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L’éducation de Denise Ch. 01

Chapitre 4

Infection

Inceste
L’obéissance de Denise Ch. 04

Infection


J’ouvre la portière à Denise et lui dit de retrousser sa robe avant de s’installer sur le siège les fesses nues. Ayant tenté de protester et de dénier ma requête, elle se résigne et exécute ce que je lui impose. Une fois assise, je lui ajuste sa robe, puis repousse son siège au maximum. Sous prétexte de lui agrafer la ceinture de sécurité, je lui frôle les seins et ses tétons se durcissent instantanément. Je lui applique un baiser tendre sur la bouche.
À peine la voiture en marche, Denise s’informe de notre plan pour le restant de la journée et de la soirée.
Je lui réponds :
— En premier lieu, nous allons nous divertir en route. Au lieu d’emprunter la voie rapide, nous prendrons les routes départementales. Nous irons à l’hôtel pour nous inscrire et prendre possession de notre chambre dans laquelle nous passerons la nuit ensemble. Nous irons déjeuner dans un restaurant à la mode que les jeunes adorent. Par la suite, c’est la visite du meilleur centre commercial de la région pour procéder aux différents achats dont tu as besoin. Le soir, j’ai réservé dans un restaurant thaïlandais très huppé et dont la cuisine est recommandée et digne d’un trois-étoiles. En conclusion retour à l’hôtel pour s’amuser et puis dormir (Pendant ma tirade, j’ai plaqué ma main droite sur ses cuisses et commencé à les caresser.).— D’abord, faites attention, vous conduisez, ce n’est pas le moment de vos jeux, on peut nous voir, ou la police pourra nous arrêter. Et puis c’est un programme extrêmement chargé. Nous ne pourrons pas le terminer ce soir, enfin n’oubliez pas que ma carte bleue est bloquée.— La police s’en fout carrément de ce qu’on peut faire en voiture. Les terroristes et les dealers ne font pas ça. Ne te tracasse pas pour ta carte bleue, je vais te remettre une des miennes si cela peut te calmer et tu peux alors l’utiliser pour payer. Chaque soir, nous établirons les comptes et tu me feras un transfert de ton compte au mien. Ne crois pas que je veux te faire des cadeaux.— Merci, je ne vais plus me faire de soucis à ce niveau.— Relève tes jambes et pose tes pieds sur le tableau de bord entièrement écartés. Dégage ta chatte pour qu’elle soit nettement visible et accessible. Maintenant, commence à te caresser tes cuisses à commencer par tes genoux jusqu’à ta chatte avec tes deux mains, il serait préférable que l’action de tes mains soit synchronisée en sens inverse l’une de l’autre.— Mais il n’y a pas de chatte ici.— (j’essaye de garder mon sérieux et de ne pas éclater de rire.). Pour vivre à ton époque, il faut connaître les termes exacts à comprendre et utiliser, la chatte veut dire vagin, et on l’appelle aussi foufoune, minou, abricot, fleur, vulve, etc. Il y a plein d’autres appellations, tu dois les apprendre et les utiliser. À présent, exécute ce que je t’ai demandé, et commence à caresser tes deux cuisses. (Je saute du coq à l’âne pour la désarçonner et la déséquilibrer.).
Elle relève ses jambes comme demande et entame ses caresses, mais uniquement en un seul endroit, ses mains ne bougent presque pas. En lui tenant la main, je lui trace le circuit à suivre dans l’un et d’autre sens. Elle commence à effectuer la manœuvre d’abord très lentement, mais ensuite plus régulièrement et plus rapidement. Je remarque qu’elle évite d’effleurer son sexe. Sans rien dire, je cherche dans sa crinière et trouve son clitoris grand et volumineux qui ressemble à un petit pénis. Je le tiens entre mon pouce et mon index et commence à le caresser délicatement ce qui la fait raidir et gémir de souffrance. Elle poursuit le mouvement de ses mains à présent parfaitement synchronisées.
