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L'éducation de ma fille

Chapitre 7

Je la baise... enfin !

Inceste
Le lendemain dimanche, je propose à ma famille de m’accompagner pour une petite balade dans la campagne environnante. Comme prévu, ma femme me rappelle qu’elle ne peut pas, puisqu’elle va chez son amie Meriem. Je m’en souvenais très bien, c’est d’ailleurs pour ça que j’ai proposé ma balade à ce moment-là !Quant à Théo, l’adolescent de base, sa réponse est bien évidente.Ne reste plus que Lisa, à qui je ne laisse pas vraiment le choix. Je me rends dans sa chambre, dans laquelle j’entre sans frapper, puis je m’assieds auprès d’elle sur son lit. D’emblée, je pose ma main sur sa cuisse.
— Je vais me promener, je pars dans une petite demi-heure. Prends de bonnes chaussures.
Il va sans dire que son avis n’est pas requis. Elle ouvre la bouche pour protester, mais ma main qui la caresse se pose sur sa culotte.
— C’est quoi ça ? Depuis quand tu mets des sous-vêtements un dimanche ? Et si papa veut te caresser, il fait comment ?!
Là encore elle s’apprête à protester, mais elle réalise vite que c’est inutile. Elle baisse donc la tête honteusement.
— Pardon papa.
Mes doigts se glissent sous le tissu de sa culotte et effleurent rapidement la douce peau de son vagin.
— Papa va faire de toi une femme aujourd’hui…
Elle relève la tête pour me regarder avec un mélange de crainte et d’impatience.
— Ça va faire mal ? demande-t-elle, un peu inquiète.— Peut-être un peu au début, mais ensuite ce sera merveilleux. Et ne t’inquiète pas, je serais très doux.
En tout cas la première fois, parce qu’ensuite je compte bien te démonter dans tous les sens.Je retire ma main et je me lève, puis je m’apprête à quitter sa chambre.

— Dépêche-toi de te préparer, j’ai hâte de te montrer tout ça !
Il faut bien une petite demi-heure à Lisa pour se préparer, mais comme elle passe un moment dans la salle de bain, je me dis qu’une partie de sa "préparation" est peut-être destinée à se faire belle pour papa.Effectivement, lorsqu’elle me rejoint enfin dans l’entrée, je peux admirer un maquillage discret, mais qui rehausse subtilement sa beauté naturelle. Voilà, c’est comme ça qu’elle devrait se mettre en valeur tous les jours !Mais au fond, qu’elle ne le fasse que pour son papa me flatte, en même temps que cela m’excite. Tu vas prendre cher, ma puce…
Nous nous mettons en route immédiatement, en empruntant les chemins qui partent de notre lotissement pour serpenter aussitôt au milieu des vignes à flanc de colline. Le paysage est magnifique, mais surtout il offre de multiples endroits paisibles et discrets. Le genre d’endroit idéal pour déflorer sa propre fille, par exemple.L’idée me trotte dans la tête à tel point que je suis bien incapable de me retenir plus de quelques minutes : au bout de 400 mètres à peine, je tire ma fille sur le bord du chemin et je lui indique une microscopique clairière à l’écart.
— Ici ce sera très bien, lui dis-je.— Ici ? s’étonne Lisa. Mais papa, on peut nous voir depuis le chemin !
Je hausse les épaules.
— Il n’y a personne ! Et si quelqu’un devait nous voir… alors tant mieux pour lui !
Mon adorable fille ne proteste pas plus que cela, elle se laisse attirer parmi les fougères jusqu’à l’endroit un peu à l’écart que je lui ai montré. Une fois là, elle se contente de m’observer, visiblement intimidée.
— Qu’est-ce que je dois faire ? demande-t-elle en tremblant légèrement.— Déshabille-toi. Complètement.
