu pas mal de maîtresses, mais qui étaient toutes sensiblement plus jeunes que lui. Pour ma part, j’ai disposé aussi de beaucoup d’amants, mais dans un but bien spécifique qui était d’aboutir à l’orgasme et d’éprouver le plaisir. J’avais appris de mes amies et connaissances que c’était une chose extrêmement agréable dont j’étais privée. Roland avait saisi le but que je poursuivais et il ne s’y est jamais opposé. — Est-ce que vous vous êtes fait examiner par un spécialiste ? — Très souvent et par plusieurs, il n’y avait pas de raison physiologique qui empêchait l’orgasme, mais ça pouvait être un blocage psychique dû à la nuit de noces. Même les psychiatres n’ont pu déceler une raison quelconque à mon état. Et voilà, à 74 ans, je n’ai en aucun cas éprouvé un orgasme.
Elle s’arrête et ses larmes coulent sur ses joues silencieusement. Je lui verse une nouvelle gorgée pour la calmer.
— Denise, le problème n’est éventuellement pas le vôtre, mais de vos partenaires. Est-ce que vous n’avez en aucun cas eu une partenaire féminine ?— Pas du tout, même au Pensionnat des bonnes sœurs, je n’ai laissé personne parmi les élèves ou les institutrices m’approcher. Aujourd’hui, je ne sais pas si je dois regretter d’avoir raté l’occasion d’un plaisir innocent.
Concernant mes amants mâles, ils étaient très dissemblables les uns des autres et avec ça le résultat demeurait constamment le même. Avec chaque nouvel amant naissait un nouvel espoir qui ne tardait pas à s’évanouir rapidement.Et là elle commence à nommer ses différents amants par ordre chronologique. Il y a eu deux de ses neveux, le premier mari de Carole (chose que je savais auparavant et qui avait martyrisé ma femme et qui en paie encore le prix par des nuits blanches et des crises de nerfs.), des personnes que je ne connaissais pas et enfin son dernier amant avec qui elle a rompu il y a dix ans et qu’elle n’a pas nommé.
— Vous avez nommé tous vos amants à part le dernier. Est-ce que je peux en savoir la raison ?— C’est Denis, Roland était l’amant de sa femme et lui mon amant. Nous voyagions continuellement ensemble et on se partageait les chambres sans pour autant faire une orgie ou se mêler ensemble.— Et depuis lors ?— Depuis, plus rien, je suis devenue une nonne sans plaisir ou l’ersatz ou le mime du plaisir. J’avais depuis longtemps appris de la communauté féminine comment feindre le plaisir pour tromper mes partenaires et flatter leur ego, et cela n’a jamais raté et le but recherché était là pour eux.— Denise, je vais vous poser quelques questions indiscrètes : quelles positions vous pratiquiez, étiez-vous toute nue durant l’acte, faisiez-vous la fellation, la sodomie ?— Rien de tout cela, mon cher Bernard, je restais habillée, j’écartais un peu ma culotte et sortais mes seins pour les exciter. Et une fois qu’ils éjaculaient, la fête était finie, à la prochaine ou au prochain. Les seuls attouchements que j’autorisais étaient : un baiser sur les lèvres, une caresse sur les seins et naturellement la pénétration dans le vagin. Beaucoup m’ont suppliée de me voir toute nue et je n’ai jamais obtempéré. C’était plus fort que moi, j’éprouve un complexe de ne pas plaire, et qu’à la vue de mon corps, ils soient dégoûtés.— Et vos partenaires n’ont jamais réalisé que vous ne jouissiez pas pendant vos relations avec eux ?— Pas du tout, ils étaient satisfaits d’avoir joui eux-mêmes et leur croyance de m’avoir fait jouir. Cette croyance avait une raison élémentaire, mes connaissances féminines m’avaient enseigné toutes les astuces pour simuler le plaisir. J’étais devenue une diva en la matière.
Ce fut à moi d’achever mon énième verre en cul sec.Denise se lève de son fauteuil et commence à se dévêtir.
— DENISE, QU’EST-CE QUE VOUS FAITES ? VOUS ÊTES INSENSÉE.— Pas du tout, mais je veux l’avis objectif d’une personne intègre et dont le but unique n’est pas de me rentrer dedans. Je veux obtenir votre avis franc même s’il est pénible.— Denise maintenant vous rentrez dormir et nous en reparlerons demain. Bonne et paisible nuit.
Je quitte de chez elle en saisissant mon portable que je n’arrête de filmer qu’une fois arrivé dans notre chambre à coucher.Je transmets de suite la vidéo à Carole en lui demandant de me donner son avis. À peine avoir terminé de me préparer pour une nuit qui n’avait pas du tout l’air d’être calme, je reçois un message de Carole de l’attendre, elle a à me parler.J’attends cette discussion qui promet d’être virulente, et à bien juger les choses, je trouve que j’ai eu le réflexe excellent de filmer la conversation avec Denise et d’expédier le film à Carole avant toute mauvaise interprétation. J’essayais d’établir un plan pour sortir d’une situation complexe qui ne peut que causer des dégâts à tous les protagonistes impliqués. Un plan commence à prendre sa place dans mon esprit, mais obtenir l’accord de Carole était primordial pour le mettre en action. À suivre ...
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