Denise me dit :
— Qu’est-ce que vous tenez entre vos doigts, c’est extrêmement agréable mais pénible.— Ça s’appelle un clitoris, on l’appelle aussi le bouton, la perle, le rubis, etc. La nature, de tous les êtres vivants humains ou animaux, a réservé uniquement à la femme deux organes exclusivement dédiés au plaisir qui sont le clitoris et le point G. Chez, l’homme, le pénis possède une double fonction: vider la vessie et procurer le plaisir en éjaculant le sperme de la prostate. C’est étrange que te toucher de ton clitoris soit douloureux, je l’effleure à peine.
— Je ne sais rien de tout cela.— Pourquoi en te caressant, tu évites de frôler ton sexe ?— C’est excessivement douloureux à toucher, alors j’évite de le faire.— Et depuis quand tu ressens cette douleur ?— Depuis deux ou trois ans par intermittence, mais ça a augmenté dernièrement.— Tu n’as pas consulté un gynécologue ou un urologue pour te soigner ?— Non, j’ai honte d’y aller, surtout seule. La dernière fois, c’était à l’époque de ma ménopause, donc depuis presque trente ans. — Tu es complètement cinglée, toi qui fais tellement attention à ta santé et ton hygiène, et pour des problèmes essentiels, tu te laisses négliger sans te soigner.
Je m’arrête au bord de la route pour appeler un ami de jeunesse urologue et sollicite un rendez-vous extrêmement urgent, il me confirme être au cabinet dans une heure et il nous recevra de suite. Je poursuis mon chemin et elle continue à se peloter les cuisses. Je lui dis que le déjeuner prévu va être reporté après la visite du médecin. Étant à la limite de la ville, je lui demande de regagner une position plus ordinaire, mais qu’elle peut continuer à se caresser. Ce qu’elle fait immédiatement. Je l’ai sentie soulagée d’être retournée à une position naturelle. Je lui conseille de tout dire au médecin, car il ne faut pas avoir honte de lui et elle doit lui raconter aussi tout ce qui s’est passé la nuit de noces. Nous arrivons au cabinet de l’urologue et sommes rentrés immédiatement dans son bureau. Après les retrouvailles d’usage, Patrick me dit :
— Mon ami, quel problème t’amène chez moi en ce jour.— Ce n’est certainement pas pour le plaisir de te voir, je viens chez toi avec ma maîtresse qui éprouve des problèmes qui risquent d’être pénibles. À toi de jouer mon ami de jeunesse.
Patrick commence par le questionnaire habituel, quand il arrive à son âge, elle lui répond d’une voix à peine audible soixante-quatorze ans, il sursaute et lui dit que c’est incorrect, elle ne doit pas être âgée de plus de 45-50 au maximum. J’interviens pour lui dire que c’est exactement l’âge de sa fille. Il rétorque à ma remarque qu’en conséquence Denise est ta belle-mère. Sur un geste affirmatif de ma part, il se tourne vers Denise et lui dit :
— À l’accoutumé, mes patientes sont timides en dévoilant leur âge parce qu’elles paraissent plus âgées qu’elles ne le sont réellement. Vous, vous constituez l’exception qui confirme la règle. Depuis que j’exerce cette profession, vous êtes la première dans ce cas et je tiens à vous en féliciter. Vous faites ainsi preuve d’un courage réel. Racontez-moi à présent, quels sont vos problèmes, mais auparavant déshabillez-vous entièrement pour pouvoir vous ausculter visuellement en vous écoutant. C’est ma méthode à moi de mener les auscultations en essayant d’établir un climat de confiance et de sensualité avec mes patientes, il n’est pas nécessaire de vous isoler pour le faire à moins que la présence de Bernard ne vous dérange, et si c’est le cas, je le chasse et l’envoie voir dehors si j’y suis.— Non Docteur, ce n’est pas la présence de Bernard qui me dérange, il m’a déjà vu toute nue, mais vous allez être la troisième personne dans ma vie qui va me voir toute nue, après Carole ma fille et Bernard. Je préfère aussi effectuer une toilette sommaire avant que vous ne m’auscultiez.— Il n’est pas nécessaire d’effectuer votre toilette actuellement, je vous dirai quand il faudra la faire.