Lisa hésite un instant, puis elle s’exécute sans prononcer un mot. Il ne lui faut pas longtemps pour faire tomber sa robe à ses pieds, ce qui la révèle à moi dans son plus simple appareil. Elle est magnifique.Elle regarde à droite et à gauche, terrifiée à l’idée que nous puissions être surpris. À vrai dire, je ne le suis pas moins. Tout le monde nous connait ici, ou peu s’en faut, alors il suffirait qu’une personne nous voie pour que notre réputation soit ruinée à jamais. J’imagine la chose : le père et la fille qui couchent ensemble en pleine nature, à la vue de tous, à moins de 500 mètres du domicile familial. C’est tout juste si on ne ferait pas les gros titres de la presse locale !Pourtant, la magnifique créature qui se trouve nue devant moi ne m’aide pas à écouter la voie de la raison. Je déboutonne mon jean, puis je laisse sortir mon sexe, déjà bien dur.
— Viens sucer papa, ordonné-je à ma fille.
Elle s’avance, docile, soumise, puis elle s’agenouille pour prendre dans sa bouche ce membre qu’elle connait bien maintenant. Je la laisse faire quelques secondes, puis je pose ma main derrière sa nuque pour me faire plaisir en elle à mon rythme. Quand je suis bien dur et excité, je la repousse et lui ordonne de s’allonger dans l’herbe.
— Écarte les cuisses.
La encore, elle s’exécute sans un mot. Je peux donc observer sa petite chatte toute lisse, fraîchement épilée, qui s’ouvre légèrement vu sa position. Mais elle est encore sèche, ce qui bien évidemment va poser un problème.Je me positionne alors entre ses jambes, puis je passe lentement mon doigt le long de sa fente, sa si douce fente.
— Papa va te préparer un peu…
Je me jette presque sur sa moule pour la dévorer, car je suis impatient de goûter de nouveau ma petite chérie. Son odeur délicate et légère m’ensorcelle immédiatement, je fais aller et venir ma langue tendrement de son vagin à son clitoris, puis je m’attarde plus spécifiquement sur lui. C’est d’ailleurs efficace, puisque ma Lisa commence déjà à gémir de plaisir.
— Tu aimes, ma chérie ?— Oh oui papa… Continue, j’adore ce que tu me fais !
Elle va même jusqu’à poser sa main sur l’arrière de mon crâne, comme pour m’inciter à la lécher encore. Je ne me fais pas prier, et je dois reconnaître que j’apprécie cette initiative de ma fille. Quelle gourmande, on dirait son père !Je suçote son clitoris, je le tète, j’adore ça. Je suis tenté de boire toute la mouille qu’elle sécrète maintenant en abondance, puisque son goût est merveilleux, mais je préfère m’abstenir afin de faciliter au maximum la pénétration qui s’annonce.
— Tu es prête, ma chérie ?
Elle fait oui de la tête, un pâle sourire aux lèvres. Elle semble heureuse, mais intimidée, alors je me promets d’être aussi doux que possible. Me faire plaisir avec ma petite puce viendra plus tard, pour le moment il faut que je sois un bon initiateur. C’est ma fille quand même !Je me positionne à côté d’elle, nos corps nus côte-à-côte, je suis brûlant de désir. Je pose ma main sur sa poitrine, sa belle et douce poitrine, et je la caresse doucement. Pris par une impulsion soudaine, je m’approche de ma fille et je l’embrasse tendrement. J’ai un peu peur de sa réaction, mais finalement nous nous échangeons bientôt un baiser passionné. Elle n’est plus ma fille, elle n’est plus un délectable plan cul, c’est une véritable amante que j’ai en face de moi !Sans arrêter de l’embrasser, je la prends dans mes bras et je m’approche d’elle doucement, jusqu’à ce que nos corps soient enlacés. Mon pénis est contre son bas ventre, je n’ai qu’à le guider vers l’entrée de son antre pour faire d’elle une femme. Je fais coulisser pendant quelques secondes mon gland à l’intérieur de sa fente, mélangeant ainsi nos liquides intimes, puis je le positionne à l’entrée de son vagin.
— Tu es sûre ?— Oh papa, baise-moi ! répond-elle, subjuguée par un désir qui emporte tout.
Je ne me fais pas prier : je m’enfonce lentement en elle, jusqu’à buter contre son hymen. Je prends encore une seconde, simplement pour profiter à fond du moment que je m’apprête à vivre, puis j’accentue la pression. Ma verge déchire l’obstacle sans pitié, déflorant ma fille du même coup.Elle lâche juste un petit cri, de douleur et de surprise, puis elle soupire de plaisir tandis que je continue doucement ma progression. Quand je suis au bout, c’est-à-dire que mon pubis est entré en contact avec le sien, je m’arrête quelques instants.