Denise se lève et dire qu’en quelques heures elle avait entièrement changé, elle se déshabille d’un coup et fait deux tours sur elle-même toute fière de son corps en levant ses bras en me lançant un clin d’œil m’invitant à observer ses poils qui m’excitent tant. Je regarde Patrick qui est lui aussi sidéré par le spectacle et dont le pénis est en complète érection.Denise s’assied sur le fauteuil en entrouvrant ses jambes et raconte tout au médecin en précisant qu’elle a toujours été sèche du vagin. Quand elle a terminé, Patrick lui demande de s’installer sur le fauteuil approprie.Il s’approche d’elle et commence par lui sentir le vagin en écartant les poils. À sa réaction, j’ai su que nous étions en face d’un problème pénible. Il lui effectue l’examen des seins, des aisselles et lui demande d’aller faire sa toilette intime.
— Qu’est-ce que tu as pu lui faire à cette femme ? Me demande Patrick.— Absolument rien, à part l’embrasser et la voir nue.— Elle a une forte infection urinaire qui produit une odeur excessivement désagréable et il faut la traiter urgemment pour éviter une septicémie grave et qui peut être pernicieuse.
Il convoque son assistante et lui dit quelles analyses et radios, il faut faire subir à Denise ainsi qu’un test PCR et d’insister pour obtenir les résultats le plus rapidement possible. Il me demande de faire les mêmes analyses et le même test. Il se tourne vers moi pour me dire :
— Je veux m’assurer de tout avant de vous lâcher dans la nature, et pour tout vous dire vous êtes fortuitement tombé sur un spécialiste de ces infections en plus d’être gynécologue. Allez au labo et revenez me voir pour attendre les résultats et décider du protocole à suivre.
Nous allons au labo qui se trouve au rez-de-chaussée et ils nous font des prises de sang et d’urines et les radios de Denise. Nous retournons chez Patrick.Je lui dis de suite :
— Tu m’as dit que tu avais une heure pour nous recevoir alors que cela va faire approximativement deux heures que nous sommes là et il faut au moins une heure pour obtenir les résultats des analyses. Je considère que c’est trop te demander. — Dans des cas semblables, il faut prendre son temps pour ne pas commettre d’erreurs, et aboutir au meilleur diagnostic et établir le meilleur protocole.
Denise d’une voix à peine audible me demande à quelle heure on va aller déjeuner, elle commence à se sentir mal parce qu’elle a franchi de loin l’heure ordinaire de son déjeuner. Patrick en profite pour dire que lui aussi n’a pas encore déjeuné. Il demande à son assistante de commander des sandwiches à tous.
Patrick nous explique qu’il soupçonne que c’est une infection urinaire chronique avec un très grand risque qu’elle ait entraîné une septicémie. Le traitement idéal doit se faire dans un milieu hospitalier, mais vu les circonstances de la pandémie du Covid, les capacités d’admission dans les hôpitaux sont très réduites, le traitement peut se faire à domicile sous la surveillance d’une infirmière qualifiée. Le traitement est à base d’antibiotiques par voie intraveineuse à raison de plusieurs injections par jour pendant une dizaine de jours. Il me précise qu’il connaît une infirmière qualifiée qui peut faire l’affaire et demeurer à domicile, et elle restera en contact permanent avec lui. Je lui fais signe que j’accepte.
De suite, il appelle Sylvie, lui explique le cas et le traitement à administrer et lui dit qu’il va lui-même administrer à Denise sa première dose au cabinet. Il lui précise d’aller avec tout son matériel et de prévoir que l’antibiotique doit être injecté par le biais d’un sérum. On se donne rendez-vous avec elle dans deux heures.