— Ça va ma puce ?— Oui papa. Ça y est, c’est fait ?— Oui c’est fait, maintenant tu es une femme.
Je coulisse encore en elle pendant quelques minutes, tendrement, en continuant à l’embrasser, afin qu’elle s’habitue à m’avoir en elle. Quand je juge qu’elle est prête, je ressors ma bite de sa chatte poisseuse, ce qui me vaut un regard curieux.
— Tu as fini ? me demande-t-elle.— Non ma chérie, mais je veux te prendre dans d’autres positions. Un jour tu trouveras un gentil amoureux, qui sera doux et attentionné avec toi, et qui te fera l’amour comme une gentille fille. Mais tous les deux on sait que tu n’es pas une gentille fille, n’est-ce pas ?— Je… Tu crois ?
Elle paraît un peu décontenancée, et je souris devant tant de naïveté. Bien sûr que c’est une gentille fille, mais si elle découvre ces derniers temps de bien sombres aspects de sa personnalité.Il n’empêche que, gentille ou pas, ce n’est pas comme ça que j’ai envie de baiser ma progéniture.
— Mets-toi à quatre pattes ! lui ordonné-je.
Docile comme toujours, ma petite Lisa s’exécute. Elle semble un peu inquiète, mais pas un instant elle ne semble envisager de désobéir à papa. Sa croupe relevée m’offre une vue imprenable sur ses fesses magnifiques, ainsi que sur son petit abricot désormais largement ouvert et dégoulinant.Je lui décoche une belle claque sur les fesses, incapable de me retenir.
— Aïe ! gémit Lisa.— Ta gueule, petite pute !
Maintenant que l’initiation est passée, je reprends mon rôle de méchant. J’aime tellement ça…Je me positionne à l’entrée de sa moule, mes mains posées sur ses divines et si douces hanches d’adolescente.
— Regardez-moi ce corps de petite chienne… ajouté-je. Tu es taillée pour le sexe ma chérie ! Quand je pense à tous les mecs qui vont te passer dessus…
Sur ce, je m’insère en elle d’un coup sec, ce qui la fait lâcher un nouveau petit cri de surprise. Je ne lui laisse pourtant pas le temps de se remettre, je la pilonne à grands coups de bite.
— Tu la sens, la grosse bite à papa ? T’aime ça, te faire exploser la chatte ?— Oh oui papa, j’aime beaucoup !
Mon adorable petite Lisa… Comme elle apprend vite !Je lui donne une nouvelle fessée, puis une autre, puis une autre encore. Elle lâche un cri de douleur à chaque fois, tandis que ses jolies petites fesses ne tardent pas à devenir toutes rouges, mais je n’arrête pas pour autant. Au contraire, je la frappe de plus en plus fort.Mes coups de bite deviennent plus violents également, je n’ai jamais baisé de cette manière. D’ailleurs je ne baise plus, je démolis son adorable petit corps de nymphette.Elle halète, elle gémit, elle pleurniche même. Bientôt, ses jambes ne la portent plus et elle s’affale dans l’herbe, mais je continu de la déglinguer ainsi. Je n’ai jamais rien connu d’aussi bon, mais évidemment ça ne dure pas : je ne tarde pas à sentir venir un orgasme monstrueux.
— Papa va te remplir le vagin de son foutre, ma chérie !
Courageuse petite Élisa, elle arrive à bafouiller au milieu de ses larmes :
— Vas-y papa, occupe-toi bien de ta fille…
Elle est merveilleuse, et ses paroles m’achèvent. Paralysé par l’orgasme le plus intense de ma vie, je libère de gigantesques quantités de sperme en elle.
— Oh ma chérie… ma Lisa… ma petite pute… Putain c’est trop bon, prends tout dans ta chatte, sale traînée !
Une fois vidé, je m’affale sur elle, complètement HS. Mais Dieu que ce fut bon !Pas de doute, cette baise a été la meilleure de ma vie… et j’ai hâte de recommencer !
***Je remercie Keyman pour son aide tout au long de cette histoire. Puisse le sort lui être favorable !
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