En mangeant, les premiers résultats commencent à arriver. Le diagnostic de Patrick est tout à fait exact, infection urinaire augmentée d’une septicémie pour Denise et rien du tout pour moi.
Patrick s’adresse à Denise :
— Vous allez répéter à Sylvie tout ce que vous m’avez dit en détail pour qu’elle puisse vous établir le protocole hygiénique et antiseptique et vous donner toutes les directives à suivre. Ce que vous avez est une MST qui se transmet dans la plupart des cas à travers des relations sexuelles, il y a extrêmement peu de risques d’une autre forme de transmission. Mais il vaut mieux quand même ne pas partager les mêmes toilettes. Je passerai vous rendre visite après demain pour le suivi.— C’est quoi une MST ? demande Denise d’une voix tremblante.— Une MST est une Maladie Sexuellement Transmissible réplique Patrick. Avez-vous besoin d’explications supplémentaires ?— Mais je n’ai pas eu une relation sexuelle depuis plus de dix ans. Merci Docteur.
Je demande à Patrick de contacter Carole pour lui exposer la situation, car en entendant son explication, elle ne risque pas de se faire du souci, d’angoisser et d’embarquer dans le premier avion pour revenir. Il le fait et après une discussion fastidieuse, Carole accepte les explications de Patrick et décide de ne pas venir pour assister sa mère.
L’assistante de Patrick entre et lui remet la première dose qu’il injecte de suite à Denise.Nous quittons le cabinet, j’appelle Michèle pour savoir où elle est. Elle répond qu’elle vient de déposer Florence à la gare. Je lui demande de rentrer immédiatement à la maison, de cuisiner un bon dîner et je l’avise qu’une infirmière va arriver avec son matériel qui doit être installé dans la chambre de Denise. Quant à l’infirmière, il faut lui attribuer la chambre qui est à côté de celle de Denise. Je me penche sur Denise et lui donne un baiser interminable sensuel, elle reste de marbre et voilà qu’elle commence à pleurer silencieusement.
Je lui demande ce qu’elle a et pourquoi pleure-t-elle ?
— Depuis que je vous connais, je vous ai toujours haï et chaque fois que je pouvais vous emmerder, je n’ai pas hésité à le faire avec allégresse. Quand vous me donnez un conseil, je fais exactement le contraire. Ce matin, vous m’avez demandé de vous obéir, je n’avais nullement l’intention de le faire, bien au contraire. Et voilà que je trouve que vous vous occupez de moi comme personne ne l’a jamais fait avant vous. Vous êtes à mes petits soins très tendrement. J’éprouve un grand remords de ma façon d’agir autant dans le passé qu’actuellement. Je vous en demande pardon et vous pire de l’accepter. Dorénavant, non seulement, je vous serai obéissante, mais je serai votre esclave soumise et heureuse de l’être.
Je me rapproche d’elle et reprends mon baiser de là où il a été interrompu. Elle essaie de sa part d’adopter le rythme du baiser, mais sans y parvenir.Durant notre chemin de retour, je la caresse sur ses cuisses. Elle semble apprécier, mais toujours en silence.Nous arrivons à la maison, Michèle est là à nous attendre. Je lui demande de nous préparer un café.En buvant le café, Denise explique à Michèle de quoi il s’agit et que Sylvie va demeurer chez nous pour lui administrer le traitement et s’occuper d’elle.
Sylvie arrive et demande à travers le vidéophone si quelqu’un peut l’aider à transporter son matériel. Michèle y va. À peine revenues, je me lève pour la saluer, mais nous étions tous masqués. Sylvie se dirige vers Denise pour faire connaissance et à peine a-t-elle prononcé deux mots, je crie:
— Madou, Madou.
Et c’est le trou noir.

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